A la pêche.
Aujourd'hui j'ai envie de sucer. Ce matin j'avais une gaule d'enfer, alors je suis parti à la pêche... aux bites, chattes, culs ou autres merveilles qui voudrons bien mordre. Une vieille tanche, un jeune goujon, une belle anguille... Je prépare ma boite d'appâts. J'enfile dans mon caisse un petit plug argent. Pardessus un string ficelle rouge. Je regarde dans la glace. Rien de voir la boite a outils, la gaule et tout le matériel, l'envie de prendre l'air m'excite et je monte dans ma voiture avec juste un tee-shirt.
Arrivé sur le lieu de pêche, un parking dans la foret, personne. Pourtant d'habitude, cela mord. J'attends assis dans la voiture, la portière ouverte, la gaule entre les jambes, cachée par le fin tissu. Je suis au fond du parking, près des arbres. Je domine le parking et peut voir qui arrive, sans trop être vu. Des marcheurs quelques fois traversent là. Je suis là à rêver, il va être midi, quand j'aperçois deux trottinettes avec des jeunes goujons dessus. Ils s'arrête au centre, regarde autour et aperçoive mon auto au fond. Ils redémarre et file vers le chemin qui mène vers la route. Dommage, j'étais déjà prêt à sortir la gaule.
Je regarde le parking vide, quand j'entends un bruit venant de derrière la voiture, un coup d'œil dans le retro. Ouf, j'ai eu peur. Ce n'est que les deux jeunes qui ont contourné le parking. Je tire doucement la portière vers moi et fais semblant de lire le journal. Ils s'approchent, la trottinette à la main. Passe prêt de la voiture, jette un coup d'oeil vers moi, et continuent. Je remarque ces deux jolis culs qui rentrent du lycée, vu les petits sacs a dos. Bizarre, ces jeunes ici et surtout dommage. Je repose le journal, rouvre la portière. Je regarde vers le parking, toujours vide, puis vers l'endroit ou les jeunes sont partis. Surprise.
J'en vois un, le jogging en bas des jambes. L'autre a coté a prit sa bite en main et le branle. Ben dit donc, intéressant. Je les regarde se caresser, ma main commence a glisser sous mon string et ma bite gonfle devant ce joyeux spectacle. Je ne sais trop quoi faire? Comment vont il réagir si je sort de la voiture? Peut être es ce de la provocation. Je suis là a les regarder faire. La bite a grossi et bien droite. Que j'aimerais la sucer! La gober entière! Je tente le geste de leur faire signe d'approcher. Ca marche, il remonte le jogging. La bite tend le tissu. Le deuxième bande aussi. Ils arrivent prêt du capot, s'arrêtent, me regardent bien. Je refais le signe d'approcher avec celui de tailler une pipe. Celui qui branlait, arrive le premier dans l'ouverture de la portière.
On aime ce faire sucer, si cela vous dit. On a envie. dit il en baissant son jeans. Une belle queue se dresse. Je retire le journal et il voie mon string. Juste sucer, on est pas des tapettes. Moi non plus. Je tends la main et enfourne la jeune bite raide et forte comme un bout de bois. Je ne sucerais que quelques instant, le temps de découvrir son foutre au fond de ma bouche. Ben ça était vite, j'avale le sperme en lui nettoyant la queue. Il a l'air confus, désolé. C'est bien jeune homme, te casse pas la tete, j'ai eu ton sperme. A toi maintenant. L'autre prends sa place. Elle est plus grosse, plus veineuse, ses couilles pendent déjà bien. Je dit au premier caresse lui les couilles et le cul pendant que je le suce. Ce qu'il fait tres bien. Je sens la bite gonfler, cela fait bien quelques minutes que je m'active sur sa bite. Le grand est gros, c'est bon. Je cherche ses fesses, glisse un doigt vers sa rondelle et pousse. Mon doigt humide rentre et lui ça lui déclenche un coup de reins. Il va venir. Son foutre est plus liquide, mais plus abondant. Il me rempli la bouche de ce sperme au gout plus acre, mais crémeux. J'avale tout en aspirant les goutes qui restent. J'aspire fort. J'ai tout eu. Il remonte ton jogging. Ils se sauvent comme des voleurs, sans un mot, sans un remerciement. Je regarde mon string tout humide. Va falloir que je me finisse. Sacrée partie de pêche. Je range ma gaule, replie la boite a outils. Dommage ça ne mort plus. Pourtant j'en aurait encore bien pris des autres, aujourd'hui...beaucoup d'autres. Ma bouche en redemande, mais bon à 70 ans deux goujons pour un vieux pêcheur, ce n'est pas si mal.
Arrivé sur le lieu de pêche, un parking dans la foret, personne. Pourtant d'habitude, cela mord. J'attends assis dans la voiture, la portière ouverte, la gaule entre les jambes, cachée par le fin tissu. Je suis au fond du parking, près des arbres. Je domine le parking et peut voir qui arrive, sans trop être vu. Des marcheurs quelques fois traversent là. Je suis là à rêver, il va être midi, quand j'aperçois deux trottinettes avec des jeunes goujons dessus. Ils s'arrête au centre, regarde autour et aperçoive mon auto au fond. Ils redémarre et file vers le chemin qui mène vers la route. Dommage, j'étais déjà prêt à sortir la gaule.
Je regarde le parking vide, quand j'entends un bruit venant de derrière la voiture, un coup d'œil dans le retro. Ouf, j'ai eu peur. Ce n'est que les deux jeunes qui ont contourné le parking. Je tire doucement la portière vers moi et fais semblant de lire le journal. Ils s'approchent, la trottinette à la main. Passe prêt de la voiture, jette un coup d'oeil vers moi, et continuent. Je remarque ces deux jolis culs qui rentrent du lycée, vu les petits sacs a dos. Bizarre, ces jeunes ici et surtout dommage. Je repose le journal, rouvre la portière. Je regarde vers le parking, toujours vide, puis vers l'endroit ou les jeunes sont partis. Surprise.
J'en vois un, le jogging en bas des jambes. L'autre a coté a prit sa bite en main et le branle. Ben dit donc, intéressant. Je les regarde se caresser, ma main commence a glisser sous mon string et ma bite gonfle devant ce joyeux spectacle. Je ne sais trop quoi faire? Comment vont il réagir si je sort de la voiture? Peut être es ce de la provocation. Je suis là a les regarder faire. La bite a grossi et bien droite. Que j'aimerais la sucer! La gober entière! Je tente le geste de leur faire signe d'approcher. Ca marche, il remonte le jogging. La bite tend le tissu. Le deuxième bande aussi. Ils arrivent prêt du capot, s'arrêtent, me regardent bien. Je refais le signe d'approcher avec celui de tailler une pipe. Celui qui branlait, arrive le premier dans l'ouverture de la portière.
On aime ce faire sucer, si cela vous dit. On a envie. dit il en baissant son jeans. Une belle queue se dresse. Je retire le journal et il voie mon string. Juste sucer, on est pas des tapettes. Moi non plus. Je tends la main et enfourne la jeune bite raide et forte comme un bout de bois. Je ne sucerais que quelques instant, le temps de découvrir son foutre au fond de ma bouche. Ben ça était vite, j'avale le sperme en lui nettoyant la queue. Il a l'air confus, désolé. C'est bien jeune homme, te casse pas la tete, j'ai eu ton sperme. A toi maintenant. L'autre prends sa place. Elle est plus grosse, plus veineuse, ses couilles pendent déjà bien. Je dit au premier caresse lui les couilles et le cul pendant que je le suce. Ce qu'il fait tres bien. Je sens la bite gonfler, cela fait bien quelques minutes que je m'active sur sa bite. Le grand est gros, c'est bon. Je cherche ses fesses, glisse un doigt vers sa rondelle et pousse. Mon doigt humide rentre et lui ça lui déclenche un coup de reins. Il va venir. Son foutre est plus liquide, mais plus abondant. Il me rempli la bouche de ce sperme au gout plus acre, mais crémeux. J'avale tout en aspirant les goutes qui restent. J'aspire fort. J'ai tout eu. Il remonte ton jogging. Ils se sauvent comme des voleurs, sans un mot, sans un remerciement. Je regarde mon string tout humide. Va falloir que je me finisse. Sacrée partie de pêche. Je range ma gaule, replie la boite a outils. Dommage ça ne mort plus. Pourtant j'en aurait encore bien pris des autres, aujourd'hui...beaucoup d'autres. Ma bouche en redemande, mais bon à 70 ans deux goujons pour un vieux pêcheur, ce n'est pas si mal.
2 年 前
