De passage
Me voici de nouveau à l'hôtel, comme souvent, après une journée de voyage et de réunions professionnelles.
Je laisse mes collègues de travail et rejoins ma chambre que j'ai pris dans un autre établissement, comme je le fais d'habitude, pour me livrer à mes petits jeux de soirée, érotiques et solitaires, en toute tranquillité.
Une fois dans ma chambre, le rituel commence. Déshabillage, douche, un petit plug, de jolis dessous et des bas sombres, puis rhabillage en homme par-dessus. Ce soir-là, je porte en guise de parure un body dentelle noire dont j'adore le contact avec ma peau.
Je descends au restaurant de l'hôtel, m'assois lascivement sur l'un des canapés pour boire un apéritif avant de manger. Impossible de ne pas remarquer au bout de quelques minutes le regard qui se pose sur moi. Un Monsieur plus âgé et distingué, qui me fixe et détourne le regard à chaque fois que je lève les yeux.
Je passe à table, je ne le vois plus, mais le sens à la table derrière moi.
De nature timide, je ne laisse rien transparaître. Pourtant ce soir, j'ai envie de me cambrer, de m'assoir de façon à la fois suggestive et discrète. Le repas se termine, je sors fumer une cigarette, alors qu'il me rejoint dehors.
Il me salue, me confie quelques banalités d'usage pendant que nous fumons, et alors que je vais partir, il me glisse : "jolis dessous".
Je suis pris au dépourvu. Si j'avais bien perçu son intérêt, je ne pensais pas que je serais démasqué, me livrant habituellement à mes jeux seul(e). Il me voit rougir, me rassure, il a juste aperçu ma dentelle sous mon pull au moment où je me suis assis pour boire un verre.
La discussion s'engage. Non, je n'ai pas d'expérience avec un homme, oui je suis aussi excité que stressé. Il me dit souvent regarder des vidéos avec des trans et travestis, lui qui est bisexuel depuis toujours, et lui confie en retour mon goût pour la chose. Je franchis les limites de ma timidité. Donne-moi quelques minutes et rejoins-moi dans ma chambre ; je suis moi-même surpris de ce que je viens de dire.
Je remonte en vitesse. Déshabillage, je reste en dessous en refixant mon body transparent en dentelle et mes bas, sans oublier d'enlever mon plug, je ne veux pas lui donner plus d'idées qu'il n'en a déjà. Je baisse la lumière au maximum, sûr que la pénombre m'aidera à me révéler.
Je tremble comme une feuille, la peur et l'excitation se mêlent en une sensation curieuse.
Quelques instants après, il frappe ; je lui ouvre en restant derrière la porte, il rentre, ordinateur à la main.
Nouvelles banalités, il voit bien mon stress.
Il s'assoit sur le lit, ouvre son ordi et lance une vidéo. Nous aimons donc bien les mêmes choses ; je m'allonge à ses côtés et regarde aussi ces deux travestis lancés dans un 69 endiablé.
Mon sexe gonfle de façon clairement visible ; il pose la main dessus, sans enlever la dentelle, et commence à me caresser par-dessus mon body. Mon cul se contracte à chacun de ses passages sensuels, et je commence à me cambrer.
Quitte à y être, autant le faire bien. Je me retourne face à l'ordinateur et suis maintenant sur le ventre, jambes repliées. Il me caresse, passant de temps à autre sa main sous la fine bretelle qui se glisse entre mes fesses. Premiers contacts avec ma rondelle, il s'y prend bien... tout autour, sans forcer, les restes de lubrifiant de mon plug rendent la caresse très agréable. J'en veux plus. Je me lève sur les genoux, et une fois à quatre pattes il commence doucement à me doigter, tout en douceur, et il sait faire, n'oubliant pas de dégager ma queue de son emprise de lingerie, devenue trop étroite pour tout ce désir.
Il me lèche les fesses, me caresse en même temps, me doigte, je sens que je n'en peux plus. Je défais sa braguette, commence à le branler, et sur une impulsion soudaine, je commence à le sucer. Je le sens retenir son sperme. Il me remet sur le dos, et me gicle copieusement dessus. Je n'avais jamais vu une telle quantité de sperme, mon body est trempé, mon ventre dessous aussi ; immédiatement, je jouis à mon tour.
A ce moment là, il récolte les dernières gouttes en me suçant langoureusement.
Je suis épuisé, mais le film se poursuit, et mon érection reprend de plus belle.
Il passera la nuit à me caresser, me doigter et me faire jouir. Au petit matin, il est parti.
J'ai un peu dormi, me suis douché, rangé mes affaires, pris un sommaire petit déjeuner et repris la route.
A chaque fois que je vais à l'hôtel, j'espère retomber sur toi. Si tu me lis... écris moi.
Je laisse mes collègues de travail et rejoins ma chambre que j'ai pris dans un autre établissement, comme je le fais d'habitude, pour me livrer à mes petits jeux de soirée, érotiques et solitaires, en toute tranquillité.
Une fois dans ma chambre, le rituel commence. Déshabillage, douche, un petit plug, de jolis dessous et des bas sombres, puis rhabillage en homme par-dessus. Ce soir-là, je porte en guise de parure un body dentelle noire dont j'adore le contact avec ma peau.
Je descends au restaurant de l'hôtel, m'assois lascivement sur l'un des canapés pour boire un apéritif avant de manger. Impossible de ne pas remarquer au bout de quelques minutes le regard qui se pose sur moi. Un Monsieur plus âgé et distingué, qui me fixe et détourne le regard à chaque fois que je lève les yeux.
Je passe à table, je ne le vois plus, mais le sens à la table derrière moi.
De nature timide, je ne laisse rien transparaître. Pourtant ce soir, j'ai envie de me cambrer, de m'assoir de façon à la fois suggestive et discrète. Le repas se termine, je sors fumer une cigarette, alors qu'il me rejoint dehors.
Il me salue, me confie quelques banalités d'usage pendant que nous fumons, et alors que je vais partir, il me glisse : "jolis dessous".
Je suis pris au dépourvu. Si j'avais bien perçu son intérêt, je ne pensais pas que je serais démasqué, me livrant habituellement à mes jeux seul(e). Il me voit rougir, me rassure, il a juste aperçu ma dentelle sous mon pull au moment où je me suis assis pour boire un verre.
La discussion s'engage. Non, je n'ai pas d'expérience avec un homme, oui je suis aussi excité que stressé. Il me dit souvent regarder des vidéos avec des trans et travestis, lui qui est bisexuel depuis toujours, et lui confie en retour mon goût pour la chose. Je franchis les limites de ma timidité. Donne-moi quelques minutes et rejoins-moi dans ma chambre ; je suis moi-même surpris de ce que je viens de dire.
Je remonte en vitesse. Déshabillage, je reste en dessous en refixant mon body transparent en dentelle et mes bas, sans oublier d'enlever mon plug, je ne veux pas lui donner plus d'idées qu'il n'en a déjà. Je baisse la lumière au maximum, sûr que la pénombre m'aidera à me révéler.
Je tremble comme une feuille, la peur et l'excitation se mêlent en une sensation curieuse.
Quelques instants après, il frappe ; je lui ouvre en restant derrière la porte, il rentre, ordinateur à la main.
Nouvelles banalités, il voit bien mon stress.
Il s'assoit sur le lit, ouvre son ordi et lance une vidéo. Nous aimons donc bien les mêmes choses ; je m'allonge à ses côtés et regarde aussi ces deux travestis lancés dans un 69 endiablé.
Mon sexe gonfle de façon clairement visible ; il pose la main dessus, sans enlever la dentelle, et commence à me caresser par-dessus mon body. Mon cul se contracte à chacun de ses passages sensuels, et je commence à me cambrer.
Quitte à y être, autant le faire bien. Je me retourne face à l'ordinateur et suis maintenant sur le ventre, jambes repliées. Il me caresse, passant de temps à autre sa main sous la fine bretelle qui se glisse entre mes fesses. Premiers contacts avec ma rondelle, il s'y prend bien... tout autour, sans forcer, les restes de lubrifiant de mon plug rendent la caresse très agréable. J'en veux plus. Je me lève sur les genoux, et une fois à quatre pattes il commence doucement à me doigter, tout en douceur, et il sait faire, n'oubliant pas de dégager ma queue de son emprise de lingerie, devenue trop étroite pour tout ce désir.
Il me lèche les fesses, me caresse en même temps, me doigte, je sens que je n'en peux plus. Je défais sa braguette, commence à le branler, et sur une impulsion soudaine, je commence à le sucer. Je le sens retenir son sperme. Il me remet sur le dos, et me gicle copieusement dessus. Je n'avais jamais vu une telle quantité de sperme, mon body est trempé, mon ventre dessous aussi ; immédiatement, je jouis à mon tour.
A ce moment là, il récolte les dernières gouttes en me suçant langoureusement.
Je suis épuisé, mais le film se poursuit, et mon érection reprend de plus belle.
Il passera la nuit à me caresser, me doigter et me faire jouir. Au petit matin, il est parti.
J'ai un peu dormi, me suis douché, rangé mes affaires, pris un sommaire petit déjeuner et repris la route.
A chaque fois que je vais à l'hôtel, j'espère retomber sur toi. Si tu me lis... écris moi.
5 years ago