Jeux de jambes
Là normalement, cela devrait tenir ! Un dernier tour de vis et je me mis à rassembler le petit outillage que j’avais dû prendre avec moi pour m’enfoncer sous la vieille table normande accolée au mur et fermée de chaque côté par deux petits meubles rajoutés.
Il faudrait que j’arrive à ne plus accepter ces menus travaux, ce n’est plus de mon âge pensais-je tout en essayant, dans l’espace restreint qui restait, de me retourner pour regagner l’air libre.
D’un autre côté je n’avais pu lui refuser de venir voir ce qui la mettait dans un tel état de nervosité ! "Je n’ai plus rien qui fonctionne ! Venez dès que vous pourrez" m’avait-elle confié la veille.
C’est au moment où j’allais pouvoir me déplier, que je la vis.
Assise sur la chaise placée à côté de la fenêtre, avec sa jupe écossaise et son chemisier clair, jambes croisées en collant gris dans la lumière du soleil, mon regard se coinça entre elles sans vraiment vouloir s’en sortir.
- Alors … ?
Sa voix se tut. A mon arrivée, elle m’avait indiqué la direction de là où je devais opérer mais par la suite je ne l’avais pas entendue venir s’asseoir, la pensant hors de la pièce.
Je relevais la tête et son regard bleu m’immobilisa. Pensant que je n’avais pas entendu sa question, elle reprit :
- Alors … ?
- Eh bien … heu .. c’était, je …enfin … mais … finalement …
Je m’arrêtais, la laissant incliner lentement sa tête sur le côté comme si elle voulait décoller quelques mèches rousses de sa joue. Elle pencha légèrement le buste vers ma direction, son visage toujours dans ma direction, ses sourcils, en remontant, fronçant le front. Ses lèvres s’entrouvrir laissant sa bouche marquer d’un sourire bienveillant son intérêt à la réponse.
Devais-je reprendre mon explication ? Silence ! Seul son visage rassurant m’indiquait qu’elle était toute entière avec moi à m’encourager. Que je réussirai certainement à finir ma phrase. Que je ne devais pas rester ainsi dans cette première tentative qi venait d’échouer. Que cela arrivait à tout le monde. Que je devais seulement reprendre ma respiration et que tout irait bien.
Je suivis ce que je compris être son dernier conseil en reprenant une large inspiration et stoppa net, car elle reprit doucement :
- Alors, si je vous comprends bien …
Mon regard retomba sur sa jambe croisée! Le galbe du mollet avec les courbes du talon et du pied … la teinte rosée par la lumière sur le bas de sa cuisse découverte contrastant avec la jupette dans l’ombre qui interdisait pudiquement d’aller plus loin.
- … C’est … ? poursuivit-elle décidée à bien tout comprendre de mon explication.
- C’est … c’est … c’est réglé ! … enfin je pense.
- Tant mieux ! fit-elle dans un sourire, le regard vers ses jambes avant d’accrocher le mien.
Je compris qu’elle avait compris ce qui le retenait. Elle décroisa ses jambes comme pour le faire se décrocher et dans un lent bruissement de collant et se leva.
- Peut-être pourrions-nous faire un essai tant que vous êtes là ? fit-elle timidement comme si mon expertise pouvait se trouver choquer qu’elle décide à ma place
- Tout à fait … un essai pourrait être … en plus étant là … j’allais…
Sans attendre la fin improbable de ce que je disais, elle vint en glissant sur la carrelage clair se placer devant la table. Ses jambes devant moi m’empêchèrent de m’évader. Ce dont je n’avais nullement l’intention d’ailleurs.
Pendant que je la sentais affairée à rallumer son ordinateur, je me retrouvais si près de ses jambes que je pouvais en respirer un léger parfum sucré. Discrètement, je descendais ma tête le long de ses mollets en les frôlant. Ainsi ma bouche, enfin, pouvait accompagner mes yeux dans leurs glissades enivrantes. Je remontais jusqu’à ses genoux et plus haut encore que je me cognais au plateau en chêne et indéformable de la table.
- Que je suis maladroite ! J’aurais dû vous laisser faire ! Je vous fais perdre du temps… bon je recommence !
- Pas de souci ! soufflai-je. Projeté dans une autre galaxie, quelles sensations délicieuses je vivais à cet instant ! Etre là ainsi à pouvoir frôler ses jambes, de la bouche et des yeux en même temps … rien à voir avec celles ressenties quand j’en avais que la vue glacée sur l’écran et de loin en plus… très vite la chaleur de cet instant se propagea aux bas du ventre… Ding-tong ! - Oooh ! - Hello ! - Ne bougez pas ! …»
-------
- Excuse-moi mais là j’ai du mal à te suivre !
- C’est sûr ! Moi-même sur le moment, je vivais la situation sans réfléchir. Et le fait de te le raconter, m’excite de nouveau ! Tu ne peux pas voir la scène comme je la vois, là tout de suite ! Encore moins comme je l’ai vécue. J’étais sous une table normande qui servait de bureau à une jeune femme qui m’avait demandé de voir pourquoi elle avait des soucis de connexion. Le travail fini, je m’apprête à sortir de dessous la table et elle vient se mettre debout, juste devant, avec sa petite jupette à mi-cuisse et ses jambes à … à …je ne sais pas ! A même pas dix centimètres de mon visage ! Peux-tu faire l’effort un instant de t’imaginer ce que je vivais ?
- Je comprends ton excitation en effet ! Je t’offre une autre bière pour que tu m’expliques ce « Ding-tong ! Ooh ! Hello ! Ne bougez pas » ?
- Euh oui avec plaisir ! Je lui avais dis de faire un essai tant que j’étais là …
- …. ??
- Oui enfin ! bref ! Elle était là debout contre le bord de la table, je me demande si elle avait vraiment conscience que j’étais encore dessous : ses jambes tout naturellement se passaient de l’une à l’autre l’appui de son corps. Une fois dégagée, l’une ou l’autre soit avançaient vers moi presque à me toucher ou bien au contraire reculait pour aller pudiquement se cacher derrière l’autre en la croisant… je ne sais pas ce qui m’a pris mais bien sûr j’ai commencé à bander !
- Ah Nous y sommes ! Et tu t’es …
- J’en avais vraiment envie mais je n’osais pas.
« Ca y est ! Ca marche ! Vous êtes un as … » Au ton de sa voix, elle était toute guillerette et au mouvement de recul de ses jambes je compris qu’elle allait se pencher vers le dessous de table car quelques mèches rousses dépassèrent tout à coup du bas du plateau :
- Vous êtes encore là ? je ne vous vois pas, vous ….– Ding tonnnng - Oooh souffla-t-elle avec un ton de ravissement en se redressant rapidement!
Une voix féminine enjouée vint de l’entrée :« Hellooo !»
- Ne bougez-pas ! restez-là où vous êtes… vous m’avez entendue ? me fit-elle sèchement à voix presque basse et en se retournant vers la porte en restant sur place et en s’appuyant sur le bord de table pour accueillir sa visiteuse.
- Oui, fis-je doucement. Les pas sur le carrelage blanc firent irruption dans la pièce comme un souffle chaud venant de l’Italie! Des jambes fines revêtues d’un collant clair s’avancèrent vers la table au fond de laquelle j’étais tapi, recroquevillé presque douloureusement mais tellement ravi de ce qui se passait. Les voix qui m’arrivaient me permettant de donner du sens aux jeux de jambes qui se déroulaient dans l’encadrure de la table.
- …mais tu ne m’avais pas dit que tu ne rentrais que …
- Tu es déçue ?
- Ne dis pas de bêtise !
Les deux paires de collant se mélangèrent dans un frémissement léger pendant que, provenant d’en haut, j’entendis les deux respirations s’arrêter avec le son doux de bouches qui fusionnent !
- Bon ça va ! Ne me fais pas un dessin ! Elles s’embrassaient, c’est ça ?
- S’embrasser ??? Je vois bien que tu n’y étais pas ! C’était plus que ça ! Sur le rythme de plus en plus lent des lèvres humides, des respirations s’arrêtant puis reprenant ensemble ou séparément … leurs baisers furent interminables et les souffles de leur respiration s’accélérèrent. A un moment, à peine décollées l’une de l’autre, j’entendis à peine un :
- On ne va pas faire ça ici !
- Pourquoi tu as peur qu’on nous voit … Ah ! C’est à cause de ton voisin, toujours à te mater derrière la fenêtre ! … Tiens je ne le vois pas ! Il te tromperait en matant vicieusement une autre voisine ?
- Ne dis pas de mal de lui ! Il est toujours prêt à me rendre service ! Il m’a même réparé ma panne d’internet ! … mais tu as raison, je crois que mes jambes lui font le meilleur effet!
-Pff ! ça le fait bander, c’est tout ! et ça te plait ? Alors il n’a pas tout vu !
A ce moment, deux mains relevèrent la jupe écossaise qui dépassait du rebord épais de la table et le tissu relevé, tel un lever de rideau, je pus me délecter de la vue de ses cuisses. Au vu du mouvement du collant je compris qu’elles s’étaient faufilées dessous pour aller palper les fesses que je ne pouvais malheureusement pas voir malgré mes efforts, tout en restant invisible, à regarder par dessous
- Viens à la fenêtre qu’il te voit !
- Non ! Je préfère ici !
------
- Hé ! charmante ta voisine ! Elle aime que tu la mates, alors !
- Non ! elle consent ! Cela ne veut pas rien dire de plus !
- En plus je ne m’en étais pas rendu compte sur le moment qu’elle avait pu le dire en pensant en effet que j’étais encore sous la table !
- Et après, que s’est-il passé ?
- Le genou replié de sa visiteuse apparut entre les jambes que je voyais de dos et remonta lentement jusqu’à ce qu’il disparaisse derrière le bord de la table ! Les jambes « encollantées » se fléchirent un peu en laissant les genoux s’écarter et j’entendis un « han » retenu dans un souffle. Très certainement quand la cuisse fut en contact avec son intimité. Cela ne dura pas longtemps car, au vu d’une manche de corsage qui m’apparut, je devinai qu’elle fut remplacée par la main … et là …. Pauvre ! Entre ce que j’entendais des bouches, des souffles, du mouvement des jambes … c’était l’ivresse totale ! Le collant fut baissé jusqu’à mi-cuisse laissant découvrir sa peau claire mouchetée d’une myriade de lucioles rosées … le halètement des respirations, les petits gémissements de plaisir, je n’ai pu me retenir plus longtemps. Je m’approchais le plus possible du bord, mon visage tout près à humer ces jambes dans leurs mouvements de va et vient, les yeux fermés j’ai ouvert ma braguette et j’ai commencé à me branler… le contact soudain et involontaire du creux de son genou droit contre ma bouche me fit reculer. Mais je compris d’instinct en le voyant maintenant immobile que … et de moi-même, en prenant un peu sur moi pour ma timidité, je rapprochai ma bouche pour baiser sa peau ..
- Eh beh ! tu devais être dans quel état sur le moment ! Tout de suite, tu te verrais ! J’ai l’impression que tu y es !
- Non mais tu te rends compte de ce que je te dis ? Pendant qu’elle se faisait faire l’amour par son amie, debout contre la table sous laquelle j’étais, elle m’abandonnait sa jambe pour que je puisse la caresser de mes lèvres ! Non, mais tu te rends compte ?? Je m’appliquais à bisouter tous les petits centimètres carrés de son mollet quand je compris à ses tremblements et aux cris retenus qu’elle allait jouir, là devant moi sur la main de son amie ! La table en trembla presque… … … … …
- Eh oh ! Y’a quelqu’un ? Et…?
- et c’est monté d’un seul coup ! une envie irrépressible. J’ai réussi en me contorsionnant à rapprocher le bassin de sa jambe et en étouffant ma jouissance, je me répandis sur sa jambe un peu partout. Dès que je fus soulagé, je me ré-enfonçais dans ma grotte, me demandant ce qui avait bien m’arriver. Au-dessus de moi, cela s’était calmé et seuls des petits rires me parvenaient au rythme de leurs bouche qui devaient de temps en temps se décoller l’une de l’autre.
J’ai pris un mouchoir pour lui essuyer les gouttes blanches et collantes qui perlaient ça et là sur le bas de sa cuisse, sur son collant replié sur lui-même, sur son mollet …
- Bref tu lui en avais mis partout !
- Après un long moment, je compris qu’elles avaient décidé de se séparer. Pendant que son amie quittait la pièce, elle remonta ses collants et quand elle fut sortie, elle me dit d’un ton neutre comme si de rien ne s’était passé ;
- Houhou, là-dessous ? Y’a-t-il encore quelqu’un ? J’aimerais bien pouvoir m’asseoir à ma table et travailler tranquillement.
Il faudrait que j’arrive à ne plus accepter ces menus travaux, ce n’est plus de mon âge pensais-je tout en essayant, dans l’espace restreint qui restait, de me retourner pour regagner l’air libre.
D’un autre côté je n’avais pu lui refuser de venir voir ce qui la mettait dans un tel état de nervosité ! "Je n’ai plus rien qui fonctionne ! Venez dès que vous pourrez" m’avait-elle confié la veille.
C’est au moment où j’allais pouvoir me déplier, que je la vis.
Assise sur la chaise placée à côté de la fenêtre, avec sa jupe écossaise et son chemisier clair, jambes croisées en collant gris dans la lumière du soleil, mon regard se coinça entre elles sans vraiment vouloir s’en sortir.
- Alors … ?
Sa voix se tut. A mon arrivée, elle m’avait indiqué la direction de là où je devais opérer mais par la suite je ne l’avais pas entendue venir s’asseoir, la pensant hors de la pièce.
Je relevais la tête et son regard bleu m’immobilisa. Pensant que je n’avais pas entendu sa question, elle reprit :
- Alors … ?
- Eh bien … heu .. c’était, je …enfin … mais … finalement …
Je m’arrêtais, la laissant incliner lentement sa tête sur le côté comme si elle voulait décoller quelques mèches rousses de sa joue. Elle pencha légèrement le buste vers ma direction, son visage toujours dans ma direction, ses sourcils, en remontant, fronçant le front. Ses lèvres s’entrouvrir laissant sa bouche marquer d’un sourire bienveillant son intérêt à la réponse.
Devais-je reprendre mon explication ? Silence ! Seul son visage rassurant m’indiquait qu’elle était toute entière avec moi à m’encourager. Que je réussirai certainement à finir ma phrase. Que je ne devais pas rester ainsi dans cette première tentative qi venait d’échouer. Que cela arrivait à tout le monde. Que je devais seulement reprendre ma respiration et que tout irait bien.
Je suivis ce que je compris être son dernier conseil en reprenant une large inspiration et stoppa net, car elle reprit doucement :
- Alors, si je vous comprends bien …
Mon regard retomba sur sa jambe croisée! Le galbe du mollet avec les courbes du talon et du pied … la teinte rosée par la lumière sur le bas de sa cuisse découverte contrastant avec la jupette dans l’ombre qui interdisait pudiquement d’aller plus loin.
- … C’est … ? poursuivit-elle décidée à bien tout comprendre de mon explication.
- C’est … c’est … c’est réglé ! … enfin je pense.
- Tant mieux ! fit-elle dans un sourire, le regard vers ses jambes avant d’accrocher le mien.
Je compris qu’elle avait compris ce qui le retenait. Elle décroisa ses jambes comme pour le faire se décrocher et dans un lent bruissement de collant et se leva.
- Peut-être pourrions-nous faire un essai tant que vous êtes là ? fit-elle timidement comme si mon expertise pouvait se trouver choquer qu’elle décide à ma place
- Tout à fait … un essai pourrait être … en plus étant là … j’allais…
Sans attendre la fin improbable de ce que je disais, elle vint en glissant sur la carrelage clair se placer devant la table. Ses jambes devant moi m’empêchèrent de m’évader. Ce dont je n’avais nullement l’intention d’ailleurs.
Pendant que je la sentais affairée à rallumer son ordinateur, je me retrouvais si près de ses jambes que je pouvais en respirer un léger parfum sucré. Discrètement, je descendais ma tête le long de ses mollets en les frôlant. Ainsi ma bouche, enfin, pouvait accompagner mes yeux dans leurs glissades enivrantes. Je remontais jusqu’à ses genoux et plus haut encore que je me cognais au plateau en chêne et indéformable de la table.
- Que je suis maladroite ! J’aurais dû vous laisser faire ! Je vous fais perdre du temps… bon je recommence !
- Pas de souci ! soufflai-je. Projeté dans une autre galaxie, quelles sensations délicieuses je vivais à cet instant ! Etre là ainsi à pouvoir frôler ses jambes, de la bouche et des yeux en même temps … rien à voir avec celles ressenties quand j’en avais que la vue glacée sur l’écran et de loin en plus… très vite la chaleur de cet instant se propagea aux bas du ventre… Ding-tong ! - Oooh ! - Hello ! - Ne bougez pas ! …»
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- Excuse-moi mais là j’ai du mal à te suivre !
- C’est sûr ! Moi-même sur le moment, je vivais la situation sans réfléchir. Et le fait de te le raconter, m’excite de nouveau ! Tu ne peux pas voir la scène comme je la vois, là tout de suite ! Encore moins comme je l’ai vécue. J’étais sous une table normande qui servait de bureau à une jeune femme qui m’avait demandé de voir pourquoi elle avait des soucis de connexion. Le travail fini, je m’apprête à sortir de dessous la table et elle vient se mettre debout, juste devant, avec sa petite jupette à mi-cuisse et ses jambes à … à …je ne sais pas ! A même pas dix centimètres de mon visage ! Peux-tu faire l’effort un instant de t’imaginer ce que je vivais ?
- Je comprends ton excitation en effet ! Je t’offre une autre bière pour que tu m’expliques ce « Ding-tong ! Ooh ! Hello ! Ne bougez pas » ?
- Euh oui avec plaisir ! Je lui avais dis de faire un essai tant que j’étais là …
- …. ??
- Oui enfin ! bref ! Elle était là debout contre le bord de la table, je me demande si elle avait vraiment conscience que j’étais encore dessous : ses jambes tout naturellement se passaient de l’une à l’autre l’appui de son corps. Une fois dégagée, l’une ou l’autre soit avançaient vers moi presque à me toucher ou bien au contraire reculait pour aller pudiquement se cacher derrière l’autre en la croisant… je ne sais pas ce qui m’a pris mais bien sûr j’ai commencé à bander !
- Ah Nous y sommes ! Et tu t’es …
- J’en avais vraiment envie mais je n’osais pas.
« Ca y est ! Ca marche ! Vous êtes un as … » Au ton de sa voix, elle était toute guillerette et au mouvement de recul de ses jambes je compris qu’elle allait se pencher vers le dessous de table car quelques mèches rousses dépassèrent tout à coup du bas du plateau :
- Vous êtes encore là ? je ne vous vois pas, vous ….– Ding tonnnng - Oooh souffla-t-elle avec un ton de ravissement en se redressant rapidement!
Une voix féminine enjouée vint de l’entrée :« Hellooo !»
- Ne bougez-pas ! restez-là où vous êtes… vous m’avez entendue ? me fit-elle sèchement à voix presque basse et en se retournant vers la porte en restant sur place et en s’appuyant sur le bord de table pour accueillir sa visiteuse.
- Oui, fis-je doucement. Les pas sur le carrelage blanc firent irruption dans la pièce comme un souffle chaud venant de l’Italie! Des jambes fines revêtues d’un collant clair s’avancèrent vers la table au fond de laquelle j’étais tapi, recroquevillé presque douloureusement mais tellement ravi de ce qui se passait. Les voix qui m’arrivaient me permettant de donner du sens aux jeux de jambes qui se déroulaient dans l’encadrure de la table.
- …mais tu ne m’avais pas dit que tu ne rentrais que …
- Tu es déçue ?
- Ne dis pas de bêtise !
Les deux paires de collant se mélangèrent dans un frémissement léger pendant que, provenant d’en haut, j’entendis les deux respirations s’arrêter avec le son doux de bouches qui fusionnent !
- Bon ça va ! Ne me fais pas un dessin ! Elles s’embrassaient, c’est ça ?
- S’embrasser ??? Je vois bien que tu n’y étais pas ! C’était plus que ça ! Sur le rythme de plus en plus lent des lèvres humides, des respirations s’arrêtant puis reprenant ensemble ou séparément … leurs baisers furent interminables et les souffles de leur respiration s’accélérèrent. A un moment, à peine décollées l’une de l’autre, j’entendis à peine un :
- On ne va pas faire ça ici !
- Pourquoi tu as peur qu’on nous voit … Ah ! C’est à cause de ton voisin, toujours à te mater derrière la fenêtre ! … Tiens je ne le vois pas ! Il te tromperait en matant vicieusement une autre voisine ?
- Ne dis pas de mal de lui ! Il est toujours prêt à me rendre service ! Il m’a même réparé ma panne d’internet ! … mais tu as raison, je crois que mes jambes lui font le meilleur effet!
-Pff ! ça le fait bander, c’est tout ! et ça te plait ? Alors il n’a pas tout vu !
A ce moment, deux mains relevèrent la jupe écossaise qui dépassait du rebord épais de la table et le tissu relevé, tel un lever de rideau, je pus me délecter de la vue de ses cuisses. Au vu du mouvement du collant je compris qu’elles s’étaient faufilées dessous pour aller palper les fesses que je ne pouvais malheureusement pas voir malgré mes efforts, tout en restant invisible, à regarder par dessous
- Viens à la fenêtre qu’il te voit !
- Non ! Je préfère ici !
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- Hé ! charmante ta voisine ! Elle aime que tu la mates, alors !
- Non ! elle consent ! Cela ne veut pas rien dire de plus !
- En plus je ne m’en étais pas rendu compte sur le moment qu’elle avait pu le dire en pensant en effet que j’étais encore sous la table !
- Et après, que s’est-il passé ?
- Le genou replié de sa visiteuse apparut entre les jambes que je voyais de dos et remonta lentement jusqu’à ce qu’il disparaisse derrière le bord de la table ! Les jambes « encollantées » se fléchirent un peu en laissant les genoux s’écarter et j’entendis un « han » retenu dans un souffle. Très certainement quand la cuisse fut en contact avec son intimité. Cela ne dura pas longtemps car, au vu d’une manche de corsage qui m’apparut, je devinai qu’elle fut remplacée par la main … et là …. Pauvre ! Entre ce que j’entendais des bouches, des souffles, du mouvement des jambes … c’était l’ivresse totale ! Le collant fut baissé jusqu’à mi-cuisse laissant découvrir sa peau claire mouchetée d’une myriade de lucioles rosées … le halètement des respirations, les petits gémissements de plaisir, je n’ai pu me retenir plus longtemps. Je m’approchais le plus possible du bord, mon visage tout près à humer ces jambes dans leurs mouvements de va et vient, les yeux fermés j’ai ouvert ma braguette et j’ai commencé à me branler… le contact soudain et involontaire du creux de son genou droit contre ma bouche me fit reculer. Mais je compris d’instinct en le voyant maintenant immobile que … et de moi-même, en prenant un peu sur moi pour ma timidité, je rapprochai ma bouche pour baiser sa peau ..
- Eh beh ! tu devais être dans quel état sur le moment ! Tout de suite, tu te verrais ! J’ai l’impression que tu y es !
- Non mais tu te rends compte de ce que je te dis ? Pendant qu’elle se faisait faire l’amour par son amie, debout contre la table sous laquelle j’étais, elle m’abandonnait sa jambe pour que je puisse la caresser de mes lèvres ! Non, mais tu te rends compte ?? Je m’appliquais à bisouter tous les petits centimètres carrés de son mollet quand je compris à ses tremblements et aux cris retenus qu’elle allait jouir, là devant moi sur la main de son amie ! La table en trembla presque… … … … …
- Eh oh ! Y’a quelqu’un ? Et…?
- et c’est monté d’un seul coup ! une envie irrépressible. J’ai réussi en me contorsionnant à rapprocher le bassin de sa jambe et en étouffant ma jouissance, je me répandis sur sa jambe un peu partout. Dès que je fus soulagé, je me ré-enfonçais dans ma grotte, me demandant ce qui avait bien m’arriver. Au-dessus de moi, cela s’était calmé et seuls des petits rires me parvenaient au rythme de leurs bouche qui devaient de temps en temps se décoller l’une de l’autre.
J’ai pris un mouchoir pour lui essuyer les gouttes blanches et collantes qui perlaient ça et là sur le bas de sa cuisse, sur son collant replié sur lui-même, sur son mollet …
- Bref tu lui en avais mis partout !
- Après un long moment, je compris qu’elles avaient décidé de se séparer. Pendant que son amie quittait la pièce, elle remonta ses collants et quand elle fut sortie, elle me dit d’un ton neutre comme si de rien ne s’était passé ;
- Houhou, là-dessous ? Y’a-t-il encore quelqu’un ? J’aimerais bien pouvoir m’asseoir à ma table et travailler tranquillement.
5 years ago
Bizarrement, cela fonctionne exactement dans le sens inverse que si je restais trop longtemps à rêvasser devant votre avatar!
En ne voyant que ses jambes, mon imaginaire est en mesure de voir le haut!
Et pour vous, en voyant le haut, il me permet de voir le bas!
En fait qu'importe le sens de la visite!
Je n'ai vraiment pas la prétention de savoir écrire car c'était juste pour illustrer ce que mon 'imaginaire (à force de rêvasser devant la photo d'une paire de jambes féminines appartenant à un de "mes" contacts sur le réseau) m'avait permis de "voir"!
Je ne pensais pas pouvoir le "montrer" à quelqu'un d'autre qu'elle!
Merci de votre retour.
Fantaisie, tout à fait; chaude, tant mieux!
En fait, c'est une jeune femme dont j'admire les jambes depuis longtemps. Un de ses photos me l'a inspirée: c'était à son intention. Mais ce qui me surprend le plus, c'est que j'ai tellement fini par y croire d'être sous la table, c'est que ... ça m'excitait! Va comprendre les fantasmes!