Sabine07 39-5
Lorsque jâouvre les yeux, je rĂ©alise que je suis dans la chambre de Nathalie, avec elle et Sandrine dans le mĂȘme lit. Jâai dormi comme un petit cochon qui a bien tĂ©tĂ© cette nuit, il faut dire que la journĂ©e dâhier a Ă©tĂ© riche en rĂ©jouissances sexuelles⊠Je me sens en forme. Nathalie et Sandrine dorment encore aussi je sors du lit en faisant le moins de bruit possible et descend prĂ©parer le petit dĂ©jeuner. Une fois en bas dans la cuisine, je me dis que ce serait bien que jâachĂšte des pains au chocolat. Du coup je me prĂ©pare et aprĂšs un temps de maquillage soigneux, jâenfile ma robe blanche Ă©vasĂ©e avec mes suceurs et le plug qui dĂ©passe. Ainsi apprĂȘtĂ©e, je me trouve trĂšs fĂ©minine⊠Je mets des mules Ă talons avec entre-doigts, je prends un petit sac Ă main avec de la monnaie et je file acheter les viennoiseries⊠Il nâest pas encore 8h et il fait beau, un petit air frais me caresse les jambes, je suis bien.
En remontant la rue, marchant sur le trottoir, jâai un sentiment dâivresse⊠Je suis en fille dans la rue, jâai passĂ© une nuit de rĂȘve avec ma chĂ©rie et une copine Ă elle, que demander de plus Ă la vie⊠Dâailleurs ma vie est bien plus simple, finalement, depuis que ma mĂšre est au courant de ma situation, je peux ĂȘtre la fille que je veux ĂȘtre sans souci... Bon, le fait quâelle soit devenue lesbienne mâaide bien tout de mĂȘmeâŠ
Toute Ă mes pensĂ©es, je me rends compte que jâarrive vers la boulangerie et les bars de la place du village. Certains regards dâhommes se tournent vers moi et jâaime ça. Jâadore le bruit de mes talons sur le trottoir et comme ma silhouette ne laisse pas indiffĂ©rent, câest encore mieux⊠Je passe devant la terrasse dâun cafĂ© et lĂ , les regards lubriques sont prĂ©sents⊠Je me sens flattĂ©e⊠ArrivĂ©e devant la boulangerie, il y a la queue jusque sur le trottoir et je prends mon tour. Des voitures passent juste derriĂšre moi, câest lâartĂšre principale de la ville. Tandis que jâattends mon tour, le vent forcit un peu et fait voler ma robe par moment, câest plaisant. Alors que je suis juste devant la porte de la boulangerie, un coup de vent plus fort me soulĂšve la robe jusquâaux reins⊠Le temps que je mâen rende compte, des coups de klaxons retentissent dans mon dos et les gens du bar regardent dans ma direction⊠Pour ceux qui Ă©taient derriĂšre moi, les conducteurs, câest sĂ»r quâils ont eu une vue bien dĂ©gagĂ©e sur ma croupe et le plug qui en dĂ©passe⊠Pour ceux du bar, ils ont vu mon cul, pas sĂ»r quâils aient vu le plug⊠Je cherche Ă rabaisser ma robe, mais pas trop vite tout de mĂȘme⊠Enfin, Ă la vitesse dâune bonne salope exhib⊠Quand jâentre dans la boutique, les gars du bar sont presque déçus, je les comprends⊠Par contre, je nâavais pas remarquĂ© le monsieur juste derriĂšre moi, qui me regarde avec gentillesse, ou plutĂŽt comme un renard qui regarde une poule⊠. Une fois quâil entre Ă son tour, il se penche vers moi et me dit « ce vent coquin est bien agrĂ©able, vous ne trouvez pas ? »⊠Ah lĂ , câest sĂ»r que lui il a vu tout ce quâil fallait voir, de derriĂšre en tous cas⊠Je le regarde avec attention, il doit avoir la fin cinquantaine, plutĂŽt bel homme, distinguĂ©. Je rĂ©ponds « oui, câest bien ma veine, moi qui me suis prĂ©parĂ©e exprĂšs, le vent dĂ©voile mes charmes avant lâheure »⊠Le monsieur rit de bon cĆur et me dit « câĂ©tait un plaisir mademoiselle »⊠« Je suis heureuse que cela vous ait plu » dis-je dâun air de salope assumé⊠Le monsieur sourit tandis que je mâavance, mon tour est venu. La boulangĂšre me sert lâesprit ailleurs, elle nâa sĂ»rement rien vu de la scĂšne. Lorsque je sors, les gars du bar se donnent des coups de coudes quand je passe devant eux⊠Ils espĂšrent sĂ»rement un bon coup de vent⊠HĂ©las pour eux, il nây en aura pas⊠Soudain, quelquâun arrive Ă ma hauteur, câest le monsieur de la boulangerie. « Je vois que nous allons dans la mĂȘme direction, si ça ne vous ennuie pas, puis-je marcher avec vous ? » me dit-il⊠Jâaccepte volontiers et nous voilĂ en route cĂŽte Ă cĂŽte.
Il engage tout de suite la conversation et me compliment sur ma tenue. Je le remercie et il mâexplique que certains jours, sa balade en ville est des plus agrĂ©able, comme aujourdâhui⊠Je sourie et je me rends compte quâil me regarde de la tĂȘte aux pieds. Câest agrĂ©able ma foi⊠Nous sortons du centre-ville et lĂ , le vent se fait plus fort. Ma robe se soulĂšve doucement, devant derriĂšre, dans une danse Ă©rotique plutĂŽt sympa⊠Le monsieur nâen perd pas un goutte et sâĂ©carte mĂȘme un peu pour mieux voir⊠Le phĂ©nomĂšne sâamplifie et ma robe remonte au-dessus de mes reins pour la deuxiĂšme fois⊠LĂ , le monsieur marque un temps dâarrĂȘt, attendant que la vue cesse avant de revenir vers moi⊠« Câest fort plaisant, ce bijou qui est en vous » me dit-il⊠Le coquin, il me matte le cul sans vergogne mais avec classe, je lâavoue⊠Je sourie encore et lui dit que jâaime les bijoux de la sorte⊠Il rit Ă son tour, mâindiquant quâil en avait peu vu dans sa vie et quâil Ă©tait heureux de le voir aujourdâhui, un vrai gentleman⊠Nous marchons encore un peu, ma robe virevolte rĂ©guliĂšrement au-dessus de mes fesses, mais je ne mâen offusque pas, le monsieur, lui, regarde captivé⊠ArrivĂ©s Ă un croisement, il semble quâil doive emprunter un autre chemin. Je mâarrĂȘte pour le saluer et ce qui devait arriver, arriva, un autre coup de vent soulĂšve ma robe, mais face Ă lui cette fois⊠Si bien que la vue imprenable câest sur mon clito qui pendouille⊠Le monsieur marque un temps dâarrĂȘt, semble rĂ©flĂ©chir un instant et me dit « fichtre, je ne vous imaginais pas comme cela »⊠Je le regarde un peu gĂȘnĂ©e et lui dit « celui vous ennuie ? »⊠« Pas vraiment en fait, je ne mây attendais pas, en vĂ©ritĂ© vous faites trĂšs fĂ©minine, on nâimagine pas cela de vous » ajoute-t-il⊠Je suis contente de ne pas lui dĂ©plaire⊠Jâimagine quâil doit repartir pour chez lui et moi retourner chez Nathalie, aussi je lui dis au revoir⊠Il me regarde curieusement sans rien dire et finalement me demande « verriez-vous un inconvĂ©nient Ă marcher encore tous les deux ? »⊠Je suis Ă©tonnĂ©e, mais jâaccepte⊠Il mâentraine vers les bords du RhĂŽne, un endroit que je ne connais pas. En nous rapprochant du bord de lâeau, le vent se fait plus marqué⊠Du coup, ma robe virevolte Ă tout va, montrant tour Ă tour mon cul rempli et mon clito, ce que le monsieur observe avec attention et jâen suis heureuse⊠Une fois dans un endroit bien au calme, il me demande « cette tenue exprime-t-elle votre capacitĂ© Ă vivre des relations faciles ? »⊠Je trouve que cette demande est coquine et galante⊠« En quelque sorte » dis-je⊠« Je ne suis pas insensible Ă votre charme » me dit-il⊠« Cependant, je nâai pas lâhabitude de ce genre de relation, je ne sais pas comment faire » ajoute-t-il⊠« Eh bien, laissez-moi faire alors » dis-je avec douceur⊠Le monsieur me sourit et attend la suiteâŠ
Je commence par prendre un peu de recul, puis, je me tourne dos Ă lui et me penche en avant , comme pour ramasser quelque chose⊠ImmĂ©diatement, ma robe remonte sur mes fesses et libĂšre la vue sur mon cul et le plug qui en dĂ©passe⊠Je lâimagine reluquant mon cul et lâidĂ©e me plaitâŠ
A suivre, si vous avez aimĂ©âŠ
NâhĂ©sitez pas Ă me laisser un commentaire et un likeâŠ
Sabine 07
En remontant la rue, marchant sur le trottoir, jâai un sentiment dâivresse⊠Je suis en fille dans la rue, jâai passĂ© une nuit de rĂȘve avec ma chĂ©rie et une copine Ă elle, que demander de plus Ă la vie⊠Dâailleurs ma vie est bien plus simple, finalement, depuis que ma mĂšre est au courant de ma situation, je peux ĂȘtre la fille que je veux ĂȘtre sans souci... Bon, le fait quâelle soit devenue lesbienne mâaide bien tout de mĂȘmeâŠ
Toute Ă mes pensĂ©es, je me rends compte que jâarrive vers la boulangerie et les bars de la place du village. Certains regards dâhommes se tournent vers moi et jâaime ça. Jâadore le bruit de mes talons sur le trottoir et comme ma silhouette ne laisse pas indiffĂ©rent, câest encore mieux⊠Je passe devant la terrasse dâun cafĂ© et lĂ , les regards lubriques sont prĂ©sents⊠Je me sens flattĂ©e⊠ArrivĂ©e devant la boulangerie, il y a la queue jusque sur le trottoir et je prends mon tour. Des voitures passent juste derriĂšre moi, câest lâartĂšre principale de la ville. Tandis que jâattends mon tour, le vent forcit un peu et fait voler ma robe par moment, câest plaisant. Alors que je suis juste devant la porte de la boulangerie, un coup de vent plus fort me soulĂšve la robe jusquâaux reins⊠Le temps que je mâen rende compte, des coups de klaxons retentissent dans mon dos et les gens du bar regardent dans ma direction⊠Pour ceux qui Ă©taient derriĂšre moi, les conducteurs, câest sĂ»r quâils ont eu une vue bien dĂ©gagĂ©e sur ma croupe et le plug qui en dĂ©passe⊠Pour ceux du bar, ils ont vu mon cul, pas sĂ»r quâils aient vu le plug⊠Je cherche Ă rabaisser ma robe, mais pas trop vite tout de mĂȘme⊠Enfin, Ă la vitesse dâune bonne salope exhib⊠Quand jâentre dans la boutique, les gars du bar sont presque déçus, je les comprends⊠Par contre, je nâavais pas remarquĂ© le monsieur juste derriĂšre moi, qui me regarde avec gentillesse, ou plutĂŽt comme un renard qui regarde une poule⊠. Une fois quâil entre Ă son tour, il se penche vers moi et me dit « ce vent coquin est bien agrĂ©able, vous ne trouvez pas ? »⊠Ah lĂ , câest sĂ»r que lui il a vu tout ce quâil fallait voir, de derriĂšre en tous cas⊠Je le regarde avec attention, il doit avoir la fin cinquantaine, plutĂŽt bel homme, distinguĂ©. Je rĂ©ponds « oui, câest bien ma veine, moi qui me suis prĂ©parĂ©e exprĂšs, le vent dĂ©voile mes charmes avant lâheure »⊠Le monsieur rit de bon cĆur et me dit « câĂ©tait un plaisir mademoiselle »⊠« Je suis heureuse que cela vous ait plu » dis-je dâun air de salope assumé⊠Le monsieur sourit tandis que je mâavance, mon tour est venu. La boulangĂšre me sert lâesprit ailleurs, elle nâa sĂ»rement rien vu de la scĂšne. Lorsque je sors, les gars du bar se donnent des coups de coudes quand je passe devant eux⊠Ils espĂšrent sĂ»rement un bon coup de vent⊠HĂ©las pour eux, il nây en aura pas⊠Soudain, quelquâun arrive Ă ma hauteur, câest le monsieur de la boulangerie. « Je vois que nous allons dans la mĂȘme direction, si ça ne vous ennuie pas, puis-je marcher avec vous ? » me dit-il⊠Jâaccepte volontiers et nous voilĂ en route cĂŽte Ă cĂŽte.
Il engage tout de suite la conversation et me compliment sur ma tenue. Je le remercie et il mâexplique que certains jours, sa balade en ville est des plus agrĂ©able, comme aujourdâhui⊠Je sourie et je me rends compte quâil me regarde de la tĂȘte aux pieds. Câest agrĂ©able ma foi⊠Nous sortons du centre-ville et lĂ , le vent se fait plus fort. Ma robe se soulĂšve doucement, devant derriĂšre, dans une danse Ă©rotique plutĂŽt sympa⊠Le monsieur nâen perd pas un goutte et sâĂ©carte mĂȘme un peu pour mieux voir⊠Le phĂ©nomĂšne sâamplifie et ma robe remonte au-dessus de mes reins pour la deuxiĂšme fois⊠LĂ , le monsieur marque un temps dâarrĂȘt, attendant que la vue cesse avant de revenir vers moi⊠« Câest fort plaisant, ce bijou qui est en vous » me dit-il⊠Le coquin, il me matte le cul sans vergogne mais avec classe, je lâavoue⊠Je sourie encore et lui dit que jâaime les bijoux de la sorte⊠Il rit Ă son tour, mâindiquant quâil en avait peu vu dans sa vie et quâil Ă©tait heureux de le voir aujourdâhui, un vrai gentleman⊠Nous marchons encore un peu, ma robe virevolte rĂ©guliĂšrement au-dessus de mes fesses, mais je ne mâen offusque pas, le monsieur, lui, regarde captivé⊠ArrivĂ©s Ă un croisement, il semble quâil doive emprunter un autre chemin. Je mâarrĂȘte pour le saluer et ce qui devait arriver, arriva, un autre coup de vent soulĂšve ma robe, mais face Ă lui cette fois⊠Si bien que la vue imprenable câest sur mon clito qui pendouille⊠Le monsieur marque un temps dâarrĂȘt, semble rĂ©flĂ©chir un instant et me dit « fichtre, je ne vous imaginais pas comme cela »⊠Je le regarde un peu gĂȘnĂ©e et lui dit « celui vous ennuie ? »⊠« Pas vraiment en fait, je ne mây attendais pas, en vĂ©ritĂ© vous faites trĂšs fĂ©minine, on nâimagine pas cela de vous » ajoute-t-il⊠Je suis contente de ne pas lui dĂ©plaire⊠Jâimagine quâil doit repartir pour chez lui et moi retourner chez Nathalie, aussi je lui dis au revoir⊠Il me regarde curieusement sans rien dire et finalement me demande « verriez-vous un inconvĂ©nient Ă marcher encore tous les deux ? »⊠Je suis Ă©tonnĂ©e, mais jâaccepte⊠Il mâentraine vers les bords du RhĂŽne, un endroit que je ne connais pas. En nous rapprochant du bord de lâeau, le vent se fait plus marqué⊠Du coup, ma robe virevolte Ă tout va, montrant tour Ă tour mon cul rempli et mon clito, ce que le monsieur observe avec attention et jâen suis heureuse⊠Une fois dans un endroit bien au calme, il me demande « cette tenue exprime-t-elle votre capacitĂ© Ă vivre des relations faciles ? »⊠Je trouve que cette demande est coquine et galante⊠« En quelque sorte » dis-je⊠« Je ne suis pas insensible Ă votre charme » me dit-il⊠« Cependant, je nâai pas lâhabitude de ce genre de relation, je ne sais pas comment faire » ajoute-t-il⊠« Eh bien, laissez-moi faire alors » dis-je avec douceur⊠Le monsieur me sourit et attend la suiteâŠ
Je commence par prendre un peu de recul, puis, je me tourne dos Ă lui et me penche en avant , comme pour ramasser quelque chose⊠ImmĂ©diatement, ma robe remonte sur mes fesses et libĂšre la vue sur mon cul et le plug qui en dĂ©passe⊠Je lâimagine reluquant mon cul et lâidĂ©e me plaitâŠ
A suivre, si vous avez aimĂ©âŠ
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Sabine 07
2 months ago