Covoiturage

Je vis Ă  MontrĂ©al et mon chalet se situe en Estrie. Je fais souvent la route entre mon appartement et la rĂ©gion. La plupart du temps seul. J’ai dĂ©couvert sur FB un groupe de covoiturage. Depuis peu, des gens qui se rendent dans cette rĂ©gion m’accompagnent. Plusieurs personnes m’offrent de l’argent en Ă©change du transport, mais, j’ai toujours refusĂ©.

Un jour, Marc-Antoine communique avec moi et je passe le chercher a une sortie de mĂ©tro au centre ville. On jase de tout et de rien et il me raconte qu’il avait dĂ©cidĂ© de changer de mĂ©tier. Passant de d’installateur dans le domaine de la toiture a massothĂ©****ute. Tout un contraste.

Il est prĂ©sentement Ă  l’école pour apprendre le mĂ©tier, mais Ă©tant originaire de l’Estrie, il revient presque tout les weekends Ă  son condo de Sherbrooke. Il me demande si je pouvais devenir son chauffeur Ă  toute les fois qu’il avait besoin. J’acceptai et il me demanda combien d’argent que je voulais avoir. FidĂšle Ă  mes habitudes, je refusai, prĂ©fĂ©rant avoir de la bonne compagnie.

Il dĂ©plaça sa main sur mon genou et me dit qu’il pouvait me payer autrement. Il avait besoin de cobaye pour son cour et timidement, il me dit qu’il pouvait faire quelques extra. Je lui dis qu’il pouvait me masser la jambe pour vĂ©rifier ses compĂ©tences.

Il s’appliqua longuement, massant ma cuisse. Cette manipulation me fit bander rapidement et ce n’était pas discret. La bosse dĂ©formait mon jeans. Il le vis et continua son massage plus profondĂ©ment entre mes cuisses. J’allumai le cruise control et je pu Ă©carter les cuisses pour lui faciliter l’accĂšs.

Rapidement, il me serra les couilles et les touchÚrent pendant de longue minute. Il remonta et défit mon bouton et baissa ma fermeture éclair. Il entra sa main et continua à explorer mon membre par-dessus mon boxer. Mon gland coulait de liquide et mon boxer gris trahissait mon excitation. Il entoura sa main autour de ma tige et avec son pouce, jouant avec mon gland. Il pressait mon urÚtre contre mon corps. Il continua à jouer avec son pouce, sans jamais entrer sa main dans mon boxer.

Au bout de quelques kilomĂštres, mon boxer, tout trempĂ© et son pouce qui jouait avec mon gland me fit perdre tout mes moyens. J’éjaculai enfin, plusieurs jets de sperme inondĂšrent mon boxer. J’ai probablement zigzaguĂ© au mĂȘme moment. Il enleva sa main en me regardant revenir Ă  moi. Mes orgasmes Ă©taient toujours puissants. Lorsque je repris une respiration plus normale, je le remerciai.
Je lui demandai s’il Ă©tait gay. Il me rĂ©pondit qu’il Ă©tait bisexuel, il avait une conjointe qui Ă©tait ouverte sur le sujet. De son cotĂ© aussi, elle avait des relations avec d’autres femmes.

Rendu Ă  destination, il me demanda s’il pouvait revenir avec moi le dimanche pour un retour Ă  MontrĂ©al. J’acceptai volontiers.

Le samedi soir, il m’envoie un message pour confirmer. Il me demande comment je vais. Je l’informe que mon mal de dos est revenu et que je me tiens tranquille. Il m’offre de me masser chez lui avant de revenir. Je pars un peu plus tĂŽt et j’entre chez lui. Il me fait faire le tour du propriĂ©taire et on termine par une piĂšce avec un vrai lit de massage. Je ne croyais pas qu’il Ă©tait aussi Ă©quipĂ©.

Il me demande de m’installer. Je me dĂ©shabillai complĂštement et je me couchai sur le ventre en installant une serviette sur mes fesses. Il cogna avant d’entrer. Il entra et je l’entendis manipuler des choses. Ma tĂȘte dans le trou, je vois seulement ses pieds nus.

Il commença Ă  m’étendre du liquide sur mon dos et me massa pendant au moins 30 minutes. Il descendit Ă  plusieurs reprises prĂšs de mes fesses sans jamais les toucher. Il lĂącha mon dos pour mes jambes. Il entra sa main en dessous de la serviette et s’approcha des mes testicules, sans les toucher. Cette proximitĂ© me fit bander. Je me dĂ©plaçai un peu pour placer mon membre confortablement. Je suis certain qu’il le remarqua. C’est Ă  ce moment qu’il enleva la serviette. Il fit couler une bonne quantitĂ© de son liquide entre mes fesses et me les massa. Il passa rapidement son doigts a plusieurs reprise dans mon sillon. Il prit mon bras et continua son massage. J’étais un peu déçu. Il changea de cotĂ© et fit la mĂȘme chose avec mon autre bras.

Ses mains joua avec mes doigts, les Ă©tirant chacun leur tour. Je senti une autre chose frotter mes doigts. Il glissa son pĂ©nis en Ă©rection dans ma paume de main. Il referma mes doigts autour de son membre et arrĂȘta de bouger. C’est la premiĂšre fois que je touchais un autre pĂ©nis que le mien. Je lui serrai son membre et je l’entendis soupirer. Il avait une main sur mon dos et je senti qu’il m’agrippa. Il en avait envie lui aussi et cet attouchement lui donna un lĂ©ger orgasme. Je commençais Ă  explorer cette tige en le masturbant lentement et jouant avec son gland. Il se retira et me demanda de me retourner. Il dĂ©plaça des composantes du lit pour que je sois confortable. Il avait disparu de mon champ de vision. CouchĂ© sur le dos, ma queue pointant au plafond, il embarqua sur le bout du lit et poussa mes jambes vers moi. Il prit place entre mes jambes et appliqua une autre bonne quantitĂ© de liquide sur mon ventre et mon entre jambe.

Il prit mon pĂ©nis entre ses mains et me masturba doucement. Je n’avais pas rĂ©ussi Ă  voir entiĂšrement le sien. Il descendit une main et me massa les testicules, son pouce atteignit rapidement ma rondelle. Il la massa longuement. Toutes ses expĂ©riences Ă©taient nouvelles pour moi. Avec la quantitĂ© de liquide qu’il avait appliquĂ©, son doigt entra facilement en moi. Il me regarda et je lui souris. Il continua son exploration. Sentant mon anus se relĂącher lorsqu’il l’entra complĂštement. Il arrĂȘta de bouger, me massant mon ventre avec son autre main. Il commença de lĂ©ger aller retour et un deuxiĂšme doigt força le passage. Je commençais Ă  avoir des sensations. Mes jambes vibraient lĂ©gĂšrement. Je jouissais d’une autre façon. J’ouvris les yeux et je regardai la scĂšne. Je me suis rendit compte a ce moment que j’avais perdu mon Ă©rection, mais que les sensations Ă©taient aussi agrĂ©able que lors d’une masturbation. Maintenant, il me pĂ©nĂ©trait plus Ă©nergiquement avec ses 2 doigts. Je me tortillais de plaisir. Il retira ses doigts, pris mes jambes et m’attira vers lui. Il plaça son gland sur ma rondelle et poussa lentement. Son membre plus imposant que ses doigts me fit mal. Il arrĂȘta sa progression et se retira. Il appliqua une bonne dose de lubrifiant et recommença. Doucement, mon anus s’ouvrit et laissa entrer son gland. Il poussa un peu plus et je senti mon anus se relĂąchĂ©. On se regarda et il comprit dans mon regard qu’il pouvait continuer. Il continua sa progression et entra complĂštement en lĂąchant un soupir. Il me pĂ©nĂ©tra doucement sans jamais ressortir au complet. Il faisait une pause avec son gland prĂšs de l’entrĂ©e ou il pouvait s’offrir un serrage satisfaisant pour lui.

Il recommença a me masturber et mon Ă©rection repris de la vigueur. Son aller retour en moi et sa masturbation me fit jouir. Mes jambes commencĂšrent Ă  trembler et j’essayais de retarder le moment le plus possible. Profitant des nouvelles sensations que je dĂ©couvrais. Il arrĂȘta de me sodomiser et un premier jet de sperme vola jusqu’à mon menton, les suivants se dĂ©posĂšrent sur ma poitrine. Encore en moi, il me regardait prendre mon plaisir. Il se retira doucement et dĂ©barqua de la table. J’étendis mes jambes. Il embarqua sur moi et s’assit sur mon membre qui dĂ©bandait doucement. Je vis son pĂ©nis pour la premiĂšre fois et je voulu lui toucher. Il me plaqua mes mains sur la table et dit de ne pas bouger. Il voulait que je le regarde se masturber. Il prit son membre en main et j’assistai au spectacle. Quelques minutes plus tard, il me demanda s’il pouvait venir sur moi. Avec tout mon sperme sur ma poitrine, quelle diffĂ©rence ça faisait. Je vis pour la premiĂšre fois un homme jouir. Il leva la tĂȘte et soupira bruyamment. Je reçu ses deux premier jets sur mon visage et les suivants sur mon torse. Il baissa la tĂȘte et vis son sperme coulĂ© sur mes lĂšvres. Il s’excusa, mais, je sortis la langue pour rĂ©colter ce que je pouvais et j’avalai sa semence. Il ne parlait plus, me regardant faire. Je lui dis merci.
Tout les deux, nous avions rarement joui aussi fort. J’avais du lubrifiant et du sperme partout. Il m’aida à me lever et on se dirigea vers la douche. On se lava mutuellement.

Finalement, je pu explorer de prĂšs un autre corps d’homme. Il n’avait pas vraiment dĂ©bandĂ©, encore en semi-Ă©rection. Je m’accroupis devant lui et le masturba. Je regardais ce gland de prĂšs. Il avait dĂ©jĂ  repris de la vigueur. Lui aussi, surpris de son Ă©rection. Il m’avoua que son sperme sur mon visage l’avait allumĂ©. De mon cotĂ©, j’étais Ă©puisĂ© de ce cotĂ©. Satisfait pour le moment. Je sortis la langue et licha le bout de son gland. Je levai les yeux et il avait fermĂ© les siens. Il prit ma tĂȘte avec ses mains et la poussa vers son ventre. J’avais sa queue entiĂšrement dans ma bouche. Il souffla de plaisir. Je repris le contrĂŽle et le suça comme j’en toujours rĂȘvĂ© le faire. Cette fellation dura une bonne quinzaine de minutes. Je lui gobai les testicules Ă  l’occasion. Il se retira de ma bouche, pris son membre et se masturba devant mon visage. Je le regardai faire, hypnotisĂ© par la scĂšne. Il cria et commença Ă  se vider sur mon visage, j’ouvris la bouche et quelques jets tomba sur ma langue. Lorsqu’il eut terminĂ© de jouir, je l’aspirai de nouveau pour faire sortir les derniĂšres gouttes. Il tomba Ă  genou en face de moi, Ă©puisĂ©. C’est la premiĂšre fois qu’il jouissait 2 fois de suite. Il toucha mon pĂ©nis, mais, je n’étais pas prĂȘt Ă  bander de nouveau.

Nous avons repris la route, nos Ă©bats avaient durĂ© plusieurs heures. Il commençait Ă  se faire tard. Ma conjointe, inquiĂšte se posait des questions. Je lui dis que j’avais trouvĂ© un massothĂ©****ute qui avait su me procurer un immense soulagement. Elle Ă©tait contente pour moi sans savoir de quoi je parlais exactement.

Je dĂ©posai Marc-Antoine chez lui et j’arrivai chez moi vers 20h00. Alice m’attendait devant la tĂ©lĂ©. Elle se leva et vint se coller sur moi et m’embrassa. J’ai eu un doute sur mon haleine, ayant reçu la semence de mon amant plus tĂŽt dans la bouche. Elle me dit qu’elle avait besoin de se laver. Pendant sa douche, je dĂ©fis mes bagages et enleva mes vĂȘtements, gardant seulement mon boxer. Elle apparu dans la chambre, vĂȘtu de son peignoir. Elle se colla sur moi et entra sa main dans mon boxer en me chuchotant Ă  l’oreille qu’elle me voulait en elle. Elle savait y faire, je commençais Ă  bander. Elle me lĂącha et se coucha sur le dos dans le lit. Je lui Ă©cartai les jambes et son peignoir s’ouvrit. Une belle vue s’offrit Ă  moi. Un entre jambe rasĂ© trĂšs court attira immĂ©diatement ma bouche vers son pubis.

Elle avait passĂ© le weekend avec sa meilleure amie et elle avait du se faire ce rasage et Ă©pilation ensemble. J’ai toujours eu un doute sur leur relation. 2 gars qui se rasent le bas du corps mutuellement se finit irrĂ©mĂ©diablement en masturbation Ă  mon avis. Pour elle, je ne sais pas. J’ose y croire et mon Ă©rection prend de l’ampleur. Je la lichai quelques minutes et elle me poussa la tĂȘte. Elle se retourna et se mit en levrette. J’enlevai mon boxer et lui Ă©carta les jambes. Cette vulve aspira mon membre en un rien de temps.

Habituellement, je devais la pĂ©nĂ©trer quelques minutes avant qu’elle ne rĂ©agisse. En 3 aller retour, elle joui bruyamment. Je la laissai reprendre ses esprits en lui massant les fesses. Son petit trou apparu. Tout d’un coup, j’aurais voulu ĂȘtre dans sa position, moi aussi pĂ©nĂ©trer profondĂ©ment. Voyant que je ne rĂ©agissais pas, elle me dit de continuer. Je la pilonnais de nouveau, fixant son anus. La seule image dans ma tĂȘte Ă©tait Marc-Antoine me sodomisant. Sans vraiment m’en rendre compte, je joui en elle. Trop excitĂ© par mes fantasmes.

Je me retirai et elle se coucha sur le ventre. Elle voulait encore avoir du plaisir et me demanda de la doigter. J’entrai 2 doigts en elle et les ressorti avec mon sperme et sa cyprine. Je glissai me doigts dans son sillon pour Ă©tendre nos liquides. Je remis mes doigts en elle et poussa doucement mon pouce dans son petit trou. J’avais dĂ©jĂ  sodomisĂ© Alice, mais, elle n’avait jamais pris son pied par cette avenue. Mon pouce entra et je le masturbai jusqu’a la jouissance.

Elle se retourna et satisfaite, m’embrassa fougueusement.

Le lendemain matin, je me rĂ©veillai avec une colossale Ă©rection. Je flĂąnai dans le lit en attendant le moment de se levĂ©. Mes pensĂ©s Ă©taient encore, moi en levrette, me faisant prendre. Je me touchai discrĂštement le bout du gland qui devient humide rapidement. Quelques minutes plus tard, j’atteins le non retour et j’éjaculai abondamment dans mon boxer. En essayant de rester le plus discret possible, mais, ma respiration trahissait mon action. Alice se rĂ©veilla et me demanda ce qui se passait. Mauvais rĂȘve lui rĂ©pondit en reprenant mon souffle.

Dans la journée, je texta Marc-Antoine pour lui demander un rendez vous pour soulager mon bas de dos. Il avait le mercredi soir de libre.

J’entrai chez lui, un grand appartement avec 2 colocataires. Il me prĂ©senta Max, couchĂ© sur le fauteuil en boxer Ă©coutant le hockey. L’autre gars, travaillait de soir.

Il me fit entrer dans sa chambre et me laissa me prĂ©parer. Une serviette sur le lit m’attendait. Je n’avais pas l’intention de m’en servir. Je me dĂ©shabillai, j’étais dĂ©jĂ  en Ă©rection. Je me positionnai en levrette, les genoux sur le bord du lit. Les fesses dans les airs face Ă  la porte. Marc-Antoine entra et dit, wow, c’est clair. Je lui dis me soulager le bas du dos en riant.

Il referma la porte et je l’entendis se dĂ©shabiller. Il s’approcha de moi et glissa son membre dur dans mon sillon. Un frisson parcourra mon corps. Il prit du lubrifiant et me massa les fesses et l’anus, sans jamais entrer de doigts. Quelques minutes plus tard, il me dit qu’il voulait me sucer. Un peu déçu, je me retournai. Il Ă©tait dĂ©jĂ  Ă  genou sur le bord du lit. Il m’avoua qu’il regrettait de ne pas m’avoir fait de fellation. Je lui dis de se faire plaisir. Mon gland Ă©tait humide, il commença par licher mon prĂ©cum et entra finalement ma queue dans sa bouche. Je le regardais me sucer et je lui dis que je voulais gouter la sienne. Je me reculai sur le lit et il embarqua par-dessus moi. Il entra son membre dans ma bouche et nous nous sommes sucer longuement.

Ne voulant pas jouir toute suite, nous avons arrĂȘtĂ© pour discuter. Je lui racontai comment j’avais eu l’idĂ©e de ma position du dĂ©part. Il me demanda de me placer en levrette. Je repris ma position et debout derriĂšre moi, il me doigta de longues minutes. ApprĂ©ciant chaque sensation. Il enleva ses doigts et son gland me pĂ©nĂ©tra lentement. J’étais tellement excitĂ© qu’il entra sans difficultĂ©. Il me sodomisa quelques minutes. La position devenant inconfortable, je lui demandai de se retirai.

Il se coucha sur le lit et je l’enjambai. Je pris son pĂ©nis en main et le guida en moi. C’est moi qui contrĂŽlais la situation. Mon membre cognant et coulant sur son ventre, il me regardait prendre plaisir. J’avais dĂ©couvert une position pour que son gland frotte ma prostate et ce manĂšge ne dura pas trĂšs longtemps. Je pris sa main pour qu’il me masturbe. Il comprit que ma jouissance approchait.

Il accĂ©lĂ©ra sa masturbation et j’eus un orgasme jamais atteint. J’arrĂȘtai de bouger et pĂ©nĂ©trer au maximum, je jouis. Je lĂąchai tout sur son torse. Les jets se succĂ©daient un aprĂšs l’autre. Je n’avais jamais Ă©jaculĂ© autant de sperme. Marc-Antoine me regardait et me signifia qu’il allait jouir lui aussi. Trop absorbĂ© par mon orgasme, mon anus contractant son membre, il Ă©clata en moi. Il me serra mes jambes et je sentais chaque jet qui se dĂ©versait en moi. On se regarda et il me dit, quelle jouissance. Je lui souris et je lui dis, mieux que dans mes fantasmes.

Je me retirai de lui, son sperme coulait sur son pubis. Il s’excusa d’avoir joui en moi. J’aurais prĂ©fĂ©rĂ© dans ma bouche, mais le moment prĂ©sent avais dĂ©cidĂ© autrement. J’utilisai sa serviette pour nous nettoyer.

Il se leva pour aller nous chercher quelque chose Ă  boire. Son coloc apparu dans le cadre de porte. Une bosse et une tache apparaissant dans son boxer. Il me dit qu’on avait Ă©tĂ© assez bruyant et nous avait Ă©coutĂ©s au travers du mur. Je lui demandai si ça l’avait excitĂ©. Il me dit qu’il Ă©tait hĂ©tĂ©ro et il avait imaginĂ© que j’étais une femme. Il prit son membre et poussa sur la base. La tĂąche humide augmenta. Je me levai et m’approcha de lui.

Ferme les yeux. Je m’agenouillai et embrassa le bout de son gland au travers de son boxer. Il baissa lui-mĂȘme le bout de tissu et son membre semi-bandĂ© apparu. Je l’entrai complĂštement dans ma bouche et quelques instants plus tard, je le senti grandir en moi. Je levai les yeux et il avait gardĂ© les siens fermĂ©s. Une bouche, c’est une bouche, peut importe le sexe. Marc-Antoine revient discrĂštement et s’assit sur le lit, nous observant, un peu perplexe.

Quelques minutes plus tard, il chuchota, je viens, je viens. Je le gardai en bouche et il joui. C’est la premiĂšre fois qu’une queue se vidait en moi et j’eus de la difficultĂ© Ă  tout recevoir. J’ai du ouvrir la bouche pour laisser Ă©chapper son sperme. Il ouvrit les yeux, je remontai son boxer et il me remercia.

Marc-Antoine lui dit qu’il prendrait le goĂ»t. Il lui signifia que c’était une exception. Mais, il avoua qu’il avait aimĂ©.

On se dirigea vers la douche pour terminer de se nettoyer. Pas question que je revienne chez moi les fesses et la bouche pleine de semence. Nous avons continué de nous fréquenter, explorant toute les façons de se donner du plaisir mutuellement sans tabous.

Par Monti2003
Published by monti2003
3 years ago
Comments
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ropaul45
ropaul45 2 years ago
trÚs bonne histoire 
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monti2003
monti2003 Publisher 3 years ago
to Charlexx : Merci pour ton commentaire
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Charlexx 3 years ago
Wow j’ai adorĂ© te lire en me masturbants, trĂšs excitant comme rĂ©cit 
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