Lèche Ange 3

Épuisée, je sombre pendant une bonne heure dans un profond sommeil. Lorsque je me réveille, personne ne se trouve à mes côtés. Mes deux compagnons de jeux semblent avoir disparu. Je me redresse encore un peu groggy, décidée à visiter les lieux en quête de mes deux compères et surtout d’une salle de bain… je pue le stupre. Je me redresse, vire mes bas qui ne ressemblent plus à rien. En posant les pieds au sol, celui-ci me rappelle combien il est froid. Je garde le plaid sur mes épaules et m’en enveloppe, ainsi parée je me dirige vers l’unique issue de cette pièce.
Je suis surprise de trouver le hall parfaitement éclairé. Je découvre alors, en face de moi deux autres portes que je n’avais pu distinguer dans la pénombre à mon arrivée. J’entends des bruits derrière celle de droite, j’avance, ouvre et découvre Jacques et Stéphane attablés.
- Voilà notre Belle au Bois Dormant réveillée, s’exclame, fier de lui, Stéphane.
- La Belle au Bois Dormant a besoin d’une douche, dis-je d’un ton faussement maussade.
- Il y a une salle de bain à côté, me répond il, tu veux que nous t’accompagnions ? Dit-il avec dans ses yeux sombres une once de perversité.
- Non, je vais m’en sortir toute seule, lui répondis-je sèchement.
Un ange passe. Leurs regards interrogateurs m’amusent. L’heure de l’échange est venue et j’ai bien l’intention de leur signifier maintenant.
Enveloppée dans ma cape de fortune, je subtilise sur la table un morceau de pain et un bout fromage, histoire de faire taire mon estomac qui crie famine, avant de leur tourner le dos.
Je quitte la pièce sans un mot, tout en avalant rapidement ce frugal en-cas. Dans la salle d’eau, où il règne une douce chaleur, je me défais du plaid pour profiter de cette sublime baignoire prête à m’offrir les plus doux massages et me remettre sur mon piédestal.

-Pendant qu’elle se remplit d’eau chaude dans laquelle j’ai ajouté un bain moussant délicatement parfumé au chè vrefeuille, je scrute mon reflet dans le miroir. Un peu déconfite, le cul savamment zébré de rouge, le salaud n’y est pas allé de main morte, les cheveux en bataille, des traces de maquillage sur tout le visage…pas fière allure la donzelle, va y avoir du boulot avant d’aller les retrouver.
Je coupe le robinet et me plonge avec délice dans la chaleur d’une eau réconfortante. J’abandonne mon corps encore endolori aux bienfaits de ce bain apaisant. Je me sens à présent tellement légère. Je souris béatement et me réjouis de sentir encore la peau de mes fesses me brû ler et les muqueuses de mes orifices devenues si sensibles me rappeler combien ils ont été savamment déf oncés. Je me laisse portée par mes songes L’eau qui refroidit, me rappelle qu’il est temps que je termine ma toilette en me débarbouillant le visage et en lavant mes cheveux que sueur et sperme ont rendus poisseux.Je m’extirpe de la baignoire pour me sécher, enduire ma peau d’un lait du même parfum que mon bain. Je découvre tout le nécessaire pour me coiffer, me maquiller et comme prévu mon nouveau costume m’attend pendu sur une patère fixée au mur. Je commence par recouvrir mes jambes de bas résille, me glisse dans une robe de cuir noir entièrement zippée et épousant parfaitement les formes de mon corps. J’enfile une paire de longs gants noir faits de la même peau et pour finir je chausse la paire de cuissardes.. Plus qu’à redessiner le contour de mes yeux en noir, repeindre mes lèvres de carmin et tirer mes cheveux en chignon. Petit tour devant le miroir, la transformation est parfaite, il est temps d’aller m’occuper de ces messieurs.
J’ouvre la porte de la cuisine et sans leur laisser le temps de réagir leur intime l’ordre de me suivre. Ils comprennent que nous avons changé les rè gles du jeu et se soumettent aussitôt.
Docilement, ils quittent leur siège pour m’emboîter le pas. Dés qu’ils pénètrent dans la pièce, je les arrête.
- A poil pétasses !
Je vois avec un plaisir non dissimulé mes deux lascars se dessaper plus ou moins maladroitement.
- C’est sûr que niveau strip tease vous êtes déplorables.
Les voilà penauds, nus comme des vers… Je remarque le regard un peu trop réjoui de Stéphane. Qu’est ce qui peut bien le réjouir ? Se retrouver à poil devant moi, peut être se trouve t-il fier de son corps de quinquagénaire plutôt bien conservé. Je vais vite le faire redescendre.
Dans un présentoir de bois aussi sombre que cette pièce, je me saisis d’une magnifique cravache. Je m’approche de mes deux quinquas, en la faisant glisser sur leur corps dont je perçois les légers frémissements. J’inspecte ces corps que je n’ai vu jusqu’à présent que figés sur mon écran. Avec le bout de ma cravache je soupèse leurs couilles et leurs bites avachies.
- Elles ont bien moins fière allure que tout à l’heure. Baissez les yeux !
Les deux compères s’exécutent, et je prends un malin plaisir à scruter ces énergumènes. Ils sont encore bien appétissants, et je me délecte du spectacle qu’ils m’offrent à leur insu. Jacques a gardé un corps de jeune homme, il est un peu plus svelte que Stéphane dont la carrure est un peu plus massive sans être enrobé. Tous les deux ont les cheveux gris, raides et denses. Quant à leurs visages, c’est étonnant ce petit air de ressemblance. Mais il y a dans le regard de Jacques, en dehors du fait qu’il soit un peu plus clair, une petite lueur de douce espièglerie qui le rend attendrissant. Alors que celui de Stéphane est plus intense, presque intimidant.
- Agenouillez vous devant moi, vous êtes à présent mes esclaves sexuels pour mon plaisir. À mon tour de vous mettre sous collier mes salopes.
Ils restent silencieux, je leur assène alors chacun un coup de cravache sur leurs bites molles. Instinctivement, ils se replient pour protéger leurs parties génitales douloureusement mol estées. Les voir ainsi à ma merci me procure une étrange sensation de pouvoir qui me transcende.
- Je ne suis pas sûre que vous ayez compris…
- Si on a compris me répond Jacques.
Aussitôt je flagelle leurs deux culs. Ce qui les faits se redresser instantanément.- Alors je veux vous l’entendre dire clairement ! Et tenez vous droits petites salopes.
- Oui Madame, me répondent-ils en chœur.
- Voilà qui est nettement mieux.
Dans un coin de la pièce, maintenant que je suis libre de mes mouvements, j’ai repéré une étagère sur laquelle sont posés les divers objets laissés à ma disposition pour notre séance. Sans précipitation, les laissant dans leur posture de soumission, agenouillés, leurs deux mains cachant instinctivement leurs sexes, la tête baissée, je me dirige vers celle-ci. Je prends un temps infini pour découvrir les objets qui s’y trouvent. Avant de commencer à farfouiller dans ce bric à brac, je me retourne et leur ordonne de retirer leurs mains de leur service trois pièces.
- Laissez-moi l’opportunité de me rincer l’œil à ma guise mes petites putes.
- Oui Madame.
A contre cœur ils laissent pendre lamentablement leurs bras devenus inutiles.
- Voilà qui est bien mieux.
Je peux maintenant commencer à fouiner dans cet extraordinaire boutique des délices. Bien évidemment, sans hésiter je me saisis des deux colliers de cuir et de leurs laisses, puis de deux plugs et d’un gode ceinture. J’en veux à leurs culs, si quelqu’un pouvait encore en douter. Je continue de fureter telle une cliente dans un grand magasin à la recherche de l’objet qui la fera vibrer. Mes doigts effleurent, bandeaux, menottes, baillons à boule et … un objet tellement magnifiquement ciselé, une œuvre d’art pour dards. Je le prends entre mes doigts le fait ostensiblement tourner en tous sens, m’extasiant à haute voix :- Que voilà un beau bijou qui ornerait de fort belle manière ce qui pend aussi tristement entre vos jambes. Le silence qui suit ne m’indique rien sur leurs sentiments à l’égard de cette cage à pénis…
- Alors mes petites putes vous avez perdu vos langues.
- Merci Madame pour cette aimable attention, finit par répondre Jacques
Je n’arrive pas à savoir si cet objet les impressionne positivement ou non. Mais qu’importe c’est moi qui ai les cartes en mains. Je m’en empare, un pour chacun de mes deux repentis.
J’hésite un instant devant les baillons à boules, et finalement décide qu’ils méritent cette ultime offense. J’ai bien l’intention de les rabaisser plus bas que terre.
Satisfaite de mes trouvailles je retourne vers les deux hommes toujours bien droits sur leurs genoux, comme pétrifiés. Dans mon for intérieur je m’en amuse. Avec une lenteur je m’avance vers Stéphane. Je commence par lui enfiler son collier muni de sa laisse.
- Voilà pour toi chienne.
- Merci Madame, dit-il en baissant la tête.
Je lui tapote la tête, comme un flatte un chien.
- Maintenant Stéphane je veux que tu bâillonne Jacques, lui dis je en lui tendant le bâillon à boule.
Celui-ci se redresse et s’empresse d’exécuter la tâche qui lui incombe, tâche qui revient ensuite à Jacques d’accomplir. Avant qu’il ne se remette à genoux, je lui demande d’emprisonner la bite de son compagnon dans la cage que je lui tends. Je le vois hésiter devant cette nouvelle injonction.
- Tu renâcles putain !
Je lui fouette alors son cul à l’aide de ma cravache. Il pousse un cri de douleur. Mais cela ne me retient pas de réitérer, nouveau cri.
- Héhonhihahah, tente-t-il de me répondre.
Il attrape, la queue molle de Stéphane et l’enserre tant bien que mal dans cette petite cage, il tourne la clé et me la tend. Je jubile devant ce spectacle. Je réserve le même sort à l’encagé qui s’empresse, sans aucun doute à contre cœur lui aussi, de s’exécuter.
- Vous voilà magnifiquement parés mes salopes. Mais il vous manque encore un bijou pour être parfaitement à mon goût.
Je leur montre les deux rosebuds que je destine à leur anus.
- À quatre pattes, comme de bonnes chiennes !
Les voir ainsi, le cul offert, créé immanquablement une certaine excitation que je sens poindre dans mon bas ventre. Je me place derrière ces deux traînées et leur enfile sans plus de précaution ces deux nouveaux bijoux, ils me gratifient de gémissements étouffés par leurs baillons. Ces deux plugs ornent gracieusement leur inter fessier. Je suis satisfaite du résultat et ne manque pas d’immortaliser à mon tour le spectacle qu’ils m’offrent. Flash.
Mais il est temps de passer aux choses sérieuses.
Je m’installe majestueusement sur le fauteuil qui trône au milieu de la pièce. De la main je leur fais signe de s’approcher. Les voilà qui s’avancent maladroitement sur leurs quatre membres. Arrivés à ma hauteur, j’attrape leurs laisses de chiennes leur ôte leurs baillons et leur intime l’ordre de lécher mes cuissardes sur toute leur longueur. Voilà mes deux chiennes le cul en l’air qui promènent leurs langues sur le cuir dont mes jambes sont recouvertes jusqu’à mi-cuisse. Lassée, j’écarte mes jambes, leur laissant entrevoir sciemment ma chatte nubile.
- Maintenant vous aller frotter vos queues sur mes jambes, comme de bonnes petites chiennes en chaleur.
Les voilà à ma botte qui se frottent le bas ventre frénétiquement, vision ô combien satisfaisante. Leurs visages sont si proches de mon entre jambe qu’ils doivent percevoir les effluves de mon excitation mêlées au parfum de chè vrefeuille. Tous deux poussent de plaintifs gémissements, leur érection encagée leur procurant de vives douleurs. Je décide de les soulager de ce poids en enfonçant la pointe de mes cuissardes dans leurs couilles. Les gémissements se transforment en cris de douleur, but atteint, leur queue ne cherche plus à franchir les barreaux de leur prison.
- Vous devriez me remercier de vous avoir soulagés de cette érection inappropriée plutôt que de geindre comme deux fil lettes, leur dis je en les maintenant par les cheveux.J'en profite pour remettre leurs baillons en place.
Fermement je tire sur leurs laisses pour les faire avancer en prenant sans hésiter la direction de la Croix de Saint André. Arrivée face à elle, je stoppe mes deux fidèles chiennes. Je vois bien à leurs regards interrogateurs qu’ils se demandent quel sort je leur réserve. Je reste impassible, même si ma petite diablesse fait de joyeux sauts périlleux devant leurs mines déconfites.
- Lève-toi et viens te coller face à la croix, dis-je à Stéphane.
Il hoche la tête, ne pouvant me répondre.
- Presse toi un peu salope.
- Hum hum…
- N’essaie pas de me répondre, traînée, c’est incompréhensible
Péniblement, il se redresse, les genoux sans doute ankylosés par ces longues minutes passées agenouillé. Il s’avance vers la croix, prêt à se faire crucifier. J’envoie mon autre salope lui attacher les pieds et les mains aux quatre bras de la croix.
- Je trouve ton cul triste à pleurer. Nous allons y remédier et lui donner de belles couleurs. Je pense que cinquante coups devraient faire l’affaire.
Je me retourne vers Jacques et lui tends la cravache en lui faisant signe de se relever.
- Tiens petite salope et surtout ne retiens pas tes coups, ne me déçois pas.
Je vois le corps du crucifier se crisper.
Installée confortablement sur mon trône, me voilà chef d’orchestre, guidant le bras de Jacques qui s’emploie sous ma direction à faire tomber les coups de cravache en des claquements allant crescendo, en alternant quelques glissandos, afin de varier la mélodie. Claquements accompagnés par des mugissements qui se font plus puissants à chaque nouveau coup, voilà une magnifique symphonie. Cette complainte qui répond aux claquements des coups de fouets emplissent la pièce d’une étrange mélodie, une partition digne de Boulez, dissonances et couac menés d’une main de maîtresse. Au cinquantième coup je suis particulièrement fière du résultat obtenu, le cul de Stéphane est devenu une œuvre picturale fort attrayante, savant subtile de blanc entremêlé de lignes rouges. Me voilà finalement devenue art triste peintre. Quant à mon support, je le sens fébrile. Je demande à Jacques de le détacher, pantin désarticulé qui s’effondre sur le sol. Flash. Je l’attrape par les cheveux pour mieux voir son visage ravagé par la douleur.- Cette partition était-elle à la hauteur de tes attentes ? En tout cas moi j’ai apprécié cette petite musique.
Il hoche la tête, ses yeux sont remplis de larmes, je lui crache au visage juste pour le plaisir de l’humilier. J’étale mon crachat de ma main gantée. Je le relâche, le délaisse et me tourne vers Jacques. Il baisse la tête, j’imagine qu’il se demande quel sort je peux bien lui réserver… comme tout cela est grisant. Je devine mes deux marionnettes à la fois tendues par l’appréhension, mais excitées par cette position de vassale.
Avec une infinie lenteur je m’avance vers mon deuxième jouet, lui pose le bout de la cravache sous son menton, lui relève la tête :
- À ton tour d’être ma putain.
Il acquiesce d’un timide mouvement de tête. J’attrape sa laisse et l’entraîne vers une sorte de chaise gynécologique que j’ai repérée auparavant et qui sera parfaite pour le projet que j’ai pour lui.
Je lui demande de se relever et de s’installer sur la chaise. Je me fais un plaisir de le brusquer en tirant sur sa laisse pour qu’il se presse une peu. Et ne voilà t’il pas qu’il râle … pour calmer ses ardeurs rebelles je lui envoie une claque bien sentie sur son petit cul blanc. Cette fois ci il râle de douleur. Je lui envoie un sourire sadique.
- Encore envie de râler petite putain ?
D’un mouvement de tête il me répond par la négative et s’installe sur le fauteuil. Je lui demande placer ses jambes dans les étriers, je les sangle. J’en fais de même avec ses deux bras sur les accoudoirs prévus à cet effet. Le voilà les quatre fers en l’air, entièrement livré à mes desseins. Je fais signe à Stéphane, visiblement encore sous le choc des honneurs rendus à son cul, de s’approcher. Laborieusement il nous rejoint sur ses quatre membres courbaturés. Arrivé à ma hauteur, je lui fais signe de s’arrêter, le libère de son bâillon. Je le sens soulagé.
- Tu vas ôter le rosebud du cul de cette putain…alors qu’il s’avance je reprends, avec ta bouche.
Il a un net mouvement de recul. Je l’attrape énergiquement par les cheveux, lui colle le bout du manche de la cravache sur les couilles et l’y enfonce sans vergogne. Il hurle sa douleur.
- Besoin que je te répète ce que je viens de te demander ?
- Non Madame, me répond-il tout en suffoquant.Son regard est sans équivoque, à cet instant il me déteste, je lui souris. Et lui colle une claque sur son cul déjà bien endolori, il pousse un cri déchirant qui retentit dans toute la pièce, magnifiant le chant de l’outragé. C’est sans grand empressement que sa bouche effleure le bijou anal, ses hésitations m’agacent.
- Ne fais pas ton précieux, il ne va pas sortir tout seul, il va falloir que tu y mettes du tien, chienne !
J’enfonce sans délicatesse aucune sa tête entre les cuisses de Jacques, qui de son côté ne paraît pas plus à son aise.
- Allé arrache lui ce bordel avec un peu plus d’entrain, je m’ennuie et tu ne voudrais pas que je m’ennuie ?
- Non Madame, me répond-il la voix étouffée entre les deux fesses de la putain qui n’en mène pas large sur sa chaise de supplicié.
Non sans mal, il attrape le plug avec ses dents et d’un coup sec le fait sortir de son écrin, déclenchant une plainte légère de notre ami sanglé.
- Parfait, garde le dans ta bouche de chienne.
Je m’empare alors du gode ceinture, sans hâte, dézippe ma robe, m’en débarrasse la laissant tomber, peau morte sur le sol. Je passe une jambe après l’autre dans les sangles qui crissent sur mes cuissardes en les remontant jusqu’en haut de mes cuisses afin de fixer la ceinture autour de ma taille.
Me voilà en un tour de main, juchée sur mes hauts talons, devenue mâle dominant brandissant ostensiblement un dard aux dimensions à faire pâlir bien des queutards fiers de leur appendice. Je demande à la chienne qui attend à mes pieds d’ôter le plug de sa bouche et d’utiliser sa langue afin de lubrifier le petit trou de la putain. Cette fois, il n’essaie pas de résister, craignant le plat de ma main sur son cul.
Il s’attelle à sa tâche, pour le plus grand plaisir de Jacques. Mais le plaisir devient vite synonyme de douleur quand sa verge donne des signes de tensions aussitôt contrainte par la cage qui l’enferme. Une fois que j’estime que l’anus que je vais enculer sans vergogne est suffisamment lubrifier, je présente ma queue devant la bouche de Stéphane qui comprend ce qu’il lui reste à faire. Timidement il la porte à sa bouche et la suçote. Je lui agrippe sa tignasse et enfonce ma bite profondément dans sa bouche, jusque dans sa gorge. L’air lui manque, son corps est secoué par des hauts de cœur.
- Ne sois pas timide, suce-moi, petite pute !Enfin satisfaite, je retire ma bite de sa bouche pour me diriger droit vers l’objet de mon désir.
- À nous deux, ma putain, je vais faire de ton cul mon terrain de jeu, tu vas adorer.
Ça boule dans la bouche ne lui permet d’émettre que quelques sons incompréhensibles pour toute réponse ; il n’a pas l’air convaincu.
Je colle mon gland à l’entrée de son anus. Je le sens tendu.
- Détends-toi mon joli, je vais y aller tout doucement pour commencer.
Il dodeline de la tête l’air de dire « Facile à dire. » J’agrippe ses cuisses et lentement je force l’étroite entrée de son cul. Le voilà qui couine lamentablement sous la poussée de ma queue de silicone qui inexorablement s’introduit de plus en plus profondément dans ses entrailles. Mon sentiment de toute puissance sur ce corps d’homme dont j’abuse joyeusement me procure une immense satisfaction ainsi qu’un embrasement de mon bas ventre. Lorsque mes hanches buttent enfin contre ses cuisses, je m’immobilise et regarde mon empalé sidéré cherchant à retrouver sa respiration. Je me retourne vers Stéphane, agenouillé sur le côté, au première loge, manifestement échauffé par la vision de cette sodomie que je lui offre. Sa pauvre queue contenue dans cette si jolie cage, tente d’exprimer son excitation mais la voilà comprimée, pressurée et douloureuse à souhait. Satisfaite par cette vision, mon regard se reporte sur mon embroché et lui dit :
- Il est temps que je t’encule ma salope. Et toi chienne, dis-je en m’adressant à Stéphane, ne rate rien de ce spectacle et garde bien tes mains le long de ton corps.
- Oui Madame
.A peine ces paroles prononcées, je débute mes allées et venues dans le cul de Jacques, qui aussitôt couine comme un véritable porc qu’on ég orge. Ces cris ne font qu’accroître mon envie de le baiser avec vigueur, ce à quoi je m’applique avec une immense délectation. Mes coups de hanches percutent son cul, la salle est emplie de cette nouvelle œuvre sonore magistrale. Il crie au rythme infernal de ma baise endiablée. Son anus est maintenant parfaitement dilaté, une nouvelle mélodie retentit à nos oreilles, celle des râles d’un plaisir naissant de la putain. Son corps s’est recouvert d’un léger voile de sueur qui rend sa peau luisante, reflétant joliment les petites loupiotes du lieu.
Mes deux soumis bandent malgré leur cage, savant mélange de jouissance et de douleur. Je perçois une nouvelle tension de Jacques, mais cette fois c’est celle qui précède l’orgasme, je continue de le dé foncer avec vigueur quand soudain un mugissement sorti du tréfond de ses entrailles, point culminant de la partition, envahit la pièce. Malgré sa cage il éjacule en de grands jets qui maculent avec maestria mon ventre. Je me retire, le laissant tout tremblant encore sous le choc de la déflagration qui s’est abattue sur lui. Je viens lui retirer son bâillon.
- Merci Madame.
Je le détache, libère sa queue toute poisseuse de sperme et le laisse se remettre de ses émotions.Il est temps de m’occuper du cul de Stéphane qui n’a pas perdu une miette de cette sublime sodomie.
Je lui demande de se redresser, de s’installer sur le fauteuil de baise suspendu un peu plus loin. Il s’installe, rapidement je l’immobilise, les quatre fers en l’air à son tour. A peine remis, je demande à Jacques de venir lubrifier sa rondelle. Il se soumet à ma volonté sans rechigner. Pendant qu’il s’applique à faciliter mon entrée en matière, je me saisi d’une badine, et sans le prévenir frappe son cul tendu. Surpris, il stoppe net sa lubrification.
- Qui t’as autorisé à t’arrêter ? Continue chienne !
- Oui Madame.
Il se remet à son le léchage de cul, pendant que ma badine cingle sans pitié la chair tendre de son cul. Il geint sous ce nouveau supplice. Quand ses fesses ont pris une belle couleur rosée, je cesse mon badinage, le tire sans ménagement en arrière et lui demande de s’allonger le dos sur le sol. Il frissonne surpris par le sol glacé.
- A ton tour de profiter de ma queue ma salope ! Dis-je, m’adressant à Stéphane.
- Oui Madame.
Je saisis les deux courroies de la balançoire, et comme pour son binôme, je place mon gland sur son petit trou étoilé, avant de le pénétrer avec lenteur et détermination. Après un temps, quand ses couinements de goret se sont calmés, je repousse la balançoire avant de la faire revenir à moi. D’abord un lent balancement avant d’en accélérer le rythme. Nouveau chant des suppliciés, qui se transforme peu à peu en un gloussement de plaisir pour se terminer en apothéose dans un mugissement orgasmique. Comme Jacques, il me congratule par de longs jets de sperme tous azimuts marquant mon ventre de nouvelles éclaboussures.
Ces deux enculés m’ont donné une jouissance indéniable vu l’état de mon entre jambe. Après avoir défais ses liens, et libérer son petit oiseau de sa cage, je lui demande d’aller s’allonger à côté de l’autre chienne. J’enjambe le visage de mes deux gisants, leur laissant reluquer ma chatte béante
.- Ouvrez vos bouches, ma vessie est pleine, j’ai besoin de me soulager, soyez mes latrines.
Leurs deux bouches s’ouvrent simultanément, alors que leurs yeux se ferment. Au bout de quelques secondes ma pisse éclabousse leurs visages, je fais en sorte de couler dans leurs deux bouches.
- Avalez maintenant !
Tant bien que mal ils s’exécutent.
Je viens m’asseoir sur le visage de Jacques en lui demandant de me nettoyer. Il sort sa langue et je fais aller et venir ma vulve pleine de ma pisse et de ma cyprine sur sa bouche. Je fais subir le même sort à son voisin. Les voilà pitoyablement barbouillés.
Il est temps de demander à mes deux compagnons de jeu de venir nettoyer de langue, mon ventre maculé de leur sperme. Ils s’agenouillent et s’y appliquent, me procurant de douces caresses. Une fois leur nettoyage terminé, je m’agenouille face à eux, et tour à tour je les embrasse goulûment, mêlant ma langue à la leur afin de goûter moi aussi à la douce saveur de leur sperme, de ma cyprine et de ma pisse. Ces baisers, marquent la fin de partie des trois dépravés que nous sommes.
Switch vous avez dit switch ?
Published by RoseMaryass
6 months ago
Comments
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ccandau
ccandau 6 months ago
bravo la soumise deviens la reine et avili avec un plaisir non dissimulé ses deux tortionnaires très excitant continue
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RoseMaryass Publisher 6 months ago
to solcaliente : Comme ce compliment est joliment tourné . Sans détour je te le dis j’en suis toute retournée.
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solcaliente 6 months ago
Sous ta plume.. Tout n est que délicatesse.. Espieglerie.. Perversité.. Un bonbon avec lequel tu prends un malin plaisir a le déballer..le sucer.. A en révéler toute la saveur sucrée d'un puissant.parfum. Qui réveille ton cerveau. Et innonde ma chair de spasmes sanglants. 
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RoseMaryass Publisher 6 months ago
to blandinelolita : S’il est excitant mon but est atteint . Merci
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blandinelolita
blandinelolita 6 months ago
Très beau récit, bien écrit et bien excitant.
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Daddy_Gentleman
Daddy_Gentleman 6 months ago
to RoseMaryass : J'aime être votre petite putain soumise, Madame... 
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RoseMaryass Publisher 6 months ago
to Daddy_Gentleman : C’était un vrai régal de vous mettre à ma botte… ravie que tu aies apprécié d’être ma putain
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RoseMaryass Publisher 6 months ago
to Duxy13 : Il me semble comprendre que tu as apprécié 😋
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Duxy13 6 months ago
🥵🥵🥵🤤🤤🤤🤤
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caso29
caso29 6 months ago
Aussi Salope en soumise qu'en dominatrice. Tes 2 tortionnaires ont bien compris à qui ils avaient affaire pour leur plus grand plaisir de Switch :stuck_out_tongue_winking_eye:
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Daddy_Gentleman
Daddy_Gentleman 6 months ago
Ton récit m'embrase, merci de nous avoir plongés, Stéphane et moi, dans ce bain brûlant et poisseux de luxure, et d'avoir fait de nous deux petites putains ayant amplement mérité un traitement pour lequel nous te sommes si reconnaissants... 
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hellyeeeeah
hellyeeeeah 6 months ago
to RoseMaryass : Ce qui me ferait t'embrasser à pleine bouche 🤤
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RoseMaryass Publisher 6 months ago
to hellyeeeeah : Alors je me répète aussi en te remerciant pour cette goutte de precum que je prends au bout de la langue
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hellyeeeeah
hellyeeeeah 6 months ago
J'ai l'impression de me répéter à chaque fois que je lis tes histoires, mais quel régal ! Le choix du vocabulaire, les détails... et cette goutte de precum qui pointe au bout de mon urètre à l'idée d'être témoin de la scène, invité privilégié tapis dans l'ombre à se masturber alors que tu t'occupes de tes deux salopes...
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RoseMaryass Publisher 6 months ago
to IDAELE : Aux armes narrateurs de tous poils, saisissons nous nos plumes les plus acérées, sortons notre plus belle prose pour faire taire la censure qui nous ligote, même si pour certains nous aimons la contrainte. Mais pas celle des mots
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IDAELE
IDAELE 6 months ago
to RoseMaryass : je sais combien il coûte de temps déjà pour sortir un texte et ensuite essuyer les tirs de la censure pour ne pas perdre de sens au travail . C'est un véritable chemin de croix que le Rongeur nous fait vivre . Il va être temps d'ourdir les armes, nous organiser pour d'une même voix faire savoir à la modérations que PAS assez c'est devenu trop .
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RoseMaryass Publisher 6 months ago
to IDAELE : Voilà qui me fait un immense plaisir. Savoir mes lignes tant et tant de fois modelées t’ont embarquées sur les vagues de la jouissance venant de ta part est un véritable onguent. C’est parfois tellement douloureux d’accoucher d’un texte
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IDAELE
IDAELE 6 months ago
to RoseMaryass : tu veux un secret ? j'ai par ta faute été obligée de me doigter et comme je n'aime rien gâcher , j'ai maintenant une haleine qui ferait fuir tous les saints du paradis pour venir vider leurs couilles dans l'enfer de ma bouche 
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RoseMaryass Publisher 6 months ago
to IDAELE : Oui ce rongeur n’aime pas le chè cerfeuil le quel manque de goût.
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RoseMaryass Publisher 6 months ago
to IDAELE : Je suis toujours comblée quand mes mots échauffent tes sens jusqu’à l’indécence 
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IDAELE
IDAELE 6 months ago
MAINTENANT j'ai un ptit compte à régler avec le rongeur imbécile qui nous nargue sans cesse avec sa morale I M B E C I L E , espèce de petit Hamster décadent, tu vas apprendre à tes dépens que la morale est faite pour être contournée et je te promets que tu vas y perdre tes dents à vouloir jouer les pères la morale 
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IDAELE
IDAELE 6 months ago
j'adore, les récits avec épines de Rose, toujours un régal pour les yeux et l'envie aussitôt de porter la main sous la dentelle pour accompagner la ritournelle des mots à fleur de nos peaux . Merci et encore
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RoseMaryass Publisher 6 months ago
to Daddy_Gentleman : oui mais je galère à publier
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Daddy_Gentleman
Daddy_Gentleman 6 months ago
Je brûle d'envie et d'impatience de connaître "l'heure de l'échange"... 
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