Les toilettes publiques
Ce soir-lĂ , jâavais rendez vous chez le dentiste Ă BLR et je mây rendais, seul et en voiture. Je me garais Ă quelques rues et me dirigeais vers le cabinet Ă pied.
Je passais devant une vitrine de magasin, et en temps normal je nây aurais pas prĂȘtĂ© attention. Mais Ă lâintĂ©rieur, derriĂšre la vitre, se trouvait une femme, la quarantaine, Ă quatre pattes devant une petite estrade, en train de refaire sa devanture. Et pour atteindre lâautre bout de lâestrade, elle Ă©tait obligĂ©e de se pencher trĂšs trĂšs en avant ⊠Elle portait un pull blanc, trĂšs large avec une profonde Ă©chancrure sur le devant. RĂ©sultat, elle dĂ©couvrait Ă toute la rue, un dĂ©colletĂ© bĂ©ant dâoĂč deux globes magnifiques pendaient sous lâeffet de la gravitĂ© ⊠Je tombais en arrĂȘt, fis demi tour et mâinstallais Ă quelques mĂštres de la boutique. La femme ne se rendait visiblement compte de rien et moi je me rĂ©galais les yeux. Jâessayais dâentrapercevoir ses mamelons mais les marques sur son dos me firent comprendre quâelle avait un soutien gorge. Celui-ci devait ĂȘtre un balconnet car impossible dâen voir par le dĂ©colletĂ© le moindre petit bout de dentelle et ses seins Ă©taient bien ronds, gonflĂ©s et projetĂ©s vers mon regard !!! Je commençais Ă bander mais malheureusement mon rendez vous mâappelait.
Pendant toute la sĂ©ance de soin, je ne pensais quâĂ cette poitrine et une fois terminĂ©e, je repassais avec envie devant la boutique. La femme Ă©tait toujours lĂ , toujours dans la mĂȘme position et je jetais une derniĂšre fois un regard appuyĂ© sur ses deux merveilles.
Mais tout ceci mâavait tellement excitĂ© quâil fallait que je profite de ce rare moment oĂč je me retrouvais seul.
Alors malgrĂ© les embouteillages de cette fin dâaprĂšs midi, je remontais sur le centre commercial de la C.... Ă Fr....s et surtout vers les toilettes publiques. Elles se trouvent sur un cĂŽtĂ© du centre, dans une rue sans commerce et donc de ce fait trĂšs tranquille. Pour ainsi dire personne dans la rue mais en faisant une manĆuvre pour me garer, je remarquais un homme seul qui marchait sur le trottoir. Je le laissais passer devant moi et je le vis entrer dans les toilettes. Alors je nâhĂ©sitais pas, laissais passer quelques secondes et y rentrais Ă mon tour.
Je le retrouvais aux urinoirs (qui sont au nombre de trois ), et il avait pris celui de droite. Alors je mâinstallais sur celui de gauche et me dĂ©braguettais comme pour uriner. Nous nâĂ©tions que tous les deux, alors je tournais la tĂȘte vers lui, plutĂŽt vers sa braguette. Il avait bien Ă©videmment sortit sa queue et se branlait tranquillement. Il sâaperçut tout de suite de mon regard et se recula quelque peu pour me montrer sa bite. Alors je fis de mĂȘme, je me tournais vers lui pour lui montrer la mienne. AussitĂŽt on se rapprocha et nous commençùmes Ă nous masturber. Il avait une belle bite assez Ă©paisse avec un joli prĂ©puce mais trĂšs serrĂ© au bout. On voyait Ă peine son gland, peut ĂȘtre un lĂ©ger phimosis et ça eut le don de mâexciter encore plus.
Je lui demandais sâil souhaitait quâon aille dans une cabine, mais il me rĂ©pondit que non, et quâil voyait la porte dâentrĂ©e, dĂšs fois que quelquâun arrive. Il se pencha sur moi et se mit Ă me lĂ©cher les couilles. Il voulut mĂȘme me les gober dans sa bouche mais je nâaime pas spĂ©cialement ça, alors je lâarrĂȘtais assez vite et il reprit ma branlette. JâĂ©tais si excitĂ© que je le stoppais en lui disant que jâallais jouir sâil continuait Ă ce rythme.
Alors il me demanda de lui lĂ©cher les couilles Ă mon tour. Je me penchais et mâexĂ©cutais, le lĂ©chant Ă travers ses poils, jusquâĂ ce quâil me dise de les prendre dans ma bouche. Pour la premiĂšre fois, je gobais un testicule et cela me fit un drĂŽle dâeffet.
AprÚs un moment je me relevais et nous recommençùmes à nous astiquer. Sa bite avait bien gonflé
et je ne manquais pas lâoccasion pour le dĂ©calotter malgrĂ© tout. Mais je nâen pouvais plus et le sentant, il me tourna vers lâurinoir du milieu et me fit Ă©jaculer au dessus. Je voyais mes jets tomber sur la faĂŻence blanche et je me dis quâil y avait bien longtemps que je nâavais pas giclĂ© ainsi.
Je reprenais Ă le masturber mais il me demanda depuis combien de temps je nâavais pas joui⊠Je lui rĂ©pondis « une semaine » et il me demanda tout en me branlant Ă nouveau si « elle allait repartir ». Je lui dis que non, il me dit « tant pis » avec un sourire et rangea son outil. Je nâen sus pas plus sur ce quâil pouvait avoir derriĂšre la tĂȘte et je me rhabillais Ă mon tour.
Je sortis le premier et rentrais chez moi rejoindre ma femme âŠ
Je passais devant une vitrine de magasin, et en temps normal je nây aurais pas prĂȘtĂ© attention. Mais Ă lâintĂ©rieur, derriĂšre la vitre, se trouvait une femme, la quarantaine, Ă quatre pattes devant une petite estrade, en train de refaire sa devanture. Et pour atteindre lâautre bout de lâestrade, elle Ă©tait obligĂ©e de se pencher trĂšs trĂšs en avant ⊠Elle portait un pull blanc, trĂšs large avec une profonde Ă©chancrure sur le devant. RĂ©sultat, elle dĂ©couvrait Ă toute la rue, un dĂ©colletĂ© bĂ©ant dâoĂč deux globes magnifiques pendaient sous lâeffet de la gravitĂ© ⊠Je tombais en arrĂȘt, fis demi tour et mâinstallais Ă quelques mĂštres de la boutique. La femme ne se rendait visiblement compte de rien et moi je me rĂ©galais les yeux. Jâessayais dâentrapercevoir ses mamelons mais les marques sur son dos me firent comprendre quâelle avait un soutien gorge. Celui-ci devait ĂȘtre un balconnet car impossible dâen voir par le dĂ©colletĂ© le moindre petit bout de dentelle et ses seins Ă©taient bien ronds, gonflĂ©s et projetĂ©s vers mon regard !!! Je commençais Ă bander mais malheureusement mon rendez vous mâappelait.
Pendant toute la sĂ©ance de soin, je ne pensais quâĂ cette poitrine et une fois terminĂ©e, je repassais avec envie devant la boutique. La femme Ă©tait toujours lĂ , toujours dans la mĂȘme position et je jetais une derniĂšre fois un regard appuyĂ© sur ses deux merveilles.
Mais tout ceci mâavait tellement excitĂ© quâil fallait que je profite de ce rare moment oĂč je me retrouvais seul.
Alors malgrĂ© les embouteillages de cette fin dâaprĂšs midi, je remontais sur le centre commercial de la C.... Ă Fr....s et surtout vers les toilettes publiques. Elles se trouvent sur un cĂŽtĂ© du centre, dans une rue sans commerce et donc de ce fait trĂšs tranquille. Pour ainsi dire personne dans la rue mais en faisant une manĆuvre pour me garer, je remarquais un homme seul qui marchait sur le trottoir. Je le laissais passer devant moi et je le vis entrer dans les toilettes. Alors je nâhĂ©sitais pas, laissais passer quelques secondes et y rentrais Ă mon tour.
Je le retrouvais aux urinoirs (qui sont au nombre de trois ), et il avait pris celui de droite. Alors je mâinstallais sur celui de gauche et me dĂ©braguettais comme pour uriner. Nous nâĂ©tions que tous les deux, alors je tournais la tĂȘte vers lui, plutĂŽt vers sa braguette. Il avait bien Ă©videmment sortit sa queue et se branlait tranquillement. Il sâaperçut tout de suite de mon regard et se recula quelque peu pour me montrer sa bite. Alors je fis de mĂȘme, je me tournais vers lui pour lui montrer la mienne. AussitĂŽt on se rapprocha et nous commençùmes Ă nous masturber. Il avait une belle bite assez Ă©paisse avec un joli prĂ©puce mais trĂšs serrĂ© au bout. On voyait Ă peine son gland, peut ĂȘtre un lĂ©ger phimosis et ça eut le don de mâexciter encore plus.
Je lui demandais sâil souhaitait quâon aille dans une cabine, mais il me rĂ©pondit que non, et quâil voyait la porte dâentrĂ©e, dĂšs fois que quelquâun arrive. Il se pencha sur moi et se mit Ă me lĂ©cher les couilles. Il voulut mĂȘme me les gober dans sa bouche mais je nâaime pas spĂ©cialement ça, alors je lâarrĂȘtais assez vite et il reprit ma branlette. JâĂ©tais si excitĂ© que je le stoppais en lui disant que jâallais jouir sâil continuait Ă ce rythme.
Alors il me demanda de lui lĂ©cher les couilles Ă mon tour. Je me penchais et mâexĂ©cutais, le lĂ©chant Ă travers ses poils, jusquâĂ ce quâil me dise de les prendre dans ma bouche. Pour la premiĂšre fois, je gobais un testicule et cela me fit un drĂŽle dâeffet.
AprÚs un moment je me relevais et nous recommençùmes à nous astiquer. Sa bite avait bien gonflé
et je ne manquais pas lâoccasion pour le dĂ©calotter malgrĂ© tout. Mais je nâen pouvais plus et le sentant, il me tourna vers lâurinoir du milieu et me fit Ă©jaculer au dessus. Je voyais mes jets tomber sur la faĂŻence blanche et je me dis quâil y avait bien longtemps que je nâavais pas giclĂ© ainsi.
Je reprenais Ă le masturber mais il me demanda depuis combien de temps je nâavais pas joui⊠Je lui rĂ©pondis « une semaine » et il me demanda tout en me branlant Ă nouveau si « elle allait repartir ». Je lui dis que non, il me dit « tant pis » avec un sourire et rangea son outil. Je nâen sus pas plus sur ce quâil pouvait avoir derriĂšre la tĂȘte et je me rhabillais Ă mon tour.
Je sortis le premier et rentrais chez moi rejoindre ma femme âŠ
22 days ago