Jour 3

Aujourd'hui,..... branle bas..... de combat au travail, sauf pour moi . Mon interdiction formelle de me toucher sous la ligne de flottaison est toujours en vigueur .
Un audit qualité, cinq personnes d'un cabinet extérieur sont venues pour fouiller notre entreprise , nul doute que s'ils venaient à mettre leur nez dans la mienne , je ne passerais pas l'examen . Heureusement qu'il existe des parfums pour masquer les fragrances naturelles . J'avais jadis été intéressée par les phénomènes chimiques liés à l'être humain qui participent en secret à faire et défaire sans même que l'on s'en doute , des amitiés et plus si affinités . Certains de nos sens , sont tombés en désuétude mais chassez le naturel , il reviendra toujours au galop .
Tout le monde s'active au bureau , chacun est prêt à présenter les dossiers , il faut être réactif. Je le suis , trop même puisque sujette aux humeurs de deux hommes qui à chaque instant peuvent faire et défaire mon equilibvre précaire . , le moindre frémissement d'air et voilà que s'entrouvrent les fines ailes de mon intimité humide.
Tout se passait plutôt bien, j'aurais pu me préserver et ne pas ouvrir ma page sur le site du rongeur mais ma curiosité n'a pu résister , la prise de risque fait partie du jeu auquel dont j'ai accepté les règles quitte à me brûler les doigts .
Matinée calme , des conversations comme à l'accoutumée, certains posant la sempiternelle question de ma tenue du jour , sans culotte évidemment , pas de quoi fouetter une chatte.
Mais SOUDAIN IL est arrivé, sa seule présence est génératrice d'écume à mes lèvres. Sans même qu'il s'adresse à moi. Le sentir qui rôde, peut être m'épie.
IL me demanda comment se portait mon intimité, j'ai répondu que jusqu'à cet instant tout semblait en ordre. Je ne m'étais pas touchée comme ordonné ni lavée à cet endroit du corps. Il insinua que je glisse un doigt en moi afin de goûter mes sucs intimes. Je suis allée aux toilettes comme une automate et me suis enfouie la phalange pour ensuite la porter à d'autres lèvres. Ensuite il me signifia l'ordre d'aller voir ma boîte mail ce qui augure toujours d'un choc à venir....je l'ai ouverte pour prendre une monumentale gifle au propre comme dans la figure. J'ai huilé davantage encore mon intimité. Pour parfaire le tout au moment du repas, alors que j'étais allée aux toilettes, il me prit l'idée idiote de céder une nouvelle fois à ma curiosité.........Il était là, comme un démon vous attend patiemment assis sur une stèle au détour d'un bois. De nouveau il souhaita que je me fouille et me lèche pour rejoindre la table remplie des convives auditeurs. Heureusement c'était le moment du dessert. Je me suis précipitée sur la mousse au chocolat afin d'éliminer mon haleine chargée
Dernier jour avant de pouvoir enfin toiletter mon intimité même si je n'ai toujours pas le droit d'orgasmer .