J’y suis enfin retourné
Ça me manquait trop depuis le mois d’août.
Enfin j’ai une demie journée de libre à Paris.
A 11 h je suis à l’Atlas. Les toilettes au bas de l’escalier sont propres. Vétustes mais propres. La porte de la salle du bas est toujours aussi branlante. Pénombre dans la salle. J’aperçois quand même deux silhouettes debout contre le mur du fond. Immobiles. Je traverse la salle jusqu’à l’escalier à côté de l’écran. Rien, personne. Je monte à l’étage. Trois seniors assis au dernier rang, espacés, sages ..personne dans les anciens waters, personne dans le bas de la salle. Déception. Je tourne, en haut, en bas, je m’assoie, j’attends en regardant le film. Deux beaux blacks qui baisent. Pas mal mais pourquoi ils ne projettent pas des films de trans alors que c’est pour cela qu’on est là ?
Comme les rares spectateurs j’attends en consultant mon téléphone.
Il ne se passe rien, en plus il fait froid. Je ne ne vais pas rester.
Finalement dans le couloir entre les deux salles, devant le petit miroir je découvre un gars qui se change. Enfin un trav. Je vais attendre qu’il ait fini. Il prend son temps et malheureusement le résultat n’est pas enthousiasmant. Je le retrouve debout au fond dans la salle du bas, une casquette, une sorte de jupe noire, jambes nues (il est pas frileux) des baskets. Il est entouré par deux au trois spectateurs qui ne font rien.
Je laisse tomber. Je vais aller à l’EMC là au moins je pourrai me réchauffer. Naturellement au moment où je quitte les lieux je croise un type assez jeune avec un grand sac. Il allait certainement se transformer en un superbe travesti. Tant pis je ne peux pas attendre davantage.
Moralité : ne venez pas à l’Atlas trop tôt surtout quand il fait froid. Cependant je tiens à faire remarquer aux détracteurs que les lieux étaient bien nettoyés et propres. C’est simplement en fin de soirée qu’on trouve des déchets de toutes sortes un peu partout. C’est dommage mais il faut comprendre qu’emportés par la passion les usagers n’ont pas toujours à l’esprit la propreté des lieux.
Après avoir descendu la rue des Martyrs, traversé le passage Jouffroy puis celui des Panoramas, je suis au hammam à 12 h 30.
Il fait chaud, il y a de l’action.
Ça démarre fort. De l’autre côté de la salle un type assez corpulent est assis les cuisses largement ouvertes. A travers la buée qui envahi la salle on devine qu’il se tripote le sexe -comme moi d’ailleurs-. Son voisin se penche et entreprend de le pomper. Dans la moiteur de la salle et malgré le sifflement de la vapeur qui fuse de chaque côté on entend les bruits de succion et les ahanements de jouissance. C’est excitant.
Apres cette bonne entrée en matière je visite les cabines du premier sous sol et la backroom qui est vide à se moment là.
Je descends au jacuzzi et m’y installe entre deux camarades qui m’observent du coin de l’œil. L’eau est bien chaude et bouillonnante. C’est agréable. Rapidement mon voisin de droite me frôle du pied puis de la main sur la cuisse avant, bien sûr, de s’emparer de ma bite et de mes couilles qu’il caresse activement. Je ne le décourage pas, bien au contraire, et j’affiche une belle érection. Tout en me branlant il rapproche sa tête de la mienne et entreprend de m’embrasser, d’abord dans le cou, puis sur les joues et bien sûr sur les lèvres. On se roule des pelles bien profondes avec la langue. C’est trop excitant de faire ça en public. Bien sûr je lui ai mis la main au paquet et je lui tripote à mon tour la bite et les couilles. Il ne bande pas vraiment. Après une longue série de baisers il me propose d’aller en cabine ce que j’accepte. Que veux t’il faire ? Il n’a pas dit. Je ne pense pas qu’il puisse m’enculer vu qu’il ne bande pas vraiment. On verra bien. Je sors du bain la bite bien raide en avant. J’adore cette situation : montrer aux spectateurs qu’on va faire des cochonneries et qu’on aime ça. Je le suis après l’être rapidement essuyé mais au lieu d’aller directement dans le couloir des cabines il entre dans le sauna à côté de la piscine. Pourquoi pas. Je me couche comme d’habitude sur la banquette du haut et lui reste debout à côté. Il m’embrasse les tétons, les couilles, la bite mais il ne la prend pas vraiment en bouche. Je me laisse faire. Au bout d’un petit moment il se lasse et sort du sauna ou je reste encore un peu.
Après cela je me promène ici et là. Personne dans la salle de ciné, les cabines sont bien occupées, la backroom du bas est vide mais je m’assois dans le fauteuil à côté des gloryholes. Je ne tarde pas à voir apparaître …une paire de couilles ! Je ne me fait pas prier, je lèche, je suce.. finalement il passe sa bite dans le trou et je peux la prendre en bouche. Pas très grande, pas très raide mais excitant dans cette position.
Ensuite je m’étends dans une cabine du haut après m’être bien enduit de lub pour me branler et me doigter le cul devant la porte ouverte. Je ne tarde pas à recevoir de la visite. Il me branle, me caresse le torse et me présente sa bite pour que la suce. Elle est énorme ! Pas très longue mais très épaisse, presqu’aussi large que longue. Raide, circoncis, un gland gonflé et dur… elle m’emplît la bouche …j’adore. Je lèche, je pompe, je branle. Ses couilles aussi sont gonflés, rasées, comme j’aime. Il apprécie mon activité et tout en me branlant, il émets des petits cris et des soupirs de jouissance. J’aimerai recevoir sa semence sur le visage et dans la bouche. Je le lui demande. Malheureusement il me dit qu’il ne veut pas jouir immédiatement. Il me propose de m’enculer mais vu la taille de son engin je dois décliner ce qu’il accepte avec grâce. Tout en le suçant j’ai pu caresser ses pectoraux très musclés et ses tétons proéminents. Quel homme excitant ! Il m’embrasse pour me remercier de cette bonne pipe et on se quitte contents.
Je traîne à droite à gauche dans les couloirs, j’entre dans une cabine dont l’occupant exhibe un superbe cockring chromé, je le branle un peu mais je n’insiste pas.
Il est temps de rentrer. Dans la douche avant de me rhabiller je suis rejoint par un bel homme assez jeune doté d’un sexe de belle taille à demi bandant. J’aurai pu m’agenouiller pour le prendre en bouche mais les meilleurs choses ont une fin donc je quitte les lieux satisfait de mon après-midi.
Enfin j’ai une demie journée de libre à Paris.
A 11 h je suis à l’Atlas. Les toilettes au bas de l’escalier sont propres. Vétustes mais propres. La porte de la salle du bas est toujours aussi branlante. Pénombre dans la salle. J’aperçois quand même deux silhouettes debout contre le mur du fond. Immobiles. Je traverse la salle jusqu’à l’escalier à côté de l’écran. Rien, personne. Je monte à l’étage. Trois seniors assis au dernier rang, espacés, sages ..personne dans les anciens waters, personne dans le bas de la salle. Déception. Je tourne, en haut, en bas, je m’assoie, j’attends en regardant le film. Deux beaux blacks qui baisent. Pas mal mais pourquoi ils ne projettent pas des films de trans alors que c’est pour cela qu’on est là ?
Comme les rares spectateurs j’attends en consultant mon téléphone.
Il ne se passe rien, en plus il fait froid. Je ne ne vais pas rester.
Finalement dans le couloir entre les deux salles, devant le petit miroir je découvre un gars qui se change. Enfin un trav. Je vais attendre qu’il ait fini. Il prend son temps et malheureusement le résultat n’est pas enthousiasmant. Je le retrouve debout au fond dans la salle du bas, une casquette, une sorte de jupe noire, jambes nues (il est pas frileux) des baskets. Il est entouré par deux au trois spectateurs qui ne font rien.
Je laisse tomber. Je vais aller à l’EMC là au moins je pourrai me réchauffer. Naturellement au moment où je quitte les lieux je croise un type assez jeune avec un grand sac. Il allait certainement se transformer en un superbe travesti. Tant pis je ne peux pas attendre davantage.
Moralité : ne venez pas à l’Atlas trop tôt surtout quand il fait froid. Cependant je tiens à faire remarquer aux détracteurs que les lieux étaient bien nettoyés et propres. C’est simplement en fin de soirée qu’on trouve des déchets de toutes sortes un peu partout. C’est dommage mais il faut comprendre qu’emportés par la passion les usagers n’ont pas toujours à l’esprit la propreté des lieux.
Après avoir descendu la rue des Martyrs, traversé le passage Jouffroy puis celui des Panoramas, je suis au hammam à 12 h 30.
Il fait chaud, il y a de l’action.
Ça démarre fort. De l’autre côté de la salle un type assez corpulent est assis les cuisses largement ouvertes. A travers la buée qui envahi la salle on devine qu’il se tripote le sexe -comme moi d’ailleurs-. Son voisin se penche et entreprend de le pomper. Dans la moiteur de la salle et malgré le sifflement de la vapeur qui fuse de chaque côté on entend les bruits de succion et les ahanements de jouissance. C’est excitant.
Apres cette bonne entrée en matière je visite les cabines du premier sous sol et la backroom qui est vide à se moment là.
Je descends au jacuzzi et m’y installe entre deux camarades qui m’observent du coin de l’œil. L’eau est bien chaude et bouillonnante. C’est agréable. Rapidement mon voisin de droite me frôle du pied puis de la main sur la cuisse avant, bien sûr, de s’emparer de ma bite et de mes couilles qu’il caresse activement. Je ne le décourage pas, bien au contraire, et j’affiche une belle érection. Tout en me branlant il rapproche sa tête de la mienne et entreprend de m’embrasser, d’abord dans le cou, puis sur les joues et bien sûr sur les lèvres. On se roule des pelles bien profondes avec la langue. C’est trop excitant de faire ça en public. Bien sûr je lui ai mis la main au paquet et je lui tripote à mon tour la bite et les couilles. Il ne bande pas vraiment. Après une longue série de baisers il me propose d’aller en cabine ce que j’accepte. Que veux t’il faire ? Il n’a pas dit. Je ne pense pas qu’il puisse m’enculer vu qu’il ne bande pas vraiment. On verra bien. Je sors du bain la bite bien raide en avant. J’adore cette situation : montrer aux spectateurs qu’on va faire des cochonneries et qu’on aime ça. Je le suis après l’être rapidement essuyé mais au lieu d’aller directement dans le couloir des cabines il entre dans le sauna à côté de la piscine. Pourquoi pas. Je me couche comme d’habitude sur la banquette du haut et lui reste debout à côté. Il m’embrasse les tétons, les couilles, la bite mais il ne la prend pas vraiment en bouche. Je me laisse faire. Au bout d’un petit moment il se lasse et sort du sauna ou je reste encore un peu.
Après cela je me promène ici et là. Personne dans la salle de ciné, les cabines sont bien occupées, la backroom du bas est vide mais je m’assois dans le fauteuil à côté des gloryholes. Je ne tarde pas à voir apparaître …une paire de couilles ! Je ne me fait pas prier, je lèche, je suce.. finalement il passe sa bite dans le trou et je peux la prendre en bouche. Pas très grande, pas très raide mais excitant dans cette position.
Ensuite je m’étends dans une cabine du haut après m’être bien enduit de lub pour me branler et me doigter le cul devant la porte ouverte. Je ne tarde pas à recevoir de la visite. Il me branle, me caresse le torse et me présente sa bite pour que la suce. Elle est énorme ! Pas très longue mais très épaisse, presqu’aussi large que longue. Raide, circoncis, un gland gonflé et dur… elle m’emplît la bouche …j’adore. Je lèche, je pompe, je branle. Ses couilles aussi sont gonflés, rasées, comme j’aime. Il apprécie mon activité et tout en me branlant, il émets des petits cris et des soupirs de jouissance. J’aimerai recevoir sa semence sur le visage et dans la bouche. Je le lui demande. Malheureusement il me dit qu’il ne veut pas jouir immédiatement. Il me propose de m’enculer mais vu la taille de son engin je dois décliner ce qu’il accepte avec grâce. Tout en le suçant j’ai pu caresser ses pectoraux très musclés et ses tétons proéminents. Quel homme excitant ! Il m’embrasse pour me remercier de cette bonne pipe et on se quitte contents.
Je traîne à droite à gauche dans les couloirs, j’entre dans une cabine dont l’occupant exhibe un superbe cockring chromé, je le branle un peu mais je n’insiste pas.
Il est temps de rentrer. Dans la douche avant de me rhabiller je suis rejoint par un bel homme assez jeune doté d’un sexe de belle taille à demi bandant. J’aurai pu m’agenouiller pour le prendre en bouche mais les meilleurs choses ont une fin donc je quitte les lieux satisfait de mon après-midi.
1 month ago