Post-post24

Nous nous sommes séchées mutuellement, à travers les rires et les baisers. C’est Zoé, très en forme après cette douche sous la pluie, qui a demandé à Prune : - On regarde la suite de la vidéo ? - Bonne idée ! répondit Prune. Nous voici installées toutes les quatre devant l’écran. Zoé, Jade et Prune sont assises sur le canapé. Je suis assise sur mes talons à leurs pieds. Je suis entièrement nue avec juste un collier en cuir autour du cou. Prune tient la laisse qui est accrochée au collier. De temps en temps, les filles me caressent la tête et je miaule pour les remercier. Meow ! Il est étran… Baca selanjutnya

Prune a placé sa tablette sur un petit meuble. Je suis en face, toujours ficelée sur mon fauteuil de jardin. Zoé et Jade ont pris place à ma gauche et Prune à ma droite. Sur l’écran, Liah sourit. Elle tient une laisse de sa main droite. Au bout de la laisse, il y a un collier de cuir. Le collier de cuir enserre un cou délicat, le mien. Je suis nue, seulement vêtue de ce collier et d’une chainette qui relie mes deux tétons. En revoyant ces images, je me souviens combien mes tétons étaient douloureux, serrés dans des petites pinces d’acier. Mes poignets sont aussi attachés par deux bracelets r… Baca selanjutnya

- Es-tu bien installée ? me demande Prune. Je suis attachée sur le fauteuil ou je suis assise. Il s’agit d’un modèle Adirondack, ce qui veut dire que je suis assise très en arrière. Mes bras sont attachés aux accoudoirs et mon corps au dossier (la corde passe en haut et en bas de mes seins. Mes talons sont posés sur le bout de l’assise du fauteuil et chacune de mes jambes est attachée au montant du fauteuil qui soutient l’accoudoir, ce qui permet à mes vis-à-vis d’avoir une vue intéressante sur ma chatte ouverte et offerte. Et probablement humide. - Mon confort est optimal, chère Prune ! -… Baca selanjutnya

Jade se soulève et vient m’embrasser. Que mon visage soit couvert de sa liqueur intime ne semble pas la gêner, bien au contraire. Effectivement, Prune a trouvé un jouet. Il est attaché autour de sa taille. C’est un gode rouge vif, de forme légèrement courbé, qui ressemble à un sexe masculin. Enfin, disons à certains sexes masculins, du genre de ceux dont les Anciens Grecs affublaient Priape, ce fils d’Aphrodite et Dionysos en perpétuelle érection. - Tu vas passer à la casserole ! me dit Prune, hilare. Tu es d’accord ? - Je suis prête à assouvir tous tes désirs, dis-je d’une voix suave. Fais… Baca selanjutnya

C’est à ce moment que nous entendons ce léger bruit. Nous aurions pu ne pas entendre cette espèce de frottement discret. Mais, comme nous ne faisions pas le moindre bruit à ce moment là, il s’est entendu très nettement, sous les voutes de l’abbaye. Prune, d’un bond, s’est précipitée derrière le paravent noir qui sert d’écrin aux photos. L’intrus, qui qu’il soit, doit être surpris de voir débouler une jolie blonde toute nue ! En fait d’intrus, il s’agit d’intruses… Les deux ados que nous avons dérangés, plus tôt dans l’après-midi, alors qu’elles se donnaient du plaisir dans les toilettes, a… Baca selanjutnya

- Ou allons-nous ? - Au point de départ ! déclare t’elle, mystérieuse. Je me demande où elle veut en venir, d’autant que l’expo va bientôt fermer. A ma grande surprise, elle me fait passer par une étroite ouverture située entre un corps de bâtiment et le cloitre. Le passage est obscur et fraichement agréable. A tâtons, nous trouvons un endroit ou nous assoir. Enfin, disons qu’elle s’assoit sur une pierre plate et m’invite à m’assoir sur ses genoux. Elle m’attire à elle. Nos lèvres se joignent et nos langues se caressent. Sa main passe sous mon chemisier et s’attarde sur ma poitrine. Elle a… Baca selanjutnya

Le vaste réfectoire de l’abbaye sert de cadre à l’exposition. Les moines des siècles passés auraient du mal à reconnaitre la salle, organisée en plusieurs alcôves sombres ou les photos sont exposées. Le public entre dans la pénombre et trouve les différentes alcôves grâce à des leds fixées au sol qui servent de guide. Dans les alcôves les photos sont suffisamment éclairées pour permettre aux visiteurs de ne perdre aucuns détails du travail de Sabrina X, la mystérieuse photographe à l’origine de l’exposition. L’entrée est interdite aux moins de 18 ans. Il me semble néanmoins que les deux jeun… Baca selanjutnya

C’est ainsi qu’a débuté ce séjour avec Rose et Charlie. Dès le lendemain, Rose me passait autour du cou un très joli collier de cuir souple, de couleur rouge. Charlie enfila un plug dans mon anus. Au bout du plug, une jolie queue courte panachée s’élançait fièrement vers le plafond. A quatre pattes sur le sol du chalet, je me frottais à leurs jambes autant que possible, en ronronnant doucement. - Oui… Chan… Ne sois pas si impatiente ! lança Rose, en préparant ma pâtée. Elle posa ma gamelle juste à côté du bol d’eau fraiche. Je me mis à manger, veillant à bien remuer mon postérieur afin que… Baca selanjutnya

J’étais placée entre Charlie et Rose. La bouche de Rose était à quelques centimètres de la mienne. Elle respirait de façon régulière, end.ormie et je pouvais sentir son haleine pénétrer dans mes narines. Cela m’excitait bien plus que si j’avais pris une dro.g.ue. Charlie, derrière moi, avait glissé son bras le long de mes hanches et sa main sur mon ventre. Je tâchais de bouger légèrement afin que sa main glisse un peu plus bas, là ou, de nouveau, l’humidité commençait à sourdre. Mais sa main remontait à chacune de mes tentatives. Elle approcha sa bouche de mon oreille et murmura quelques m… Baca selanjutnya

Attachée à quatre pattes sur un lit, avec un foulard sur les yeux, j’étais réduite à un état de vulnérabilité total et à la merci des caprices de mes deux partenaires. Une situation qui m’a toujours procuré beaucoup d’émotion. Cette émotion se manifeste généralement par une élévation de ma température. J’ai de plus en plus chaud et je sens perler la sueur sur ma peau. L’humidité qui suintait entre mes cuisses n’était pas de la sueur par contre. Je mouillais, comme folle de désir et d’impatience et anxieuse de savoir à quelle sauce elles allaient me manger. De ses ongles, Rose me labourait le… Baca selanjutnya

Ca n’a pas raté. L’eau est brusquement devenue froide et, à moitié en criant et riant, nous sommes sorties de la baignoire et nous sommes séchés rapidement. Enveloppées dans nos draps de bain, nous nous sommes installées, Rose et moi, dans le canapé. Face à nous, baissée sur le foyer de la cheminée qu’elle était en train d’allumer, Charlie nous offrait une vue imprenable sur son beau cul. Quelques gouttes d’eau glissaient entre ses reins, disparaissaient entre ses fesses puis, un temps retenues par ses poils humides, finissaient par goutter sur le sol. Rose prit mes lèvres. Un baiser appuyé… Baca selanjutnya

Le lac s’étendait sur plusieurs hectares, complètement entouré par une forêt dense, sauf à l’endroit ou je me trouvais, une sorte de petit promontoire surélevé. La forme en ovale, la présence de la forêt et cette éminence rocheuse m’avait sauté aux yeux dès la première fois, il y a fort longtemps. - On dirait un sexe de femme ! avais-je déclaré à ma sœur. - Obsédée ! m’avait-elle rétorqué en riant. Nous avions quinze et quatorze ans et venions nous baigner, nues, dans ce lac très peu fréquenté. Il n’y avait pas de plage, ni d’accès pour les véhicules, ce joyau de la nature restait donc méco… Baca selanjutnya

Lena est allongée sur la couchette, les jambes bien écartées. Au centre de ce compas improvisé, une forêt dense a pris ses aises. Elle couvre tout l’entrejambe et tend à escalader les pourtours. C’est une forêt amazonienne, car c’est chaud et l’humidité qui sourd depuis son centre colle les poils entre eux. C’est poisseux et odorant, bref délicieux ! Je lèche, je lisse, je discipline, je fouille. Pour le plus grand plaisir de Lena qui miaule et ronronne de gratitude. En voilà une, au moins, qui ne boude pas son plaisir ! A force de chercher, je finis par trouver son trésor. Une grotte humide… Baca selanjutnya

Je suis debout face à la caravane qu’une des deux compagnes d’Alice vient d’ouvrir. Derrière moi, je sens la présence de mon chat noir. - Si tu entres, tu seras à nous. Pour le meilleur et pour le pire ! me murmure-t-elle à l’oreille. - Je choisis le meilleur ! Elle rit. Ses mains frôlent mes hanches, remontent le long de ma taille puis passent sous mon sweater. Elle le soulève et je lève mes bras pour qu’elle puisse me l’enlever. Elle le jette négligemment sur le siège arrière de ma voiture, restée ouverte. Puis elle défait le bouton de mon jean, descend le zip et fait glisser le jean le l… Baca selanjutnya

Une main me secoue. J'ai un instant de confusion, comme lorsqu'on est réveillée en sursaut, mais, en un éclair, tout me revient en mémoire. - Que se passe t-il ? dis-je. - C’est l’heure ! fait-elle. Alice, le chat noir. Elle est habillée. Elle jette des habits sur mon lit. - C’est ce que j’ai trouvé de mieux pour ce soir. Tu n’as pas tellement de fringues pour une bourge… - Je sens que je vais te rattacher sur ce lit et te donner une bonne fessée… Elle rit. Je me redresse sur le lit. Elle a sorti un vieux jean que je mets uniquement lorsque je fais des trucs sales, comme laver à fond ma v… Baca selanjutnya

Lorsque je rentre chez moi, Alice m’attend sur mon palier. Je l’invite à rentrer et, sans plus de façons, elle visite toutes les pièces. Dans le petit cellier qui jouxte ma cuisine, elle trouve une de mes culottes (déjà portée) sur la machine à laver. Elle la prend et la porte à ses narines, dans un geste de défi. Je me dis alors qu’il faut que je reprenne les choses en main. Je saisis le bras d’Alicia, le tord et, malgré ses protestations, l’entraine dans ma chambre. Là, sans aucun égard pour ses protestations, je la déshabille d’une main tout en la maintenant de l’autre. Elle a beau se déba… Baca selanjutnya

Ce soir là, je suis allé au château. C’est Célia qui m’a fait connaitre cet endroit. Depuis, elle a déménagé en Nouvelle-Zélande, ayant rencontré, lors d’un voyage, l’amour de sa vie, une jolie blonde fine et longue comme une liane. Le château n’est pas un château. C’est une maison bourgeoise du XVIIIème siècle auquel un propriétaire a fait rajouter un pigeonnier qui ressemble à une tour. Pour les gens du coin, c’est devenu le château. Il s’en passe de belles au château. C’est le rendez-vous de toutes les gouines de Paris. Pour mes lectrices ou lecteurs qui ne connaissent pas l’argot frança… Baca selanjutnya

J’étais plongée dans une douce torpeur, cette phase du sommeil ou il nous semble que nous sommes éveillées, mais ou, en réalité, notre esprit est en roue libre et imagine des choses. J’étais couchée sur le ventre. Il me semblait que des doigts massaient ma chatte, poussant doucement mes lèvres intimes afin de les ouvrir, un peu comme une abeille le ferait avec une fleur gorgée de nectar. Des ondes de plaisir montaient depuis mon ventre, me procurant une douce sensation de bien-être. Cette impression se diffusait doucement dans tout mon corps et je savourais avec volupté ce rêve éveillé. Pour… Baca selanjutnya

Marion et moi reprenions notre souffle, enveloppées dans de larges draps de bain, lorsque le téléphone sonna à nouveau. Cette fois-ci, Marion répondit. Je n’entendais pas ce que disait la fille, au bout du fil, mais le timbre de la voix était féminin, à n’en pas douter. Marion semblait très embêtée. - Mais, où es-tu ? demanda t’elle. On tambourina à la porte et Marion raccrocha pour aller ouvrir. - Mais, enfin, où étais-tu ? fit une voix de femme. Je t’appelle et tu…tu… Il y eu un blanc dans la diatribe un brin énervée et la voix reprit. - Mais, tu es nue sous ta serviette ? - Oui, je ne… Baca selanjutnya

C’est à ce moment précis que l’orage éclata. La pluie se mit à tomber sous forme de trombes d’eau. Le crépitement sur la verrière donnait l’impression que nous étions sous le feu d’un régiment ennemi dont les munitions étaient inépuisables. Marion vit que je regardais la verrière, probablement d’un regard circonspect. - Ca fait toujours comme ça. Certains soirs, je ne m’entends même plus. Mais on s’habitue, il y d’autres compensations. Pour Marion, les compensations étaient la terrasse, à laquelle on accédait par un tout petit escalier métallique en colimaçon. Elle faisait pas loin de vingt… Baca selanjutnya