Covoiturage
Je vis à Montréal et mon chalet se situe en Estrie. Je fais souvent la route entre mon appartement et la région. La plupart du temps seul. J’ai découvert sur FB un groupe de covoiturage. Depuis peu, des gens qui se rendent dans cette région m’accompagnent. Plusieurs personnes m’offrent de l’argent en échange du transport, mais, j’ai toujours refusé.
Un jour, Marc-Antoine communique avec moi et je passe le chercher a une sortie de métro au centre ville. On jase de tout et de rien et il me raconte qu’il avait décidé de changer de métier. Passant de d’installateur dans le domaine de la toiture a massothé****ute. Tout un contraste.
Il est présentement à l’école pour apprendre le métier, mais étant originaire de l’Estrie, il revient presque tout les weekends à son condo de Sherbrooke. Il me demande si je pouvais devenir son chauffeur à toute les fois qu’il avait besoin. J’acceptai et il me demanda combien d’argent que je voulais avoir. Fidèle à mes habitudes, je refusai, préférant avoir de la bonne compagnie.
Il déplaça sa main sur mon genou et me dit qu’il pouvait me payer autrement. Il avait besoin de cobaye pour son cour et timidement, il me dit qu’il pouvait faire quelques extra. Je lui dis qu’il pouvait me masser la jambe pour vérifier ses compétences.
Il s’appliqua longuement, massant ma cuisse. Cette manipulation me fit bander rapidement et ce n’était pas discret. La bosse déformait mon jeans. Il le vis et continua son massage plus profondément entre mes cuisses. J’allumai le cruise control et je pu écarter les cuisses pour lui faciliter l’accès.
Rapidement, il me serra les couilles et les touchèrent pendant de longue minute. Il remonta et défit mon bouton et baissa ma fermeture éclair. Il entra sa main et continua à explorer mon membre par-dessus mon boxer. Mon gland coulait de liquide et mon boxer gris trahissait mon excitation. Il entoura sa main autour de ma tige et avec son pouce, jouant avec mon gland. Il pressait mon urètre contre mon corps. Il continua à jouer avec son pouce, sans jamais entrer sa main dans mon boxer.
Au bout de quelques kilomètres, mon boxer, tout trempé et son pouce qui jouait avec mon gland me fit perdre tout mes moyens. J’éjaculai enfin, plusieurs jets de sperme inondèrent mon boxer. J’ai probablement zigzagué au même moment. Il enleva sa main en me regardant revenir à moi. Mes orgasmes étaient toujours puissants. Lorsque je repris une respiration plus normale, je le remerciai.
Je lui demandai s’il était gay. Il me répondit qu’il était bisexuel, il avait une conjointe qui était ouverte sur le sujet. De son coté aussi, elle avait des relations avec d’autres femmes.
Rendu à destination, il me demanda s’il pouvait revenir avec moi le dimanche pour un retour à Montréal. J’acceptai volontiers.
Le samedi soir, il m’envoie un message pour confirmer. Il me demande comment je vais. Je l’informe que mon mal de dos est revenu et que je me tiens tranquille. Il m’offre de me masser chez lui avant de revenir. Je pars un peu plus tôt et j’entre chez lui. Il me fait faire le tour du propriétaire et on termine par une pièce avec un vrai lit de massage. Je ne croyais pas qu’il était aussi équipé.
Il me demande de m’installer. Je me déshabillai complètement et je me couchai sur le ventre en installant une serviette sur mes fesses. Il cogna avant d’entrer. Il entra et je l’entendis manipuler des choses. Ma tête dans le trou, je vois seulement ses pieds nus.
Il commença à m’étendre du liquide sur mon dos et me massa pendant au moins 30 minutes. Il descendit à plusieurs reprises près de mes fesses sans jamais les toucher. Il lâcha mon dos pour mes jambes. Il entra sa main en dessous de la serviette et s’approcha des mes testicules, sans les toucher. Cette proximité me fit bander. Je me déplaçai un peu pour placer mon membre confortablement. Je suis certain qu’il le remarqua. C’est à ce moment qu’il enleva la serviette. Il fit couler une bonne quantité de son liquide entre mes fesses et me les massa. Il passa rapidement son doigts a plusieurs reprise dans mon sillon. Il prit mon bras et continua son massage. J’étais un peu déçu. Il changea de coté et fit la même chose avec mon autre bras.
Ses mains joua avec mes doigts, les étirant chacun leur tour. Je senti une autre chose frotter mes doigts. Il glissa son pénis en érection dans ma paume de main. Il referma mes doigts autour de son membre et arrêta de bouger. C’est la première fois que je touchais un autre pénis que le mien. Je lui serrai son membre et je l’entendis soupirer. Il avait une main sur mon dos et je senti qu’il m’agrippa. Il en avait envie lui aussi et cet attouchement lui donna un léger orgasme. Je commençais à explorer cette tige en le masturbant lentement et jouant avec son gland. Il se retira et me demanda de me retourner. Il déplaça des composantes du lit pour que je sois confortable. Il avait disparu de mon champ de vision. Couché sur le dos, ma queue pointant au plafond, il embarqua sur le bout du lit et poussa mes jambes vers moi. Il prit place entre mes jambes et appliqua une autre bonne quantité de liquide sur mon ventre et mon entre jambe.
Il prit mon pénis entre ses mains et me masturba doucement. Je n’avais pas réussi à voir entièrement le sien. Il descendit une main et me massa les testicules, son pouce atteignit rapidement ma rondelle. Il la massa longuement. Toutes ses expériences étaient nouvelles pour moi. Avec la quantité de liquide qu’il avait appliqué, son doigt entra facilement en moi. Il me regarda et je lui souris. Il continua son exploration. Sentant mon anus se relâcher lorsqu’il l’entra complètement. Il arrêta de bouger, me massant mon ventre avec son autre main. Il commença de léger aller retour et un deuxième doigt força le passage. Je commençais à avoir des sensations. Mes jambes vibraient légèrement. Je jouissais d’une autre façon. J’ouvris les yeux et je regardai la scène. Je me suis rendit compte a ce moment que j’avais perdu mon érection, mais que les sensations étaient aussi agréable que lors d’une masturbation. Maintenant, il me pénétrait plus énergiquement avec ses 2 doigts. Je me tortillais de plaisir. Il retira ses doigts, pris mes jambes et m’attira vers lui. Il plaça son gland sur ma rondelle et poussa lentement. Son membre plus imposant que ses doigts me fit mal. Il arrêta sa progression et se retira. Il appliqua une bonne dose de lubrifiant et recommença. Doucement, mon anus s’ouvrit et laissa entrer son gland. Il poussa un peu plus et je senti mon anus se relâché. On se regarda et il comprit dans mon regard qu’il pouvait continuer. Il continua sa progression et entra complètement en lâchant un soupir. Il me pénétra doucement sans jamais ressortir au complet. Il faisait une pause avec son gland près de l’entrée ou il pouvait s’offrir un serrage satisfaisant pour lui.
Il recommença a me masturber et mon érection repris de la vigueur. Son aller retour en moi et sa masturbation me fit jouir. Mes jambes commencèrent à trembler et j’essayais de retarder le moment le plus possible. Profitant des nouvelles sensations que je découvrais. Il arrêta de me sodomiser et un premier jet de sperme vola jusqu’à mon menton, les suivants se déposèrent sur ma poitrine. Encore en moi, il me regardait prendre mon plaisir. Il se retira doucement et débarqua de la table. J’étendis mes jambes. Il embarqua sur moi et s’assit sur mon membre qui débandait doucement. Je vis son pénis pour la première fois et je voulu lui toucher. Il me plaqua mes mains sur la table et dit de ne pas bouger. Il voulait que je le regarde se masturber. Il prit son membre en main et j’assistai au spectacle. Quelques minutes plus tard, il me demanda s’il pouvait venir sur moi. Avec tout mon sperme sur ma poitrine, quelle différence ça faisait. Je vis pour la première fois un homme jouir. Il leva la tête et soupira bruyamment. Je reçu ses deux premier jets sur mon visage et les suivants sur mon torse. Il baissa la tête et vis son sperme coulé sur mes lèvres. Il s’excusa, mais, je sortis la langue pour récolter ce que je pouvais et j’avalai sa semence. Il ne parlait plus, me regardant faire. Je lui dis merci.
Tout les deux, nous avions rarement joui aussi fort. J’avais du lubrifiant et du sperme partout. Il m’aida à me lever et on se dirigea vers la douche. On se lava mutuellement.
Finalement, je pu explorer de près un autre corps d’homme. Il n’avait pas vraiment débandé, encore en semi-érection. Je m’accroupis devant lui et le masturba. Je regardais ce gland de près. Il avait déjà repris de la vigueur. Lui aussi, surpris de son érection. Il m’avoua que son sperme sur mon visage l’avait allumé. De mon coté, j’étais épuisé de ce coté. Satisfait pour le moment. Je sortis la langue et licha le bout de son gland. Je levai les yeux et il avait fermé les siens. Il prit ma tête avec ses mains et la poussa vers son ventre. J’avais sa queue entièrement dans ma bouche. Il souffla de plaisir. Je repris le contrôle et le suça comme j’en toujours rêvé le faire. Cette fellation dura une bonne quinzaine de minutes. Je lui gobai les testicules à l’occasion. Il se retira de ma bouche, pris son membre et se masturba devant mon visage. Je le regardai faire, hypnotisé par la scène. Il cria et commença à se vider sur mon visage, j’ouvris la bouche et quelques jets tomba sur ma langue. Lorsqu’il eut terminé de jouir, je l’aspirai de nouveau pour faire sortir les dernières gouttes. Il tomba à genou en face de moi, épuisé. C’est la première fois qu’il jouissait 2 fois de suite. Il toucha mon pénis, mais, je n’étais pas prêt à bander de nouveau.
Nous avons repris la route, nos ébats avaient duré plusieurs heures. Il commençait à se faire tard. Ma conjointe, inquiète se posait des questions. Je lui dis que j’avais trouvé un massothé****ute qui avait su me procurer un immense soulagement. Elle était contente pour moi sans savoir de quoi je parlais exactement.
Je déposai Marc-Antoine chez lui et j’arrivai chez moi vers 20h00. Alice m’attendait devant la télé. Elle se leva et vint se coller sur moi et m’embrassa. J’ai eu un doute sur mon haleine, ayant reçu la semence de mon amant plus tôt dans la bouche. Elle me dit qu’elle avait besoin de se laver. Pendant sa douche, je défis mes bagages et enleva mes vêtements, gardant seulement mon boxer. Elle apparu dans la chambre, vêtu de son peignoir. Elle se colla sur moi et entra sa main dans mon boxer en me chuchotant à l’oreille qu’elle me voulait en elle. Elle savait y faire, je commençais à bander. Elle me lâcha et se coucha sur le dos dans le lit. Je lui écartai les jambes et son peignoir s’ouvrit. Une belle vue s’offrit à moi. Un entre jambe rasé très court attira immédiatement ma bouche vers son pubis.
Elle avait passé le weekend avec sa meilleure amie et elle avait du se faire ce rasage et épilation ensemble. J’ai toujours eu un doute sur leur relation. 2 gars qui se rasent le bas du corps mutuellement se finit irrémédiablement en masturbation à mon avis. Pour elle, je ne sais pas. J’ose y croire et mon érection prend de l’ampleur. Je la lichai quelques minutes et elle me poussa la tête. Elle se retourna et se mit en levrette. J’enlevai mon boxer et lui écarta les jambes. Cette vulve aspira mon membre en un rien de temps.
Habituellement, je devais la pénétrer quelques minutes avant qu’elle ne réagisse. En 3 aller retour, elle joui bruyamment. Je la laissai reprendre ses esprits en lui massant les fesses. Son petit trou apparu. Tout d’un coup, j’aurais voulu être dans sa position, moi aussi pénétrer profondément. Voyant que je ne réagissais pas, elle me dit de continuer. Je la pilonnais de nouveau, fixant son anus. La seule image dans ma tête était Marc-Antoine me sodomisant. Sans vraiment m’en rendre compte, je joui en elle. Trop excité par mes fantasmes.
Je me retirai et elle se coucha sur le ventre. Elle voulait encore avoir du plaisir et me demanda de la doigter. J’entrai 2 doigts en elle et les ressorti avec mon sperme et sa cyprine. Je glissai me doigts dans son sillon pour étendre nos liquides. Je remis mes doigts en elle et poussa doucement mon pouce dans son petit trou. J’avais déjà sodomisé Alice, mais, elle n’avait jamais pris son pied par cette avenue. Mon pouce entra et je le masturbai jusqu’a la jouissance.
Elle se retourna et satisfaite, m’embrassa fougueusement.
Le lendemain matin, je me réveillai avec une colossale érection. Je flânai dans le lit en attendant le moment de se levé. Mes pensés étaient encore, moi en levrette, me faisant prendre. Je me touchai discrètement le bout du gland qui devient humide rapidement. Quelques minutes plus tard, j’atteins le non retour et j’éjaculai abondamment dans mon boxer. En essayant de rester le plus discret possible, mais, ma respiration trahissait mon action. Alice se réveilla et me demanda ce qui se passait. Mauvais rêve lui répondit en reprenant mon souffle.
Dans la journée, je texta Marc-Antoine pour lui demander un rendez vous pour soulager mon bas de dos. Il avait le mercredi soir de libre.
J’entrai chez lui, un grand appartement avec 2 colocataires. Il me présenta Max, couché sur le fauteuil en boxer écoutant le hockey. L’autre gars, travaillait de soir.
Il me fit entrer dans sa chambre et me laissa me préparer. Une serviette sur le lit m’attendait. Je n’avais pas l’intention de m’en servir. Je me déshabillai, j’étais déjà en érection. Je me positionnai en levrette, les genoux sur le bord du lit. Les fesses dans les airs face à la porte. Marc-Antoine entra et dit, wow, c’est clair. Je lui dis me soulager le bas du dos en riant.
Il referma la porte et je l’entendis se déshabiller. Il s’approcha de moi et glissa son membre dur dans mon sillon. Un frisson parcourra mon corps. Il prit du lubrifiant et me massa les fesses et l’anus, sans jamais entrer de doigts. Quelques minutes plus tard, il me dit qu’il voulait me sucer. Un peu déçu, je me retournai. Il était déjà à genou sur le bord du lit. Il m’avoua qu’il regrettait de ne pas m’avoir fait de fellation. Je lui dis de se faire plaisir. Mon gland était humide, il commença par licher mon précum et entra finalement ma queue dans sa bouche. Je le regardais me sucer et je lui dis que je voulais gouter la sienne. Je me reculai sur le lit et il embarqua par-dessus moi. Il entra son membre dans ma bouche et nous nous sommes sucer longuement.
Ne voulant pas jouir toute suite, nous avons arrêté pour discuter. Je lui racontai comment j’avais eu l’idée de ma position du départ. Il me demanda de me placer en levrette. Je repris ma position et debout derrière moi, il me doigta de longues minutes. Appréciant chaque sensation. Il enleva ses doigts et son gland me pénétra lentement. J’étais tellement excité qu’il entra sans difficulté. Il me sodomisa quelques minutes. La position devenant inconfortable, je lui demandai de se retirai.
Il se coucha sur le lit et je l’enjambai. Je pris son pénis en main et le guida en moi. C’est moi qui contrôlais la situation. Mon membre cognant et coulant sur son ventre, il me regardait prendre plaisir. J’avais découvert une position pour que son gland frotte ma prostate et ce manège ne dura pas très longtemps. Je pris sa main pour qu’il me masturbe. Il comprit que ma jouissance approchait.
Il accéléra sa masturbation et j’eus un orgasme jamais atteint. J’arrêtai de bouger et pénétrer au maximum, je jouis. Je lâchai tout sur son torse. Les jets se succédaient un après l’autre. Je n’avais jamais éjaculé autant de sperme. Marc-Antoine me regardait et me signifia qu’il allait jouir lui aussi. Trop absorbé par mon orgasme, mon anus contractant son membre, il éclata en moi. Il me serra mes jambes et je sentais chaque jet qui se déversait en moi. On se regarda et il me dit, quelle jouissance. Je lui souris et je lui dis, mieux que dans mes fantasmes.
Je me retirai de lui, son sperme coulait sur son pubis. Il s’excusa d’avoir joui en moi. J’aurais préféré dans ma bouche, mais le moment présent avais décidé autrement. J’utilisai sa serviette pour nous nettoyer.
Il se leva pour aller nous chercher quelque chose à boire. Son coloc apparu dans le cadre de porte. Une bosse et une tache apparaissant dans son boxer. Il me dit qu’on avait été assez bruyant et nous avait écoutés au travers du mur. Je lui demandai si ça l’avait excité. Il me dit qu’il était hétéro et il avait imaginé que j’étais une femme. Il prit son membre et poussa sur la base. La tâche humide augmenta. Je me levai et m’approcha de lui.
Ferme les yeux. Je m’agenouillai et embrassa le bout de son gland au travers de son boxer. Il baissa lui-même le bout de tissu et son membre semi-bandé apparu. Je l’entrai complètement dans ma bouche et quelques instants plus tard, je le senti grandir en moi. Je levai les yeux et il avait gardé les siens fermés. Une bouche, c’est une bouche, peut importe le sexe. Marc-Antoine revient discrètement et s’assit sur le lit, nous observant, un peu perplexe.
Quelques minutes plus tard, il chuchota, je viens, je viens. Je le gardai en bouche et il joui. C’est la première fois qu’une queue se vidait en moi et j’eus de la difficulté à tout recevoir. J’ai du ouvrir la bouche pour laisser échapper son sperme. Il ouvrit les yeux, je remontai son boxer et il me remercia.
Marc-Antoine lui dit qu’il prendrait le goût. Il lui signifia que c’était une exception. Mais, il avoua qu’il avait aimé.
On se dirigea vers la douche pour terminer de se nettoyer. Pas question que je revienne chez moi les fesses et la bouche pleine de semence. Nous avons continué de nous fréquenter, explorant toute les façons de se donner du plaisir mutuellement sans tabous.
Par Monti2003
Un jour, Marc-Antoine communique avec moi et je passe le chercher a une sortie de métro au centre ville. On jase de tout et de rien et il me raconte qu’il avait décidé de changer de métier. Passant de d’installateur dans le domaine de la toiture a massothé****ute. Tout un contraste.
Il est présentement à l’école pour apprendre le métier, mais étant originaire de l’Estrie, il revient presque tout les weekends à son condo de Sherbrooke. Il me demande si je pouvais devenir son chauffeur à toute les fois qu’il avait besoin. J’acceptai et il me demanda combien d’argent que je voulais avoir. Fidèle à mes habitudes, je refusai, préférant avoir de la bonne compagnie.
Il déplaça sa main sur mon genou et me dit qu’il pouvait me payer autrement. Il avait besoin de cobaye pour son cour et timidement, il me dit qu’il pouvait faire quelques extra. Je lui dis qu’il pouvait me masser la jambe pour vérifier ses compétences.
Il s’appliqua longuement, massant ma cuisse. Cette manipulation me fit bander rapidement et ce n’était pas discret. La bosse déformait mon jeans. Il le vis et continua son massage plus profondément entre mes cuisses. J’allumai le cruise control et je pu écarter les cuisses pour lui faciliter l’accès.
Rapidement, il me serra les couilles et les touchèrent pendant de longue minute. Il remonta et défit mon bouton et baissa ma fermeture éclair. Il entra sa main et continua à explorer mon membre par-dessus mon boxer. Mon gland coulait de liquide et mon boxer gris trahissait mon excitation. Il entoura sa main autour de ma tige et avec son pouce, jouant avec mon gland. Il pressait mon urètre contre mon corps. Il continua à jouer avec son pouce, sans jamais entrer sa main dans mon boxer.
Au bout de quelques kilomètres, mon boxer, tout trempé et son pouce qui jouait avec mon gland me fit perdre tout mes moyens. J’éjaculai enfin, plusieurs jets de sperme inondèrent mon boxer. J’ai probablement zigzagué au même moment. Il enleva sa main en me regardant revenir à moi. Mes orgasmes étaient toujours puissants. Lorsque je repris une respiration plus normale, je le remerciai.
Je lui demandai s’il était gay. Il me répondit qu’il était bisexuel, il avait une conjointe qui était ouverte sur le sujet. De son coté aussi, elle avait des relations avec d’autres femmes.
Rendu à destination, il me demanda s’il pouvait revenir avec moi le dimanche pour un retour à Montréal. J’acceptai volontiers.
Le samedi soir, il m’envoie un message pour confirmer. Il me demande comment je vais. Je l’informe que mon mal de dos est revenu et que je me tiens tranquille. Il m’offre de me masser chez lui avant de revenir. Je pars un peu plus tôt et j’entre chez lui. Il me fait faire le tour du propriétaire et on termine par une pièce avec un vrai lit de massage. Je ne croyais pas qu’il était aussi équipé.
Il me demande de m’installer. Je me déshabillai complètement et je me couchai sur le ventre en installant une serviette sur mes fesses. Il cogna avant d’entrer. Il entra et je l’entendis manipuler des choses. Ma tête dans le trou, je vois seulement ses pieds nus.
Il commença à m’étendre du liquide sur mon dos et me massa pendant au moins 30 minutes. Il descendit à plusieurs reprises près de mes fesses sans jamais les toucher. Il lâcha mon dos pour mes jambes. Il entra sa main en dessous de la serviette et s’approcha des mes testicules, sans les toucher. Cette proximité me fit bander. Je me déplaçai un peu pour placer mon membre confortablement. Je suis certain qu’il le remarqua. C’est à ce moment qu’il enleva la serviette. Il fit couler une bonne quantité de son liquide entre mes fesses et me les massa. Il passa rapidement son doigts a plusieurs reprise dans mon sillon. Il prit mon bras et continua son massage. J’étais un peu déçu. Il changea de coté et fit la même chose avec mon autre bras.
Ses mains joua avec mes doigts, les étirant chacun leur tour. Je senti une autre chose frotter mes doigts. Il glissa son pénis en érection dans ma paume de main. Il referma mes doigts autour de son membre et arrêta de bouger. C’est la première fois que je touchais un autre pénis que le mien. Je lui serrai son membre et je l’entendis soupirer. Il avait une main sur mon dos et je senti qu’il m’agrippa. Il en avait envie lui aussi et cet attouchement lui donna un léger orgasme. Je commençais à explorer cette tige en le masturbant lentement et jouant avec son gland. Il se retira et me demanda de me retourner. Il déplaça des composantes du lit pour que je sois confortable. Il avait disparu de mon champ de vision. Couché sur le dos, ma queue pointant au plafond, il embarqua sur le bout du lit et poussa mes jambes vers moi. Il prit place entre mes jambes et appliqua une autre bonne quantité de liquide sur mon ventre et mon entre jambe.
Il prit mon pénis entre ses mains et me masturba doucement. Je n’avais pas réussi à voir entièrement le sien. Il descendit une main et me massa les testicules, son pouce atteignit rapidement ma rondelle. Il la massa longuement. Toutes ses expériences étaient nouvelles pour moi. Avec la quantité de liquide qu’il avait appliqué, son doigt entra facilement en moi. Il me regarda et je lui souris. Il continua son exploration. Sentant mon anus se relâcher lorsqu’il l’entra complètement. Il arrêta de bouger, me massant mon ventre avec son autre main. Il commença de léger aller retour et un deuxième doigt força le passage. Je commençais à avoir des sensations. Mes jambes vibraient légèrement. Je jouissais d’une autre façon. J’ouvris les yeux et je regardai la scène. Je me suis rendit compte a ce moment que j’avais perdu mon érection, mais que les sensations étaient aussi agréable que lors d’une masturbation. Maintenant, il me pénétrait plus énergiquement avec ses 2 doigts. Je me tortillais de plaisir. Il retira ses doigts, pris mes jambes et m’attira vers lui. Il plaça son gland sur ma rondelle et poussa lentement. Son membre plus imposant que ses doigts me fit mal. Il arrêta sa progression et se retira. Il appliqua une bonne dose de lubrifiant et recommença. Doucement, mon anus s’ouvrit et laissa entrer son gland. Il poussa un peu plus et je senti mon anus se relâché. On se regarda et il comprit dans mon regard qu’il pouvait continuer. Il continua sa progression et entra complètement en lâchant un soupir. Il me pénétra doucement sans jamais ressortir au complet. Il faisait une pause avec son gland près de l’entrée ou il pouvait s’offrir un serrage satisfaisant pour lui.
Il recommença a me masturber et mon érection repris de la vigueur. Son aller retour en moi et sa masturbation me fit jouir. Mes jambes commencèrent à trembler et j’essayais de retarder le moment le plus possible. Profitant des nouvelles sensations que je découvrais. Il arrêta de me sodomiser et un premier jet de sperme vola jusqu’à mon menton, les suivants se déposèrent sur ma poitrine. Encore en moi, il me regardait prendre mon plaisir. Il se retira doucement et débarqua de la table. J’étendis mes jambes. Il embarqua sur moi et s’assit sur mon membre qui débandait doucement. Je vis son pénis pour la première fois et je voulu lui toucher. Il me plaqua mes mains sur la table et dit de ne pas bouger. Il voulait que je le regarde se masturber. Il prit son membre en main et j’assistai au spectacle. Quelques minutes plus tard, il me demanda s’il pouvait venir sur moi. Avec tout mon sperme sur ma poitrine, quelle différence ça faisait. Je vis pour la première fois un homme jouir. Il leva la tête et soupira bruyamment. Je reçu ses deux premier jets sur mon visage et les suivants sur mon torse. Il baissa la tête et vis son sperme coulé sur mes lèvres. Il s’excusa, mais, je sortis la langue pour récolter ce que je pouvais et j’avalai sa semence. Il ne parlait plus, me regardant faire. Je lui dis merci.
Tout les deux, nous avions rarement joui aussi fort. J’avais du lubrifiant et du sperme partout. Il m’aida à me lever et on se dirigea vers la douche. On se lava mutuellement.
Finalement, je pu explorer de près un autre corps d’homme. Il n’avait pas vraiment débandé, encore en semi-érection. Je m’accroupis devant lui et le masturba. Je regardais ce gland de près. Il avait déjà repris de la vigueur. Lui aussi, surpris de son érection. Il m’avoua que son sperme sur mon visage l’avait allumé. De mon coté, j’étais épuisé de ce coté. Satisfait pour le moment. Je sortis la langue et licha le bout de son gland. Je levai les yeux et il avait fermé les siens. Il prit ma tête avec ses mains et la poussa vers son ventre. J’avais sa queue entièrement dans ma bouche. Il souffla de plaisir. Je repris le contrôle et le suça comme j’en toujours rêvé le faire. Cette fellation dura une bonne quinzaine de minutes. Je lui gobai les testicules à l’occasion. Il se retira de ma bouche, pris son membre et se masturba devant mon visage. Je le regardai faire, hypnotisé par la scène. Il cria et commença à se vider sur mon visage, j’ouvris la bouche et quelques jets tomba sur ma langue. Lorsqu’il eut terminé de jouir, je l’aspirai de nouveau pour faire sortir les dernières gouttes. Il tomba à genou en face de moi, épuisé. C’est la première fois qu’il jouissait 2 fois de suite. Il toucha mon pénis, mais, je n’étais pas prêt à bander de nouveau.
Nous avons repris la route, nos ébats avaient duré plusieurs heures. Il commençait à se faire tard. Ma conjointe, inquiète se posait des questions. Je lui dis que j’avais trouvé un massothé****ute qui avait su me procurer un immense soulagement. Elle était contente pour moi sans savoir de quoi je parlais exactement.
Je déposai Marc-Antoine chez lui et j’arrivai chez moi vers 20h00. Alice m’attendait devant la télé. Elle se leva et vint se coller sur moi et m’embrassa. J’ai eu un doute sur mon haleine, ayant reçu la semence de mon amant plus tôt dans la bouche. Elle me dit qu’elle avait besoin de se laver. Pendant sa douche, je défis mes bagages et enleva mes vêtements, gardant seulement mon boxer. Elle apparu dans la chambre, vêtu de son peignoir. Elle se colla sur moi et entra sa main dans mon boxer en me chuchotant à l’oreille qu’elle me voulait en elle. Elle savait y faire, je commençais à bander. Elle me lâcha et se coucha sur le dos dans le lit. Je lui écartai les jambes et son peignoir s’ouvrit. Une belle vue s’offrit à moi. Un entre jambe rasé très court attira immédiatement ma bouche vers son pubis.
Elle avait passé le weekend avec sa meilleure amie et elle avait du se faire ce rasage et épilation ensemble. J’ai toujours eu un doute sur leur relation. 2 gars qui se rasent le bas du corps mutuellement se finit irrémédiablement en masturbation à mon avis. Pour elle, je ne sais pas. J’ose y croire et mon érection prend de l’ampleur. Je la lichai quelques minutes et elle me poussa la tête. Elle se retourna et se mit en levrette. J’enlevai mon boxer et lui écarta les jambes. Cette vulve aspira mon membre en un rien de temps.
Habituellement, je devais la pénétrer quelques minutes avant qu’elle ne réagisse. En 3 aller retour, elle joui bruyamment. Je la laissai reprendre ses esprits en lui massant les fesses. Son petit trou apparu. Tout d’un coup, j’aurais voulu être dans sa position, moi aussi pénétrer profondément. Voyant que je ne réagissais pas, elle me dit de continuer. Je la pilonnais de nouveau, fixant son anus. La seule image dans ma tête était Marc-Antoine me sodomisant. Sans vraiment m’en rendre compte, je joui en elle. Trop excité par mes fantasmes.
Je me retirai et elle se coucha sur le ventre. Elle voulait encore avoir du plaisir et me demanda de la doigter. J’entrai 2 doigts en elle et les ressorti avec mon sperme et sa cyprine. Je glissai me doigts dans son sillon pour étendre nos liquides. Je remis mes doigts en elle et poussa doucement mon pouce dans son petit trou. J’avais déjà sodomisé Alice, mais, elle n’avait jamais pris son pied par cette avenue. Mon pouce entra et je le masturbai jusqu’a la jouissance.
Elle se retourna et satisfaite, m’embrassa fougueusement.
Le lendemain matin, je me réveillai avec une colossale érection. Je flânai dans le lit en attendant le moment de se levé. Mes pensés étaient encore, moi en levrette, me faisant prendre. Je me touchai discrètement le bout du gland qui devient humide rapidement. Quelques minutes plus tard, j’atteins le non retour et j’éjaculai abondamment dans mon boxer. En essayant de rester le plus discret possible, mais, ma respiration trahissait mon action. Alice se réveilla et me demanda ce qui se passait. Mauvais rêve lui répondit en reprenant mon souffle.
Dans la journée, je texta Marc-Antoine pour lui demander un rendez vous pour soulager mon bas de dos. Il avait le mercredi soir de libre.
J’entrai chez lui, un grand appartement avec 2 colocataires. Il me présenta Max, couché sur le fauteuil en boxer écoutant le hockey. L’autre gars, travaillait de soir.
Il me fit entrer dans sa chambre et me laissa me préparer. Une serviette sur le lit m’attendait. Je n’avais pas l’intention de m’en servir. Je me déshabillai, j’étais déjà en érection. Je me positionnai en levrette, les genoux sur le bord du lit. Les fesses dans les airs face à la porte. Marc-Antoine entra et dit, wow, c’est clair. Je lui dis me soulager le bas du dos en riant.
Il referma la porte et je l’entendis se déshabiller. Il s’approcha de moi et glissa son membre dur dans mon sillon. Un frisson parcourra mon corps. Il prit du lubrifiant et me massa les fesses et l’anus, sans jamais entrer de doigts. Quelques minutes plus tard, il me dit qu’il voulait me sucer. Un peu déçu, je me retournai. Il était déjà à genou sur le bord du lit. Il m’avoua qu’il regrettait de ne pas m’avoir fait de fellation. Je lui dis de se faire plaisir. Mon gland était humide, il commença par licher mon précum et entra finalement ma queue dans sa bouche. Je le regardais me sucer et je lui dis que je voulais gouter la sienne. Je me reculai sur le lit et il embarqua par-dessus moi. Il entra son membre dans ma bouche et nous nous sommes sucer longuement.
Ne voulant pas jouir toute suite, nous avons arrêté pour discuter. Je lui racontai comment j’avais eu l’idée de ma position du départ. Il me demanda de me placer en levrette. Je repris ma position et debout derrière moi, il me doigta de longues minutes. Appréciant chaque sensation. Il enleva ses doigts et son gland me pénétra lentement. J’étais tellement excité qu’il entra sans difficulté. Il me sodomisa quelques minutes. La position devenant inconfortable, je lui demandai de se retirai.
Il se coucha sur le lit et je l’enjambai. Je pris son pénis en main et le guida en moi. C’est moi qui contrôlais la situation. Mon membre cognant et coulant sur son ventre, il me regardait prendre plaisir. J’avais découvert une position pour que son gland frotte ma prostate et ce manège ne dura pas très longtemps. Je pris sa main pour qu’il me masturbe. Il comprit que ma jouissance approchait.
Il accéléra sa masturbation et j’eus un orgasme jamais atteint. J’arrêtai de bouger et pénétrer au maximum, je jouis. Je lâchai tout sur son torse. Les jets se succédaient un après l’autre. Je n’avais jamais éjaculé autant de sperme. Marc-Antoine me regardait et me signifia qu’il allait jouir lui aussi. Trop absorbé par mon orgasme, mon anus contractant son membre, il éclata en moi. Il me serra mes jambes et je sentais chaque jet qui se déversait en moi. On se regarda et il me dit, quelle jouissance. Je lui souris et je lui dis, mieux que dans mes fantasmes.
Je me retirai de lui, son sperme coulait sur son pubis. Il s’excusa d’avoir joui en moi. J’aurais préféré dans ma bouche, mais le moment présent avais décidé autrement. J’utilisai sa serviette pour nous nettoyer.
Il se leva pour aller nous chercher quelque chose à boire. Son coloc apparu dans le cadre de porte. Une bosse et une tache apparaissant dans son boxer. Il me dit qu’on avait été assez bruyant et nous avait écoutés au travers du mur. Je lui demandai si ça l’avait excité. Il me dit qu’il était hétéro et il avait imaginé que j’étais une femme. Il prit son membre et poussa sur la base. La tâche humide augmenta. Je me levai et m’approcha de lui.
Ferme les yeux. Je m’agenouillai et embrassa le bout de son gland au travers de son boxer. Il baissa lui-même le bout de tissu et son membre semi-bandé apparu. Je l’entrai complètement dans ma bouche et quelques instants plus tard, je le senti grandir en moi. Je levai les yeux et il avait gardé les siens fermés. Une bouche, c’est une bouche, peut importe le sexe. Marc-Antoine revient discrètement et s’assit sur le lit, nous observant, un peu perplexe.
Quelques minutes plus tard, il chuchota, je viens, je viens. Je le gardai en bouche et il joui. C’est la première fois qu’une queue se vidait en moi et j’eus de la difficulté à tout recevoir. J’ai du ouvrir la bouche pour laisser échapper son sperme. Il ouvrit les yeux, je remontai son boxer et il me remercia.
Marc-Antoine lui dit qu’il prendrait le goût. Il lui signifia que c’était une exception. Mais, il avoua qu’il avait aimé.
On se dirigea vers la douche pour terminer de se nettoyer. Pas question que je revienne chez moi les fesses et la bouche pleine de semence. Nous avons continué de nous fréquenter, explorant toute les façons de se donner du plaisir mutuellement sans tabous.
Par Monti2003
3 years ago