Souvenir d'une bite 2

Souvenir d’une bite 2
Je sui assis sur un banc, a l’ombre dans la grande avenue. J’ai vingt ans. Je suis arrivé à Paris en 1970 pensant y travailler et faire fortune. Depuis deux jours rien de bien concluant. J’ arpente cette avenue connue à Paris pour le monde de la nuit. Le soir tout s’anime, les néons claquent, les filles arpentent les petites rues montantes vers le sacré cœur. Les rabatteurs interpellent eux aussi le chaland. On ce bouscule devant les cabarets, toute une faune de proxos, putains et autres amateurs de culs, de sexes, de frics et de curieux. Les livres pornos sont vendus sous le manteau comme la drogue de nos jours. Un autre monde. La journée c’est calme comme une petite ville de campagne, paisible, avec ses mémères qui tirent leurs cabas, se regroupent sous les grands arbres. Font du tricot. Un autre monde aussi.
Je suis là assis à regarder les gens qui passent, les voitures qui ralentissent pour les feux. J’attends le soir que tout s’anime pour espérant un boulot de plongeur, de rabatteur ou rien. Un grand arabe, la quarantaine bien tassée passe devant moi. Me regarde avec insistance. Je ne bouge pas, mais je sais déjà qu’il va ce passer quelque chose. Ce grand arabe, me fait un peut peur, j’ai entendu dire qu’il en avait une grosse. Je n’en avais jamais vu. Il repasse. je ne bouge pas, juste un regard.

- Moi je tressaille dans son pantalon. Je sens que je vais bientôt sortir.

Le grand arabe repasse, le regarde et donne un petit coup de tête, comme une invite, un suis moi. Je me lève et commence à le suivre.

- Je commence à rougir, à durcir dans ce pantalon. On va où ? On verra bien !

Après un peut de marche j’arrive un peut timide en bas de la bute. Le grand arabe, prend à droite vers les toilettes publiques, il est quinze heures au clocher. Un étroit passage et on arrive comme dans une petite cour ou trois wc se côtoie avec une pissotière. Houlà ! Me dis je il y a du monde. Ils sont au moins cinq ou six, que des arabes. Le grand arabe, sans un mot écarte les autres d’un bras ferme et de l’autre baisse son pantalon. De mon coté, j’ouvre ma braguette.

- Cela n’à rien a voir avec moi. Je suis beaucoup plus petite, mais très raide comme un bout de bois. Lui, elle est longue et pend entre ses cuisses. Il me prend dans sa main, me caresse un instant, mais ce n’est pas moi qu’il veut.

Il att**** ma tête et la tire vers sa bite. Je me penche et prend la bite du grand arabe en bouche. Je sens sa bite grossir rapidement. Elle remplit ma bouche de jeune mec. Je le pompe, comme je peu au risque de m’étouffer.

- Moi, je suis déçue, je m’étais faite toute raide, prête à sauter sur la première bouche ou le premier trou du cul qui passait par là.

Toujours penché et suçant goulument, je m’applique.

- Je sens une main qui m’att**** me serre fort et qui commence à me branler. C’est bon, enfin on s’occupe de moi. Il me sert fort le bougre, il s’agrippe à moi, comme si j’allais lui échapper.

Puis je sens une bite entre mes cuisses, glisser vers mes couilles. Il veut me baiser, non, il n’aura pas le temps, il gicle aussitôt moitié sur mes boulles, moitié ma bite. Je sens de l’agitation, le grand arabe décharge dans ma bouche, je recrache.

- L’autre me branle et moi aussi je crache mon venin devant ses inconnus qui ont tous la bite à la main. Il est quinze heures dix. Il n’attend même pas qu’un puisse me sucer, me branler de nouveau, m’astiquer, il me prend encore raide et me renferme dans son pantalon. Fini la sortie, il a prit peur, trop nombreux pour lui. Dommage, j’aurais bien aimé jouer avec eux. La partie est finie une nouvelle fois, pas un mot, juste des soupirs, des regards qui sonnent plus forts que les mots. On rentre dans notre chambre, il se met à poil, me regarde dans la glace. Il s’allonge sur le lit et commence à me caresser. Je grossis vite. Raide, tendue de désirs, je crache mon foutre une nouvelle fois, sur son ventre cette fois. Il s’endort avec moi en pensant à tout ce que nous avons loupé