Sabine07 39-5

Lorsque j’ouvre les yeux, je rĂ©alise que je suis dans la chambre de Nathalie, avec elle et Sandrine dans le mĂȘme lit. J’ai dormi comme un petit cochon qui a bien tĂ©tĂ© cette nuit, il faut dire que la journĂ©e d’hier a Ă©tĂ© riche en rĂ©jouissances sexuelles
 Je me sens en forme. Nathalie et Sandrine dorment encore aussi je sors du lit en faisant le moins de bruit possible et descend prĂ©parer le petit dĂ©jeuner. Une fois en bas dans la cuisine, je me dis que ce serait bien que j’achĂšte des pains au chocolat. Du coup je me prĂ©pare et aprĂšs un temps de maquillage soigneux, j’enfile ma robe blanche Ă©vasĂ©e avec mes suceurs et le plug qui dĂ©passe. Ainsi apprĂȘtĂ©e, je me trouve trĂšs fĂ©minine
 Je mets des mules Ă  talons avec entre-doigts, je prends un petit sac Ă  main avec de la monnaie et je file acheter les viennoiseries
 Il n’est pas encore 8h et il fait beau, un petit air frais me caresse les jambes, je suis bien.

En remontant la rue, marchant sur le trottoir, j’ai un sentiment d’ivresse
 Je suis en fille dans la rue, j’ai passĂ© une nuit de rĂȘve avec ma chĂ©rie et une copine Ă  elle, que demander de plus Ă  la vie
 D’ailleurs ma vie est bien plus simple, finalement, depuis que ma mĂšre est au courant de ma situation, je peux ĂȘtre la fille que je veux ĂȘtre sans souci... Bon, le fait qu’elle soit devenue lesbienne m’aide bien tout de mĂȘme


Toute Ă  mes pensĂ©es, je me rends compte que j’arrive vers la boulangerie et les bars de la place du village. Certains regards d’hommes se tournent vers moi et j’aime ça. J’adore le bruit de mes talons sur le trottoir et comme ma silhouette ne laisse pas indiffĂ©rent, c’est encore mieux
 Je passe devant la terrasse d’un cafĂ© et lĂ , les regards lubriques sont prĂ©sents
 Je me sens flattĂ©e
 ArrivĂ©e devant la boulangerie, il y a la queue jusque sur le trottoir et je prends mon tour. Des voitures passent juste derriĂšre moi, c’est l’artĂšre principale de la ville. Tandis que j’attends mon tour, le vent forcit un peu et fait voler ma robe par moment, c’est plaisant. Alors que je suis juste devant la porte de la boulangerie, un coup de vent plus fort me soulĂšve la robe jusqu’aux reins
 Le temps que je m’en rende compte, des coups de klaxons retentissent dans mon dos et les gens du bar regardent dans ma direction
 Pour ceux qui Ă©taient derriĂšre moi, les conducteurs, c’est sĂ»r qu’ils ont eu une vue bien dĂ©gagĂ©e sur ma croupe et le plug qui en dĂ©passe
 Pour ceux du bar, ils ont vu mon cul, pas sĂ»r qu’ils aient vu le plug
 Je cherche Ă  rabaisser ma robe, mais pas trop vite tout de mĂȘme
 Enfin, Ă  la vitesse d’une bonne salope exhib
 Quand j’entre dans la boutique, les gars du bar sont presque déçus, je les comprends
 Par contre, je n’avais pas remarquĂ© le monsieur juste derriĂšre moi, qui me regarde avec gentillesse, ou plutĂŽt comme un renard qui regarde une poule
 . Une fois qu’il entre Ă  son tour, il se penche vers moi et me dit « ce vent coquin est bien agrĂ©able, vous ne trouvez pas ? »  Ah lĂ , c’est sĂ»r que lui il a vu tout ce qu’il fallait voir, de derriĂšre en tous cas
 Je le regarde avec attention, il doit avoir la fin cinquantaine, plutĂŽt bel homme, distinguĂ©. Je rĂ©ponds « oui, c’est bien ma veine, moi qui me suis prĂ©parĂ©e exprĂšs, le vent dĂ©voile mes charmes avant l’heure »  Le monsieur rit de bon cƓur et me dit « c’était un plaisir mademoiselle »  « Je suis heureuse que cela vous ait plu » dis-je d’un air de salope assumé  Le monsieur sourit tandis que je m’avance, mon tour est venu. La boulangĂšre me sert l’esprit ailleurs, elle n’a sĂ»rement rien vu de la scĂšne. Lorsque je sors, les gars du bar se donnent des coups de coudes quand je passe devant eux
 Ils espĂšrent sĂ»rement un bon coup de vent
 HĂ©las pour eux, il n’y en aura pas
 Soudain, quelqu’un arrive Ă  ma hauteur, c’est le monsieur de la boulangerie. « Je vois que nous allons dans la mĂȘme direction, si ça ne vous ennuie pas, puis-je marcher avec vous ? » me dit-il
 J’accepte volontiers et nous voilĂ  en route cĂŽte Ă  cĂŽte.

Il engage tout de suite la conversation et me compliment sur ma tenue. Je le remercie et il m’explique que certains jours, sa balade en ville est des plus agrĂ©able, comme aujourd’hui
 Je sourie et je me rends compte qu’il me regarde de la tĂȘte aux pieds. C’est agrĂ©able ma foi
 Nous sortons du centre-ville et lĂ , le vent se fait plus fort. Ma robe se soulĂšve doucement, devant derriĂšre, dans une danse Ă©rotique plutĂŽt sympa
 Le monsieur n’en perd pas un goutte et s’écarte mĂȘme un peu pour mieux voir
 Le phĂ©nomĂšne s’amplifie et ma robe remonte au-dessus de mes reins pour la deuxiĂšme fois
 LĂ , le monsieur marque un temps d’arrĂȘt, attendant que la vue cesse avant de revenir vers moi
 « C’est fort plaisant, ce bijou qui est en vous » me dit-il
 Le coquin, il me matte le cul sans vergogne mais avec classe, je l’avoue
 Je sourie encore et lui dit que j’aime les bijoux de la sorte
 Il rit Ă  son tour, m’indiquant qu’il en avait peu vu dans sa vie et qu’il Ă©tait heureux de le voir aujourd’hui, un vrai gentleman
 Nous marchons encore un peu, ma robe virevolte rĂ©guliĂšrement au-dessus de mes fesses, mais je ne m’en offusque pas, le monsieur, lui, regarde captivé  ArrivĂ©s Ă  un croisement, il semble qu’il doive emprunter un autre chemin. Je m’arrĂȘte pour le saluer et ce qui devait arriver, arriva, un autre coup de vent soulĂšve ma robe, mais face Ă  lui cette fois
 Si bien que la vue imprenable c’est sur mon clito qui pendouille
 Le monsieur marque un temps d’arrĂȘt, semble rĂ©flĂ©chir un instant et me dit « fichtre, je ne vous imaginais pas comme cela »  Je le regarde un peu gĂȘnĂ©e et lui dit « celui vous ennuie ? »  « Pas vraiment en fait, je ne m’y attendais pas, en vĂ©ritĂ© vous faites trĂšs fĂ©minine, on n’imagine pas cela de vous » ajoute-t-il
 Je suis contente de ne pas lui dĂ©plaire
 J’imagine qu’il doit repartir pour chez lui et moi retourner chez Nathalie, aussi je lui dis au revoir
 Il me regarde curieusement sans rien dire et finalement me demande « verriez-vous un inconvĂ©nient Ă  marcher encore tous les deux ? »  Je suis Ă©tonnĂ©e, mais j’accepte
 Il m’entraine vers les bords du RhĂŽne, un endroit que je ne connais pas. En nous rapprochant du bord de l’eau, le vent se fait plus marqué  Du coup, ma robe virevolte Ă  tout va, montrant tour Ă  tour mon cul rempli et mon clito, ce que le monsieur observe avec attention et j’en suis heureuse
 Une fois dans un endroit bien au calme, il me demande « cette tenue exprime-t-elle votre capacitĂ© Ă  vivre des relations faciles ? »  Je trouve que cette demande est coquine et galante
 « En quelque sorte » dis-je
 « Je ne suis pas insensible Ă  votre charme » me dit-il
 « Cependant, je n’ai pas l’habitude de ce genre de relation, je ne sais pas comment faire » ajoute-t-il
 « Eh bien, laissez-moi faire alors » dis-je avec douceur
 Le monsieur me sourit et attend la suite


Je commence par prendre un peu de recul, puis, je me tourne dos Ă  lui et me penche en avant , comme pour ramasser quelque chose
 ImmĂ©diatement, ma robe remonte sur mes fesses et libĂšre la vue sur mon cul et le plug qui en dĂ©passe
 Je l’imagine reluquant mon cul et l’idĂ©e me plait








A suivre, si vous avez aimé 
N’hĂ©sitez pas Ă  me laisser un commentaire et un like


Sabine 07
Published by sabine07exhib
2 months ago
Comments
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gala6969
gala6969 2 months ago
to sabine07exhib : C'est dommage. Tes récits sont toujours trÚs excitant et érotique 
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sabine07exhib
sabine07exhib Publisher 2 months ago
to gala6969 : oui, un peu de mal à télécharger mes récits sur le site, certains récits ne sont pas acceptés...
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gala6969
gala6969 2 months ago
OMG on veut la suite. Ton rĂ©cit est tellement Ă©rotique Sabine 💖💖💖
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