Avant (6)
Elisabeth était sale et vicieuse mais un peu bête, je m'en aperçus bien vite. Visiblement incapable de toute initiative, elle ne faisait que ce qu'on lui demandait.
Après que je l'eusse léché sous les bras, et tandis que mon sexe n'en pouvait plus de ne pas être manié, Gabrielle me demanda de m'asseoir sur un tabouret dans un coin de la cuisine. La position n'était pas malcommode, mais Gabrielle vint me positionner les bras derrière le dos, en m'intimant l'ordre de les laisser dans cette position. Son œil à la fois affectueux et malicieux ne supportait pas la contradiction.
A ma grande surprise, Gabrielle me demanda : Alors, c'est à toi, que voudrais-tu que nous fassions ? Allez, parle, il est temps que ce soit toi qui décide, à ton âge. Ta mère m'a demandé de te dégourdir un peu, d'ailleurs elle vient à la fin de la semaine pour te reprendre, je ne voudrais pas la décevoir sur ce plan. Parle, mon petit.
J'étais évidemment très ému, et en même temps je devinais les prémisses d'une opportunité rare.
Je dis, Eh bien, vous pourriez peut-être faire pipi sur Elisabeth, et la chatouiller comme vous faites ensemble ? (mon audace m'étonnait moi-même en parlant)
Bonne idée, répondit Germaine qui déjà soulevait ses jupes. Attends, je vais la préparer.
Elisabeth fut allongée sur le dos sur le carrelage de la cuisine, Germaine déjà nue vint se positionner au-dessus d'elle et, debout, j'entendis bientôt le son clair du filet d'urine qui giclait sur le ventre de la petite fille.
Gabrielle eut alors une idée géniale. Elle se déshabilla entièrement et se mit à quatre pattes entre Elisabeth et moi, me faisant voir toute la beauté de son immense chatte rousse. Elle léchait le petit sexe d'Elisabeth plein de pisse, elle s'en régalait.
Elle me dit : regarde bien ma chatte mon petit, imagine que tu es en train de la bouffer comme je le fais avec celle de ta petite copine.
Je devais être rouge comme un camion de pompier, je lui demandai la permission de la remplacer. D'accord, répondit-elle, mais à une seul condition : tu devras auparavant rentrer ta petite langue dans mon cul. Viens mon petit chéri, dépêche-toi.
Je sautai alors du tabouret et vins m'enfouir dans l'odorante et suintante toison. Les lèvres rouge vif étaient absolument béantes, jamais je n'avais vu une telle bouche de chair. le bouton de son anus, gros comme une pivoine, proposa à ma langue un goût épicé comme jamais je n'en avais connu. En avançant la langue et les lèvres, une amertume me prit aux entrailles, une odeur suffocante d'urine et de merde aussi excitante que celle qu'il y avait dans les chiottes près de l'église où j'allais me masturber le soir, après que les autres hommes, je l'apprendrais plus tard, venaient se soulager entre-eux à même le sol carrelé. Il n'était pas rare, en me masturbant, que je lèche l'urinoir dégoulinant de traces épaisses et humides, y devinant obscurément quelque interdit. Je giclais dans l'urinoir, les couilles glissant sur le rebord, puis je rentrais à la maison en vitesse, honteux et joyeux à la fois. Sur le chemin, des hommes me regardaient du coin de l’œil, ceux-là même qu'un peu plus tard je viendrais soulager à la chaîne avec la bouche, au fond du parking de la mairie, mais c'est une autre histoire...)
Me voyant pris de spasmes alors que j'enfouissais ma bouche au plus profond du cul bien ouvert désormais de Germaine, et que celle-ci commençait à proférer des grossièretés à l'endroit d'Elisabeth, entre deux râles, la traitant de putain mal lavée, de fille de chienne, de petite truie à sa gouine de mère, Gabrielle fut prise de compassion. Elle aussi s'accroupit derrière moi et, après m'avoir chuchoté que je serais à jamais son enfant chéri, elle rentra sa langue dans mon cul et, des deux mains, se mit à me traire la bite adorablement. Je jouis sans presque m'en rendre compte, dans une sorte de décharge intense, comme dans les chiottes de l'église. Je crois bien avoir alors failli m'évanouir lorsque germaine, poussant fort sur son cul, me le retourna tout baveux et gicla un liquide jaunasse délicieusement nauséabond à la figure. J'étais couvert d'un mélange de pisse et de merde.
Elisabeth, va lécher ! ont ordonné les deux garces. La petite se releva, vint vers moi et me demanda d'une voix enfantine légèrement éraillée : je peux vous sucer monsieur ?
Je ne sus quoi répondre, les deux salopes pendant ce temps-là s'embrassaient goulûment.
(à suivre)
Après que je l'eusse léché sous les bras, et tandis que mon sexe n'en pouvait plus de ne pas être manié, Gabrielle me demanda de m'asseoir sur un tabouret dans un coin de la cuisine. La position n'était pas malcommode, mais Gabrielle vint me positionner les bras derrière le dos, en m'intimant l'ordre de les laisser dans cette position. Son œil à la fois affectueux et malicieux ne supportait pas la contradiction.
A ma grande surprise, Gabrielle me demanda : Alors, c'est à toi, que voudrais-tu que nous fassions ? Allez, parle, il est temps que ce soit toi qui décide, à ton âge. Ta mère m'a demandé de te dégourdir un peu, d'ailleurs elle vient à la fin de la semaine pour te reprendre, je ne voudrais pas la décevoir sur ce plan. Parle, mon petit.
J'étais évidemment très ému, et en même temps je devinais les prémisses d'une opportunité rare.
Je dis, Eh bien, vous pourriez peut-être faire pipi sur Elisabeth, et la chatouiller comme vous faites ensemble ? (mon audace m'étonnait moi-même en parlant)
Bonne idée, répondit Germaine qui déjà soulevait ses jupes. Attends, je vais la préparer.
Elisabeth fut allongée sur le dos sur le carrelage de la cuisine, Germaine déjà nue vint se positionner au-dessus d'elle et, debout, j'entendis bientôt le son clair du filet d'urine qui giclait sur le ventre de la petite fille.
Gabrielle eut alors une idée géniale. Elle se déshabilla entièrement et se mit à quatre pattes entre Elisabeth et moi, me faisant voir toute la beauté de son immense chatte rousse. Elle léchait le petit sexe d'Elisabeth plein de pisse, elle s'en régalait.
Elle me dit : regarde bien ma chatte mon petit, imagine que tu es en train de la bouffer comme je le fais avec celle de ta petite copine.
Je devais être rouge comme un camion de pompier, je lui demandai la permission de la remplacer. D'accord, répondit-elle, mais à une seul condition : tu devras auparavant rentrer ta petite langue dans mon cul. Viens mon petit chéri, dépêche-toi.
Je sautai alors du tabouret et vins m'enfouir dans l'odorante et suintante toison. Les lèvres rouge vif étaient absolument béantes, jamais je n'avais vu une telle bouche de chair. le bouton de son anus, gros comme une pivoine, proposa à ma langue un goût épicé comme jamais je n'en avais connu. En avançant la langue et les lèvres, une amertume me prit aux entrailles, une odeur suffocante d'urine et de merde aussi excitante que celle qu'il y avait dans les chiottes près de l'église où j'allais me masturber le soir, après que les autres hommes, je l'apprendrais plus tard, venaient se soulager entre-eux à même le sol carrelé. Il n'était pas rare, en me masturbant, que je lèche l'urinoir dégoulinant de traces épaisses et humides, y devinant obscurément quelque interdit. Je giclais dans l'urinoir, les couilles glissant sur le rebord, puis je rentrais à la maison en vitesse, honteux et joyeux à la fois. Sur le chemin, des hommes me regardaient du coin de l’œil, ceux-là même qu'un peu plus tard je viendrais soulager à la chaîne avec la bouche, au fond du parking de la mairie, mais c'est une autre histoire...)
Me voyant pris de spasmes alors que j'enfouissais ma bouche au plus profond du cul bien ouvert désormais de Germaine, et que celle-ci commençait à proférer des grossièretés à l'endroit d'Elisabeth, entre deux râles, la traitant de putain mal lavée, de fille de chienne, de petite truie à sa gouine de mère, Gabrielle fut prise de compassion. Elle aussi s'accroupit derrière moi et, après m'avoir chuchoté que je serais à jamais son enfant chéri, elle rentra sa langue dans mon cul et, des deux mains, se mit à me traire la bite adorablement. Je jouis sans presque m'en rendre compte, dans une sorte de décharge intense, comme dans les chiottes de l'église. Je crois bien avoir alors failli m'évanouir lorsque germaine, poussant fort sur son cul, me le retourna tout baveux et gicla un liquide jaunasse délicieusement nauséabond à la figure. J'étais couvert d'un mélange de pisse et de merde.
Elisabeth, va lécher ! ont ordonné les deux garces. La petite se releva, vint vers moi et me demanda d'une voix enfantine légèrement éraillée : je peux vous sucer monsieur ?
Je ne sus quoi répondre, les deux salopes pendant ce temps-là s'embrassaient goulûment.
(à suivre)
8 years ago