Quand Marc rencontra Florian.

Quand Florian rencontra Marc

Traduction en français de “ When Marc first met Florian” written by rjo91 et ...


Première partie: La rencontre

Il était tard, presque 10 heures ce samedi lorsque Florian décida de sortir. Un chaude soirée d'été, un tee-shirt gris, un jean taille basse bleu clair et une paire de baskets était suffisants. Il faisait encore très chaud. Ayant pour but le bar gay qu'il fréquentait, il ne faisait que marcher tranquillement sur la rue encore animée, les mains dans les poches de son jean. Il ne pensait pas vraiment à quelque chose de particulier, juste respirer l'air du soir en profitant du paysage.

Au bout d'un moment, Florian aperçut, venant vers lui, au loin, un homme au look intéressant, peut-être cinq ans de plus que lui. Même taille, cheveux blonds. Il ne voulait pas d'un contact visuel et essaya de ne pas le fixer de façon trop évidente. Il remarqua quand même que l'autre homme était habillé de façon classe. Un chino coloré, une chemise bleu-clair, avec les manches retroussées, une cravate chic desserrée autour du cou, et le premier bouton défait. Un sac de sport pendant de son épaule et traversant sa poitrine appuyait sur son flanc. Il avait une veste pliée sous l'autre bras. Ses mains étaient dans ses poches de pantalon et il semblait rentrer chez lui après sa séance de gym.

Florian avait remarqué tout ça par ses coups d’œil furtifs jetés alors que l'homme s'était rapproché suffisamment dans la rue assez bondée.

Ils se croisèrent, Florian regardait droit devant lui, faisant semblant de ne rien remarquer mais un lacet d'un de ses baskets était défait et il s'agenouilla pour le nouer. Se faisant, il jeta un coup d’œil derrière lui et remarqua que l'autre homme s'était arrêté et regardait une vitrine pas loin derrière lui. Il pensa l'avoir vu lui jeté un coup d’œil mais il n'en était pas sûr. Il noua son lacet, se releva et continua sa route. Après quelques pas, il jeta un nouveau coup d’œil par dessus son épaule. Cette fois, il en était sûr, l'autre homme s'était retourné pour le regarder. Un léger frisson d'excitation traversa Florian.

Il n'aurait jamais eu le courage de faire un geste à quelqu'un dans la rue, surtout pas à un étranger. Toutefois, il se sentait ravi que quelqu'un le remarque et le regarde. Ça le rassurait sur lui-même. Il continua à marcher et traversa la rue un peu plus confiant maintenant. La porte du bar n'était qu'à quelques pas. Il pouvait entendre les bruits qui en venait. Le bruit d'une foule. Il y aura quelqu'un que je connais pansa-t-il. Cette nuit sera peut-être une bonne nuit.

Marc:

Le samedi soir, le magasin ferme tard. Je ne suis jamais parti tôt, et en plus demain je suis de repos. Nous vendons des vêtements, donc j'obtiens des remises et j'aime bien être bien habillé. Je peux m'offrir quelques trucs sympas. Il fait chaud ce soir, c'est encore très animé, Je suis allé à la salle de sport après le boulot et je rentre tranquillement chez moi. J'ai retiré ma veste et je l'ai pliée sous mon bras. Je ne veux pas qu'elle sente la sueur et qu'elle soit froissée.

Je viens de remarquer un gars au loin marchant vers moi. Je ne pense pas qu'il m'ait vu. Il porte un jean et un t-shirt. Je remarque toujours ce que porte les gens. Il est environ de ma taille, un peu plus de six pieds. Teint frais, Il a l'air d'un étudiant. Il y a des marques sombres sous ses aisselles où sa sueur a été absorbée par le coton. J'aime sa coiffure, courte et retournée sur l'avant. Mieux vaut ne pas le fixer. Il va me voir !

Non, il ne m'a pas remarqué. Je vais regarder cette vitrine et puis jeter un coup d’œil vers lui, regarder son cul. Il se penche pour nouer sa chaussure. Je peux voir le haut de son sous-vêtement en bas de son t-shirt. Calvin Klein ! Je connais mes marques, blanc avec une ceinture rouge contrastante. J'espère qu'il m'a remarqué. Oh ! Il repart. On dirait qu'il va traverser la rue. Merde, il regarde derrière lui. Oh ! Maintenant, il a sûrement vu que je le regardais. Il doit penser que je le suis, ce que je fais. Je pense qu'il va vers ce bar gay là-bas.

J'attends. Oui il y entre. Il semble qu'il sache bien où il va, aucun hétéro ne traînerait la dedans, c'est évident, c'est plein d'hommes et il y a cette vieille grosse drag-queen qui embrasse les habitués à la porte quand elle les reconnaît. C'est assez pour effrayer qui que ce soit – surtout les hétéros !

Ça fait des siècles que je ne suis pas venu là. Je ne prends pas souvent cette rue. Est-ce que je dois le suivre ? Oh ! Pourquoi pas ? Il fait si chaud ce soir. L'idée d'une bonne bière rafraîchissante est une bonne excuse pour le suivre à l'intérieur.

Je traverse la rue. Il a déjà disparu à l'intérieur. Mes yeux s'ajustent à l'obscurité du lieu. Je ne le vois pas. Si, maintenant je le vois. Il vient d'embrasser quelqu'un. C'est bien ma chance. Il rejoint peut-être son petit ami. Mais attends – non, pas un petit ami, il vient d'embrasser quelqu'un d'autre. Probablement juste des connaissances.

Florian:

Il y a du monde ce soir. Oh non ! Stefan arrive, il insiste toujours pour m'embrasser et sentir mon cul ! Je vois quelques tabourets libres, là-bas dans le coin près du bar. Je vais en prendre un.

« Une bière s'il te plaît ! » Je m'assois, la bière arrive. Il y a un mur-miroir derrière le bar. Il rend la pièce plus grande et c'est l'idéal pour observer la concurrence sans les regarder directement.

Ce serait pas le gars qui était dans la rue ? Mais si ! Il viens par ici.

Marc:

Je le vois sur un tabouret au bar là-bas. OK ! Prends ta respiration, il y a un siège libre à côté. Bouge-toi.

Je lui demande s'il pense que que je peux m'asseoir sur un tabouret libre près de lui ? Non, il ne le pense pas. En fait il en récupère un et me propose de m'asseoir près de lui. « Une bière s'il vous plaît ! » J'en descends presque la moitié. Les bulles me remontent directement à la tête. C'était idiot- ne soit pas si nerveux- il doit penser que je suis un poivrot.

Je dis : « Salut ! ...Marc. Putain, il fait rudement chaud ce soir. » et je pensais en moi-même : et toi aussi. Je lui présente ma main. Il la serre et dit qu'il s'appelle Florian.

Florian:

Il s'est assis juste à-côté de moi. Il s'appelle Marc. Il est super canon ! Je n'ai jamais vu d'aussi beaux yeux verts. Je sens que je rougis et que je bande. Il a commandé une bière, elle arrive. On trinque. Je le sens tout aussi nerveux et excité que moi. On enfile nos bières bien trop rapidement- sûrement les nerfs !

Marc:

C'est un des ces moment, comme s'il n'y avait dans le bar personne d'autre que nous. La seule chose que je puisse voir , c'est ce gars, Florian assis près de moi. Je ne peux pas encore le regarder directement. Je suis gêné. Je m'excuse de lui demander s'il sait ou sont les toilettes. Il me montre le coin. Je lui demande de me garder ma place et de surveiller mon sac de sport. Il dit qu'il le fera. J'entre aux toilettes et pisse dans l'urinoir, je bande à moitié et je dois encore pisser. Je vais me laver les mains, me vois dans le miroir et lisse mes cheveux pour les recoiffer. J'espère que je me suis rasé ce matin. Je m'arrange du mieux que je puisse et retourne au bar. Dieu merci, il est encore assis là,. Je pensais qu'il aurait pu partir. Le dos de son t-shirt lui colle à la peau. Je peux voir les traînées sombres de sueur au bas de son dos. Il fait très chaud ici.

Florian:

Il dit qu'il a envie de pisser. Je fixe la porte des toilettes. J'aimerais jeter un œil dans son sac, pendant son absence, pour voir ce qu'il y a dedans, peut-être renifler sa tenue mais je résiste ! Le bar commence à devenir archi-comble et bruyant comme tous les vendredis soir. Il revient. Il est assis un peu plus près, je peux sentir sa jambe toucher la mienne. Je ne la retire pas mais l'appuie plus fort sur la sienne. Je demande si je peux lui payer une bière, il dit non, il n'en paiera une. On ne discute pas plus Il me demande si je suis parti en vacances et je soulève le devant de mon t-shirt pour lui montrer mon bronzage. Il en est impressionné. Je lui demande s'il est allé quelqu part. Il répond qu'il a réservé un séjour en Espagne pour le mois prochain. Il va à l 'endroit d'où je reviens et je commence à lui dire les endroits qu'il doit voir quand il y sera. Il a la conversation facile et je me sens plus détendu maintenant.

Marc:

Je nous commande deux bières et il me dit qu'il revient tout juste de vacances. Il soulève le devant de son t-shirt pour montrer sa poitrine bronzée. Ah les abdos ! Ce mec est en forme ! Il dit qu'il aime le cyclisme. Je parie qu'il a de bonnes cuisses et un cul bien ferme. Il est étudiant en fin d'étude, ses exams sont la semaine prochaine. Dans un mois c'est fini. En fait, je visiterai le même coin que lui. Il commence à me dire quoi visiter, les bars où aller etc. C'est tellement bruyant et bondé qu'on doit se rapprocher et crier pour entendre ce que l'autre dit. Je peux sentir son souffle sur mon oreille quand il parle. Je peux sentir son corps. Une bonne odeur musquée avec une touche de sueur. Putain ! Qu'est-ce qu'il est sexy !

Florian:

On est resté là pendant presque deux heures. Il est minuit passé. On a parlé sans discontinuer, nous avons tant de choses en commun. Il est de bonne compagnie, assez drôle et amusant. Il a beaucoup d'histoires de clients a raconter. J'ai perdu le compte des bières que nous avons bues- quatre ? Cinq ? Je ne suis pas très à l'aise avec l'alcool. J'en ai eu plus que d'habitude et je suis un peu embrumé. Nos jambes, nos bras et nos épaules se touchent quand les gens passent et nous cognent tant le bar est bondé. Chaque fois que nous nous touchons, c'est comme de l'électricité. Comme un coup de foudre à chaque fois.

Je dis que l'endroit est devenu trop bondé et suggère que nous partions et avant que je puisse m’arrêter, je l'ai invité à mon appartement pour un dernier verre.

Marc:

Il vient de suggérer que nous allions chez lui pour un dernier verre.. Je lui lançait « Pourquoi pas ? ». En fait, je suis encore comme un ado à la proposition de quitter le bar et d'avoir son cul sexy pour moi tout seul. Je prends mon sac et on se lève pour partir. Alors que nous marchions dans la rue, nous fonçons dans d'autres passants sur le trottoir et buttons l'un contre l'autre. Ma main toucha à peine la sienne. Il la tint un moment jusqu'à ce que nous les lâchions pour laisser passer quelques filles entre nous deux. L'une d'elle se retourna et cria : « Amusez-vous bien les gars ! ». Est-ce si évident ou le reste du monde a-t-il juste décidé que nous étions fait l'un pour l'autre ?

Florian:

J'essaie de mettre la clé dans la serrure de la porte de l'immeuble, ma main tremble un petit peu. Nous sommes à l'intérieur maintenant. Il met ses bras autour de ma taille et me tire vers lui. Nous nous embrassons. Notre premier baiser ! Son sac de sport tombe parterre. Je prends sa main, nous marchons vers l'ascenseur, grimpons dedans et le presse le bouton 8. Les portes se ferment et sont mettons nos bras autour de l'autre et nous embrassons encore. Les portes s'ouvrent et nous marchons vers la porte de mon appartement. Je l'ouvre, fais un pas en arrière et l'invite à entrer.

Marc:

C'est un chouette appartement. Il y a un grand salon, pas beaucoup de meubles, mais très modernes, minimalistes, élégant set bien rangés. Florian allume et baisse la puissance de l'éclairage de telle sorte qu'il fasse encore relativement sombre. Nous nous regardons l'un l'autre dans la pénombre. Il indique du doigt les portes, montrant -la cuisine,la salle de bain, la chambre. D'énormes portes-fenêtres en verre ouvrent sur un petit balcon. Nous restons figés là un moment. Il y a une magnifique vue sur la ville en bas, les lumières, les gens, les voitures paraissent petits vus de la-haut. Il va au frigo. Les boissons arrivent. Deux petites bouteilles de bière. Je ne sais si je peux boire encore mais je lui prends une bouteille et l'embrasse.


Deuxième partie : Dans l'appartement


Marc fait glisser le t-shirt de Florian par-dessus sa tête, révélant son torse bronzé. Il embrasse un de ses tétons et ses mains commencent à défaire la ceinture du jean de Florian et baisse la fermeture éclair. Il les pousse légèrement vers le bas et les met sur le haut des fesses de Florian, les malaxant, appuyant ses doigts dessus. La bite de Florian se raidit, encore coincée par son slip étroit, sous son jean desserré. Il bande et leurs lèvres ne peuvent se séparer tant l'intensité de leurs baisers est forte.

Marc met une main derrière la tête de Florian et la tire toujours plus près. Ils peuvent sentir la chaleur de leurs corps entremêlés. Il règne une atmosphère de sexe torride.

Marc baisse plus bas sur ses cuisses le jean de Florian. Ses mains expertes savent exactement ce qu'elles font. Florian essaie de balancer ses baskets et ils font tous deux une espèce de danse folle alors que Marc le tire devant la porte de la chambre.

La main de Marc sent l'érection de Florian, dans son slip et il masse ce sexe sur toute la longueur.

« Putain – ça semble super ! » pense-t-il, grand, gros, super bandé.

Le gland de Florian est dur, essayant de pointer par la ceinture. Marc le libère et saisit la bite et les couilles de Florian les enserrant comme un cockring de métal et il est ainsi tiré dans sa propre chambre, leurs bouches toujours encastrées, s'embrassant.

Marc pousse Florian sur le lit et lui retire sont pantalon, son slip et ses chaussettes. Florian gît là, complètement nu, une bande blanche en travers du corps marquant l'emplacement de son maillot. Florian n'a pas beaucoup de poils. Il a rasé ses aisselles, sa bite et ses couilles, tondu son pubis laissant seulement un petit triangle de poils courts. Sa bite a peine bandée pendouille sur un côté de son ventre. Marc se déshabille en vitesse, jetant ses vêtements sur le dossier d'une chaise. Ils sont tous deux complètement nus. Il y a juste un lit double dans la chambre- mais un immense miroir recouvre le mur au pied du lit. Pas un mot n'a été échangé depuis qu'ils sont entrés dans l'appartement. Aucun besoin. L'attirance sexuelle est presque irrépressible.

Florian:

Je suis à plat dos sur mon lit, les jambes pendantes au bout, à demi assis, m'appuyant sur mes coudes et il s'agenouille, nu au pied du lit sa tête entre mes jambes. En regardant le miroir derrière lui, je peux voir l'arrière de sa tête, son dos musclé et ses fesses fermes reposant sur ses jambes repliées sous lui. Je ne sais où regarder- le regarder lui ou son image dans le miroir, les deux sont si bandants.

Il se lève un instant et j'ai enfin ma première vue sur sa bite et ses couilles bien pendantes – Si ce n'est pas 18 cm de bonne chair humaine, je ne sais pas ce que s'est !

Maintenant, il se place au-dessus de moi sur le lit.

Je sens nos queues raides frotter l'une contre l'autre. Puis il excite mes mamelons avec sa bouche et ses dents. Ils se colorent et les tétons se raidissent et pointent. - Je regrette de ne pas avoir gardé mes piercings, mais même sans, son expertise a provoqué un afflux de sang et une accélération de mon cœur

Il redescend au pied du lit. Ma bite bien droite sur mon ventre pointant vers mon nombril. Follement excité, il l'empoigne avec mes couilles à nouveau, les tire vers sa bouche.

Mon gland devient violet sous la pression de son poing et la peau de mes couilles s'épaissit doucement tirant mes couilles plus près de la base de ma bite. Maintenant, il lèche ma queue de haut en bas et me suce les couilles. Il en aspire une puis l'autre. Mon scrotum en est tout mouillé.

Il lèche ma queue de haut en bas et suce consciencieusement mon gland, faisant un petit claquement à chaque fois qu'il écarte ses lèvres avant d'y revenir encore.

Marc:

Je suis complètement nu, agenouillé parterre au pied du lit. Florian est allongé sur le dos, appuyé sur ses coudes. Il me regarde et sourit. Ses jambes sont largement écartées et j'ai la tête dans son entrejambe. J'ai sa queue et ses boules dans la main. Il bande à mort, son prépuce en arrière. Il commence à gémir un peu quand je commence à jouer avec sa queue- des sortes de « Oooh ! », »Aaah !».

Ensuite, j'ai ses deux boules dans la bouche, les suce - Il est extrêmement vulnérable comme ça, en secouant un peu, je frotte les mains de haut en bas sur le haut de ses cuisses pour le rassurer. D'une certaine manière, il me fait confiance. Je caresse ma queue, raide comme un poteau maintenant, pendant que je suce, lèche et baise la partie la plus sensible de son corps.

Une goutte transparente de liquide - son précum – apparaît au bout de son gland. Je vais y goûter.

Florian:

C'est comme si la pièce tournait. Mon cœur bat plus vite et ma peau est rougie par cette montée de pression sanguine. Chaque contact de sa langue, de ses lèvres, de ses mains est hyper sensible. Ma tête part en arrière. Mes yeux se ferment. Je n'ai aucune raison de lui résister- je lui ai littéralement livré mon corps- pour son plus grand plaisir- il pourrait faire tout ce qu'il veut avec- je suis au Paradis.

Marc:

Je sais ce qu'il veut, c'est ses couilles dans ma bouche. S'il y a une chose que je sais sur moi, c'est que je suis un expert en taillage de pipe. J'aime ça !

Je ne peux pas croire que sa queue soit si épaisse et grosse ! Je commence à la travailler. Ma tête monte et descend sur elle et à chaque cycle elle entre de plus en plus dans ma bouche, jusquà ce que je l'ai toute entière et que mon nez soit coincé contre son pubis rasé.

Ma tête ne bouge pas pendant un instant, le tenant dans ma bouche comme ça, mes lèvres autour le la base de son pénis, la tenant comme un cockring serré. Je m'étouffe et tousse un peu, le libère de ma bouche. Je peux sentir ses jambes trembler de plaisir.

Alors que je me dégage, des glaires et de la salive coulent de ma bouche et dégringole sur ma poitrine. Il peut voir mes yeux inondés mais immédiatement, je suis à nouveau à le sucer vigoureusement sur toute la longueur.

De temps en temps, je m’arrête et la tient au fond de ma gorge, mon visage fortement collé sur son pubis. Puis je recommence à le sucer plus fort, maintenant les pauses. Il y a plein de trucs que je peux essayer de faire avec ce gay avant la fin de la nuit.

Florian:

Il sait certainement ce qu'il fait parce ce qu'il semble sentir à chaque fois le moment où il doit me mener au bord de l'orgasme et s’arrêter alors- le bâtard ! - me laissant récupérer. Il se rassois sur ses talons, tenant ma bite dans la main, admirant son travail. Il laisse la tension baisser dans ma queue avant de recommencer à me masturber et de la remettre dans sa bouche.

Dehors, à travers la fenêtre, la pleine lune apparaît de derrière les nuages emplissant la chambre de son éclat. Je le contemple et pense à ce que je peux faire pour lui en comparaison à ce qu'il fait pour moi .

Aussitôt après, ses jambes sont de chaque côté de ma poitrine et il s'agenouille sur moi, son cul contre mon visage et sa tête à nouveau dans mon entrejambe, un 69 classique.

Mes yeux sont à quelques centimètres à peine de sa chatte, ses couilles bien pendantes sont sur mon menton et sa queue se dresse sur le haut de ma poitrine. C'est une vue incroyable mais mes mains ne sont pas disponibles. Ses jambes retiennent mes bras le long de mon corps. Si je veux faire quoi que ce soit, se le sera avec la bouche et la langue uniquement ! Je l'entends cracher sur mon gland et il recommence à me branler.

Je me sens pis au piège. Je voudrais le tâter mais il n’arrête pas de me titiller. Dès que j'essaie de lever la tête pour tenter de le goûter, il lève son cul un peu plus haut pour que je n'arrive pas à l'atteindre et mes yeux contemplent cette bite et ces boules pendantes au dessus de mon visage, juste hors de portée.

Avant même que je tente de prendre l'initiative, il se lève et retourne au pied du lit. Il m'att**** par les chevilles et rejette mes jambes par-dessus moi, plie légèrement les genoux et ce faisant, mes fesses décollent du lit, exposant ma chatte et son trou serré. Il met un oreiller sous mon cul.

Il crache autour de ma bite et mes couilles et la salive coule. Dans cette position, quelques gouttes coulent sur mon anus.

Enculé ! Je sens un de ses doigts frôler mon sphincter. Il utilise sa salive comme lubrifiant. Il appuie doucement sur ma rondelle, seule l'extrémité de son doigt me pénètre. Sa bouche travaille toujours ma bite, ça m'excite tant. Je me sens impuissant, je me sens piégé.

Son doigt commence son travail. C'est magique. Et doucement il m'ouvre, prenant son temps, crachant sur ma chatte pour faciliter sa progression. Sans cesser, son doigt poursuit son trajet vers sa destination, ma prostate ! Puis, tandis qu'il alterne les succions de ma bite puis de mes couilles et encore et encore, son doigt entre et sort plus facilement, de plus en plus profondément.

Bien sûr, il la trouve et à cet instant ma queue se raidit convulsivement dans sa bouche semblant lui dire « ça y est, tu l'as eu ! »

Je réussis juste à sortir « Oh putain, Marc, qu'est-ce que tu me fais ? »

Il est une irrésistible insatiable machine à baiser et un second doigt me pénètre et comme si ce n'était pas suffisant, son taillage de pipe et ses baisers s'intensifient, toujours plus. Personne ne m'a déjà fait ça comme ça. Je tremble de tout mon corps, coincé sous lui.

Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu ! Ne t'arrête pas Marc ! Oh putain ! Oh mon Dieu !




Troisième partie : Après minuit


Trente minutes se sont écoulées depuis que Marc est arrivé dans l'appartement de Florian. Ils sont tous deux nus dans la chambre, leurs vêtements éparpillés sur le sol où ils ont été jetés.
Florian est étendu sur le lit, les bras et les jambes en croix. Marc travaille le cul de l'autre gars avec ses doigts. Le clair de lune emplit la pièce.

Marc:

Son sphincter commence à se relâcher. Mes deux doigts entrent et sortent plus facilement maintenant. Je tente un troisième. Il me résiste en posant sa main sur la mienne pour m’arrêter un instant. Il me laisse faire et je retravaille son trou, doucement d'abord, tandis qu'il s'habitue aux trois doigts, il gémit et marmonne, soupire- »Oh Oui ! » au fur et à mesure je je dilate son trou. J'essaie de voir s'il accepte quatre doigts. Son anus se raidit d'abord puis se détend. Maintenant, je peux aller et venir avec mes quatre doigts et même un peu plus vite. J'adore la façon dont il geint quand je lui fait ça.

Florian:

Je n'ai jamais eu quatre doigts avant. Putain, j'adore ce qu'il me fait ! Glisser ses doigts en dedans et en dehors, tordre sa main comme il le fait. Il cherche toujours ma prostate, ma bite se contracte de plaisir chaque fois qu'il la touche. Je regarde le plafond, priant pour qu'il ne s'arrête pas, me demandant combien je pourrais en prendre.

Une goutte de précum apparaît sur la fente de mon gland. Il la lèche de son doigt et la porte à sa bouche. Le regard sur son visage... Je souris lorsque nos regards se croisent. IL att**** une autre goutte entre son pouce et son index. J'ouvre la bouche et tire la langue. Je veux goûter aussi.

Marc:

Il jute. Je goutte et lui en donne. Je me penche et nous nous embrassons. Il croise ses jambes autour de mon dos, me tirant plus près de lui. Il met ses mains autour de mon cou. C'est un grand baiseur, tendre et passionné. Nos bites se frottent. Je lui dit que je veux l'enculer. Il hoche la tête pour dire oui. Il veut que je le fasse.

Je le veux, il est trop bandant, sexy, l'enculé ! Pensai-je au moment où je le matais dans la rue. Je me retire et me positionne au pied du lit caressant mon sexe raide. Il se penche, ouvre le tiroir du chevet et me tend un tube de gel KY. Il se retourne la tête au pied du lit, met l'oreiller sous ses fesses pour les soulever un peu à nouveau.

Je m'agenouille sur le lit, rejette ses jambes en arrière. Son trou est à moitié ouvert et prêt. Je lève la tête et me vois dans le miroir plain-pied sur le mur au bout du lit. Son anus est à moi maintenant dis-je à mon reflet.

Florian:

Je me suis mis de façon qu'il puisse se voir dans le miroir sur le mur. Il lubrifie sa queue avec le KY et en tartine autour de mon anus. Il tient mes chevilles, poussant mes genoux en arrière vers ma poitrine. Il commence à me pénétrer doucement. C'est un peu douloureux malgré le travail que ses doigts ont fait pour me préparer. Il voit mon visage crispé et pousse plus doucement encore. Je l'accepte petit à petit jusqu'à ce qu'il entre entièrement en moi. Il reste là un moment sans bouger. Maintenant je peux le sentir au plus profond de moi. Ses couilles et sa toison appuient sur mes fesses.

Marc:

Quand l'ai commencé à le pénétrer, je peux dire qu'il a eu mal alors j'ai fait le plus doucement possible jusqu'à ce qu'il s'habitue à m'avoir en lui. Il met ses mains sur mes cuisses et m’empêche d'aller plus loin jusqu'à ce qu'il soit prêt à en prendre plus. Lorsque je l'ai entièrement pénétré pour la première fois, il a laissé échapper un soupir et a retiré sa main de ma cuisse pour la mettre derrière sa tête. Je ressors doucement, il est encore très tendu, et je le repénètre. Je recommence. Il s'y habitue maintenant. Je m'installe dans mon rythme si bien que je commence à le limer de plus en plus vite.

Je jette un coup d’œil et me revois dans le miroir . Maintenant, J'essaie des coups plus lents et plus profonds. A chaque fois que mes couilles cognent son cul, il laisse échapper un soupir. Il dit tout-à-coup - »Wow, c'est ça, Oh, baise-moi Marc ! S'il te plaît ! S'il te plaît , encule-moi ! »

Je commence à le pilonner plus fort. Je retire ma bite de son trou, lâche une de ses chevilles et saisit ma bite avec cette main libérée. Il retient sa jambe en arrière avec son bras derrière le genou. Alors, je commence à lui enfoncer ma bite dans le cul encore et encore, tenant fermement la base de ma bite tandis que je pilonne son petit trou. Il l'accepte comme un homme.

Florian:

Ça m'a fait vraiment mal quand il a commencé à pousser sa grosse bite dans mon cul. J'en ai tellement envie. J'essaie de bien me concentrer pour me détendre si bien que je finis pas avaler sa grosse bite veinée. Il est patient. Il m'attend. Un véritable amant, pas juste un baiseur enragé.

Encule. La sensation de ses couilles profond en moi est absolument incroyable. Il sait certainement ce qu'il fait. Il rend son temps, veut que je prenne mon pied autant que lui. Ces yeux, ces beaux yeux verts semblent pouvoir voir dans mes pensées. Il prend certainement soin de son corps. Ça se voit. Je le vois contempler son reflet dans le miroir pendant qu'il me saute.

Il me pilonne dur. Mon corps remue à chaque coup de butoir. Ma bite bande à mort le long de mon ventre.

Marc:

C'est une bonne baise, une chatte bien serrée de mec. Il bouge son corps synchro avec le mien, ne me résiste pas du tout. Il aime ça autant que moi. Je veux le prendre dans une autre position. Je me baisse et passe mes mains derrière son dos et le relève. Je m'allonge sur le lit de sorte qu'il puisse s'asseoir sur moi. Je ne laisse pas ma bite sortir de son trou. Nous nous ajustons à cette nouvelle position.

Florian:

Avec sa bite encore en moi, il me redresse et je m'assois au-dessus de lui alors qu'il s'est allongé. Je replie mes jambes et me retrouve donc à genoux, une jambe de chaque côté de son torse. Je m'assois sur lui et enfouis profondément sa bite dans mon cul. Je tâte et trouve sa bite pour vérifier que je l'ai prise toute entière.. Je commence à le monter comme un cowboy. J'aime cette position. J'ai pris un peu plus le contrôle. Je peux le baiser avec mon trou.

Marc:

Il est assis sur moi, chevauchant ma bite. Il met ses mains en arrière, derrière lui le reposant sur mes cuisses de sorte qu'il puisse se mouvoir de haut en bas et de bas en haut sur ma queue. Sa tête! Je peux dire qu'il aime ça. Je regarde le miroir derrière lui. Dans le reflet,Je peux voir ma bite qui entre profond dans son cul.

Il pense qu'il a plus le contrôle dans cette position. Je me redresse et commence à lui titiller les tétons tandis qu'il saute sur moi. J'att**** sa bite et la branle, l'empêchant de continuer ses va-et-vient. Sa tête tombe en arrière et il regarde le plafond au-dessus de lui. Il ferme ses yeux. Son visage exprime l'extase mais j'ai un autre plan.

Florian:

Il m'a relevé, juste à côté du lit, sa queue toujours en moi. Je mets mes bras autour de son cou, mon cul reste sur son pubis et je replie mes jambes derrière son dos pour m'accrocher à lui. Il appuie mon dos contre la cloison de la chambre. Il commence à me baiser debout.Je m'accroche à lui du mieux que je peux. Je veux toucher ma bite. Il est si puissant. Je sens mes omoplates frotter contre le mur. Il est si fort, supportant tout mon poids ses mains soutiennent mon cul, me retenant pour qu'il m'encule. C'est incroyable. Je me suis abandonné complètement à lui.

Marc:

Je veux ce gars-là. Je veux le prendre de toutes les façons imaginables. Je peux dire qu'il est fait pour ça. Alors, je le soulève et appui son cul sur mes hanches. Ses jambes sont croisées serrées derrière mon dos, ses mains autour de mon cou. Il est suspendu à moi pendant que je me lève. Ma bite est encore dans son cul. Je l'appuie contre le mur pour m'aider à supporter son poids et je l'encule comme ça. Vite – labourant et labourant rapidement.

Il rebondit sur moi, sa queue claquant ici et là. Il essaie de se toucher mais je l'arrête. Sa main tombe, flasque sur le côté, impuissant à résister. Il me fixe droit dans les yeux. Sa mimique dit : » Ouais ! Encule-moi ! Donne-moi tout ce que tu as ! »

C'est ce que je fais !

Florian:

Mes épaules frottent contre le mur lorsqu'il me pousse continuellement. Il a tant d'énergie. Je veux éjaculer mais je veux aussi me retenir. Je veux savoir combien je peux endurer. Il s'arrête et me soulève encore. Nous sommes en face l'un de l'autre et il m'embrasse passionnément, à en perdre haleine tous les deux. C'est torride.

Marc:

Je prends ses mains et l'attire au milieu de la pièce. Il se met à quatre patte et pose sa tête sur le sol, met ses mains derrière lui et écarte les fesses pour moi, en regardant derrière. Il m'offre son trou une fois de plus.

Je m'assois derrière lui, entre ses jambes pose mes mains sur ses hanches et pénètre une fois de plus en lui. Il laisse échapper un soupir d'angoisse. Je commence de longues lentes et puissantes poussées en lui. Sa voix se calme maintenant, se réduisant à une série de petits gémissements et soupirs à chaque fois que mes couilles cognent son cul.

Florian:

A quatre pattes devant le miroir, je le regarde se mettre derrière moi. Il crache sur mon anus. Je mets mes mains ensemble sous mon front et mes épaules s'abaissent laissant mon cul en l'air. Mon anus est à lui.

Il commence à me détruire le cul me le claquant, raidissant les muscles et mon anus enserrant sa bite plus fort. Je me vis un moment dans le miroir. Je dégouline de sueur. Je me demande un instant si je me reconnaît mon propre visage qui me fixe. Je suis parti, très loin ! Ce mec me possède, me possède totalement maintenant. Je suis à lui, il peut me faire tout ce qu'il veut.

Marc:

Il y a quatre heures, je n'avais pas idée de l'existence de Florian jusqu'à ce que nous engagions la conversation dans le bar. Je savais que je le voulais. L'attraction sexuelle mutuelle s'intensifia dès que que nous avons commencé à discuter, découvrant tous nos points communs, nous trouvant mutuellement intéressants, et de bonne conversation, si irrésistibles. Maintenant, je le baise, dans son propre appartement, sa propre chambre, sur le sol, partageant l'intimité de son esprit et de son corps. Je pense qu'il n'y a pas une zone de son corps que je n'ai explorée.

Nous sommes tous deux en sueur, tant nos ébats amoureux sont intenses. Ce n'est pas une simple sauterie. C'est bien plus. Il y a un lien entre nous maintenant. Chacun de nous voulant porter l'autre là où il n'est jamais allé.

Je veux jouir en lui, ensemencer son cul, lui donner ma semence, le prendre, le façonner tout à moi et à moi seul, posséder son corps et son esprit.

Florian:

Puis c'est arrivé. Je me retenais depuis si longtemps. Plusieurs fois j'ai voulu jouir, le fit presque, mais je me suis retenu ne voulant pas que ça finisse, désirant de ça dure, espérant presque que ça ne finisse jamais. Mes boules me faisait mal, pleine à exploser.

Avec cette bite qui cogne ma prostate de façon répétitive, je perds tout contrôle, laisser sortir un énorme gémissement et libère mon orgasme, laisse faire. Mes yeux se ferment à cet instant, je vais vers un autre monde. C'est comme si le temps s'arrête. Mes yeux peuvent se fermer mais que vois des étoiles filer comme si je flottais dans la galaxie. Ça ressemble à une sorte de paradis. Mon corps tremble de partout.

Déferlement de sperme sur moi. Je ne me suis même pas touché. Il me voit jouir il a gagné, agrippe ma bite, merde, c'est trop sensuel. Il se branle jusqu'à la dernière goutte hors de moi, les couilles complètement vidées.

Satisfait, je m'écroule. Ma poitrine tombe sur la traînée blanche de sperme qui a jailli de moi et a atterri sur le sol sous moi. Mon corps tremble avec les secousses post-orgasmiques, comme des petits courants électriques parcourant tout mon corps.

Marc:

Il est sur le point d'éjaculer. Je peux sentir son corps se tendre. Je le lime plus vite. Il éjacule, un sacré jet, il ne s'est même pas touché. « Oh F-U-C-K ! » hurle-t-il. Son sphincter serre ma bite pendant qu'il éjacule. J'atteins et saisis sa bite et le branle furieusement pour en extraire la moindre goutte.

Je mets ma main entre ses omoplates le pousse pour qu'il s'effondre sur le sol, l'autre main sur son cul.

Quatre, cinq fois, peut-être plus j'éjacule à mon tour profond dans son cul. Je dégouline de sueur et m'effondre à mon tour, sur lui, ne bougeant plus ma bite encore plantée dans son cul.

Florian:

Il me tient sous lui, aplati sur le sol et il me pompe le cul, profond,à grands coups. Il gémit et éjacule en moi. Il hurle « Fuck yeah ! » et Dieu merci, il ne se retire pas.

Il s'effondre sur moi, nos corps en sueur se heurtent, ma peau mouillée glisse sur sa peau mouillée. Nous respirons tous deux profondément. Je sens son souffle contre mon oreille. Il commence à m'embrasser autour du cou et le dessus des épaules, descendant dans le dos, si tendrement. Un vrai amant !

Nous nous asseyons sur le sol, l'un en face de l'autre, nous enlaçant l'un l'autre. Nous ne pouvons nous arrêter de nous embrasser, sentir et caresser nos corps transpirants, chauds, humides. Nous regardons le miroir et nous nous voyons regarder en arrière. Nous sourions.

Il se relève me tend la main et me remet debout. Nous nous embrassons encore, nos bras autour de l'autre une fois de plus, nous étreignant fortement. Je sens une coulée de sueur coulant sur mon dos et mes fesses.

Marc:

Nous nous remettons au lit, comme deux cuillères dans un tiroir. Nos respirations se sont apaisées maintenant et sont redevenues normales. Mes bras l’enserrent. Son cul appuie sur ma bite.

Florian:

Ça semble merveilleux d'être là, tous les deux dans ce lit. Allongé près de moi, Son corps derrière moi, appuyé contre le mien, ses mains autour de moi. Son sperme dégouline de mon cul. J'espère pouvoir le retenir en moi pour garder une partie de lui pour toujours. Je suis épuisé. Je m'endors.

Quand j'ouvre les yeux, le soleil a envahi la chambre. Le réveil indique 8:30. J'étire une main derrière moi. Durant un instant, j'ai oublié son nom un court instant… Marc ! Le lit est vide. Panique ! Il est parti.

Puis, j'entends la douche couler dans la salle de bain. Ça doit être lui ! Je mets mes jambes sur le côté et me lève, passe la porte de la salle de bain. Oui ! Il est là. Je ramasse mon caleçon toujours là sur le sol à l'endroit où je l'ai laissé tombé hier soir. Je vais dans la cuisine et fais du café.

Marc:

Alors que je sors de la douche chaude et commence à me sécher, j'aperçois mon reflet dans le miroir. Je passe ma main sur mon menton. Je regrette de ne pas m'être rasé hier matin. Je me passe une serviette sur les cheveux et en enroule une autre autour de ma taille, ouvre la porte et pénètre dans le séjour.

Je peux le voir debout dans la cuisine, me tournant le dos avec son caleçon sexy qui lui va si bien, bien serré sur son petit cul bien rebondi. Je sens l'odeur du café frais. Bonjour !

Florian:

J'entends sa voix et me retourne. Une serviette autour de la taille et une d'une autre il essuie sa chevelure luisante. Quoiqu'il fasse, il est plus sexy que jamais. Quel corps ! Il est parfait. « Café ? »

Marc :

Je vais être en retard au boulot. Je prends la tasse de café de la main qu'il me tends, l'embrasse et bois une gorgée. Je lui dis que je dois décoller et lui demande son numéro de portable. Il att**** un papier et un stylo. Il dit que c'est dommage que j'ai à travailler un dimanche. Je me remémore ensuite , je souris : quel trou de balle ! J'ai toute la journée pour moi !

Florian:

Il avait oublié quel jour on était. On rit. Je lui donne un autre baiser. Il pose sa tasse et me tient contre lui , un long tendre et passionné baiser. Je sens sa main glisser derrière, dans mon caleçon et il me masse les fesses.

Je le prends par la main et le mène dans la chambre. La serviette tombe de sa taille. Je ferme la porte derrière nous. J'entends les cloches dominicales résonner dans toute la ville.

Qui est Marc ?
Qui est Florian ?
S'agit-il de leurs vrais noms ?
Cela s'est-il passé comme ils le disent ?
Quand cela s'est-il passé ?

Connaîtrons-nous ces détails si ils ne nous les disent pas eux-mêmes ?

Que se passa-t-il après cette première nuit ?
Published by penntoull
10 years ago
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ALLIGATIN
ALLIGATIN 9 years ago
Si j'avais été à la place du jeune homme, beau roman, un jeune homme me ressemblant
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penntoull Publisher 10 years ago
La manière dont ça a été traité, le point de vue de chacun m'a beaucoup plus aussi. C'est mon ami qui l'a postée, je l'ai traduite du mieux que je pouvais...
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gurunguru 10 years ago
Straight among my favorites, with the original and the german Jens' translation. Simply a sign of friendship.
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stelvio
stelvio 10 years ago
Bien écrit, et surtout très bandant ! Merci.
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jvd25 10 years ago
so good !!!!!!!!!!!!!
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Davo60 10 years ago
great story
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penntoull Publisher 10 years ago
to gurunguru : Sure, he deserves it...
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gurunguru 10 years ago
This post sounds great in french too! Compliments to the writers and to the translater ! :smile:
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best_jens
best_jens 10 years ago
Merci pour la grande traduction.
Salutations chaudes
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gurunguru 10 years ago
Robin ! You're becoming very popular here ... and you desereve it! :kissing_heart::kissing_heart:
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