Ma salope Arabe Karima Part 1

Ce récit est en grande partie exact. Quelques éléments ont été rajoutés pour donner du piment à l'action.

Ces derniers mois, j’ai eu plusieurs relations avec des maghrĂ©bines. La plus jeune avait 34 ans, la plus vieille 68
 J’en ai maintenant 49. Mais je vais vous parler de la derniĂšre. Nous l’appellerons Karima, 48 ans.
Comme les prĂ©cĂ©dentes, je l’ai trouvĂ©e sur un site de rencontre. Le courant est tout de suite bien passĂ© et trĂšs vite nous avons Ă©changĂ©s nos numĂ©ros. Une semaine plus tard nous nous sommes rencontrĂ©s dans un resto et les impressions se sont confirmĂ©es. AprĂšs le repas, petite balade main dans la main et quelques jours plus tard premiers baisers fougueux Ă©changĂ©s.

Trois jours aprĂšs nous nous retrouvons chez elle. Nous savons tous les deux que nous allons baiser. D’ailleurs sa tenue ne trompe pas, une bonne tenue de salope : escarpins Ă  bride, bas Ă  couture, jupe satin trĂšs lĂ©gĂšre et chemisier qui l’est tout autant. AprĂšs m’avoir accueilli dans l’entrĂ©e par des baisers trĂšs endiablĂ©s, elle m’entraine dans le salon, sur le canapĂ© oĂč je commence par sortir ses seins de son beau soutien-gorge fuchsia
 Je passe sans arrĂȘt de sa bouche Ă  ses tĂ©tons, qui sont comme tous ceux de toutes les arabes que j’ai baisĂ©es : sombres et trĂšs durs


Comme je suis excitĂ© et qu’elle a ouvert mon jean, je sors ma queue dressĂ©e, qui n’a aucun mal Ă  venir frotter contre sa culotte. Je passe un doigt pour ouvrir le passage et le moins que l’on puisse dire c’est que la dame mouille abondamment ! Ayant Ă©cartĂ© la culotte, je commence Ă  avancer mon gland jusqu’à Ă©carter ses lĂšvres et je rentre doucement, innocemment
 Elle me laisse faire, visiblement ravie, mais se ravise tout d’un coup : elle veut que je mette un prĂ©servatif. Je n’en ai pas et je suis bien dĂ©cidĂ© Ă  la baiser sans !

Du coup elle se relĂšve et bloque la situation. Nous allons nous fumer une clope dans la loggia et j’essaye de la convaincre. Elle se bute, mais je suis convaincu que j’arriverai Ă  mes fins. Pour changer de sujet, nous allons nous mettre Ă  table et diner. DĂšs la fin du repas, je profite du moment ou elle apporte le dessert pour retourner fouiller son intimitĂ© avec mes doigts. AussitĂŽt elle mouille !

Puis nous nous levons pour retourner fumer. Dans la loggia, je relĂšve sa jupe et accĂ©lĂšre les caresses. Je suis trĂšs excitĂ© Ă  l’idĂ©e que les voisins d’en face pourraient deviner notre petit manĂšge. Je sors ma queue et recommence Ă  la frotter, contre son clito puis sa chatte. Je vois qu’elle est Ă  point. Elle ne me laisse pas le temps de finir ma cigarette et m’entraine dans sa chambre.

Nous nous dĂ©shabillons en quelques secondes, nous jetons sur le lit, nous embrassant follement. Je recommence Ă  la pĂ©nĂ©trer du bout du gland, ressortant pour exciter son clito
 J’ai envie de faire monter son dĂ©sir. Comme j’ai aussi envie de gouter sa chatte humide, je ressors et viens aspirer et lĂ©cher son vagin. De temps en temps, je remonte pour l’embrasser et lui faire ainsi gouter son jus de chatte.

Mais l’envie de la prendre est trop forte et je lui Ă©carte les jambes pour bien m’enfoncer. Je la baise en alternant les rythmes. Son regard est enfiĂ©vrĂ©, elle est belle et je le lui dis
 Tout en continuant, j’ajoute les yeux dans les yeux : je t’adore
 Je la vois tressaillir sous l’intensitĂ© de l’étreinte et celle des mots. Dans un souffle elle me demande si c’est vrai. Je lui rĂ©ponds dans un rĂąle de plaisir que oui, c’est vrai. Elle est aux anges ! Mais je n’ai pas fini, je vais lui porter l’estocade, puisqu’elle aime les mots d’amour et qu’elle a l’air d’ĂȘtre en manque.

Continuant mes coups de pine jusqu’au fond, je lui saisis le visage Ă  deux mains et ajoute : je crois que je suis en train de tomber amoureux de toi
 Et lĂ  elle fond instantanĂ©ment, n’ayant plus qu’une obsession : que je jouisse. Elle ne manque pas de me prĂ©ciser en dehors. Je compenserai plus tard, on le verra
 Donc je ressorts et je lĂąche ma crĂšme bien Ă©paisse sur son ventre. Elle est impressionnĂ©e par la quantitĂ©. Il faut dire que ça faisait deux semaines que je ne m’étais pas branlé  Je l’ai nettoyĂ©e avec des mouchoirs. Puis nous nous sommes encore cĂąlinĂ©s, caressĂ©s, embrassĂ©s passionnĂ©ment


Mais ce n’était pas fini ! Car dans la nuit, je me suis rĂ©veillĂ© avec la gaule, et je l’ai reprise immĂ©diatement, lui laissant Ă  peine le temps de se rĂ©veiller ! J’ai rĂ©pĂ©tĂ© l’opĂ©ration plusieurs fois. Elle m’a dit, avec des Ă©toiles dans les yeux, qu’elle adorait que je fasse ça et m’a incitĂ© Ă  la pĂ©nĂ©trer autant de fois que j’en aurais envie. Ce que je n’ai pas manquĂ© de faire ! Sans Ă©jaculer cependant.

La semaine suivante, nous avons remis ça plusieurs fois et Ă  peu prĂšs de la mĂȘme maniĂšre. Sauf qu’elle m’a pris en bouche. Nous avons fait un 69 et elle m’a sucĂ© Ă  la perfection, me prĂ©parant de maniĂšre idĂ©ale pour se faire prendre. J’en ai profitĂ© pour lui lĂ©cher un peu le cul et rentrer un doigt, comme si de rien n’était
 Elle s’est laissĂ© faire.
Je l’ai baisĂ©e encore avec passion, lui redisant que j’étais amoureux d’elle. Mes belles paroles la ravissaient et la faisait mouiller encore davantage
 Quand je ressortais ma bite de son fourreau, elle Ă©tait toute crĂ©meuse !
Je la baisai encore pendant la nuit. Mais, Ă  un moment, profitant du fait qu’elle Ă©tait encore Ă  moitiĂ© endormie et que ma queue Ă©tait parfaitement lubrifiĂ©e par sa mouille, je suis ressorti et j’ai commencĂ© Ă  lui poser mon gland sur son petit trou. Ensuite j’ai appuyĂ© mon gland sur l’entrĂ©e de l’orifice et une fois celui-ci passĂ©, j’ai dĂ©butĂ© doucement mon va et vient
 Elle a un peu protestĂ© en disant que ce n’était pas prĂ©vu mais j’ai continuĂ©, presque comme si de rien n’était. Bien serrĂ© dans ce doux orifice, je progressais un peu plus mais l’excitation l’emporta et j’ai dĂ©chargĂ© au bout de quelques instants.

Et enfin un soir je l’ai fĂ©condĂ©e discrĂštement
 J’étais au bord de la jouissance et je lui ai demandĂ© si je pouvais Ă©jaculer en elle. Elle n’a pas voulu. Alors l’air de rien, j’ai commencĂ© Ă  lĂącher mon sperme discrĂštement, sans saccade, puis je suis sorti pour terminer sur son ventre et son clito. Elle ne s’est rendu compte de rien ! De toute façon, vu comme elle mouillait, c’était passĂ© inaperçu !
Published by zantas24
4 years ago
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FrancoisDilf 1 month ago
Beau récit ! J'adore les maghrébines également
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soienoire33
hummmmm je me regale
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zantas24
zantas24 Publisher 3 years ago
to titi17000 : Merci !
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titi17000 4 years ago
jolie recit
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zantas24
zantas24 Publisher 4 years ago
to rasoir : Attends ! Je suis en train de rajouter la suite !
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rasoir 4 years ago
c’était un beau rĂ©cit... dommage  pour  la fin !
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