Auto stop

On habite a la campagne un petit village ou il ne ce passe rien ou du moins pas grand chose. Ma femme ou plutôt ma compagne, car on est pas marié à décidée d'aller chez sa fille dans le midi du coté d'Ales. Je l'ai donc conduite jusqu'à la gare situé a quarante cinq kilomètres. Allez chez sa fille ne me convenait pas du tout. Elle a quatre gosses infernal et à 70 ans j'ai envie de calme. Sur le chemin du retour, en sortie de la ville, un couple fait du stop et une petite pluie fait son apparition. Je m'arrête un peut plus loin, ils arrivent en courant. Ils ont une trentaine d'année, elle brune a lunettes cheveux mi court, assez grande, plutôt mince, enfin il me semble sous le grand imper, je dit plutôt cela en regardant son visage. lui, peut être quelques année de plus grosse lunettes de myope, cheveux long, taille moyenne. Vous allez où me dit il?
C'est plutôt à vous de me dire ou vous allez.
On va sur XXXX.
ben vous n'estes pas arrivés, je peut vous avancer de quarante kilomètres.
Vu le temps ce sera toujours ça me répond le mec.
Ils montent, elle derrière, lui devant. On discute, ils sont sympa. Je dis pourquoi je suis sur la route et eux partais chez une amie qui en définitive n'est pas chez elle. erreur de semaine, de date. Bof je ne fais pas très attention. Arrivé non loin de chez moi, je leur propose de passer la nuit a la maison, vu le temps et l'heure. et le lendemain, je les avancerais de cinquante bornes pour prendre le train a une autre gare.
On arrive, je leur montre la chambre a l'étage, la salle de bains et vais préparer une boite de cuisses de canards avec des pates et une bouteille de morgon. J'entends l'eau qui coule et des gloussements. ben ils perdent pas de temps, je monte quelques marches, la porte est entrouverte ou plutôt mal fermée et je ne vois que les fesses de madame, la tête dans la cabine de douche, surement penchée sur le tabouret et lui ou du moins son bas ventre (c'est ce que je vois) la besognant. Elle grogne et surtout, c'est elle qui frappe ses fesses vers lui. Je reste un moment et sentant que la séance arrive a sa fin, je me sauve tout excité. pour un peut les pates étaient trop cuites.
Ils redescendent avec les peignoirs que je leur avaient passés. on passe a table, whiskies, morgon et repas son avalé, on passe au salon boire un petit cognac. Ils sont dynamique, poli, charmant. Mais dans le salon, je m'aperçois qu'ils ne ce gênent pas pour trop fermer les peignoirs. J'aperçois souvent les seins de la fille qui s'échappent du peignoir trop entrebâillé. Au troisième cognacs, j'ai carrément vu son entrecuisses, apparemment rasé et lui sa bite molle et ses couilles qui pendent les jambes trop écartées, je pense a ma femme, si elle avait été là, car on ouvre facilement notre table, mais sans jamais avoir de trucs pareils. Bon, moi je regarde en me disant ils sont jeunes, ils viennent de baiser et toi tu leur paie trop d'alcool. N'empêche une petite chatte a sucer m'aurait bien plus ou même sa bite qui semble bien jolie. Ah souvenirs, souvenirs.
Elle se lève et la je vois de nouveau cette vulve devant moi.
Bon, j'ai assez bu, je vais me coucher, tu reste avec Mick chéri?
Vouai, un dernier pour la route, si Mick est d'accord bien sur.
Bien sur, mais moi quatre cognac, c'est beaucoup alors je m'abstiendrais. Elle monte en dodelinant du cul, je la regarde monter les escalier et découvre une superbe vue. Il me dit: si tu veux te la faire pas de problème, on est cool, faudra juste mettre une capote, tu comprends?
Ben oui, un j'ai pas de capote, deux, je saute pas sur tout ce qui bouge, surtout maintenant.
Il prend son verre de cognac, s'étire et se jette en arrière dans le fauteuil en écartant les jambes. le peignoir s'est écarté complètement et tout l'atiraille est sorti.
Putain, j'ai trop bu, tu m'excuse, ça te gène pas que je prenne mes aises. On est entre hommes, hein? Ben oui mon grand. Je regarde avec gourmandise ce petit bijou. Il a bien vu ce que je fixe.
T'es pas bi des fois, vu ton regard, moi si, non seulement je prête ma femme, qui est bi aussi, mais je prête mon cul aussi...
Excuse je t'ai choqué. Il attrape un pan du peignoir et le pose sur l'objet du désir.
Je me lève, m'approche et tire sur le peignoir redécouvrant une bite qui semble avoir grossi.
Ecoute, puisque tu en a envie, je vais te sucer le morceau, c'est ça que tu as envie, non?
Je me penche et commence a lécher sur toute la longueur, passant ma langue et caressant les couille qui pendent, puis j'attrape le grand et le fait entrer dans ma bouche. Puis je pompe de plus en plus vite et de plus en plus loin, il agite tes fesses en me caressant la tète. Je commence a doigter sa rondelle. Apparemment ce n'est pas mon premier doigt, ça entre facilement. Sa bite est bien dressée. J'accele le rythme , et du doigt et de la bouche jusqu'à recevoir une giclée de foutre pas très abondante que je me dépêche d'avaler.
J'adore ça. Je nettoie bien la verge. Je bande aussi. Il me caresse la bite au travers de mon pantalon.
Si tu veux m'enculer, je veux bien a genoux sur le fauteuil, j'adore tendre mon cul de salope me dit il.
A suivre selon votre demande.
发布者 pepere66
8 月 前
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chapuis
Ah oui, ça mérite une suite
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Vite la suite , j'attend la bite à la main
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Ah oui avec plaisir!
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