L'exposition - 7
Nous nous sommes séchées mutuellement, à travers les rires et les baisers. C’est Zoé, très en forme après cette douche sous la pluie, qui a demandé à Prune :
- On regarde la suite de la vidéo ?
- Bonne idée ! répondit Prune.
Nous voici installées toutes les quatre devant l’écran. Zoé, Jade et Prune sont assises sur le canapé. Je suis assise sur mes talons à leurs pieds. Je suis entièrement nue avec juste un collier en cuir autour du cou.
Prune tient la laisse qui est accrochée au collier. De temps en temps, les filles me caressent la tête et je miaule pour les remercier. Meow !
Il est étrange que Prune ait deviné mes penchants secrets alors que je n’en ai rien dit. Cette fille a beaucoup d’intuition et je suis heureuse qu’elle me tienne en laisse.
Sur l’écran apparait une créature sortie tout droit d’un manga érotique. Il faut un moment pour que Zoé et Jade s’exclament, me reconnaissant enfin sous ce déguisement.
Je suis maquillée outrageusement, comme une pute à dix balles.
Je ne porte pour tout vêtement qu’un étrange pantalon à paillettes dorées, très dans l’esprit ‘’seventies’’.
Ce pantalon possède des jambes, comme tout pantalon qui se respecte. Mais ces jambes sont reliées à la ceinture seulement par des languettes de tissu assorti, ce qui fait que cet étrange pantalon dévoile à la fois mes hanches, ma chatte et mes fesses.
Des bretelles en cuir complètent le vêtement. Evidemment, elles ne couvrent pas mes seins.
Des cercles de couleur sont peints sur mes seins, comme sur des cibles. Au bout de mes tétons deux étoiles en fer blanc doré sont fixées par des pinces.
Un chapeau haut-de-forme constellé d’étoiles dorées et des chaussures aux talons compensés, hauts comme des échasses, complètent la tenue.
Je me déhanche lascivement, tout en me caressant, dans une cage posée sur un étroit podium, sur des musiques funky et disco très vintage, The BeeGees, Barry White, Donna Summer, Earth, Wind and Fire, Gloria Gaynor ou encore ABBA.
La lumière multicolore des boules à facettes colore ma peau nue de multiple façon, comme dans un kaléidoscope. A mes pieds, des centaines de fêtards, des femmes pour l’essentiel, mais aussi des hommes, admis dans cette boite lesbienne.
Tous, passablement excités, essayent de me toucher à travers les barreaux de ma cage.
Mais les barreaux sont trop resserrés et seules des femmes aux bras fins peuvent, de temps à autre, toucher ma peau.
Je laisse ces doigts courir sur moi, tout en continuant ma danse érotique. Parfois une main parvient à saisir un sein ou à caresser une fesse. Parfois, je me colle aux barreaux et une main s’insinue entre mes cuisses mouillées.
Je suis au bord de l’orgasme et, si je n’étais pas enfermée dans cette cage, je m’offrirais à cette foule dont le désir est palpable. Ma danse se transforme en une ondulation masturbatoire, hanches en avant et mes doigts dans ma chatte.
Au moment ou la cage se soulève, je jouis. Mes cris de plaisir sont couverts par la musique mais mon visage ne laisse place à aucun doute. Dans un spasme, je lâche un ou deux jets de mon nectar intime. Mais qui s’en rend compte dans cette salle ou la sueur en suspension a crée comme une espèce de léger brouillard ?
La cage semble voler au dessus des têtes, puis elle se pose sur un espace plus élevé. Elle se disloque, me libérant de ma prison d’acier. Au même moment, je suis rejointe par deux femmes.
Elles sont censées avoir été sélectionnées parmi les clientes de ce soir. En réalité, ce sont des filles payées par la productrice du spectacle, une certaine Sabrina X.
Elles se jettent sur moi, comme des mortes de faim.
Au début, il devait s’agir d’actrices pornos, mais j’ai fait valoir que des femmes plus spontanées seraient surement plus crédibles pour le public.
Car, si nous sommes inaccessibles, à plus de six mètres de haut, nous ne sommes pas invisibles. Un écran géant retransmet nos ébats en direct.
La productrice a donc choisi, dans le nombreux vivier des nymphomanes qui aiment baiser sous les yeux d’une foule, deux femmes trentenaires.
L’une est une rousse à la chevelure hollywoodienne flamboyante, vêtue d’un bustier de cuir noir et rouge qui masque en partie ses seins constellés de tâches de rousseur. Le bustier retient des bas rouges au moyen de jarretelles noires, mais laisse visible sa chatte et la fourrure rousse qui en tapisse le pourtour.
L’autre est une blonde diaphane coiffée d’un carré à la Louise Brooks, son corps nu est enveloppé de lanières de cuir noir qui laissent visible l’essentiel.
Elles sont à genoux à mes pieds. La rousse écarte mes cuisses pour que sa bouche puisse accéder à mon trésor. La blonde écarte mes fesses et sa langue lèche mon anus.
Elles sont fébriles et tendues. C’est surement la première fois qu’elles s’exhibent ainsi devant une aussi grande assistance.
De l’assistance, justement, monte un brouhaha intense. Tout en savourant les bouches complices de mes amantes, je salue le public en soulevant mon chapeau haut-de-forme.
Puis, je le jette dans la fosse aux lion(ne)s.
Une clameur monte, comme un tsunami. Fin du chapeau, la production devra en acheter un autre.
Les filles sont arrivées à leur fin : à force de les sentir s’accrocher à ma ceinture et à mes jambes, je les ai rejointes au sol. Les deux lionnes, leurs crocs en avant, se jettent sur moi pour me dévorer.
L’écran géant saisit le mouvement de ma jambe, qui s’écarte afin de laisser libre accès à mon entrecuisse. Ma vulve rose, luisante de mouille, apparait en gros plan, soigneusement encadrée d’une une toison noire souillée par mon plaisir.
Les doigts de la blonde investissent ma grotte largement ouverte. Je gémis, mais qui peut m’entendre dans ce vacarme ?
Des doigts et de la bouche, la blonde me donne du plaisir et je m’offre à elle autant qu’à la foule qui ondule quelques mètres plus bas.
Des cris montent. Des femmes veulent qu’on me baise et qu’on m’encule. Des hommes proclament qu’une bite serait la bienvenue afin de fourrer ma chatte trempée.
C’est alors que la rousse, qui s’était réfugiée dans l’ombre, revient au premier plan, équipée d’un magnifique gode-ceinture rouge vermillon.
Elle est splendide et je frissonne de bonheur devant cette très belle fille qui arbore un sexe postiche écarlate avec lequel elle va me posséder.
Même les hommes présents ne trouveront pas à redire. J’ai constaté que l’exhibition de femmes ensemble était également prisée par les représentants des deux sexes.
La blonde détache les manches de mon pantalon à paillettes et me fait mettre ensuite à quatre pattes, ne me laissant que ma ceinture autour de la taille.
La rousse s’installe derrière moi. Je sens le bout du gode frotter contre ma vulve puis s’insinuer entre mes fesses, comme si elle hésitait.
Puis, elle pousse le sexe postiche dans mon vagin. Nul besoin de préparation ni de lubrifiant, ma chatte avale le gode aussi facilement qu’un enfant avalerait un bonbon.
La blonde est allongée devant moi. Elle pousse se hanches vers moi, appelant ma bouche à lécher sa chatte trempée. En bonne féline, je darde ma langue rose vers son clitoris et elle semble soudain manquer d’air.
La rousse va et vient en moi. Je la sens déçue par la fluidité du mouvement imprimé par ses hanches. Peut-être pensait-elle que je serais plus étroite et que je crierais à chaque poussée ?
Elle sait pourtant que ce n’est qu’une question de timing. Bientôt, elle poussera le gode entre mes reins, par un orifice bien plus serré.
Moi, je savoure chaque coup de rein. Le gode entre en moi, retourne mes chairs intimes et me possède complètement. La rousse ponctue chaque mouvement d’une gifle sonore sur mes fesses. Le public applaudit, aux anges.
L’avantage du gode, c’est qu’il ne mollit jamais. Le sentir en moi et voir, de surcroit, mon visage déformé par le plaisir s’offrir en gros plan sur l’écran géant me conduit directement à l’orgasme.
Si le vacarme empêche le public d’entendre mes gémissements de plaisir, il peut néanmoins apprécier les convulsions de mon visage.
La rousse s’est retiré, je me sens comme vidée, abandonnée. Mais ce sentiment ne dure pas, mon amante écarte mes petites fesses et je sens sa langue qui lèche mon anus.
C’est juste pour le fun, jamais la salive ne lubrifie une pénétration anale. Elle étale un peu de ma liqueur intime entre mes fesses, puis elle s’enfonce dans mon rectum.
Je pousse un cri déchirant, auquel répond la clameur du public. La douleur est là, comme à chaque fois et mes reins se creusent. Mais, lentement, mon corps frémit, laissant une ondée de plaisir m’envahir.
La rousse a attendu que je lui donne le signal. Elle se retire un peu, puis m’encule à nouveau. En arrière puis en avant. S’accrochant à ma ceinture, son gode enfoncé dans mon cul, elle me dompte, comme une jument sauvage.
Le blonde est passée sous moi. Elle lèche ma chatte, y enfonce ses doigts et suce mon clitoris. Je ne suis plus qu’une boule de plaisir qui enfle, enfle, et finit par éclater. Je m’effondre, en larmes, mon visage offert en pâture au public de voyeurs qui exultent.
J’ai revécu avec émotion cette soirée et, à la qualité du silence qui règne dans la pièce, je comprends que mes trois amies ont, elles aussi, été émues.
(Fin)
- On regarde la suite de la vidéo ?
- Bonne idée ! répondit Prune.
Nous voici installées toutes les quatre devant l’écran. Zoé, Jade et Prune sont assises sur le canapé. Je suis assise sur mes talons à leurs pieds. Je suis entièrement nue avec juste un collier en cuir autour du cou.
Prune tient la laisse qui est accrochée au collier. De temps en temps, les filles me caressent la tête et je miaule pour les remercier. Meow !
Il est étrange que Prune ait deviné mes penchants secrets alors que je n’en ai rien dit. Cette fille a beaucoup d’intuition et je suis heureuse qu’elle me tienne en laisse.
Sur l’écran apparait une créature sortie tout droit d’un manga érotique. Il faut un moment pour que Zoé et Jade s’exclament, me reconnaissant enfin sous ce déguisement.
Je suis maquillée outrageusement, comme une pute à dix balles.
Je ne porte pour tout vêtement qu’un étrange pantalon à paillettes dorées, très dans l’esprit ‘’seventies’’.
Ce pantalon possède des jambes, comme tout pantalon qui se respecte. Mais ces jambes sont reliées à la ceinture seulement par des languettes de tissu assorti, ce qui fait que cet étrange pantalon dévoile à la fois mes hanches, ma chatte et mes fesses.
Des bretelles en cuir complètent le vêtement. Evidemment, elles ne couvrent pas mes seins.
Des cercles de couleur sont peints sur mes seins, comme sur des cibles. Au bout de mes tétons deux étoiles en fer blanc doré sont fixées par des pinces.
Un chapeau haut-de-forme constellé d’étoiles dorées et des chaussures aux talons compensés, hauts comme des échasses, complètent la tenue.
Je me déhanche lascivement, tout en me caressant, dans une cage posée sur un étroit podium, sur des musiques funky et disco très vintage, The BeeGees, Barry White, Donna Summer, Earth, Wind and Fire, Gloria Gaynor ou encore ABBA.
La lumière multicolore des boules à facettes colore ma peau nue de multiple façon, comme dans un kaléidoscope. A mes pieds, des centaines de fêtards, des femmes pour l’essentiel, mais aussi des hommes, admis dans cette boite lesbienne.
Tous, passablement excités, essayent de me toucher à travers les barreaux de ma cage.
Mais les barreaux sont trop resserrés et seules des femmes aux bras fins peuvent, de temps à autre, toucher ma peau.
Je laisse ces doigts courir sur moi, tout en continuant ma danse érotique. Parfois une main parvient à saisir un sein ou à caresser une fesse. Parfois, je me colle aux barreaux et une main s’insinue entre mes cuisses mouillées.
Je suis au bord de l’orgasme et, si je n’étais pas enfermée dans cette cage, je m’offrirais à cette foule dont le désir est palpable. Ma danse se transforme en une ondulation masturbatoire, hanches en avant et mes doigts dans ma chatte.
Au moment ou la cage se soulève, je jouis. Mes cris de plaisir sont couverts par la musique mais mon visage ne laisse place à aucun doute. Dans un spasme, je lâche un ou deux jets de mon nectar intime. Mais qui s’en rend compte dans cette salle ou la sueur en suspension a crée comme une espèce de léger brouillard ?
La cage semble voler au dessus des têtes, puis elle se pose sur un espace plus élevé. Elle se disloque, me libérant de ma prison d’acier. Au même moment, je suis rejointe par deux femmes.
Elles sont censées avoir été sélectionnées parmi les clientes de ce soir. En réalité, ce sont des filles payées par la productrice du spectacle, une certaine Sabrina X.
Elles se jettent sur moi, comme des mortes de faim.
Au début, il devait s’agir d’actrices pornos, mais j’ai fait valoir que des femmes plus spontanées seraient surement plus crédibles pour le public.
Car, si nous sommes inaccessibles, à plus de six mètres de haut, nous ne sommes pas invisibles. Un écran géant retransmet nos ébats en direct.
La productrice a donc choisi, dans le nombreux vivier des nymphomanes qui aiment baiser sous les yeux d’une foule, deux femmes trentenaires.
L’une est une rousse à la chevelure hollywoodienne flamboyante, vêtue d’un bustier de cuir noir et rouge qui masque en partie ses seins constellés de tâches de rousseur. Le bustier retient des bas rouges au moyen de jarretelles noires, mais laisse visible sa chatte et la fourrure rousse qui en tapisse le pourtour.
L’autre est une blonde diaphane coiffée d’un carré à la Louise Brooks, son corps nu est enveloppé de lanières de cuir noir qui laissent visible l’essentiel.
Elles sont à genoux à mes pieds. La rousse écarte mes cuisses pour que sa bouche puisse accéder à mon trésor. La blonde écarte mes fesses et sa langue lèche mon anus.
Elles sont fébriles et tendues. C’est surement la première fois qu’elles s’exhibent ainsi devant une aussi grande assistance.
De l’assistance, justement, monte un brouhaha intense. Tout en savourant les bouches complices de mes amantes, je salue le public en soulevant mon chapeau haut-de-forme.
Puis, je le jette dans la fosse aux lion(ne)s.
Une clameur monte, comme un tsunami. Fin du chapeau, la production devra en acheter un autre.
Les filles sont arrivées à leur fin : à force de les sentir s’accrocher à ma ceinture et à mes jambes, je les ai rejointes au sol. Les deux lionnes, leurs crocs en avant, se jettent sur moi pour me dévorer.
L’écran géant saisit le mouvement de ma jambe, qui s’écarte afin de laisser libre accès à mon entrecuisse. Ma vulve rose, luisante de mouille, apparait en gros plan, soigneusement encadrée d’une une toison noire souillée par mon plaisir.
Les doigts de la blonde investissent ma grotte largement ouverte. Je gémis, mais qui peut m’entendre dans ce vacarme ?
Des doigts et de la bouche, la blonde me donne du plaisir et je m’offre à elle autant qu’à la foule qui ondule quelques mètres plus bas.
Des cris montent. Des femmes veulent qu’on me baise et qu’on m’encule. Des hommes proclament qu’une bite serait la bienvenue afin de fourrer ma chatte trempée.
C’est alors que la rousse, qui s’était réfugiée dans l’ombre, revient au premier plan, équipée d’un magnifique gode-ceinture rouge vermillon.
Elle est splendide et je frissonne de bonheur devant cette très belle fille qui arbore un sexe postiche écarlate avec lequel elle va me posséder.
Même les hommes présents ne trouveront pas à redire. J’ai constaté que l’exhibition de femmes ensemble était également prisée par les représentants des deux sexes.
La blonde détache les manches de mon pantalon à paillettes et me fait mettre ensuite à quatre pattes, ne me laissant que ma ceinture autour de la taille.
La rousse s’installe derrière moi. Je sens le bout du gode frotter contre ma vulve puis s’insinuer entre mes fesses, comme si elle hésitait.
Puis, elle pousse le sexe postiche dans mon vagin. Nul besoin de préparation ni de lubrifiant, ma chatte avale le gode aussi facilement qu’un enfant avalerait un bonbon.
La blonde est allongée devant moi. Elle pousse se hanches vers moi, appelant ma bouche à lécher sa chatte trempée. En bonne féline, je darde ma langue rose vers son clitoris et elle semble soudain manquer d’air.
La rousse va et vient en moi. Je la sens déçue par la fluidité du mouvement imprimé par ses hanches. Peut-être pensait-elle que je serais plus étroite et que je crierais à chaque poussée ?
Elle sait pourtant que ce n’est qu’une question de timing. Bientôt, elle poussera le gode entre mes reins, par un orifice bien plus serré.
Moi, je savoure chaque coup de rein. Le gode entre en moi, retourne mes chairs intimes et me possède complètement. La rousse ponctue chaque mouvement d’une gifle sonore sur mes fesses. Le public applaudit, aux anges.
L’avantage du gode, c’est qu’il ne mollit jamais. Le sentir en moi et voir, de surcroit, mon visage déformé par le plaisir s’offrir en gros plan sur l’écran géant me conduit directement à l’orgasme.
Si le vacarme empêche le public d’entendre mes gémissements de plaisir, il peut néanmoins apprécier les convulsions de mon visage.
La rousse s’est retiré, je me sens comme vidée, abandonnée. Mais ce sentiment ne dure pas, mon amante écarte mes petites fesses et je sens sa langue qui lèche mon anus.
C’est juste pour le fun, jamais la salive ne lubrifie une pénétration anale. Elle étale un peu de ma liqueur intime entre mes fesses, puis elle s’enfonce dans mon rectum.
Je pousse un cri déchirant, auquel répond la clameur du public. La douleur est là, comme à chaque fois et mes reins se creusent. Mais, lentement, mon corps frémit, laissant une ondée de plaisir m’envahir.
La rousse a attendu que je lui donne le signal. Elle se retire un peu, puis m’encule à nouveau. En arrière puis en avant. S’accrochant à ma ceinture, son gode enfoncé dans mon cul, elle me dompte, comme une jument sauvage.
Le blonde est passée sous moi. Elle lèche ma chatte, y enfonce ses doigts et suce mon clitoris. Je ne suis plus qu’une boule de plaisir qui enfle, enfle, et finit par éclater. Je m’effondre, en larmes, mon visage offert en pâture au public de voyeurs qui exultent.
J’ai revécu avec émotion cette soirée et, à la qualité du silence qui règne dans la pièce, je comprends que mes trois amies ont, elles aussi, été émues.
(Fin)
2 months ago
in the fields near my house, it's mainly cows more than young ladies (lol)
I happily promise to catch up as quickly as possible, as the pleasure of reading you is the strongest and most stimulating... 😘😘😘😘
I admit I'm late reading your exciting stories... I hope you won't be too angry with me... what a lazy person I am... it's because of the summer, it's too hot beautiful in France.
you should come!!! 😘😘😘💋💋💋❤❤❤❤