Une nouvelle baise au château
La factrice nous a interrompus, mais je reprends mes travaux de fellatrice. Ce qui me fait bander, c’est de sucer sa grosse bite épaisse. Je suis en guêpière, sous ma robe léopard, au pied du lit, et je suce, je suce cette grosse tige qui pénètre ma bouche jusqu’à la gorge, je l’avale avec délectation. Mamma mia, comme j’aime sucer des bites! C’est gros, ça emplit ma bouche, j’adore jouer de ma langue le long de la hampe, suçoter de mes lèvres maquillées le frein, juste sous le gland ferme qui s’épanouit comme un cèpe d’automne. Et entendre geindre ou souffler l’homme au chevet duquel je suis en train de sucer.
Pas des plus longues, mais large et ferme, elle m’ouvre la chatte sans peine. Comblée, épanouie, je me fais baiser au château cette aprem encore. Toujours cet intérieur impeccable, et ce vieux baroudeur tatoué,au corps marqué par le service à la nation, qui m’encule fermement dans la chambre. Elle est bonne, elle est grosse, et lorsqu’il me met sur le ventre et se couche sur moi, j’ai vraiment la sensation de me faire baiser comme une femme! C’est bon de sentir un homme sur moi qui m’encule. D’être habillée en pute, de recevoir sa queue raide dans mon petit cul grand ouvert, où elle plonge et replonge sans cesse!
A nouveau en levrette, je suis prête à encaisser encore! Maison, hélas: le voilà qui souffle et soupire, et lâche toute sa semence au fond de mon cul! Il jouit longtemps, cramponné à mes hanches, sa bite crache tout son sperme en moi, mais j’en voulais plus!
Heureusement, il est aussi un gentleman. Devant lui, sur le lit, je me masturbe consciencieusement, ma queue gonfle et raidit dans ma main. Toujours en levrette, il m’accompagne par une vigoureuse fessée, et par sa main, qui continue à travailler et ouvrir ma chatte. c’est nouveau, c’est fort, c’est pervers, je réalise que même si je suis un garçon, que Joana a pris le contrôle, et que j’aime tellement être habillé en fille, servir à des hommes virils, les faire bander, sucer leurs verges raidies, les accueillir dans mon cul, et jouir, jouir, éjaculer fort et longtemps, Que Joana est là, en moi, pour encore longtemps.
Pas des plus longues, mais large et ferme, elle m’ouvre la chatte sans peine. Comblée, épanouie, je me fais baiser au château cette aprem encore. Toujours cet intérieur impeccable, et ce vieux baroudeur tatoué,au corps marqué par le service à la nation, qui m’encule fermement dans la chambre. Elle est bonne, elle est grosse, et lorsqu’il me met sur le ventre et se couche sur moi, j’ai vraiment la sensation de me faire baiser comme une femme! C’est bon de sentir un homme sur moi qui m’encule. D’être habillée en pute, de recevoir sa queue raide dans mon petit cul grand ouvert, où elle plonge et replonge sans cesse!
A nouveau en levrette, je suis prête à encaisser encore! Maison, hélas: le voilà qui souffle et soupire, et lâche toute sa semence au fond de mon cul! Il jouit longtemps, cramponné à mes hanches, sa bite crache tout son sperme en moi, mais j’en voulais plus!
Heureusement, il est aussi un gentleman. Devant lui, sur le lit, je me masturbe consciencieusement, ma queue gonfle et raidit dans ma main. Toujours en levrette, il m’accompagne par une vigoureuse fessée, et par sa main, qui continue à travailler et ouvrir ma chatte. c’est nouveau, c’est fort, c’est pervers, je réalise que même si je suis un garçon, que Joana a pris le contrôle, et que j’aime tellement être habillé en fille, servir à des hommes virils, les faire bander, sucer leurs verges raidies, les accueillir dans mon cul, et jouir, jouir, éjaculer fort et longtemps, Que Joana est là, en moi, pour encore longtemps.
29 days ago