Thomas
La soirée est bien avancée. On est dans la maison de campagne des parents d’un pote de mon mec. J’ai pas vraiment fait attention dans la voiture mais on se trouve dans les Yvelines. À Andresy, d’après ce que j’ai crû comprendre. J’ai dit à mes parents que j’allais dormir chez une copine. Et, miracle, ils m’ont pas posé plus de questions. C’est la première fois que Jérôme me présente à sa bande d’amis. Il appréhendait un peu leur réaction vu mon jeune âge par rapport à eux. La maison est grande mais il y a peu de chambres et on s’est organisé pour tous dormir sur place malgré le manque de couchage. Personne ne se voyait reprendre la route après la fête. Je suis la seule mi.neure et j’observe tout ça d’un regard un peu incrédule. Autre surprise de ma part, je suis trop habillée pour cette soirée. Toutes les femmes sont en mode décontracté alors que j’ai mis des talons avec une jupe et un chemiser. Je fais gamine qui veut faire plus que son âge. C’est ridicule. Du coup, je reste dans un coin à observer le défilé qui s’organise dans la salle de bain. Jérôme m’explique qu’ils se font des rails. Un gars s’approche de nous et le vanne en lui demandant pourquoi il lui présente pas sa petite soeur. Il me rassure en disant que c’est un pauvre mec et qu’il a toujours été con.
Ça s’éternise et je m’ennuie. Jérôme est chaud et me propose de nous faufiler pour rejoindre notre lit. On rentre discrètement dans la chambre. Thomas dort déjà sur un lit de camp, il ronfle. Je l’ai croisé une fois seulement. Il buvait un verre avec mon homme et il est parti au moment de mon arrivée.
Je n’ose pas me déshabiller. Je n’ai pas encore esquissé le moindre mouvement que Jérôme est déjà en caleçon.
- Tu attends quoi? me chuchote-t-il
Je ne sais pas où me changer sans qu’il puisse me voir
Tu t’en fous, il dort.
Certes je ne suis pas farouche mais quand même. Je retire mes talons, déboutonne en hâte mon chemisier et défait ma jupe à la va-vite puis me glisse sous les draps en sous-vêtements.
Tout de suite je sens une main baladeuse qui dégrafe mon soutien-gorge et commence à me pincer doucement les tétons pendant qu’il m’embrasse dans le cou.
Arrête Jérôme. C’est pas bien avec ton ami juste à côté.
Allez, s’il te plaît. J’ai trop envie de toi.
Il se colle à moi et frotte son sexe tendu contre mes fesses. De mon côté, je regarde toujours si Thomas dort bien. Jérôme retire mon string et, à l’aide de ses pieds, le repousse au fond du lit.
- Sérieux, tu a.buses. Ça se fait pas.
Sans attendre, il me cale un doigt dans la chatte et je lâche un petit cri malgré moi. J’ai peur d’avoir réveillé Thomas mais il ne bouge pas. Son majeur trifouille mon vagin avec agilité et je sens ma chatte se lubrifier à la vitesse grand V. Il dégage un peu les draps pour être plus à l’aise dans ses mouvements. Apparemment son pote est le cadet de ses soucis. Je sens son gland frotter contre ma petite fente humide. Je reconnais que la situation me titille grandement le bas-ventre. C’est la première fois que je vais faire l’amour pas loin d’une autre personne. C’est un mélange de peur et d’excitation. C’est très troublant. Je ne sais pas quoi en penser. D’ailleurs, j’ai pas le temps d’y penser, Jérôme vient de fourrer son énorme sexe en moi. « Oh oui mon Dieu » Je l’entends me dire chut et poser une main sur ma bouche. Il me fait rire lui. C’est pas lui qui encaisse sa grosse queue. Il ressort lentement puis me pénètre à nouveau d’un coup puissant. Il enchaine comme ça en étouffant toujours mes gémissements avec sa main pendant que son autre main me pince de plus en plus fort les tétons en alternance. J’ai fermé les yeux et visualise sa bite s’enfoncer dans ma chatte à chaque coup de rein. J’entends le clapotis de ma mouille dès qu’il me pénètre profondément. Je suis trempée et sa queue coulisse trop bien dans ma chatoune. Il va me faire jouir trop facilement. C’est vraiment un excellent amant. Pas de doute. Je tends mes fesses au maximum vers Jérôme pour avoir une pénétration plus profonde encore. Les draps ont valsé. J’ouvre les yeux pour voir où ils sont. Thomas est en train de me regarder. Il a les yeux grands ouverts. Je remarque un mouvement régulier sous ses draps. Il en perd pas une miette. Oh mon Dieu, je suis toute nue devant lui en train de me faire baiser . Il voit complètement ma poitrine et mon pubis. Etonnamment ça m’excite encore plus. Je sens la jouissance monter en moi. Jérôme fait ce qu’il faut aussi, sa queue me rend dingue. Je quitte plus Thomas du regard. Oh oui, je vais jouir en le regardant droit dans les yeux. Jérome a retiré sa main de ma bouche pour soulever une de mes jambes. Je me retrouve une jambe en l’air à gémir de plus en plus fort. La position est vraiment indécente. C’est devenu purement sexuel et limite vulgaire. Je vois le mouvement sous ses draps s’accélérer. Je penche mon buste en avant pour sentir encore mieux Jérôme en moi. Mon visage s’est rapproché de Thomas et nos regards fusionnent une fois pour toutes. Je vais jouir. Je sens dans mon bas-ventre la boule d’énergie prête à exploser. L’orgasme m’électrise d’un coup. Violemment. Intensément. Je crie à chaque contraction qui secoue mon corps. Le visage de Thomas se déforme quand il éjacule sous ses draps. Jérôme aussi a déchargé en moi sans que je m’en aperçoive tellement j’étais concentré sur son ami. Le calme est revenu dans la chambre. Je me retourne et me blottit contre mon homme en l’embrassant. Je sais pertinemment que j’offre à la vue de Thomas mes fesses et ma vulve coulante mais tant pis. Deux minutes plus tard, je m’endors déjà, enlacée dans les bras de mon mec.
La lumière du jour me réveille. J’ai trop envie de faire pipi. Je remonte les draps sur moi et regarde du côté de Thomas. Le lit est vide. Je me lève doucement pour ne pas réveiller Jérôme et m’habille avec mes affaires de rechange. Après une pause aux toilettes, je descends à la cuisine. Certains prennent déjà un petit déjeuner.
Tu veux un café?
C’est Thomas. Il me transperce du regard, j’ai l’impression d’être à nouveau toute nue de lui.
Merci pour hier soir, J’avais la queue trop dure. J’ai presque eu mal en balançant mon foutre. Tu sais que t’es sublime quand tu jouis? T’avais les lèvres toutes pulpeuses et les yeux perdus. Honnêtement on se demandait ce que Jérôme foutait avec une gamine comme toi. Maintenant je sais.
Je rougis malgré moi.
J’ai pas pu m’empêcher de regarder ta vulve après. J’adore tes petites lèvres au passage. Tiens ton café. Un peu de lait? Du sucre?
Je fais non de la tête.
- Encore merci pour le spectacle. À plus tard.
Ça s’éternise et je m’ennuie. Jérôme est chaud et me propose de nous faufiler pour rejoindre notre lit. On rentre discrètement dans la chambre. Thomas dort déjà sur un lit de camp, il ronfle. Je l’ai croisé une fois seulement. Il buvait un verre avec mon homme et il est parti au moment de mon arrivée.
Je n’ose pas me déshabiller. Je n’ai pas encore esquissé le moindre mouvement que Jérôme est déjà en caleçon.
- Tu attends quoi? me chuchote-t-il
Je ne sais pas où me changer sans qu’il puisse me voir
Tu t’en fous, il dort.
Certes je ne suis pas farouche mais quand même. Je retire mes talons, déboutonne en hâte mon chemisier et défait ma jupe à la va-vite puis me glisse sous les draps en sous-vêtements.
Tout de suite je sens une main baladeuse qui dégrafe mon soutien-gorge et commence à me pincer doucement les tétons pendant qu’il m’embrasse dans le cou.
Arrête Jérôme. C’est pas bien avec ton ami juste à côté.
Allez, s’il te plaît. J’ai trop envie de toi.
Il se colle à moi et frotte son sexe tendu contre mes fesses. De mon côté, je regarde toujours si Thomas dort bien. Jérôme retire mon string et, à l’aide de ses pieds, le repousse au fond du lit.
- Sérieux, tu a.buses. Ça se fait pas.
Sans attendre, il me cale un doigt dans la chatte et je lâche un petit cri malgré moi. J’ai peur d’avoir réveillé Thomas mais il ne bouge pas. Son majeur trifouille mon vagin avec agilité et je sens ma chatte se lubrifier à la vitesse grand V. Il dégage un peu les draps pour être plus à l’aise dans ses mouvements. Apparemment son pote est le cadet de ses soucis. Je sens son gland frotter contre ma petite fente humide. Je reconnais que la situation me titille grandement le bas-ventre. C’est la première fois que je vais faire l’amour pas loin d’une autre personne. C’est un mélange de peur et d’excitation. C’est très troublant. Je ne sais pas quoi en penser. D’ailleurs, j’ai pas le temps d’y penser, Jérôme vient de fourrer son énorme sexe en moi. « Oh oui mon Dieu » Je l’entends me dire chut et poser une main sur ma bouche. Il me fait rire lui. C’est pas lui qui encaisse sa grosse queue. Il ressort lentement puis me pénètre à nouveau d’un coup puissant. Il enchaine comme ça en étouffant toujours mes gémissements avec sa main pendant que son autre main me pince de plus en plus fort les tétons en alternance. J’ai fermé les yeux et visualise sa bite s’enfoncer dans ma chatte à chaque coup de rein. J’entends le clapotis de ma mouille dès qu’il me pénètre profondément. Je suis trempée et sa queue coulisse trop bien dans ma chatoune. Il va me faire jouir trop facilement. C’est vraiment un excellent amant. Pas de doute. Je tends mes fesses au maximum vers Jérôme pour avoir une pénétration plus profonde encore. Les draps ont valsé. J’ouvre les yeux pour voir où ils sont. Thomas est en train de me regarder. Il a les yeux grands ouverts. Je remarque un mouvement régulier sous ses draps. Il en perd pas une miette. Oh mon Dieu, je suis toute nue devant lui en train de me faire baiser . Il voit complètement ma poitrine et mon pubis. Etonnamment ça m’excite encore plus. Je sens la jouissance monter en moi. Jérôme fait ce qu’il faut aussi, sa queue me rend dingue. Je quitte plus Thomas du regard. Oh oui, je vais jouir en le regardant droit dans les yeux. Jérome a retiré sa main de ma bouche pour soulever une de mes jambes. Je me retrouve une jambe en l’air à gémir de plus en plus fort. La position est vraiment indécente. C’est devenu purement sexuel et limite vulgaire. Je vois le mouvement sous ses draps s’accélérer. Je penche mon buste en avant pour sentir encore mieux Jérôme en moi. Mon visage s’est rapproché de Thomas et nos regards fusionnent une fois pour toutes. Je vais jouir. Je sens dans mon bas-ventre la boule d’énergie prête à exploser. L’orgasme m’électrise d’un coup. Violemment. Intensément. Je crie à chaque contraction qui secoue mon corps. Le visage de Thomas se déforme quand il éjacule sous ses draps. Jérôme aussi a déchargé en moi sans que je m’en aperçoive tellement j’étais concentré sur son ami. Le calme est revenu dans la chambre. Je me retourne et me blottit contre mon homme en l’embrassant. Je sais pertinemment que j’offre à la vue de Thomas mes fesses et ma vulve coulante mais tant pis. Deux minutes plus tard, je m’endors déjà, enlacée dans les bras de mon mec.
La lumière du jour me réveille. J’ai trop envie de faire pipi. Je remonte les draps sur moi et regarde du côté de Thomas. Le lit est vide. Je me lève doucement pour ne pas réveiller Jérôme et m’habille avec mes affaires de rechange. Après une pause aux toilettes, je descends à la cuisine. Certains prennent déjà un petit déjeuner.
Tu veux un café?
C’est Thomas. Il me transperce du regard, j’ai l’impression d’être à nouveau toute nue de lui.
Merci pour hier soir, J’avais la queue trop dure. J’ai presque eu mal en balançant mon foutre. Tu sais que t’es sublime quand tu jouis? T’avais les lèvres toutes pulpeuses et les yeux perdus. Honnêtement on se demandait ce que Jérôme foutait avec une gamine comme toi. Maintenant je sais.
Je rougis malgré moi.
J’ai pas pu m’empêcher de regarder ta vulve après. J’adore tes petites lèvres au passage. Tiens ton café. Un peu de lait? Du sucre?
Je fais non de la tête.
- Encore merci pour le spectacle. À plus tard.
3 months ago