Ma salope Arabe Karima Part 2
AprĂšs quelques temps, notre relation sâarrĂȘta. Mais comme je nâarrivais pas Ă me lâenlever de la tĂȘte, je lâai rappelĂ©e. Elle mâa appris que puisque je lâavais laissĂ©e, elle avait repris son amant, plus jeune quâelle dâune dizaine dâannĂ©es. Je nâavais pas envie de laisser filer lâaffaire, aussi je provoquai un rendez-vous dans un cafĂ© pour discuter. Je lui ai proposĂ© un plan Ă 3. Au dĂ©but elle ne semblait pas trĂšs chaude, mais en rentrant dans les dĂ©tails elle se dĂ©rida. Surtout quand je lui dis quâelle aurait 2 bites raides dont elle pourrait faire ce quâelle voudrait⊠Parce quâelle aimait la bite cette salope !
Dans la voiture, avant de dĂ©marrer, jâai eu le droit de la peloter et de lâembrasser. JâĂ©tais tout excitĂ© Ă lâidĂ©e de la partager avec un autre⊠Comme il faisait nuit et que nous Ă©tions dans une rue dĂ©serte, jâai sorti ma queue pour quâelle la branle. Elle a commencĂ© par refuser. Je savais quâelle allait retrouver son amant juste aprĂšs⊠Mais en la flattant, en lui disant quâelle devait ĂȘtre trĂšs belle offerte Ă un beau mĂąle blanc plein de vigueur, elle sâest ramollie. Je lui ai saisi la main et elle a commencĂ© ses mouvements sur ma hampe. Je bandais de plus en plus fort. Je lui dis que jâimaginais comment il allait la pĂ©nĂ©trer et la faire jouir ce soir. Je finis par Ă©jaculer dans sa main.
Le lendemain dans la journĂ©e, je reçus un texto me disant de venir les rejoindre chez elle vers neuf heures du soir. A lâheure dite, je sonnais. Elle vint mâouvrir en culotte et soutien-gorge et je compris tout de suite que les deux amants ne mâavaient pas attendu pour commencer leurs Ă©bats. Je lâembrassais et la caressais dans lâentrĂ©e, mais elle se dĂ©roba vite, mâentrainant dans le salon oĂč Benjamin Ă©tait assis sur le canapĂ©, simplement vĂȘtu dâun boxer gris dans lequel la bosse de son sexe Ă©tait bien visible. Nous nous sommes saluĂ©s et je lâai complimentĂ© sur son Ă©rection, histoire de dĂ©tendre lâatmosphĂšreâŠ
Elle lui a sorti la bite avec empressement et lâa tout de suite sucĂ© avec passion. Jâai fait tomber mon jean pour sortir ma queue et me branler fort. Je leur ai dit que jâĂ©tais passionnĂ© par le spectacle quâils mâoffraient, et je me suis approchĂ© de son cul et de sa chatte afin de frotter mon gland gonflĂ©, sur ces merveilleux endroits. MĂȘme si je savais que ce serait lui qui aurait la primeur de la pĂ©nĂ©trer.
Il a enfilĂ© un prĂ©servatif et elle est venue sâasseoir sur sa bite. Elle y allait de bon cĆur, montant et descendant sur cette belle queue tendue. Le prĂ©servatif se couvrait de lâĂ©cume blanche de sa mouille. Je mâapprochai pour profiter du spectacle et des odeurs. Jâaurais voulu, saisir cette pine, la sortir de la chatte et lui enlever la capote pour la sucer. Mais je savais que ce nâĂ©tait pas au programmeâŠ
Ils changĂšrent de position. Il la plaça Ă quatre pattes et je profitais de cela pour me placer sous elle et voir dâencore plus prĂšs ce membre la baiser. A un moment il glissa hors dâelle et jâen ai profitĂ© pour poser ma langue sur ses lĂšvres mouillĂ©es de jute et grandes ouvertes. Mais comme il la repĂ©nĂ©tra immĂ©diatement, ma bouche fut frĂŽlĂ©e par son membre. JâĂ©tais aux anges : je venais lâair de rien de donner mon premier coup de langue sur sa queue !
Il la poutrait bien comme il faut, et je sentais quâil allait bientĂŽt venir. Ce quâil fit dans un rĂąle de plaisir. Il sortit de son intimitĂ© et je pus constater que sa capote Ă©tait bien remplie. Il cherchait oĂč la poser et je lui tendis la main pour la recevoir. Il parut un peu surpris mais me la laissa. AussitĂŽt je fis couler un peu de semence hors de la capote et la porta Ă ma bouche. Puis je me rapprochai de celle de Karima afin dâĂ©changer un baiser crĂ©meux⊠Elle fut surprise Ă son tour et me dit :
- Tu es fou !
Ce à quoi je répondis :
- Oui fou de toi ma chérie !
Ajoutant :
- Benjamin, câĂ©tait trĂšs bien ! Ma chĂ©rie, est-ce que jâai le droit de te pĂ©nĂ©trer maintenant ?
Elle lâa regardĂ©, guettant son approbation. Il a rĂ©pondu quâil allait prendre une douche. Contrairement Ă moi, il nâavait pas envie de jouir (dans tous les sens du terme !) du spectacle⊠Cela lâarrangeait, elle, quâil ne voit pas que je la prendrai sans capote.
Elle mâa alors entrainĂ© dans la chambre. Je lâai tout de suite pĂ©nĂ©trĂ©e en mettant ses jambes bien haut, ses pieds contre mon visage afin dâaller au plus profond. Jâai pris mon temps, car je voulais quâil nous voie en train de faire lâamour quand il ressortirait de la douche. Ce qui arriva ! Je sortis de sa chatte et arrosai son ventre de mon sperme chaud en lui disant que je lâaimais.
Comme pour se faire pardonner, elle lui a dit de venir dans le lit et lâa embrassĂ© passionnĂ©ment. Elle lui a saisi la bite et lâa branlĂ© quelques instants avant de la mettre en bouche dĂšs quâelle fut suffisamment grosse. Elle lâa sucĂ© en allant le plus profondĂ©ment possible. Il sâest saisi dâune capote et lâa enfilĂ©e prestement, et lâa attirĂ© contre elle, Ă©cartant sa chatte. Il ne sâest pas fait prier et lâa prise ainsi. Et lĂ il sâest dĂ©chainĂ© : il la pilonnait comme un mort de faim. Je pense quâil avait Ă cĆur de prouver quâil mâĂ©tait supĂ©rieur. Le con !
Moi je me branlais mollement Ă cĂŽtĂ©. Elle grimaçait par moment, preuve quâelle ne prenait pas de plaisir. Et comme câĂ©tait prĂ©visible, il nâa pas tardĂ© Ă dĂ©charger. Puis il a posĂ© sa capote sur un mouchoir et sâest presque endormi instantanĂ©ment. Jâen ai profitĂ© pour lâembrasser et lui dire des mots dâamour, auxquels elle Ă©tait toujours sensible en dĂ©pit de ce quâil venait de se passer. Elle sâest endormie collĂ©e contre moi.
Comme je ne trouvais pas le sommeil, je me suis relevĂ© pour aller me fumer une clope dans la loggia du salon. Au passage jâavais ramassĂ© sa culotte et je la reniflais. Elle avait bien mouillĂ© dedans et une belle trace blanche encore lĂ©gĂšrement humide se dĂ©tachait dans lâobscuritĂ©. Je lâai immĂ©diatement lĂ©chĂ©e. Puis jâai sorti ma queue que lâodeur avait excitĂ©e, pour la branler dans ce morceau de satin.
A ce moment-lĂ , jâentendis un bruit et je fus surpris de la voir me rejoindre. Elle comprit tout de suite ce que jâĂ©tais en train de faire, mais me posa quand mĂȘme la question :
- Tu fais quoi ?
- Jâai lĂ©chĂ© les restes de ton jus et lĂ je me branle en pensant Ă toi. Et maintenant jâai trĂšs envie de te prendreâŠ
- Viens !
Et elle me prit par la main et mâattira sur le canapĂ©. Je lui ouvris le peignoir, la pĂ©nĂ©trant instantanĂ©ment. Elle mouillait comme Ă son habitude et Ă chaque fois que je ressortais je voyais sa jute sur ma queue. JâĂ©tais encore plus excitĂ© en pensant Ă lâautre imbĂ©cile endormi dans la chambre ! Une fois mon sperme rĂ©pandu sur son ventre, jâavisais le boxer du perdant et je mâessuyais consciencieusement le gland dedans. Cela la fit rigoler. Et jâajoutais :
- Comme ça il repartira avec un souvenir de nous deux ! Tu sais, jâai beaucoup aimĂ© te voir offerte Ă un autre mĂąle Ă condition que je sache que tu restes mon amoureuse, toute Ă moiâŠ
- Oui mon chĂ©ri, rien quâĂ toiâŠ
- Oh ma Karima, je suis fou de toi ! Je veux me marier avec toi !
- Câest vrai ? Vraiment ?
- Oui mon amour !!! Je veux tâĂ©pouser dĂšs que possibleâŠ
- Dâaccord mon amour !
- Mais cette petite soirĂ©e mâa donnĂ© des idĂ©esâŠ
- Ah oui ? Lesquelles ?
- Je ne sais pas si jâoseâŠ
- Allez vas-y puisque je vais ĂȘtre ta femme, il faudra tout partagerâŠ
- Jâaimerais te voir faire lâamour avec 2-3 blacks bien montĂ©sâŠ
- Je te ferais plaisirâŠ
- HummmâŠ
- Comment comptes-tu tây prendre ?
- Je sais exactement comment nous procéderons⊠Je te dirai tout mon amour !
Et nous sommes retournĂ©s au lit, blottis lâun contre lâautre pendant que le mĂąle dĂ©chu dormait de son cĂŽtĂ©.
Le lendemain matin elle lui expliqua que câĂ©tait terminĂ© et il ne demanda pas son reste. Je pense que cette expĂ©rience lui avait laissĂ© un goĂ»t amer⊠Il remit son boxer tĂąchĂ© de mon sperme. Ce qui nous fit sourire tous les deux !
A suivre...
Dans la voiture, avant de dĂ©marrer, jâai eu le droit de la peloter et de lâembrasser. JâĂ©tais tout excitĂ© Ă lâidĂ©e de la partager avec un autre⊠Comme il faisait nuit et que nous Ă©tions dans une rue dĂ©serte, jâai sorti ma queue pour quâelle la branle. Elle a commencĂ© par refuser. Je savais quâelle allait retrouver son amant juste aprĂšs⊠Mais en la flattant, en lui disant quâelle devait ĂȘtre trĂšs belle offerte Ă un beau mĂąle blanc plein de vigueur, elle sâest ramollie. Je lui ai saisi la main et elle a commencĂ© ses mouvements sur ma hampe. Je bandais de plus en plus fort. Je lui dis que jâimaginais comment il allait la pĂ©nĂ©trer et la faire jouir ce soir. Je finis par Ă©jaculer dans sa main.
Le lendemain dans la journĂ©e, je reçus un texto me disant de venir les rejoindre chez elle vers neuf heures du soir. A lâheure dite, je sonnais. Elle vint mâouvrir en culotte et soutien-gorge et je compris tout de suite que les deux amants ne mâavaient pas attendu pour commencer leurs Ă©bats. Je lâembrassais et la caressais dans lâentrĂ©e, mais elle se dĂ©roba vite, mâentrainant dans le salon oĂč Benjamin Ă©tait assis sur le canapĂ©, simplement vĂȘtu dâun boxer gris dans lequel la bosse de son sexe Ă©tait bien visible. Nous nous sommes saluĂ©s et je lâai complimentĂ© sur son Ă©rection, histoire de dĂ©tendre lâatmosphĂšreâŠ
Elle lui a sorti la bite avec empressement et lâa tout de suite sucĂ© avec passion. Jâai fait tomber mon jean pour sortir ma queue et me branler fort. Je leur ai dit que jâĂ©tais passionnĂ© par le spectacle quâils mâoffraient, et je me suis approchĂ© de son cul et de sa chatte afin de frotter mon gland gonflĂ©, sur ces merveilleux endroits. MĂȘme si je savais que ce serait lui qui aurait la primeur de la pĂ©nĂ©trer.
Il a enfilĂ© un prĂ©servatif et elle est venue sâasseoir sur sa bite. Elle y allait de bon cĆur, montant et descendant sur cette belle queue tendue. Le prĂ©servatif se couvrait de lâĂ©cume blanche de sa mouille. Je mâapprochai pour profiter du spectacle et des odeurs. Jâaurais voulu, saisir cette pine, la sortir de la chatte et lui enlever la capote pour la sucer. Mais je savais que ce nâĂ©tait pas au programmeâŠ
Ils changĂšrent de position. Il la plaça Ă quatre pattes et je profitais de cela pour me placer sous elle et voir dâencore plus prĂšs ce membre la baiser. A un moment il glissa hors dâelle et jâen ai profitĂ© pour poser ma langue sur ses lĂšvres mouillĂ©es de jute et grandes ouvertes. Mais comme il la repĂ©nĂ©tra immĂ©diatement, ma bouche fut frĂŽlĂ©e par son membre. JâĂ©tais aux anges : je venais lâair de rien de donner mon premier coup de langue sur sa queue !
Il la poutrait bien comme il faut, et je sentais quâil allait bientĂŽt venir. Ce quâil fit dans un rĂąle de plaisir. Il sortit de son intimitĂ© et je pus constater que sa capote Ă©tait bien remplie. Il cherchait oĂč la poser et je lui tendis la main pour la recevoir. Il parut un peu surpris mais me la laissa. AussitĂŽt je fis couler un peu de semence hors de la capote et la porta Ă ma bouche. Puis je me rapprochai de celle de Karima afin dâĂ©changer un baiser crĂ©meux⊠Elle fut surprise Ă son tour et me dit :
- Tu es fou !
Ce à quoi je répondis :
- Oui fou de toi ma chérie !
Ajoutant :
- Benjamin, câĂ©tait trĂšs bien ! Ma chĂ©rie, est-ce que jâai le droit de te pĂ©nĂ©trer maintenant ?
Elle lâa regardĂ©, guettant son approbation. Il a rĂ©pondu quâil allait prendre une douche. Contrairement Ă moi, il nâavait pas envie de jouir (dans tous les sens du terme !) du spectacle⊠Cela lâarrangeait, elle, quâil ne voit pas que je la prendrai sans capote.
Elle mâa alors entrainĂ© dans la chambre. Je lâai tout de suite pĂ©nĂ©trĂ©e en mettant ses jambes bien haut, ses pieds contre mon visage afin dâaller au plus profond. Jâai pris mon temps, car je voulais quâil nous voie en train de faire lâamour quand il ressortirait de la douche. Ce qui arriva ! Je sortis de sa chatte et arrosai son ventre de mon sperme chaud en lui disant que je lâaimais.
Comme pour se faire pardonner, elle lui a dit de venir dans le lit et lâa embrassĂ© passionnĂ©ment. Elle lui a saisi la bite et lâa branlĂ© quelques instants avant de la mettre en bouche dĂšs quâelle fut suffisamment grosse. Elle lâa sucĂ© en allant le plus profondĂ©ment possible. Il sâest saisi dâune capote et lâa enfilĂ©e prestement, et lâa attirĂ© contre elle, Ă©cartant sa chatte. Il ne sâest pas fait prier et lâa prise ainsi. Et lĂ il sâest dĂ©chainĂ© : il la pilonnait comme un mort de faim. Je pense quâil avait Ă cĆur de prouver quâil mâĂ©tait supĂ©rieur. Le con !
Moi je me branlais mollement Ă cĂŽtĂ©. Elle grimaçait par moment, preuve quâelle ne prenait pas de plaisir. Et comme câĂ©tait prĂ©visible, il nâa pas tardĂ© Ă dĂ©charger. Puis il a posĂ© sa capote sur un mouchoir et sâest presque endormi instantanĂ©ment. Jâen ai profitĂ© pour lâembrasser et lui dire des mots dâamour, auxquels elle Ă©tait toujours sensible en dĂ©pit de ce quâil venait de se passer. Elle sâest endormie collĂ©e contre moi.
Comme je ne trouvais pas le sommeil, je me suis relevĂ© pour aller me fumer une clope dans la loggia du salon. Au passage jâavais ramassĂ© sa culotte et je la reniflais. Elle avait bien mouillĂ© dedans et une belle trace blanche encore lĂ©gĂšrement humide se dĂ©tachait dans lâobscuritĂ©. Je lâai immĂ©diatement lĂ©chĂ©e. Puis jâai sorti ma queue que lâodeur avait excitĂ©e, pour la branler dans ce morceau de satin.
A ce moment-lĂ , jâentendis un bruit et je fus surpris de la voir me rejoindre. Elle comprit tout de suite ce que jâĂ©tais en train de faire, mais me posa quand mĂȘme la question :
- Tu fais quoi ?
- Jâai lĂ©chĂ© les restes de ton jus et lĂ je me branle en pensant Ă toi. Et maintenant jâai trĂšs envie de te prendreâŠ
- Viens !
Et elle me prit par la main et mâattira sur le canapĂ©. Je lui ouvris le peignoir, la pĂ©nĂ©trant instantanĂ©ment. Elle mouillait comme Ă son habitude et Ă chaque fois que je ressortais je voyais sa jute sur ma queue. JâĂ©tais encore plus excitĂ© en pensant Ă lâautre imbĂ©cile endormi dans la chambre ! Une fois mon sperme rĂ©pandu sur son ventre, jâavisais le boxer du perdant et je mâessuyais consciencieusement le gland dedans. Cela la fit rigoler. Et jâajoutais :
- Comme ça il repartira avec un souvenir de nous deux ! Tu sais, jâai beaucoup aimĂ© te voir offerte Ă un autre mĂąle Ă condition que je sache que tu restes mon amoureuse, toute Ă moiâŠ
- Oui mon chĂ©ri, rien quâĂ toiâŠ
- Oh ma Karima, je suis fou de toi ! Je veux me marier avec toi !
- Câest vrai ? Vraiment ?
- Oui mon amour !!! Je veux tâĂ©pouser dĂšs que possibleâŠ
- Dâaccord mon amour !
- Mais cette petite soirĂ©e mâa donnĂ© des idĂ©esâŠ
- Ah oui ? Lesquelles ?
- Je ne sais pas si jâoseâŠ
- Allez vas-y puisque je vais ĂȘtre ta femme, il faudra tout partagerâŠ
- Jâaimerais te voir faire lâamour avec 2-3 blacks bien montĂ©sâŠ
- Je te ferais plaisirâŠ
- HummmâŠ
- Comment comptes-tu tây prendre ?
- Je sais exactement comment nous procéderons⊠Je te dirai tout mon amour !
Et nous sommes retournĂ©s au lit, blottis lâun contre lâautre pendant que le mĂąle dĂ©chu dormait de son cĂŽtĂ©.
Le lendemain matin elle lui expliqua que câĂ©tait terminĂ© et il ne demanda pas son reste. Je pense que cette expĂ©rience lui avait laissĂ© un goĂ»t amer⊠Il remit son boxer tĂąchĂ© de mon sperme. Ce qui nous fit sourire tous les deux !
A suivre...
4 years ago