Tes reins, ah tes reins ... ma muse

Ah souvent sur tes reins mon rêve rêva
Dans la demi pénombre deviner ton cul
Souverain et ta fente obscure
où s'achèvent tes cuisses
qui s'ouvre
Y plonger infiniment sans retenue
Avec des mots qui se perdent dans l'écho
de tes cris
Gémissements crescendo
Sur la peau de ton dos et dans ton cul j'écris
D'éphémères poésies
Publié par arthK
il y a 5 ans
Commentaires
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PlaisirX69
Bonsoir ! Un hommage à une Femme très aimée ?  Beau texte en tous cas
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