Bertille
Ah, cette chère Bertille...
Lorsque j'étais adolescent il m'arrivait de phantasmer régulièrement sur une fille plus âgée que moi et elle se trouvait être la sœur d'un de mes amis d'enfance que je voyais régulièrement pendant les vacances.
Trois petites années nous séparaient elle et moi, relativement peu mais quand on est ado cette séparation vous fait passer forcément pour un gamin.
Bertille faisait tourner pas mal de tête à l'époque et pas que les têtes...
De mon côté j'étais trop timide pour m'avancer vers elle et lui montrer mon intérêt pour elle... Le risque d'être moqué était trop grand pour entreprendre quoi que ce soit.
Quelques années plus tard je l'ai retrouvé à travailler à la capitale mais les rares fois que j'ai pu la voir ont fait que je l'ai vu partir vers les bras d'un autre...
Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants.
The end ? (elle est nulle ton histoire...)
En fait cinq ans plus tard elle a dû revenir en catastrophe à la capitale pour un stage et comme elle était en galère de logement, c'est bibi qui l'a hébergé. (En tout bien tout honneur...)
La demoiselle est devenue Madame et avec ses deux enfants, son corps de jeune demoiselle fut légèrement abîmé par le temps, puis sa façon de se vêtir avait tendance à anéantir mes idées lubriques.
Le soir de son arrivée elle se plaint d'avoir des douleurs dans le haut du dos et pour plaisanter je lui dis qu'il fallait trouver un bon masseur.
- J'aime me faire masser mais je connais personne pour me le faire.
- Si tu veux je peux me dévouer, je me débrouille un peu.
(Suite à mes nombreux accidents de la circulation j'ai vu plusieurs kinésithér@peutes, ainsi j'ai pu me faire "manipuler" plus ou moins délicatement à de nombreuses reprises au point de connaître quelques trucs)
Elle est perplexe mais me met finalement au défi, en pensant que je me la joue. ¯\_(ツ)_/¯
Elle est en pyjama long, on approche à la limite de la grenouillère. Donc pour masser, en principe, il faut avoir le contact de la peau... Dans ce cas c'est plus compliqué.
Pas grave, je ne montre pas d'irritation. Elle veut son massage et elle l'aura. Je me la joue "pro" et j'ai essayé de reproduire ce que me faisait une de mes kinés.
Je me rends compte que Bertille n'est pas loin de s'endormir. Je m'arrête un petit instant et elle me dit "ah mais, c'est déjà fini ?"
- Bah, comment ça ?
- Tu as à peine commencer ?
- Bah... Pas vraiment cela fait une demi-heure que j'ai commencé mais...
- Je pensais 5 minutes moi mais je me suis peut-être un peu endormie.
Je reprends mon activité et pour me venger je cherche à lui masser un peu son cul. A défaut que ce soit l'intérieur, on fera l'extérieur.
Il y a un endroit où si vous appuyez correctement cela permet de vous relaxer plus facilement. Le nerf sciatique passe dans cette zone normalement.
Je lui préviens que je vais devoir tâtonner mais qu'au final la récompense sera bonne pour elle.
Elle a fait semblant de ne pas se laisser faire mais au final elle s'est montrée coopérative. Puis ayant peur de me faire claquer le beignet j'ai préféré éviter de trop jouer avec elle.
Pour la fin je lui masse la tête et là... Je l'entends faire "hmm" et profondément.
- Pardon ? Je t'ai fait mal.
- Non pas du tout continue !
- Ah, je pensais qu'il fallait que j'arrête, parce que si tu veux que j'arrête tu me le dis. Je ne veux pas te faire de mal. ( Tout ça dans le but de lui faire dire...)
- Non mais continue, c'est trop bon.
Ainsi je reprends mon activité sereinement.
Résultat une bonne heure s'écoule et elle aurait voulu qu'on continue encore. A ce moment elle m'avoue qu'elle adore être massée et qu'elle se laisse bercer facilement. Chose que j'avais pu voir.
Je lui dis innocemment que ses vêtements n'étaient pas très adaptés pour le massage.
Le lendemain soir elle me réclame fébrilement un autre massage. Mais cette chipie a toujours gardé ses antivols, pas grave je reste sage mais je fais en sorte de passer mes mains sous ses vêtements pour avoir plus d’adhérence et elle se laisse faire jusqu'à un certain niveau. J'arrive à doser ce niveau pour m'éviter des risques.
Je prends mon temps, sa peau est douce et ce contact me manquait un peu.
Elle somnole, je m'arrête et la regarde.
Elle sursaute légèrement et me dit qu'il aurait fallu que je la réveille.
Mais comment la réveiller efficacement ?
- En me mettant des claques !
- T'es folle, je vais pas faire ça ?!
- Mais si !
- Pourquoi pas une bonne fessée pendant qu'on y est ?
- Ah non alors !
- Je pense qu'il y a plus efficace et qui fait moins mal...
- Ah bon ?
- Tu ne me crois pas capable ?
- Bof.
Elle est pas loin de s'endormir à nouveau et elle me met au défi, la vilaine.
Je ne m'embête pas, je glisse mes mains délicatement sur elle jusqu'à sa poitrine.
Elle a mis un tout petit peu de temps à réagir mais elle s'est retrouvée rapidement à onduler et se relever.
- Mais !!!
- T'as eu mal ?
- Non mais !!!
- T'es réveillée ?
- Mais, non mais !
- Tu vois, je n'ai pas eu besoin de te gifler.
J'arrive à m'en sortir par cette pirouette.
Deux soirs plus tard, à mon grand étonnement, elle prétexte avoir un peu chaud et n'a plus qu'une nuisette.
Bon...
Je commence par les pieds pour un coup. J'adore les masser en plus et là euh...
Mince un de ses pieds a une cicatrice bien profonde, puis la peau est dure à certains endroits. :(
Finalement j'en regrette presque les chaussettes...
Je remonte progressivement les jambes qui cette fois-ci sont à l'air libre.
Je prends mon temps, je suis sur son mollet gauche et je vois que son pied bouge légèrement, ce qui indique que son relâchement commence. Je joue avec le creux de son genou, Bertille lâche un petit hmm comme j'aime l'entendre. Puis au moment où j'ai les mains sur le haut de sa cuisse, ma main droite vers l'intérieur, je sens comme une légère moiteur. Ah ?
Jambe gauche terminée, j'attaque la droite avec le même processus et donc au moment où j'arrive vers le haut de sa cuisse ma main gauche retrouve la sensation qui m'avait étonnée précédemment. Le haut de ses cuisses étaient légèrement humidifiées.
Ah ouais, elle mouille la bougresse !
Je fais comme si je ne voyais rien j'attaque le haut de son corps mais quand l'une de mes mains frôle sa poitrine, je sens qu'elle ne veut pas qu'on joue.
Loupé...
J'attaque la tête et elle se laisse totalement bercer.
Je lui demande si elle veut que je m'occupe de ses jambes car je craignais avoir bâclé mon travail.
Elle me dit de faire comme je voulais et je ne me suis pas laissé prier. J'attaquais le haut et lorsque la tranche de ma main rencontrait sa petite culotte j'appuyais tout doucement pour éviter des soubresauts de sa part.
Elle mouillait bien la bougresse même si elle n'a pas voulu aller plus loin je me suis bien amusé de voir ce spectacle.
Une fois son stage terminé elle est repartie chez elle.
Nous nous sommes revus plus tard, j'avais remarqué que son regard avait changé. Elle semblait regretter un peu mes mains.
Lorsque j'étais adolescent il m'arrivait de phantasmer régulièrement sur une fille plus âgée que moi et elle se trouvait être la sœur d'un de mes amis d'enfance que je voyais régulièrement pendant les vacances.
Trois petites années nous séparaient elle et moi, relativement peu mais quand on est ado cette séparation vous fait passer forcément pour un gamin.
Bertille faisait tourner pas mal de tête à l'époque et pas que les têtes...
De mon côté j'étais trop timide pour m'avancer vers elle et lui montrer mon intérêt pour elle... Le risque d'être moqué était trop grand pour entreprendre quoi que ce soit.
Quelques années plus tard je l'ai retrouvé à travailler à la capitale mais les rares fois que j'ai pu la voir ont fait que je l'ai vu partir vers les bras d'un autre...
Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants.
The end ? (elle est nulle ton histoire...)
En fait cinq ans plus tard elle a dû revenir en catastrophe à la capitale pour un stage et comme elle était en galère de logement, c'est bibi qui l'a hébergé. (En tout bien tout honneur...)
La demoiselle est devenue Madame et avec ses deux enfants, son corps de jeune demoiselle fut légèrement abîmé par le temps, puis sa façon de se vêtir avait tendance à anéantir mes idées lubriques.
Le soir de son arrivée elle se plaint d'avoir des douleurs dans le haut du dos et pour plaisanter je lui dis qu'il fallait trouver un bon masseur.
- J'aime me faire masser mais je connais personne pour me le faire.
- Si tu veux je peux me dévouer, je me débrouille un peu.
(Suite à mes nombreux accidents de la circulation j'ai vu plusieurs kinésithér@peutes, ainsi j'ai pu me faire "manipuler" plus ou moins délicatement à de nombreuses reprises au point de connaître quelques trucs)
Elle est perplexe mais me met finalement au défi, en pensant que je me la joue. ¯\_(ツ)_/¯
Elle est en pyjama long, on approche à la limite de la grenouillère. Donc pour masser, en principe, il faut avoir le contact de la peau... Dans ce cas c'est plus compliqué.
Pas grave, je ne montre pas d'irritation. Elle veut son massage et elle l'aura. Je me la joue "pro" et j'ai essayé de reproduire ce que me faisait une de mes kinés.
Je me rends compte que Bertille n'est pas loin de s'endormir. Je m'arrête un petit instant et elle me dit "ah mais, c'est déjà fini ?"
- Bah, comment ça ?
- Tu as à peine commencer ?
- Bah... Pas vraiment cela fait une demi-heure que j'ai commencé mais...
- Je pensais 5 minutes moi mais je me suis peut-être un peu endormie.
Je reprends mon activité et pour me venger je cherche à lui masser un peu son cul. A défaut que ce soit l'intérieur, on fera l'extérieur.
Il y a un endroit où si vous appuyez correctement cela permet de vous relaxer plus facilement. Le nerf sciatique passe dans cette zone normalement.
Je lui préviens que je vais devoir tâtonner mais qu'au final la récompense sera bonne pour elle.
Elle a fait semblant de ne pas se laisser faire mais au final elle s'est montrée coopérative. Puis ayant peur de me faire claquer le beignet j'ai préféré éviter de trop jouer avec elle.
Pour la fin je lui masse la tête et là... Je l'entends faire "hmm" et profondément.
- Pardon ? Je t'ai fait mal.
- Non pas du tout continue !
- Ah, je pensais qu'il fallait que j'arrête, parce que si tu veux que j'arrête tu me le dis. Je ne veux pas te faire de mal. ( Tout ça dans le but de lui faire dire...)
- Non mais continue, c'est trop bon.
Ainsi je reprends mon activité sereinement.
Résultat une bonne heure s'écoule et elle aurait voulu qu'on continue encore. A ce moment elle m'avoue qu'elle adore être massée et qu'elle se laisse bercer facilement. Chose que j'avais pu voir.
Je lui dis innocemment que ses vêtements n'étaient pas très adaptés pour le massage.
Le lendemain soir elle me réclame fébrilement un autre massage. Mais cette chipie a toujours gardé ses antivols, pas grave je reste sage mais je fais en sorte de passer mes mains sous ses vêtements pour avoir plus d’adhérence et elle se laisse faire jusqu'à un certain niveau. J'arrive à doser ce niveau pour m'éviter des risques.
Je prends mon temps, sa peau est douce et ce contact me manquait un peu.
Elle somnole, je m'arrête et la regarde.
Elle sursaute légèrement et me dit qu'il aurait fallu que je la réveille.
Mais comment la réveiller efficacement ?
- En me mettant des claques !
- T'es folle, je vais pas faire ça ?!
- Mais si !
- Pourquoi pas une bonne fessée pendant qu'on y est ?
- Ah non alors !
- Je pense qu'il y a plus efficace et qui fait moins mal...
- Ah bon ?
- Tu ne me crois pas capable ?
- Bof.
Elle est pas loin de s'endormir à nouveau et elle me met au défi, la vilaine.
Je ne m'embête pas, je glisse mes mains délicatement sur elle jusqu'à sa poitrine.
Elle a mis un tout petit peu de temps à réagir mais elle s'est retrouvée rapidement à onduler et se relever.
- Mais !!!
- T'as eu mal ?
- Non mais !!!
- T'es réveillée ?
- Mais, non mais !
- Tu vois, je n'ai pas eu besoin de te gifler.
J'arrive à m'en sortir par cette pirouette.
Deux soirs plus tard, à mon grand étonnement, elle prétexte avoir un peu chaud et n'a plus qu'une nuisette.
Bon...
Je commence par les pieds pour un coup. J'adore les masser en plus et là euh...
Mince un de ses pieds a une cicatrice bien profonde, puis la peau est dure à certains endroits. :(
Finalement j'en regrette presque les chaussettes...
Je remonte progressivement les jambes qui cette fois-ci sont à l'air libre.
Je prends mon temps, je suis sur son mollet gauche et je vois que son pied bouge légèrement, ce qui indique que son relâchement commence. Je joue avec le creux de son genou, Bertille lâche un petit hmm comme j'aime l'entendre. Puis au moment où j'ai les mains sur le haut de sa cuisse, ma main droite vers l'intérieur, je sens comme une légère moiteur. Ah ?
Jambe gauche terminée, j'attaque la droite avec le même processus et donc au moment où j'arrive vers le haut de sa cuisse ma main gauche retrouve la sensation qui m'avait étonnée précédemment. Le haut de ses cuisses étaient légèrement humidifiées.
Ah ouais, elle mouille la bougresse !
Je fais comme si je ne voyais rien j'attaque le haut de son corps mais quand l'une de mes mains frôle sa poitrine, je sens qu'elle ne veut pas qu'on joue.
Loupé...
J'attaque la tête et elle se laisse totalement bercer.
Je lui demande si elle veut que je m'occupe de ses jambes car je craignais avoir bâclé mon travail.
Elle me dit de faire comme je voulais et je ne me suis pas laissé prier. J'attaquais le haut et lorsque la tranche de ma main rencontrait sa petite culotte j'appuyais tout doucement pour éviter des soubresauts de sa part.
Elle mouillait bien la bougresse même si elle n'a pas voulu aller plus loin je me suis bien amusé de voir ce spectacle.
Une fois son stage terminé elle est repartie chez elle.
Nous nous sommes revus plus tard, j'avais remarqué que son regard avait changé. Elle semblait regretter un peu mes mains.
8 years ago