De l'aventure d etre cocu

Tout a commencĂ© un soir d’octobre. AprĂšs un an pendant lequel ma chĂ©rie est restĂ©e Ă  la maison pour s’occuper de notre fils, elle a repris le travail dans une nouvelle structure.
Un soir, donc, quelques jours aprĂšs sa reprise, elle rentre Ă  la maison et me dit qu’elle pense avoir tapĂ© dans l’Ɠil d’un commerçant du quartier de son boulot. Elle m’explique que ce jeune homme la salue avec un sourire espiĂšgle Ă  chacun de ses passages devant sa boutique, allant mĂȘme jusqu’à sortir sur le pas de la porte lorsqu’il la voit passer.
Nous sommes un couple plutĂŽt libre. Bisexuels tous les deux, nous avons eu plusieurs fois l’occasion de mĂȘler Ă  nos Ă©bats des compagnons de passage, des hommes aussi bien que des femmes. Mais j’avais un fantasme dont j’avais parlĂ© Ă  ma compagne : qu’elle me trompe ! Plus exactement qu’elle me fasse cocu. Je lui en avais dĂ©jĂ  souvent parlĂ©, lors de nos rapports, mais elle l’avait toujours pris plus ou moins Ă  la rigolade, me disant par ailleurs qu’elle ne pensait pas qu’elle se sentirait trĂšs Ă  l’aise avec un autre hors de ma prĂ©sence.
J’avais souvent, Ă  l’occasion de nos trios, pris un peu de recul pour l’admirer prendre son plaisir dans les bras de notre invitĂ©, mais elle avait toujours paru se retenir. Quoi qu’il en soit j’adorais la regarder faire l’amour avec un autre homme.
Bien entendu, j’étais sĂ»r qu’en me parlant de ce jeune homme, elle savait ce qu’elle faisait, et que cela alimenterait mes fantasmes. Je lui dis donc que si elle en avait envie, et que ce garçon lui plaisait, elle avait ma bĂ©nĂ©diction pour aller jusqu’oĂč elle le souhaitait avec lui, Ă  la seule condition de me raconter tout ce qu’ils pourraient faire ensemble, au minimum, voire de me ramener des « tĂ©moignages » plus directs de leurs Ă©ventuels Ă©bats.
Puis nous n’en avons plus reparlĂ© pendant quelque temps.
Un soir de novembre, alors qu’elle rentrait Ă  la maison aprĂšs avoir fini tard, elle me dit qu’elle Ă©tait passĂ©e Ă  la boutique, histoire de voir si son ressenti vis-Ă -vis du jeune homme Ă©tait juste. AprĂšs avoir discutĂ© un peu des produits qu’il vendait, et lui avoir prĂ©sentĂ© l’ensemble de sa gamme, il lui a proposĂ© d’aller boire un verre ensemble. Elle me dit lui avoir rĂ©pondu « Pourquoi pas, mais pas aujourd’hui », avec un petit sourire, puis ils ont Ă©changĂ© leurs numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone, et se sont sĂ©parĂ©s.
Elle me demanda si j’étais toujours d’accord pour la laisser faire ce qu’elle veut, compte tenu qu’en effet, le jeune homme est mignon, et tout Ă  fait charmant. Alors que j’allai lui rĂ©pondre que je n’avais pas changĂ© d’avis, et que j’étais dĂ©jĂ  excitĂ© Ă  l’idĂ©e qu’elle s’abandonne dans les bras d’un autre homme, son tĂ©lĂ©phone a sonnĂ© pour lui signaler l’arrivĂ©e d’un SMS.
Évidemment, c’était lui ! Il voulait juste s’assurer, Ă©crivait-il, que le numĂ©ro Ă©tait juste, et qu’elle Ă©tait toujours d’accord pour aller boire ce verre. Elle me fit lire le message, qui terminait par un emoji baiser, et me regarda pour s’assurer de mon feu vert. Je hochai la tĂȘte pour le lui signifier. Elle lui rĂ©pondit donc que c’était OK pour elle, et que ce serait mĂȘme avec grand plaisir, et termina elle aussi son SMS par le mĂȘme emoji.
Puis elle me dit qu’elle ne l’avait pas informĂ© qu’elle Ă©tait en couple, de crainte que cela le fasse changer d’avis. Je lui dis qu’il serait peut-ĂȘtre prĂ©fĂ©rable qu’elle le lui dise, sans forcĂ©ment lui donner les dĂ©tails de notre arrangement, afin qu’il ne se fasse pas de fausses idĂ©es sur ses intentions.
Elle reprit donc son téléphone, et lui envoya le message suivant :
« Par contre, je prĂ©fĂ©rerais qu’on aille boire ce verre un midi, ou un jour oĂč je ne finis pas le boulot tard. Je suis en couple, et je n’ai pas envie de chercher une excuse pour rentrer trop tard. : -* »
AprÚs quelques minutes, son téléphone à nouveau :
« Pas de souci pour moi, je comprends. Disons, si tu es dispo demain midi, pour commencer
 : -* »
Puis aprĂšs quelques secondes, nouveau SMS :
« 
 partout ! ; -)
VoilĂ  qui Ă©tait clair, le futur amant avait tout compris des intentions de ma belle, ce qui n’était pas pour lui dĂ©plaire (quant Ă  moi
).
Sa réponse ne tarda pas :
« Demain midi, OK ! Tu connais un endroit tranquille dans le quartier ? »
« Passe Ă  la boutique vers midi, je t’emmĂšne dans un bar que je connais. T’auras un peu de temps ? »
« Pas plus d’une heure si c’est tout prĂšs. Ça laisse quand mĂȘme un peu de temps ; -) »
« On fait comme ça, bonne nuit, et à demain ! : -* »
— VoilĂ , me dit-elle
 Tu ne vas pas tarder Ă  voir ton fantasme se rĂ©aliser, j’espĂšre que ça te plaira ! En tout cas, moi, je suis toute chose d’y penser.
Pour seule rĂ©ponse, je m’approchai d’elle, posai une main sur ses fesses pour coller son corps contre le mien, et lui faire sentir comme la situation me plaisait d’ores et dĂ©jĂ , et l’embrasser avec amour. Puis nous avons dĂźnĂ©, et sommes allĂ©s au lit de bonne heure
 La tĂ©lĂ© ne nous intĂ©ressait pas particuliĂšrement ce soir-lĂ , allez savoir pourquoi.
Le lendemain matin, ma chĂ©rie s’est levĂ©e tĂŽt. Lorsque je me suis levĂ© un peu plus tard qu’elle, elle Ă©tait dans la salle de bains, en train de finir de se pomponner. Elle Ă©tait maquillĂ©e et coiffĂ©e comme elle ne le faisait presque jamais pour aller au travail (ça allait faire jaser
), souriante et d’une excellente humeur, pour une heure si matinale. Je cherchai Ă  voir quelle lingerie elle avait choisie, mais elle se dĂ©roba, et me dit :
— Tu verras ce soir, je garde la primeur pour Paul.
Sur ce, alors que je descendais pour prendre mon dĂ©jeuner, elle se mit en route, non sans que nous ayons Ă©changĂ© un long baiser d’amoureux. J’étais dĂ©jĂ  fort excitĂ©, et me demandais comment j’allais tenir jusqu’à ce qu’elle rentre.
Puis la matinĂ©e est passĂ©e doucement, non sans que je pense rĂ©guliĂšrement Ă  ma chĂ©rie, qui devait ĂȘtre assez peu concentrĂ©e sur son job, et Ă  son rendez-vous de midi. Vers 11 h 45, je lui envoyai un SMS :
« Passe une bonne pause dĂ©jeuner, je t’aime ! »
À midi, mon tĂ©lĂ©phone me signala un SMS :
« J’y vais, je te tiens au courant ! Je t’aime ! »
D’un seul coup, mes sous-vĂȘtements me parurent extrĂȘmement Ă©troits !
Les minutes passĂšrent, bien sĂ»r j’attendais avec impatience des nouvelles, mais je savais que si tout se passait bien pour elle, ma douce ne m’en enverrait pas avant une heure. Puis vers treize heures, en effet, un SMS de ma compagne :
« Je retourne bosser, excellente pause déj, mais trop courte. Je rentrerai un peu tard ce soir. »
LĂ , je ne tenais plus, mon sexe Ă©tait douloureux Ă  force d’ĂȘtre tendu.
Quelques minutes plus tard, nouveau message. C’est un MMS, cette fois-ci. Le temps qu’il s’ouvre, et je vis une main que je reconnus aisĂ©ment ĂȘtre celle de StĂ©phanie, les doigts serrĂ©s autour d’un sexe que je ne connaissais pas, avec ce commentaire :
« Prise vite faite sous la table, au bar. »
Tout de suite aprĂšs, un autre message, cette fois, la photo montre une main d’homme glissĂ©e dans le jean de ma chĂ©rie, toujours sous une table.
Je rĂ©pondis rapidement Ă  ces trois messages qu’il n’y a pas de souci, qu’elle rentre quand elle veut, et que je vois qu’elle semble en effet avoir passĂ© une pause dĂ©j’ bien agrĂ©able.
L’aprĂšs-midi passa puis, vers 17 heures, je reçus un nouveau message de StĂ©phanie :
« Je te tiens au courant quand je rentre, ne m’attends pas de bonne heure. »
J’ai ainsi attendu une bonne partie de la soirĂ©e, fais manger notre fils, et l’ai mis au lit, puis me suis installĂ© devant la tĂ©lĂ© en attendant le retour de ma charmante cocufieuse.
C’est Ă  prĂšs de 23 heures que je reçus un message pour me dire qu’elle prenait le train, et qu’elle serait lĂ  vers minuit. Ce massage Ă©tait suivi immĂ©diatement d’un nouveau MMS, avec cette fois-ci une photo de ma compagne, la bouche dĂ©formĂ©e par le sexe de Paul, qu’elle semblait sucer avec beaucoup d’application. La photo Ă©tait visiblement prise par le propriĂ©taire du membre viril. Je me demandai si elle lui a parlĂ© de notre arrangement

Vers minuit, comme promis, j’entendis la porte d’entrĂ©e de la maison qui s’ouvrait, et quelques minutes aprĂšs, ma douce et tendre vint me rejoindre dans le canapĂ©. Sa coiffure est un peu moins bien arrangĂ©e que ce matin quand elle Ă©tait partie, et de son maquillage ne subsistaient que quelques traces. Elle Ă©tait radieuse !
Elle s’assit Ă  cĂŽtĂ© de moi, et me demanda si je voulais toujours qu’elle me raconte sa journĂ©e.
Curieusement j’hĂ©sitais quelques instants entre rester sur mon fantasme, sachant qu’elle l’avait rĂ©alisĂ© et en ayant enregistrĂ© quelques « preuves » dans mon tĂ©lĂ©phone, ou lui demander de me raconter par le menu toutes les cochonneries qu’elle avait faites avec Paul. C’est finalement la deuxiĂšme option que je choisis, pour le plus grand bonheur, semble-t-il, de ma chĂ©rie.
Elle avait visiblement pensĂ© Ă  un petit scĂ©nario pour me conter ses exploits. Elle me demanda de me dĂ©shabiller, et de m’installer confortablement sur le canapĂ©. Je m’exĂ©cutai, ce qui lui permit de dĂ©couvrir l’érection qui ne m’a pas quittĂ©e de la journĂ©e, pour ainsi dire.
Puis elle se leva, alla jusqu’à son sac, dont elle sortit son tĂ©lĂ©phone, et un autre objet, qu’elle serrait dans sa main.
— D’abord, voilĂ  un tĂ©moignage de mon escapade me dit-elle, en me tendant l’objet.
C’est son string, celui qu’elle ne m’avait pas laissĂ© voir ce matin. Il Ă©tait collant, et sentait le sperme Ă  des kilomĂštres.
— Je me suis dit que tu aimerais l’avoir sous le nez pendant que je te raconterai. J’ai demandĂ© Ă  Paul de ne pas jouir dans le prĂ©servatif, mais dans mon string, pour que tu voies comme je suis salope. Oui, je lui ai dit que j’étais lĂ  avec ton accord, il a trouvĂ© ça trĂšs amusant.
J’ai donc la rĂ©ponse Ă  la question que je me posais. Voici, Ă  quelques mots prĂšs, le rĂ©cit qu’elle me fit alors que je respirais l’odeur de son amant sur sa peau, et sur ses sous-vĂȘtements :
— Ce midi, comme prĂ©vu, je l’ai retrouvĂ© Ă  la boutique. Nous sommes allĂ©s dans un bar qu’il connaissait, Ă  quelques rues de lĂ . On s’est installĂ©s Ă  une table au fond, cĂŽte Ă  cĂŽte sur la banquette, Ă  l’abri des regards des quelques autres clients. Avant mĂȘme d’avoir commandĂ©, il m’a embrassĂ©e. Tu sais que j’adore les baisers, je lui ai rendu le sien avec toute la passion dont je suis capable.
Puis on a commandĂ©, et discutĂ© un peu avant que les verres n’arrivent. DĂšs que nous avons eu nos commandes, il s’est serrĂ© contre moi, et a glissĂ© une main sous mon haut, pour caresser mes seins. Nous Ă©changions des baisers trĂšs, trĂšs chauds, tout en sirotant nos verres. Au bout d’un moment, j’ai glissĂ© ma main sous la table directement sur sa braguette. J’ai senti une belle queue bien dure qui n’attendait que moi. Je l’ai caressĂ©e un peu par-dessus le jean, puis j’ai ouvert la braguette, et pris en main sa bite bien dure pour le masturber. Comme tu as pu voir sur les photos, c’est le genre de queue que j’aime, Ă©paisse, pas trop longue, avec un beau gland bien rond. Je m’en suis donnĂ© Ă  cƓur joie pour lui faire du bien, tu peux me croire. Il dĂ©goulinait littĂ©ralement, j’en avais plein la main.
Mais il ne semblait pas avoir envie de s’en tenir lĂ . Il avait compris que j’étais dĂ©cidĂ©e Ă  faire ma salope, alors il a commencĂ© lui aussi Ă  me caresser par-dessus le jean, puis il a ouvert ma braguette, et a glissĂ© directement vers ma chatte. J’étais trempĂ©e, encore plus que lui. Il m’a caressĂ© le clito quelques minutes, j’ai joui presque tout de suite. Heureusement, il avait sa langue dans ma bouche, sinon, j’aurais attirĂ© tous les clients du bar. AprĂšs que j’ai joui, il a enfoncĂ© deux doigts entre mes cuisses, il n’a eu aucun mal Ă  les rentrer en entier, aprĂšs que j’ai soulevĂ© mes fesses pour faire glisser un peu mon jean. Il m’a branlĂ©e comme ça jusqu’à ce que je jouisse encore. Malheureusement, il Ă©tait presque l’heure que je retourne au boulot, alors il m’a dit : «Tu ne vas pas me laisser comme ça, quand mĂȘme ? » J’ai donc repris ma masturbation, pendant qu’il me racontait des cochonneries Ă  l’oreille. Il a joui trĂšs vite dans ma main. J’ai attrapĂ© une serviette en papier sur la table, j’ai essuyĂ© le sperme qui collait mes doigts, et lui en ai passĂ© une aussi, pour qu’il puise se rhabiller.
J’ai remontĂ© mon jean, refermĂ© ma braguette, et nous sommes sortis du bar. Il m’a dit que c’était dommage que nous devions nous arrĂȘter lĂ , il avait encore faim. C’est lĂ  que je t’ai envoyĂ© le premier SMS, en lui disant qu’il n’y avait pas de problĂšme, qu’on avait qu’à se retrouver Ă  17 heures quand je sortirai. Il m’a laissĂ©e Ă  quelques rues du boulot, avec un gros baiser baveux, et en me pelotant les fesses. Je t’ai envoyĂ© les deux MMS juste avant de reprendre, avec seulement cinq minutes de retard, et avec le string trempĂ©, j’avais l’impression de faire floc floc en marchant

Pendant tout ce récit, elle me caressait doucement la queue, mais sans jamais y aller franchement. Puis elle me dit :
— Si tu veux que je te raconte ma soirĂ©e aussi, il va falloir y mettre du tien.
— Tout ce que tu voudras, ma chĂ©rie, du moment que tu me racontes.
Alors, elle me fit lever du canapĂ©, puis retira son jean, et s’installa, jambes ouvertes. Je compris immĂ©diatement le message et m’installai moi aussi, la tĂȘte entre ses cuisses pour lĂ©cher ce sexe qui Ă©tait rempli quelques heures auparavant de la queue d’un autre.
Elle reprit son récit, non sans quelques interruptions pour exprimer le plaisir que je lui donnais.
— Je l’ai donc retrouvĂ© comme prĂ©vu aprĂšs le boulot, devant sa boutique. Il m’a Ă  nouveau embrassĂ©e Ă  pleine bouche en me pelotant les fesses, et m’a invitĂ©e Ă  le suivre chez lui, juste Ă  cĂŽtĂ©.
À peine la porte refermĂ©e, on s’est jetĂ©s l’un sur l’autre, pour se dĂ©shabiller, et se caresser tout le corps, ce que nous n’avions pas pu faire ce midi.
Puis il m’a entraĂźnĂ©e dans sa chambre (l’appart’ est petit, c’était vite fait), et m’a fait allonger sur son lit, pour me lĂ©cher, exactement comme tu le fais maintenant. Il sait trĂšs bien s’y prendre, et inutile de te dire qu’aprĂšs la sĂ©ance de ce midi, j’étais particuliĂšrement rĂ©ceptive. Il m’a fait dĂ©coller en quelques minutes, et ne s’est arrĂȘtĂ© qu’aprĂšs mon troisiĂšme orgasme.
Il me fourrait ses doigts tout en me suçant le clito, je sentais le mĂ©lange de mouille et de salive qui coulait sur ma chatte, et le long de la raie de mes fesses, et j’imaginais en mĂȘme temps que j’allais te raconter ça
 C’était
 mmmmh !
AprĂšs mon troisiĂšme orgasme, donc, il s’est arrĂȘtĂ©, et s’est relevĂ© pour me prĂ©senter sa belle queue. Elle me paraissait plus grosse et plus dure que ce midi, au bar, et il avait une goutte qui coulait du gland. Je ne me suis pas fait prier pour la cueillir avec ma langue avant de commencer Ă  le sucer. C’est lĂ  que je lui ai demandĂ© de faire une photo avec mon tĂ©lĂ©phone. Comme il m’a demandĂ© pourquoi je faisais des photos comme ça, je lui ai expliquĂ© que tu Ă©tais Ă  la maison, et que tu attendais avec impatience le rĂ©cit de mes aventures. Il s’en est donnĂ© Ă  cƓur joie, tu pourras regarder les photos quand j’aurai fini de te raconter.
J’ai donc repris ma pipe, le suçant avec application, et l’écoutant gĂ©mir, comme je fais quand je te suce. Il avait posĂ© sa main derriĂšre ma tĂȘte et accompagnait chacun de mes mouvements d’une lĂ©gĂšre poussĂ©e. Au bout d’un bon moment (c’est qu’il est endurant, en plus), je l’ai senti se contracter, j’ai voulu retirer sa queue de ma bouche, mais il me tenait la tĂȘte, et il a joui comme ça, debout, dans ma gorge. Et puis il m’a dit :
— Alors comme ça, tu es une salope, ouvre la bouche pour montrer à ton mec comment tu suces bien

— Je ne sais pas pourquoi, mais, ça m’a excitĂ©e, alors j’ai ouvert la bouche, et il a fait une photo de son sperme sur ma langue. Et puis, j’ai avalĂ©, et j’ai Ă  nouveau ouvert la bouche, et il a pris une autre photo.
Mais c’est qu’il ne dĂ©bandait pas le cochon ! Il m’a Ă  nouveau allongĂ©e sur le lit, et m’a relevĂ© les jambes, avant de se mettre Ă  me lĂ©cher la chatte, et la raie des fesses. Il faisait entrer et sortir sa langue une fois dans mon sexe, une fois dans mon petit trou, que je sentais se dilater Ă  chaque passage. Il faisait ça trĂšs bien, sans insistance, mais sans non plus me laisser le choix. Au bout d’un moment, il a dĂ©laissĂ© ma chatte, pour rentrer et sortir sa langue uniquement de mon petit trou. Et ça ne me chatouillait pas
 Au contraire ! Je gĂ©missais de plaisir, comme une chatte en chaleur.
AprĂšs un petit moment de ce traitement, il est venu s’allonger Ă  cĂŽtĂ© de moi sur le lit, et m’a demandĂ© si je voulais qu’il me prenne. J’en mourais d’envie, tu me connais
 J’ai attrapĂ© une capote dans mon sac, que je lui ai tendue, sans lui rĂ©pondre, puis je me suis rallongĂ©e, les cuisses Ă©cartĂ©es !
Il a enfilĂ© la capote vite fait bien fait, et il est venu s’allonger sur moi. Je sentis son gland contre ma chatte, alors j’ai donnĂ© un coup de bassin, pour l’inciter Ă  s’enfoncer, ce qu’il a fait sans attendre plus longtemps. D’un seul coup, il m’a plantĂ© sa queue au fond de la chatte, je sentis ses couilles contre mes fesses. J’ai poussĂ© un cri de plaisir. Il est vraiment large, je le sentis me dilater, et pourtant, j’étais totalement excitĂ©e, crois-moi.
Il a relevĂ© mes jambes sur ses Ă©paules et a commencĂ© Ă  me baiser comme ça, Ă  grands coups de queue. Je le sentais qui sortait complĂštement avant de s’enfoncer Ă  nouveau jusqu’aux couilles. Tout l’immeuble a dĂ» m’entendre. Il m’a baisĂ©e comme ça un moment, puis j’ai eu envie de venir sur lui. Je te passe tous les dĂ©tails, hein, mais il m’a baisĂ©e au moins une demi-heure comme ça, un coup dessus, un coup dessous, un coup derriĂšre. On Ă©tait trempĂ©s de sueur, et de mouille !
Quand il me baisait en levrette, j’enfonçais mon visage dans le matelas, et j’écartais mes fesses Ă  deux mains, pour lui offrir une belle vue de mon petit trou qu’il avait si bien dilatĂ© et lubrifiĂ©. J’ai joui je sais pas combien de fois !
Et puis j’ai senti qu’il allait jouir aussi, c’est lĂ  que je lui ai demandĂ© de gicler dans mon string, pour que tu puisses le sentir toi aussi. Il s’est retirĂ©, a enlevĂ© la capote, il a posĂ© mon string sur ma chatte, et a balancĂ© une grosse giclĂ©e dessus avant de s’essuyer le gland dedans.
Puis on s’est allongĂ©s sur le lit, cĂŽte Ă  cĂŽte, tranquilles, en se caressant et en s’embrassant. Il m’a demandĂ© si j’étais satisfaite, et si tu aimerais ce que j’aurais Ă  te raconter. J’ai ri !
Au bout d’un moment, j’ai vu qu’il recommençait Ă  bander. Moi, j’étais peut-ĂȘtre satisfaite, mais il en voulait encore, lui

J’ai regardĂ© l’heure, j’ai vu que j’avais encore le temps avant le dernier train, alors j’ai recommencĂ© Ă  le sucer. Il s’est trĂšs vite mis au garde-Ă -vous. Cette fois-ci, il ne voulait pas jouir dans ma bouche. Je me doutais bien qu’il avait autre chose en tĂȘte. Il a repris sa position de cunni de tout Ă  l’heure, mes jambes en l’air. Cette fois-ci, c’est moi qui les ai tenues largement Ă©cartĂ©es et relevĂ©es. Il a compris le message. Sa langue a commencĂ© ses va-et-vient de ma chatte Ă  mon petit trou, puis dans mon petit trou. Il aime ça, et il sait s’y prendre je vais te dire. Au bout d’un moment, je n’avais qu’une envie, qu’il remplace sa langue par autre chose.
J’ai repensĂ© Ă  toi Ă  ce moment-lĂ , et je lui ai demandĂ© de me prendre en photo comme ça, dans une position carrĂ©ment obscĂšne, la chatte et le cul offerts, dilatĂ©s et dĂ©goulinants de sĂ©crĂ©tions. Il a pris une capote, se l’est enfilĂ©e, et m’a dit :
— Avant que tu rentres retrouver ton cocu de mec, je vais t’enculer.
— Vas-y, dĂ©fonce-moi le cul.
Il s’est pas fait prier, regarde.
Elle releva ses jambes, reprenant la position qu’elle m’avait dĂ©crite, pour m’offrir sa porte secrĂšte que je dĂ©couvris en effet encore bien dilatĂ©e par les coups de queue qu’il lui avait mis. Je m’empressais Ă  mon tour de lĂ©cher cet orifice qui m’est trop souvent interdit Ă  mon goĂ»t, et que ce mec que je ne connaissais pas avait eu le plaisir d’investir dĂšs le premier rendez-vous.
— C’était trop bon. Il me branlait en mĂȘme temps la chatte et le clito, tout en faisant coulisser sa queue entre mes fesses. Il m’a bien dĂ©foncĂ© le cul, comme promis. J’ai pas mis longtemps Ă  jouir encore, crois-moi. Puis il m’a fait mettre Ă  quatre pattes, et m’a Ă  nouveau enculĂ©e. Je me sentais vraiment salope, je l’encourageais Ă  me baiser plus fort, et il ne se faisait pas prier. Il faisait des photos avec mon tĂ©lĂ©phone, et puis, je l’ai senti qui accĂ©lĂ©rait, il s’enfonçait dans mon cul comme s’il voulait me transpercer, puis s’est retirĂ©, il a arrachĂ© la capote et m’a giclĂ© sur les fesses et le dos. Il a fait une derniĂšre photo, et m’a essuyĂ©e avec un mouchoir en papier. J’ai regardĂ© l’heure
 Il Ă©tait temps que je m’en aille.
On s’est rhabillĂ©s, il m’a ramenĂ©e Ă  la gare, en me demandant si on remettrait ça. Je lui ai dit que pour moi, ce serait avec grand plaisir, si tu Ă©tais d’accord. Il m’a mĂȘme dit que si on voulait, il pourrait venir Ă  la maison pour me baiser pendant que tu regardes, ça te dirait ?
Je vous laisse deviner ma réponse


Auteur : Mik_fantasies
Published by foruge
7 years ago
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4
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foruge Publisher 5 years ago
to mimi6464 : il faut demander Ă  l auteur MIK fantasies
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mimi6464 5 years ago
est çe une fiction ou du réel ?
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foruge Publisher 7 years ago
to AsdeCorps : merci
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AsdeCorps 7 years ago
EXCELLENT !!!
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