De l'aventure d etre cocu
Tout a commencĂ© un soir dâoctobre. AprĂšs un an pendant lequel ma chĂ©rie est restĂ©e Ă la maison pour sâoccuper de notre fils, elle a repris le travail dans une nouvelle structure.
Un soir, donc, quelques jours aprĂšs sa reprise, elle rentre Ă la maison et me dit quâelle pense avoir tapĂ© dans lâĆil dâun commerçant du quartier de son boulot. Elle mâexplique que ce jeune homme la salue avec un sourire espiĂšgle Ă chacun de ses passages devant sa boutique, allant mĂȘme jusquâĂ sortir sur le pas de la porte lorsquâil la voit passer.
Nous sommes un couple plutĂŽt libre. Bisexuels tous les deux, nous avons eu plusieurs fois lâoccasion de mĂȘler Ă nos Ă©bats des compagnons de passage, des hommes aussi bien que des femmes. Mais jâavais un fantasme dont jâavais parlĂ© Ă ma compagne : quâelle me trompe ! Plus exactement quâelle me fasse cocu. Je lui en avais dĂ©jĂ souvent parlĂ©, lors de nos rapports, mais elle lâavait toujours pris plus ou moins Ă la rigolade, me disant par ailleurs quâelle ne pensait pas quâelle se sentirait trĂšs Ă lâaise avec un autre hors de ma prĂ©sence.
Jâavais souvent, Ă lâoccasion de nos trios, pris un peu de recul pour lâadmirer prendre son plaisir dans les bras de notre invitĂ©, mais elle avait toujours paru se retenir. Quoi quâil en soit jâadorais la regarder faire lâamour avec un autre homme.
Bien entendu, jâĂ©tais sĂ»r quâen me parlant de ce jeune homme, elle savait ce quâelle faisait, et que cela alimenterait mes fantasmes. Je lui dis donc que si elle en avait envie, et que ce garçon lui plaisait, elle avait ma bĂ©nĂ©diction pour aller jusquâoĂč elle le souhaitait avec lui, Ă la seule condition de me raconter tout ce quâils pourraient faire ensemble, au minimum, voire de me ramener des « tĂ©moignages » plus directs de leurs Ă©ventuels Ă©bats.
Puis nous nâen avons plus reparlĂ© pendant quelque temps.
Un soir de novembre, alors quâelle rentrait Ă la maison aprĂšs avoir fini tard, elle me dit quâelle Ă©tait passĂ©e Ă la boutique, histoire de voir si son ressenti vis-Ă -vis du jeune homme Ă©tait juste. AprĂšs avoir discutĂ© un peu des produits quâil vendait, et lui avoir prĂ©sentĂ© lâensemble de sa gamme, il lui a proposĂ© dâaller boire un verre ensemble. Elle me dit lui avoir rĂ©pondu « Pourquoi pas, mais pas aujourdâhui », avec un petit sourire, puis ils ont Ă©changĂ© leurs numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone, et se sont sĂ©parĂ©s.
Elle me demanda si jâĂ©tais toujours dâaccord pour la laisser faire ce quâelle veut, compte tenu quâen effet, le jeune homme est mignon, et tout Ă fait charmant. Alors que jâallai lui rĂ©pondre que je nâavais pas changĂ© dâavis, et que jâĂ©tais dĂ©jĂ excitĂ© Ă lâidĂ©e quâelle sâabandonne dans les bras dâun autre homme, son tĂ©lĂ©phone a sonnĂ© pour lui signaler lâarrivĂ©e dâun SMS.
Ăvidemment, câĂ©tait lui ! Il voulait juste sâassurer, Ă©crivait-il, que le numĂ©ro Ă©tait juste, et quâelle Ă©tait toujours dâaccord pour aller boire ce verre. Elle me fit lire le message, qui terminait par un emoji baiser, et me regarda pour sâassurer de mon feu vert. Je hochai la tĂȘte pour le lui signifier. Elle lui rĂ©pondit donc que câĂ©tait OK pour elle, et que ce serait mĂȘme avec grand plaisir, et termina elle aussi son SMS par le mĂȘme emoji.
Puis elle me dit quâelle ne lâavait pas informĂ© quâelle Ă©tait en couple, de crainte que cela le fasse changer dâavis. Je lui dis quâil serait peut-ĂȘtre prĂ©fĂ©rable quâelle le lui dise, sans forcĂ©ment lui donner les dĂ©tails de notre arrangement, afin quâil ne se fasse pas de fausses idĂ©es sur ses intentions.
Elle reprit donc son téléphone, et lui envoya le message suivant :
« Par contre, je prĂ©fĂ©rerais quâon aille boire ce verre un midi, ou un jour oĂč je ne finis pas le boulot tard. Je suis en couple, et je nâai pas envie de chercher une excuse pour rentrer trop tard. : -* »
AprÚs quelques minutes, son téléphone à nouveau :
« Pas de souci pour moi, je comprends. Disons, si tu es dispo demain midi, pour commencer⊠: -* »
Puis aprĂšs quelques secondes, nouveau SMS :
« ⊠partout ! ; -)
VoilĂ qui Ă©tait clair, le futur amant avait tout compris des intentions de ma belle, ce qui nâĂ©tait pas pour lui dĂ©plaire (quant Ă moiâŠ).
Sa réponse ne tarda pas :
« Demain midi, OK ! Tu connais un endroit tranquille dans le quartier ? »
« Passe Ă la boutique vers midi, je tâemmĂšne dans un bar que je connais. Tâauras un peu de temps ? »
« Pas plus dâune heure si câest tout prĂšs. Ăa laisse quand mĂȘme un peu de temps ; -) »
« On fait comme ça, bonne nuit, et à demain ! : -* »
â VoilĂ , me dit-elle⊠Tu ne vas pas tarder Ă voir ton fantasme se rĂ©aliser, jâespĂšre que ça te plaira ! En tout cas, moi, je suis toute chose dây penser.
Pour seule rĂ©ponse, je mâapprochai dâelle, posai une main sur ses fesses pour coller son corps contre le mien, et lui faire sentir comme la situation me plaisait dâores et dĂ©jĂ , et lâembrasser avec amour. Puis nous avons dĂźnĂ©, et sommes allĂ©s au lit de bonne heure⊠La tĂ©lĂ© ne nous intĂ©ressait pas particuliĂšrement ce soir-lĂ , allez savoir pourquoi.
Le lendemain matin, ma chĂ©rie sâest levĂ©e tĂŽt. Lorsque je me suis levĂ© un peu plus tard quâelle, elle Ă©tait dans la salle de bains, en train de finir de se pomponner. Elle Ă©tait maquillĂ©e et coiffĂ©e comme elle ne le faisait presque jamais pour aller au travail (ça allait faire jaserâŠ), souriante et dâune excellente humeur, pour une heure si matinale. Je cherchai Ă voir quelle lingerie elle avait choisie, mais elle se dĂ©roba, et me dit :
â Tu verras ce soir, je garde la primeur pour Paul.
Sur ce, alors que je descendais pour prendre mon dĂ©jeuner, elle se mit en route, non sans que nous ayons Ă©changĂ© un long baiser dâamoureux. JâĂ©tais dĂ©jĂ fort excitĂ©, et me demandais comment jâallais tenir jusquâĂ ce quâelle rentre.
Puis la matinĂ©e est passĂ©e doucement, non sans que je pense rĂ©guliĂšrement Ă ma chĂ©rie, qui devait ĂȘtre assez peu concentrĂ©e sur son job, et Ă son rendez-vous de midi. Vers 11 h 45, je lui envoyai un SMS :
« Passe une bonne pause dĂ©jeuner, je tâaime ! »
à midi, mon téléphone me signala un SMS :
« Jây vais, je te tiens au courant ! Je tâaime ! »
Dâun seul coup, mes sous-vĂȘtements me parurent extrĂȘmement Ă©troits !
Les minutes passĂšrent, bien sĂ»r jâattendais avec impatience des nouvelles, mais je savais que si tout se passait bien pour elle, ma douce ne mâen enverrait pas avant une heure. Puis vers treize heures, en effet, un SMS de ma compagne :
« Je retourne bosser, excellente pause déj, mais trop courte. Je rentrerai un peu tard ce soir. »
LĂ , je ne tenais plus, mon sexe Ă©tait douloureux Ă force dâĂȘtre tendu.
Quelques minutes plus tard, nouveau message. Câest un MMS, cette fois-ci. Le temps quâil sâouvre, et je vis une main que je reconnus aisĂ©ment ĂȘtre celle de StĂ©phanie, les doigts serrĂ©s autour dâun sexe que je ne connaissais pas, avec ce commentaire :
« Prise vite faite sous la table, au bar. »
Tout de suite aprĂšs, un autre message, cette fois, la photo montre une main dâhomme glissĂ©e dans le jean de ma chĂ©rie, toujours sous une table.
Je rĂ©pondis rapidement Ă ces trois messages quâil nây a pas de souci, quâelle rentre quand elle veut, et que je vois quâelle semble en effet avoir passĂ© une pause dĂ©jâ bien agrĂ©able.
LâaprĂšs-midi passa puis, vers 17 heures, je reçus un nouveau message de StĂ©phanie :
« Je te tiens au courant quand je rentre, ne mâattends pas de bonne heure. »
Jâai ainsi attendu une bonne partie de la soirĂ©e, fais manger notre fils, et lâai mis au lit, puis me suis installĂ© devant la tĂ©lĂ© en attendant le retour de ma charmante cocufieuse.
Câest Ă prĂšs de 23 heures que je reçus un message pour me dire quâelle prenait le train, et quâelle serait lĂ vers minuit. Ce massage Ă©tait suivi immĂ©diatement dâun nouveau MMS, avec cette fois-ci une photo de ma compagne, la bouche dĂ©formĂ©e par le sexe de Paul, quâelle semblait sucer avec beaucoup dâapplication. La photo Ă©tait visiblement prise par le propriĂ©taire du membre viril. Je me demandai si elle lui a parlĂ© de notre arrangementâŠ
Vers minuit, comme promis, jâentendis la porte dâentrĂ©e de la maison qui sâouvrait, et quelques minutes aprĂšs, ma douce et tendre vint me rejoindre dans le canapĂ©. Sa coiffure est un peu moins bien arrangĂ©e que ce matin quand elle Ă©tait partie, et de son maquillage ne subsistaient que quelques traces. Elle Ă©tait radieuse !
Elle sâassit Ă cĂŽtĂ© de moi, et me demanda si je voulais toujours quâelle me raconte sa journĂ©e.
Curieusement jâhĂ©sitais quelques instants entre rester sur mon fantasme, sachant quâelle lâavait rĂ©alisĂ© et en ayant enregistrĂ© quelques « preuves » dans mon tĂ©lĂ©phone, ou lui demander de me raconter par le menu toutes les cochonneries quâelle avait faites avec Paul. Câest finalement la deuxiĂšme option que je choisis, pour le plus grand bonheur, semble-t-il, de ma chĂ©rie.
Elle avait visiblement pensĂ© Ă un petit scĂ©nario pour me conter ses exploits. Elle me demanda de me dĂ©shabiller, et de mâinstaller confortablement sur le canapĂ©. Je mâexĂ©cutai, ce qui lui permit de dĂ©couvrir lâĂ©rection qui ne mâa pas quittĂ©e de la journĂ©e, pour ainsi dire.
Puis elle se leva, alla jusquâĂ son sac, dont elle sortit son tĂ©lĂ©phone, et un autre objet, quâelle serrait dans sa main.
â Dâabord, voilĂ un tĂ©moignage de mon escapade me dit-elle, en me tendant lâobjet.
Câest son string, celui quâelle ne mâavait pas laissĂ© voir ce matin. Il Ă©tait collant, et sentait le sperme Ă des kilomĂštres.
â Je me suis dit que tu aimerais lâavoir sous le nez pendant que je te raconterai. Jâai demandĂ© Ă Paul de ne pas jouir dans le prĂ©servatif, mais dans mon string, pour que tu voies comme je suis salope. Oui, je lui ai dit que jâĂ©tais lĂ avec ton accord, il a trouvĂ© ça trĂšs amusant.
Jâai donc la rĂ©ponse Ă la question que je me posais. Voici, Ă quelques mots prĂšs, le rĂ©cit quâelle me fit alors que je respirais lâodeur de son amant sur sa peau, et sur ses sous-vĂȘtements :
â Ce midi, comme prĂ©vu, je lâai retrouvĂ© Ă la boutique. Nous sommes allĂ©s dans un bar quâil connaissait, Ă quelques rues de lĂ . On sâest installĂ©s Ă une table au fond, cĂŽte Ă cĂŽte sur la banquette, Ă lâabri des regards des quelques autres clients. Avant mĂȘme dâavoir commandĂ©, il mâa embrassĂ©e. Tu sais que jâadore les baisers, je lui ai rendu le sien avec toute la passion dont je suis capable.
Puis on a commandĂ©, et discutĂ© un peu avant que les verres nâarrivent. DĂšs que nous avons eu nos commandes, il sâest serrĂ© contre moi, et a glissĂ© une main sous mon haut, pour caresser mes seins. Nous Ă©changions des baisers trĂšs, trĂšs chauds, tout en sirotant nos verres. Au bout dâun moment, jâai glissĂ© ma main sous la table directement sur sa braguette. Jâai senti une belle queue bien dure qui nâattendait que moi. Je lâai caressĂ©e un peu par-dessus le jean, puis jâai ouvert la braguette, et pris en main sa bite bien dure pour le masturber. Comme tu as pu voir sur les photos, câest le genre de queue que jâaime, Ă©paisse, pas trop longue, avec un beau gland bien rond. Je mâen suis donnĂ© Ă cĆur joie pour lui faire du bien, tu peux me croire. Il dĂ©goulinait littĂ©ralement, jâen avais plein la main.
Mais il ne semblait pas avoir envie de sâen tenir lĂ . Il avait compris que jâĂ©tais dĂ©cidĂ©e Ă faire ma salope, alors il a commencĂ© lui aussi Ă me caresser par-dessus le jean, puis il a ouvert ma braguette, et a glissĂ© directement vers ma chatte. JâĂ©tais trempĂ©e, encore plus que lui. Il mâa caressĂ© le clito quelques minutes, jâai joui presque tout de suite. Heureusement, il avait sa langue dans ma bouche, sinon, jâaurais attirĂ© tous les clients du bar. AprĂšs que jâai joui, il a enfoncĂ© deux doigts entre mes cuisses, il nâa eu aucun mal Ă les rentrer en entier, aprĂšs que jâai soulevĂ© mes fesses pour faire glisser un peu mon jean. Il mâa branlĂ©e comme ça jusquâĂ ce que je jouisse encore. Malheureusement, il Ă©tait presque lâheure que je retourne au boulot, alors il mâa dit : «Tu ne vas pas me laisser comme ça, quand mĂȘme ? » Jâai donc repris ma masturbation, pendant quâil me racontait des cochonneries Ă lâoreille. Il a joui trĂšs vite dans ma main. Jâai attrapĂ© une serviette en papier sur la table, jâai essuyĂ© le sperme qui collait mes doigts, et lui en ai passĂ© une aussi, pour quâil puise se rhabiller.
Jâai remontĂ© mon jean, refermĂ© ma braguette, et nous sommes sortis du bar. Il mâa dit que câĂ©tait dommage que nous devions nous arrĂȘter lĂ , il avait encore faim. Câest lĂ que je tâai envoyĂ© le premier SMS, en lui disant quâil nây avait pas de problĂšme, quâon avait quâĂ se retrouver Ă 17 heures quand je sortirai. Il mâa laissĂ©e Ă quelques rues du boulot, avec un gros baiser baveux, et en me pelotant les fesses. Je tâai envoyĂ© les deux MMS juste avant de reprendre, avec seulement cinq minutes de retard, et avec le string trempĂ©, jâavais lâimpression de faire floc floc en marchantâŠ
Pendant tout ce récit, elle me caressait doucement la queue, mais sans jamais y aller franchement. Puis elle me dit :
â Si tu veux que je te raconte ma soirĂ©e aussi, il va falloir y mettre du tien.
â Tout ce que tu voudras, ma chĂ©rie, du moment que tu me racontes.
Alors, elle me fit lever du canapĂ©, puis retira son jean, et sâinstalla, jambes ouvertes. Je compris immĂ©diatement le message et mâinstallai moi aussi, la tĂȘte entre ses cuisses pour lĂ©cher ce sexe qui Ă©tait rempli quelques heures auparavant de la queue dâun autre.
Elle reprit son récit, non sans quelques interruptions pour exprimer le plaisir que je lui donnais.
â Je lâai donc retrouvĂ© comme prĂ©vu aprĂšs le boulot, devant sa boutique. Il mâa Ă nouveau embrassĂ©e Ă pleine bouche en me pelotant les fesses, et mâa invitĂ©e Ă le suivre chez lui, juste Ă cĂŽtĂ©.
Ă peine la porte refermĂ©e, on sâest jetĂ©s lâun sur lâautre, pour se dĂ©shabiller, et se caresser tout le corps, ce que nous nâavions pas pu faire ce midi.
Puis il mâa entraĂźnĂ©e dans sa chambre (lâappartâ est petit, câĂ©tait vite fait), et mâa fait allonger sur son lit, pour me lĂ©cher, exactement comme tu le fais maintenant. Il sait trĂšs bien sây prendre, et inutile de te dire quâaprĂšs la sĂ©ance de ce midi, jâĂ©tais particuliĂšrement rĂ©ceptive. Il mâa fait dĂ©coller en quelques minutes, et ne sâest arrĂȘtĂ© quâaprĂšs mon troisiĂšme orgasme.
Il me fourrait ses doigts tout en me suçant le clito, je sentais le mĂ©lange de mouille et de salive qui coulait sur ma chatte, et le long de la raie de mes fesses, et jâimaginais en mĂȘme temps que jâallais te raconter ça⊠CâĂ©tait⊠mmmmh !
AprĂšs mon troisiĂšme orgasme, donc, il sâest arrĂȘtĂ©, et sâest relevĂ© pour me prĂ©senter sa belle queue. Elle me paraissait plus grosse et plus dure que ce midi, au bar, et il avait une goutte qui coulait du gland. Je ne me suis pas fait prier pour la cueillir avec ma langue avant de commencer Ă le sucer. Câest lĂ que je lui ai demandĂ© de faire une photo avec mon tĂ©lĂ©phone. Comme il mâa demandĂ© pourquoi je faisais des photos comme ça, je lui ai expliquĂ© que tu Ă©tais Ă la maison, et que tu attendais avec impatience le rĂ©cit de mes aventures. Il sâen est donnĂ© Ă cĆur joie, tu pourras regarder les photos quand jâaurai fini de te raconter.
Jâai donc repris ma pipe, le suçant avec application, et lâĂ©coutant gĂ©mir, comme je fais quand je te suce. Il avait posĂ© sa main derriĂšre ma tĂȘte et accompagnait chacun de mes mouvements dâune lĂ©gĂšre poussĂ©e. Au bout dâun bon moment (câest quâil est endurant, en plus), je lâai senti se contracter, jâai voulu retirer sa queue de ma bouche, mais il me tenait la tĂȘte, et il a joui comme ça, debout, dans ma gorge. Et puis il mâa dit :
â Alors comme ça, tu es une salope, ouvre la bouche pour montrer Ă ton mec comment tu suces bienâŠ
â Je ne sais pas pourquoi, mais, ça mâa excitĂ©e, alors jâai ouvert la bouche, et il a fait une photo de son sperme sur ma langue. Et puis, jâai avalĂ©, et jâai Ă nouveau ouvert la bouche, et il a pris une autre photo.
Mais câest quâil ne dĂ©bandait pas le cochon ! Il mâa Ă nouveau allongĂ©e sur le lit, et mâa relevĂ© les jambes, avant de se mettre Ă me lĂ©cher la chatte, et la raie des fesses. Il faisait entrer et sortir sa langue une fois dans mon sexe, une fois dans mon petit trou, que je sentais se dilater Ă chaque passage. Il faisait ça trĂšs bien, sans insistance, mais sans non plus me laisser le choix. Au bout dâun moment, il a dĂ©laissĂ© ma chatte, pour rentrer et sortir sa langue uniquement de mon petit trou. Et ça ne me chatouillait pas⊠Au contraire ! Je gĂ©missais de plaisir, comme une chatte en chaleur.
AprĂšs un petit moment de ce traitement, il est venu sâallonger Ă cĂŽtĂ© de moi sur le lit, et mâa demandĂ© si je voulais quâil me prenne. Jâen mourais dâenvie, tu me connais⊠Jâai attrapĂ© une capote dans mon sac, que je lui ai tendue, sans lui rĂ©pondre, puis je me suis rallongĂ©e, les cuisses Ă©cartĂ©es !
Il a enfilĂ© la capote vite fait bien fait, et il est venu sâallonger sur moi. Je sentis son gland contre ma chatte, alors jâai donnĂ© un coup de bassin, pour lâinciter Ă sâenfoncer, ce quâil a fait sans attendre plus longtemps. Dâun seul coup, il mâa plantĂ© sa queue au fond de la chatte, je sentis ses couilles contre mes fesses. Jâai poussĂ© un cri de plaisir. Il est vraiment large, je le sentis me dilater, et pourtant, jâĂ©tais totalement excitĂ©e, crois-moi.
Il a relevĂ© mes jambes sur ses Ă©paules et a commencĂ© Ă me baiser comme ça, Ă grands coups de queue. Je le sentais qui sortait complĂštement avant de sâenfoncer Ă nouveau jusquâaux couilles. Tout lâimmeuble a dĂ» mâentendre. Il mâa baisĂ©e comme ça un moment, puis jâai eu envie de venir sur lui. Je te passe tous les dĂ©tails, hein, mais il mâa baisĂ©e au moins une demi-heure comme ça, un coup dessus, un coup dessous, un coup derriĂšre. On Ă©tait trempĂ©s de sueur, et de mouille !
Quand il me baisait en levrette, jâenfonçais mon visage dans le matelas, et jâĂ©cartais mes fesses Ă deux mains, pour lui offrir une belle vue de mon petit trou quâil avait si bien dilatĂ© et lubrifiĂ©. Jâai joui je sais pas combien de fois !
Et puis jâai senti quâil allait jouir aussi, câest lĂ que je lui ai demandĂ© de gicler dans mon string, pour que tu puisses le sentir toi aussi. Il sâest retirĂ©, a enlevĂ© la capote, il a posĂ© mon string sur ma chatte, et a balancĂ© une grosse giclĂ©e dessus avant de sâessuyer le gland dedans.
Puis on sâest allongĂ©s sur le lit, cĂŽte Ă cĂŽte, tranquilles, en se caressant et en sâembrassant. Il mâa demandĂ© si jâĂ©tais satisfaite, et si tu aimerais ce que jâaurais Ă te raconter. Jâai ri !
Au bout dâun moment, jâai vu quâil recommençait Ă bander. Moi, jâĂ©tais peut-ĂȘtre satisfaite, mais il en voulait encore, luiâŠ
Jâai regardĂ© lâheure, jâai vu que jâavais encore le temps avant le dernier train, alors jâai recommencĂ© Ă le sucer. Il sâest trĂšs vite mis au garde-Ă -vous. Cette fois-ci, il ne voulait pas jouir dans ma bouche. Je me doutais bien quâil avait autre chose en tĂȘte. Il a repris sa position de cunni de tout Ă lâheure, mes jambes en lâair. Cette fois-ci, câest moi qui les ai tenues largement Ă©cartĂ©es et relevĂ©es. Il a compris le message. Sa langue a commencĂ© ses va-et-vient de ma chatte Ă mon petit trou, puis dans mon petit trou. Il aime ça, et il sait sây prendre je vais te dire. Au bout dâun moment, je nâavais quâune envie, quâil remplace sa langue par autre chose.
Jâai repensĂ© Ă toi Ă ce moment-lĂ , et je lui ai demandĂ© de me prendre en photo comme ça, dans une position carrĂ©ment obscĂšne, la chatte et le cul offerts, dilatĂ©s et dĂ©goulinants de sĂ©crĂ©tions. Il a pris une capote, se lâest enfilĂ©e, et mâa dit :
â Avant que tu rentres retrouver ton cocu de mec, je vais tâenculer.
â Vas-y, dĂ©fonce-moi le cul.
Il sâest pas fait prier, regarde.
Elle releva ses jambes, reprenant la position quâelle mâavait dĂ©crite, pour mâoffrir sa porte secrĂšte que je dĂ©couvris en effet encore bien dilatĂ©e par les coups de queue quâil lui avait mis. Je mâempressais Ă mon tour de lĂ©cher cet orifice qui mâest trop souvent interdit Ă mon goĂ»t, et que ce mec que je ne connaissais pas avait eu le plaisir dâinvestir dĂšs le premier rendez-vous.
â CâĂ©tait trop bon. Il me branlait en mĂȘme temps la chatte et le clito, tout en faisant coulisser sa queue entre mes fesses. Il mâa bien dĂ©foncĂ© le cul, comme promis. Jâai pas mis longtemps Ă jouir encore, crois-moi. Puis il mâa fait mettre Ă quatre pattes, et mâa Ă nouveau enculĂ©e. Je me sentais vraiment salope, je lâencourageais Ă me baiser plus fort, et il ne se faisait pas prier. Il faisait des photos avec mon tĂ©lĂ©phone, et puis, je lâai senti qui accĂ©lĂ©rait, il sâenfonçait dans mon cul comme sâil voulait me transpercer, puis sâest retirĂ©, il a arrachĂ© la capote et mâa giclĂ© sur les fesses et le dos. Il a fait une derniĂšre photo, et mâa essuyĂ©e avec un mouchoir en papier. Jâai regardĂ© lâheure⊠Il Ă©tait temps que je mâen aille.
On sâest rhabillĂ©s, il mâa ramenĂ©e Ă la gare, en me demandant si on remettrait ça. Je lui ai dit que pour moi, ce serait avec grand plaisir, si tu Ă©tais dâaccord. Il mâa mĂȘme dit que si on voulait, il pourrait venir Ă la maison pour me baiser pendant que tu regardes, ça te dirait ?
Je vous laisse deviner ma rĂ©ponseâŠ
Auteur : Mik_fantasies
Un soir, donc, quelques jours aprĂšs sa reprise, elle rentre Ă la maison et me dit quâelle pense avoir tapĂ© dans lâĆil dâun commerçant du quartier de son boulot. Elle mâexplique que ce jeune homme la salue avec un sourire espiĂšgle Ă chacun de ses passages devant sa boutique, allant mĂȘme jusquâĂ sortir sur le pas de la porte lorsquâil la voit passer.
Nous sommes un couple plutĂŽt libre. Bisexuels tous les deux, nous avons eu plusieurs fois lâoccasion de mĂȘler Ă nos Ă©bats des compagnons de passage, des hommes aussi bien que des femmes. Mais jâavais un fantasme dont jâavais parlĂ© Ă ma compagne : quâelle me trompe ! Plus exactement quâelle me fasse cocu. Je lui en avais dĂ©jĂ souvent parlĂ©, lors de nos rapports, mais elle lâavait toujours pris plus ou moins Ă la rigolade, me disant par ailleurs quâelle ne pensait pas quâelle se sentirait trĂšs Ă lâaise avec un autre hors de ma prĂ©sence.
Jâavais souvent, Ă lâoccasion de nos trios, pris un peu de recul pour lâadmirer prendre son plaisir dans les bras de notre invitĂ©, mais elle avait toujours paru se retenir. Quoi quâil en soit jâadorais la regarder faire lâamour avec un autre homme.
Bien entendu, jâĂ©tais sĂ»r quâen me parlant de ce jeune homme, elle savait ce quâelle faisait, et que cela alimenterait mes fantasmes. Je lui dis donc que si elle en avait envie, et que ce garçon lui plaisait, elle avait ma bĂ©nĂ©diction pour aller jusquâoĂč elle le souhaitait avec lui, Ă la seule condition de me raconter tout ce quâils pourraient faire ensemble, au minimum, voire de me ramener des « tĂ©moignages » plus directs de leurs Ă©ventuels Ă©bats.
Puis nous nâen avons plus reparlĂ© pendant quelque temps.
Un soir de novembre, alors quâelle rentrait Ă la maison aprĂšs avoir fini tard, elle me dit quâelle Ă©tait passĂ©e Ă la boutique, histoire de voir si son ressenti vis-Ă -vis du jeune homme Ă©tait juste. AprĂšs avoir discutĂ© un peu des produits quâil vendait, et lui avoir prĂ©sentĂ© lâensemble de sa gamme, il lui a proposĂ© dâaller boire un verre ensemble. Elle me dit lui avoir rĂ©pondu « Pourquoi pas, mais pas aujourdâhui », avec un petit sourire, puis ils ont Ă©changĂ© leurs numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone, et se sont sĂ©parĂ©s.
Elle me demanda si jâĂ©tais toujours dâaccord pour la laisser faire ce quâelle veut, compte tenu quâen effet, le jeune homme est mignon, et tout Ă fait charmant. Alors que jâallai lui rĂ©pondre que je nâavais pas changĂ© dâavis, et que jâĂ©tais dĂ©jĂ excitĂ© Ă lâidĂ©e quâelle sâabandonne dans les bras dâun autre homme, son tĂ©lĂ©phone a sonnĂ© pour lui signaler lâarrivĂ©e dâun SMS.
Ăvidemment, câĂ©tait lui ! Il voulait juste sâassurer, Ă©crivait-il, que le numĂ©ro Ă©tait juste, et quâelle Ă©tait toujours dâaccord pour aller boire ce verre. Elle me fit lire le message, qui terminait par un emoji baiser, et me regarda pour sâassurer de mon feu vert. Je hochai la tĂȘte pour le lui signifier. Elle lui rĂ©pondit donc que câĂ©tait OK pour elle, et que ce serait mĂȘme avec grand plaisir, et termina elle aussi son SMS par le mĂȘme emoji.
Puis elle me dit quâelle ne lâavait pas informĂ© quâelle Ă©tait en couple, de crainte que cela le fasse changer dâavis. Je lui dis quâil serait peut-ĂȘtre prĂ©fĂ©rable quâelle le lui dise, sans forcĂ©ment lui donner les dĂ©tails de notre arrangement, afin quâil ne se fasse pas de fausses idĂ©es sur ses intentions.
Elle reprit donc son téléphone, et lui envoya le message suivant :
« Par contre, je prĂ©fĂ©rerais quâon aille boire ce verre un midi, ou un jour oĂč je ne finis pas le boulot tard. Je suis en couple, et je nâai pas envie de chercher une excuse pour rentrer trop tard. : -* »
AprÚs quelques minutes, son téléphone à nouveau :
« Pas de souci pour moi, je comprends. Disons, si tu es dispo demain midi, pour commencer⊠: -* »
Puis aprĂšs quelques secondes, nouveau SMS :
« ⊠partout ! ; -)
VoilĂ qui Ă©tait clair, le futur amant avait tout compris des intentions de ma belle, ce qui nâĂ©tait pas pour lui dĂ©plaire (quant Ă moiâŠ).
Sa réponse ne tarda pas :
« Demain midi, OK ! Tu connais un endroit tranquille dans le quartier ? »
« Passe Ă la boutique vers midi, je tâemmĂšne dans un bar que je connais. Tâauras un peu de temps ? »
« Pas plus dâune heure si câest tout prĂšs. Ăa laisse quand mĂȘme un peu de temps ; -) »
« On fait comme ça, bonne nuit, et à demain ! : -* »
â VoilĂ , me dit-elle⊠Tu ne vas pas tarder Ă voir ton fantasme se rĂ©aliser, jâespĂšre que ça te plaira ! En tout cas, moi, je suis toute chose dây penser.
Pour seule rĂ©ponse, je mâapprochai dâelle, posai une main sur ses fesses pour coller son corps contre le mien, et lui faire sentir comme la situation me plaisait dâores et dĂ©jĂ , et lâembrasser avec amour. Puis nous avons dĂźnĂ©, et sommes allĂ©s au lit de bonne heure⊠La tĂ©lĂ© ne nous intĂ©ressait pas particuliĂšrement ce soir-lĂ , allez savoir pourquoi.
Le lendemain matin, ma chĂ©rie sâest levĂ©e tĂŽt. Lorsque je me suis levĂ© un peu plus tard quâelle, elle Ă©tait dans la salle de bains, en train de finir de se pomponner. Elle Ă©tait maquillĂ©e et coiffĂ©e comme elle ne le faisait presque jamais pour aller au travail (ça allait faire jaserâŠ), souriante et dâune excellente humeur, pour une heure si matinale. Je cherchai Ă voir quelle lingerie elle avait choisie, mais elle se dĂ©roba, et me dit :
â Tu verras ce soir, je garde la primeur pour Paul.
Sur ce, alors que je descendais pour prendre mon dĂ©jeuner, elle se mit en route, non sans que nous ayons Ă©changĂ© un long baiser dâamoureux. JâĂ©tais dĂ©jĂ fort excitĂ©, et me demandais comment jâallais tenir jusquâĂ ce quâelle rentre.
Puis la matinĂ©e est passĂ©e doucement, non sans que je pense rĂ©guliĂšrement Ă ma chĂ©rie, qui devait ĂȘtre assez peu concentrĂ©e sur son job, et Ă son rendez-vous de midi. Vers 11 h 45, je lui envoyai un SMS :
« Passe une bonne pause dĂ©jeuner, je tâaime ! »
à midi, mon téléphone me signala un SMS :
« Jây vais, je te tiens au courant ! Je tâaime ! »
Dâun seul coup, mes sous-vĂȘtements me parurent extrĂȘmement Ă©troits !
Les minutes passĂšrent, bien sĂ»r jâattendais avec impatience des nouvelles, mais je savais que si tout se passait bien pour elle, ma douce ne mâen enverrait pas avant une heure. Puis vers treize heures, en effet, un SMS de ma compagne :
« Je retourne bosser, excellente pause déj, mais trop courte. Je rentrerai un peu tard ce soir. »
LĂ , je ne tenais plus, mon sexe Ă©tait douloureux Ă force dâĂȘtre tendu.
Quelques minutes plus tard, nouveau message. Câest un MMS, cette fois-ci. Le temps quâil sâouvre, et je vis une main que je reconnus aisĂ©ment ĂȘtre celle de StĂ©phanie, les doigts serrĂ©s autour dâun sexe que je ne connaissais pas, avec ce commentaire :
« Prise vite faite sous la table, au bar. »
Tout de suite aprĂšs, un autre message, cette fois, la photo montre une main dâhomme glissĂ©e dans le jean de ma chĂ©rie, toujours sous une table.
Je rĂ©pondis rapidement Ă ces trois messages quâil nây a pas de souci, quâelle rentre quand elle veut, et que je vois quâelle semble en effet avoir passĂ© une pause dĂ©jâ bien agrĂ©able.
LâaprĂšs-midi passa puis, vers 17 heures, je reçus un nouveau message de StĂ©phanie :
« Je te tiens au courant quand je rentre, ne mâattends pas de bonne heure. »
Jâai ainsi attendu une bonne partie de la soirĂ©e, fais manger notre fils, et lâai mis au lit, puis me suis installĂ© devant la tĂ©lĂ© en attendant le retour de ma charmante cocufieuse.
Câest Ă prĂšs de 23 heures que je reçus un message pour me dire quâelle prenait le train, et quâelle serait lĂ vers minuit. Ce massage Ă©tait suivi immĂ©diatement dâun nouveau MMS, avec cette fois-ci une photo de ma compagne, la bouche dĂ©formĂ©e par le sexe de Paul, quâelle semblait sucer avec beaucoup dâapplication. La photo Ă©tait visiblement prise par le propriĂ©taire du membre viril. Je me demandai si elle lui a parlĂ© de notre arrangementâŠ
Vers minuit, comme promis, jâentendis la porte dâentrĂ©e de la maison qui sâouvrait, et quelques minutes aprĂšs, ma douce et tendre vint me rejoindre dans le canapĂ©. Sa coiffure est un peu moins bien arrangĂ©e que ce matin quand elle Ă©tait partie, et de son maquillage ne subsistaient que quelques traces. Elle Ă©tait radieuse !
Elle sâassit Ă cĂŽtĂ© de moi, et me demanda si je voulais toujours quâelle me raconte sa journĂ©e.
Curieusement jâhĂ©sitais quelques instants entre rester sur mon fantasme, sachant quâelle lâavait rĂ©alisĂ© et en ayant enregistrĂ© quelques « preuves » dans mon tĂ©lĂ©phone, ou lui demander de me raconter par le menu toutes les cochonneries quâelle avait faites avec Paul. Câest finalement la deuxiĂšme option que je choisis, pour le plus grand bonheur, semble-t-il, de ma chĂ©rie.
Elle avait visiblement pensĂ© Ă un petit scĂ©nario pour me conter ses exploits. Elle me demanda de me dĂ©shabiller, et de mâinstaller confortablement sur le canapĂ©. Je mâexĂ©cutai, ce qui lui permit de dĂ©couvrir lâĂ©rection qui ne mâa pas quittĂ©e de la journĂ©e, pour ainsi dire.
Puis elle se leva, alla jusquâĂ son sac, dont elle sortit son tĂ©lĂ©phone, et un autre objet, quâelle serrait dans sa main.
â Dâabord, voilĂ un tĂ©moignage de mon escapade me dit-elle, en me tendant lâobjet.
Câest son string, celui quâelle ne mâavait pas laissĂ© voir ce matin. Il Ă©tait collant, et sentait le sperme Ă des kilomĂštres.
â Je me suis dit que tu aimerais lâavoir sous le nez pendant que je te raconterai. Jâai demandĂ© Ă Paul de ne pas jouir dans le prĂ©servatif, mais dans mon string, pour que tu voies comme je suis salope. Oui, je lui ai dit que jâĂ©tais lĂ avec ton accord, il a trouvĂ© ça trĂšs amusant.
Jâai donc la rĂ©ponse Ă la question que je me posais. Voici, Ă quelques mots prĂšs, le rĂ©cit quâelle me fit alors que je respirais lâodeur de son amant sur sa peau, et sur ses sous-vĂȘtements :
â Ce midi, comme prĂ©vu, je lâai retrouvĂ© Ă la boutique. Nous sommes allĂ©s dans un bar quâil connaissait, Ă quelques rues de lĂ . On sâest installĂ©s Ă une table au fond, cĂŽte Ă cĂŽte sur la banquette, Ă lâabri des regards des quelques autres clients. Avant mĂȘme dâavoir commandĂ©, il mâa embrassĂ©e. Tu sais que jâadore les baisers, je lui ai rendu le sien avec toute la passion dont je suis capable.
Puis on a commandĂ©, et discutĂ© un peu avant que les verres nâarrivent. DĂšs que nous avons eu nos commandes, il sâest serrĂ© contre moi, et a glissĂ© une main sous mon haut, pour caresser mes seins. Nous Ă©changions des baisers trĂšs, trĂšs chauds, tout en sirotant nos verres. Au bout dâun moment, jâai glissĂ© ma main sous la table directement sur sa braguette. Jâai senti une belle queue bien dure qui nâattendait que moi. Je lâai caressĂ©e un peu par-dessus le jean, puis jâai ouvert la braguette, et pris en main sa bite bien dure pour le masturber. Comme tu as pu voir sur les photos, câest le genre de queue que jâaime, Ă©paisse, pas trop longue, avec un beau gland bien rond. Je mâen suis donnĂ© Ă cĆur joie pour lui faire du bien, tu peux me croire. Il dĂ©goulinait littĂ©ralement, jâen avais plein la main.
Mais il ne semblait pas avoir envie de sâen tenir lĂ . Il avait compris que jâĂ©tais dĂ©cidĂ©e Ă faire ma salope, alors il a commencĂ© lui aussi Ă me caresser par-dessus le jean, puis il a ouvert ma braguette, et a glissĂ© directement vers ma chatte. JâĂ©tais trempĂ©e, encore plus que lui. Il mâa caressĂ© le clito quelques minutes, jâai joui presque tout de suite. Heureusement, il avait sa langue dans ma bouche, sinon, jâaurais attirĂ© tous les clients du bar. AprĂšs que jâai joui, il a enfoncĂ© deux doigts entre mes cuisses, il nâa eu aucun mal Ă les rentrer en entier, aprĂšs que jâai soulevĂ© mes fesses pour faire glisser un peu mon jean. Il mâa branlĂ©e comme ça jusquâĂ ce que je jouisse encore. Malheureusement, il Ă©tait presque lâheure que je retourne au boulot, alors il mâa dit : «Tu ne vas pas me laisser comme ça, quand mĂȘme ? » Jâai donc repris ma masturbation, pendant quâil me racontait des cochonneries Ă lâoreille. Il a joui trĂšs vite dans ma main. Jâai attrapĂ© une serviette en papier sur la table, jâai essuyĂ© le sperme qui collait mes doigts, et lui en ai passĂ© une aussi, pour quâil puise se rhabiller.
Jâai remontĂ© mon jean, refermĂ© ma braguette, et nous sommes sortis du bar. Il mâa dit que câĂ©tait dommage que nous devions nous arrĂȘter lĂ , il avait encore faim. Câest lĂ que je tâai envoyĂ© le premier SMS, en lui disant quâil nây avait pas de problĂšme, quâon avait quâĂ se retrouver Ă 17 heures quand je sortirai. Il mâa laissĂ©e Ă quelques rues du boulot, avec un gros baiser baveux, et en me pelotant les fesses. Je tâai envoyĂ© les deux MMS juste avant de reprendre, avec seulement cinq minutes de retard, et avec le string trempĂ©, jâavais lâimpression de faire floc floc en marchantâŠ
Pendant tout ce récit, elle me caressait doucement la queue, mais sans jamais y aller franchement. Puis elle me dit :
â Si tu veux que je te raconte ma soirĂ©e aussi, il va falloir y mettre du tien.
â Tout ce que tu voudras, ma chĂ©rie, du moment que tu me racontes.
Alors, elle me fit lever du canapĂ©, puis retira son jean, et sâinstalla, jambes ouvertes. Je compris immĂ©diatement le message et mâinstallai moi aussi, la tĂȘte entre ses cuisses pour lĂ©cher ce sexe qui Ă©tait rempli quelques heures auparavant de la queue dâun autre.
Elle reprit son récit, non sans quelques interruptions pour exprimer le plaisir que je lui donnais.
â Je lâai donc retrouvĂ© comme prĂ©vu aprĂšs le boulot, devant sa boutique. Il mâa Ă nouveau embrassĂ©e Ă pleine bouche en me pelotant les fesses, et mâa invitĂ©e Ă le suivre chez lui, juste Ă cĂŽtĂ©.
Ă peine la porte refermĂ©e, on sâest jetĂ©s lâun sur lâautre, pour se dĂ©shabiller, et se caresser tout le corps, ce que nous nâavions pas pu faire ce midi.
Puis il mâa entraĂźnĂ©e dans sa chambre (lâappartâ est petit, câĂ©tait vite fait), et mâa fait allonger sur son lit, pour me lĂ©cher, exactement comme tu le fais maintenant. Il sait trĂšs bien sây prendre, et inutile de te dire quâaprĂšs la sĂ©ance de ce midi, jâĂ©tais particuliĂšrement rĂ©ceptive. Il mâa fait dĂ©coller en quelques minutes, et ne sâest arrĂȘtĂ© quâaprĂšs mon troisiĂšme orgasme.
Il me fourrait ses doigts tout en me suçant le clito, je sentais le mĂ©lange de mouille et de salive qui coulait sur ma chatte, et le long de la raie de mes fesses, et jâimaginais en mĂȘme temps que jâallais te raconter ça⊠CâĂ©tait⊠mmmmh !
AprĂšs mon troisiĂšme orgasme, donc, il sâest arrĂȘtĂ©, et sâest relevĂ© pour me prĂ©senter sa belle queue. Elle me paraissait plus grosse et plus dure que ce midi, au bar, et il avait une goutte qui coulait du gland. Je ne me suis pas fait prier pour la cueillir avec ma langue avant de commencer Ă le sucer. Câest lĂ que je lui ai demandĂ© de faire une photo avec mon tĂ©lĂ©phone. Comme il mâa demandĂ© pourquoi je faisais des photos comme ça, je lui ai expliquĂ© que tu Ă©tais Ă la maison, et que tu attendais avec impatience le rĂ©cit de mes aventures. Il sâen est donnĂ© Ă cĆur joie, tu pourras regarder les photos quand jâaurai fini de te raconter.
Jâai donc repris ma pipe, le suçant avec application, et lâĂ©coutant gĂ©mir, comme je fais quand je te suce. Il avait posĂ© sa main derriĂšre ma tĂȘte et accompagnait chacun de mes mouvements dâune lĂ©gĂšre poussĂ©e. Au bout dâun bon moment (câest quâil est endurant, en plus), je lâai senti se contracter, jâai voulu retirer sa queue de ma bouche, mais il me tenait la tĂȘte, et il a joui comme ça, debout, dans ma gorge. Et puis il mâa dit :
â Alors comme ça, tu es une salope, ouvre la bouche pour montrer Ă ton mec comment tu suces bienâŠ
â Je ne sais pas pourquoi, mais, ça mâa excitĂ©e, alors jâai ouvert la bouche, et il a fait une photo de son sperme sur ma langue. Et puis, jâai avalĂ©, et jâai Ă nouveau ouvert la bouche, et il a pris une autre photo.
Mais câest quâil ne dĂ©bandait pas le cochon ! Il mâa Ă nouveau allongĂ©e sur le lit, et mâa relevĂ© les jambes, avant de se mettre Ă me lĂ©cher la chatte, et la raie des fesses. Il faisait entrer et sortir sa langue une fois dans mon sexe, une fois dans mon petit trou, que je sentais se dilater Ă chaque passage. Il faisait ça trĂšs bien, sans insistance, mais sans non plus me laisser le choix. Au bout dâun moment, il a dĂ©laissĂ© ma chatte, pour rentrer et sortir sa langue uniquement de mon petit trou. Et ça ne me chatouillait pas⊠Au contraire ! Je gĂ©missais de plaisir, comme une chatte en chaleur.
AprĂšs un petit moment de ce traitement, il est venu sâallonger Ă cĂŽtĂ© de moi sur le lit, et mâa demandĂ© si je voulais quâil me prenne. Jâen mourais dâenvie, tu me connais⊠Jâai attrapĂ© une capote dans mon sac, que je lui ai tendue, sans lui rĂ©pondre, puis je me suis rallongĂ©e, les cuisses Ă©cartĂ©es !
Il a enfilĂ© la capote vite fait bien fait, et il est venu sâallonger sur moi. Je sentis son gland contre ma chatte, alors jâai donnĂ© un coup de bassin, pour lâinciter Ă sâenfoncer, ce quâil a fait sans attendre plus longtemps. Dâun seul coup, il mâa plantĂ© sa queue au fond de la chatte, je sentis ses couilles contre mes fesses. Jâai poussĂ© un cri de plaisir. Il est vraiment large, je le sentis me dilater, et pourtant, jâĂ©tais totalement excitĂ©e, crois-moi.
Il a relevĂ© mes jambes sur ses Ă©paules et a commencĂ© Ă me baiser comme ça, Ă grands coups de queue. Je le sentais qui sortait complĂštement avant de sâenfoncer Ă nouveau jusquâaux couilles. Tout lâimmeuble a dĂ» mâentendre. Il mâa baisĂ©e comme ça un moment, puis jâai eu envie de venir sur lui. Je te passe tous les dĂ©tails, hein, mais il mâa baisĂ©e au moins une demi-heure comme ça, un coup dessus, un coup dessous, un coup derriĂšre. On Ă©tait trempĂ©s de sueur, et de mouille !
Quand il me baisait en levrette, jâenfonçais mon visage dans le matelas, et jâĂ©cartais mes fesses Ă deux mains, pour lui offrir une belle vue de mon petit trou quâil avait si bien dilatĂ© et lubrifiĂ©. Jâai joui je sais pas combien de fois !
Et puis jâai senti quâil allait jouir aussi, câest lĂ que je lui ai demandĂ© de gicler dans mon string, pour que tu puisses le sentir toi aussi. Il sâest retirĂ©, a enlevĂ© la capote, il a posĂ© mon string sur ma chatte, et a balancĂ© une grosse giclĂ©e dessus avant de sâessuyer le gland dedans.
Puis on sâest allongĂ©s sur le lit, cĂŽte Ă cĂŽte, tranquilles, en se caressant et en sâembrassant. Il mâa demandĂ© si jâĂ©tais satisfaite, et si tu aimerais ce que jâaurais Ă te raconter. Jâai ri !
Au bout dâun moment, jâai vu quâil recommençait Ă bander. Moi, jâĂ©tais peut-ĂȘtre satisfaite, mais il en voulait encore, luiâŠ
Jâai regardĂ© lâheure, jâai vu que jâavais encore le temps avant le dernier train, alors jâai recommencĂ© Ă le sucer. Il sâest trĂšs vite mis au garde-Ă -vous. Cette fois-ci, il ne voulait pas jouir dans ma bouche. Je me doutais bien quâil avait autre chose en tĂȘte. Il a repris sa position de cunni de tout Ă lâheure, mes jambes en lâair. Cette fois-ci, câest moi qui les ai tenues largement Ă©cartĂ©es et relevĂ©es. Il a compris le message. Sa langue a commencĂ© ses va-et-vient de ma chatte Ă mon petit trou, puis dans mon petit trou. Il aime ça, et il sait sây prendre je vais te dire. Au bout dâun moment, je nâavais quâune envie, quâil remplace sa langue par autre chose.
Jâai repensĂ© Ă toi Ă ce moment-lĂ , et je lui ai demandĂ© de me prendre en photo comme ça, dans une position carrĂ©ment obscĂšne, la chatte et le cul offerts, dilatĂ©s et dĂ©goulinants de sĂ©crĂ©tions. Il a pris une capote, se lâest enfilĂ©e, et mâa dit :
â Avant que tu rentres retrouver ton cocu de mec, je vais tâenculer.
â Vas-y, dĂ©fonce-moi le cul.
Il sâest pas fait prier, regarde.
Elle releva ses jambes, reprenant la position quâelle mâavait dĂ©crite, pour mâoffrir sa porte secrĂšte que je dĂ©couvris en effet encore bien dilatĂ©e par les coups de queue quâil lui avait mis. Je mâempressais Ă mon tour de lĂ©cher cet orifice qui mâest trop souvent interdit Ă mon goĂ»t, et que ce mec que je ne connaissais pas avait eu le plaisir dâinvestir dĂšs le premier rendez-vous.
â CâĂ©tait trop bon. Il me branlait en mĂȘme temps la chatte et le clito, tout en faisant coulisser sa queue entre mes fesses. Il mâa bien dĂ©foncĂ© le cul, comme promis. Jâai pas mis longtemps Ă jouir encore, crois-moi. Puis il mâa fait mettre Ă quatre pattes, et mâa Ă nouveau enculĂ©e. Je me sentais vraiment salope, je lâencourageais Ă me baiser plus fort, et il ne se faisait pas prier. Il faisait des photos avec mon tĂ©lĂ©phone, et puis, je lâai senti qui accĂ©lĂ©rait, il sâenfonçait dans mon cul comme sâil voulait me transpercer, puis sâest retirĂ©, il a arrachĂ© la capote et mâa giclĂ© sur les fesses et le dos. Il a fait une derniĂšre photo, et mâa essuyĂ©e avec un mouchoir en papier. Jâai regardĂ© lâheure⊠Il Ă©tait temps que je mâen aille.
On sâest rhabillĂ©s, il mâa ramenĂ©e Ă la gare, en me demandant si on remettrait ça. Je lui ai dit que pour moi, ce serait avec grand plaisir, si tu Ă©tais dâaccord. Il mâa mĂȘme dit que si on voulait, il pourrait venir Ă la maison pour me baiser pendant que tu regardes, ça te dirait ?
Je vous laisse deviner ma rĂ©ponseâŠ
Auteur : Mik_fantasies
7 years ago