N'importe quoi ma fille
Il est plus de 5 heures du mat. Julie, ma meilleure amie, vient de se garer sous le porche du mas avec toutes les peines du monde. Faut dire qu’elle est bien pompette et moi aussi. La boîte de nuit est au-delà d’Apt et, miracle, nous n’avons pas croisé de flics rentrant à Bonnieux,.
On avait sorti le grand jeu pour notre première soirée en boîte de l’été. Je portais un gilet de costume avec juste un soutien-gorge en dessous, une mini jupe et des talons. Pas de chance, on est tombés que sur des beaufs sans intérêt. Julie s’est faite peloter par un renoi mais c’est pas allé plus loin. Elle attire souvent des métisses avec ses quelques kilos en trop, Elle a de bonnes fesses et une poitrine opulente pour ses 18 ans. Je fait maigrichonne à côté d’elle.
On rigole comme des folles en rentrant dans la maison. Julie me dit de faire moins de bruit pour ne pas réveiller son père. Mais elle manque de se casser la figure en passant dans le salon et j’éclate de rire.
Bon, je vais me coucher sinon demain je vais pas réussir à me lever avant midi. Tu fais quoi ? me demande-t-elle
Je vais fumer une dernière clope et piquer une tête dans la piscine. Ça va me rafraichir les idées puis dodo aussi.
J’allume les lumières de la piscine pour mieux me repérer et je file vers le bassin. La nuit est douce. Je m’assoie sur un transat et m’allume une cigarette. Je regarde les oliviers un peu plus loin qui se détachent sur le ciel étoilé. On sent que l’aurore ne va pas tarder à pointer le bout du nez. J’enlève mes escarpins, retire mon gilet et son soutif et me lève. Je déboutonne ma jupe et elle glisse à mes pieds. Je me retrouve juste en string. J’hésite à l’enlever pour plonger, je ne sais pas encore.
« Magnifique». Je sursaute et me retourne vers la direction d’où venait la voix en me cachant maladroitement les seins avec les mains. « Désolé, je ne voulais pas te faire peur. Je croyais que tu m’avais vu en arrivant. Je buvais un café tranquillement sous la terrasse italienne».
Il se rapproche et je distingue mieux son visage. C’est bien le père de Julie. Il m’avait semblé avoir reconnu la voix. Plus de doute maintenant.
- Où est ma fille ? Elle n’est pas avec toi ?
- Elle est allée se coucher
- Tu n’as pas sommeil toi ?
- Je voulais nager un peu avant
- Mince, j’ai interrompu ton bain de minuit. En tout cas, j’adore ton nouveau « maillot de bain », ça change de celui de cet après-midi. Celui-là ne cache pas grand chose. De loin j’ai même crû que tu étais entièrement nue de dos. Très discret ton string couleur chair. On dit bien comme ça, c’est ça ?
- Oui Monsieur L. On dit bien couleur chair.
- Tu es magnifique Marina. On doit te le dire souvent. Tu sais, tu n’es pas obligée de cacher ta poitrine, je l’ai vu tout à l’heure déjà. Tu ne veux plus nager ?
Ça s’embrouille dans ma tête. J’ai mille idées qui fusent à la seconde. Je comprends pas vraiment ce qu’il m’arrive. C’est troublant. À la fois je suis trop gênée d’être en string devant le père de ma copine et à la fois la situation m’excite. Trop bizarre. C’est vrai que j’aime les amants plus âgés que moi. Mais là, il doit être proche de la cinquantaine. Après, il est très bien conservé et beau, je dois bien l’admettre. Mais c’est le père de ma meilleure amie. Arrête ça tout de suite Marina, c’est n’importe quoi.
Je retire mes mains pour prendre un élastique que j’ai au poignet. Je tire mes cheveux en arrière et les attache pour me faire une queue de cheval.
- Oh oui. T’as des seins magnifiques. Ils sont parfaits, ni trop petits, ni trop gros. Tu as froid, non? Parce qu’ils pointent bien par contre.
Il s’est encore rapproché, maintenant je peux voir une bosse déformant son caleçon. Ça m’excite malgré moi. Il a l’air bien membré, Madame L. ne doit pas s’ennuyer. Ressaisis toi ma fille, c’est vraiment n’importe quoi. Tu vas pas fantasmer sur le père de ta copine quand même.
- Tu n’as pas envie d’enlever ton string pour nager ? C’est tellement plus agréable de nager nu. Je le fais souvent.
- Vous en avez déjà trop vu Monsieur L., c’est pas bien tout ça.
- Justement, au point où on en est. Pour la beauté du geste. Comme un modèle pour son peintre.
- C’est gênant Monsieur L.
- Désolé, je ne voulais pas te mettre mal à l’aise. Je voyais plus ça comme un petit plaisir que tu me ferais. Sans conséquence. Que je puisse t’admirer entièrement.
Je ne sais pas quoi faire, Je m’imagine le retirer devant lui et ça m’excite comme une folle mais je m’en voudrais trop par rapport à Julie. Je peux pas lui faire ça. Je serais la pire des copines. Même si elle ne l’apprend jamais, moi je saurais ce que j’ai fait. Difficile à assumer et vivre avec cette pensée…
- Oh putain!
Je reviens à la réalité. Mes pensées se sont évaporées d’un coup au son de sa voix. Je m’aperçois que j’ai ôté machinalement son string. Je suis à poil devant le père de ma copine. C’est la première fois que je l’entends dire un gros mot.
Trop bandant ce petit ticket de métro. Ma femme est toute poilue, j’en peux plus de tout ces poils. Je n’ai vu ce genre d’épilation que dans des films sur Canal.
Ses yeux brillent trop, il s’est encore rapproché et, sans que j’ai le temps de réagir, il a ses doigts sur ma vulve. Je tressaute.
- Oh oui, c’est tout doux. c’est tout lisse. J’adore. Tu m’excites trop Marina. Tu ne te rends pas compte à quel point. Je n’imaginais pas que tu t’épilais autant le sexe à ton âge. Pourtant je t’ai souvent visualisée toute nue mais jamais avec si peu de poils en bas.
Je suis troublée et j’en ai honte. Mais c’est canon de faire fantasmer le père d’une amie, je me sens irrésistible et une vraie femme.
- Ben dis donc. J’ai l’impression que je te plais bien, t’as la chatte toute trempée Marina.
Il a rentré un doigt dans ma fente.
- Non, faut pas faire ça Monsieur L. Ce n’est pas bien.
- Trop tard ma grande et je suis sûre que tu n’es plus vierge. Tu m’as pas l'air bien farouche.
Il a sorti sa bite de son caleçon et a pris ma main en faisant comprendre que je devais le branler. Je m’étais pas trompée, il a un sexe large et assez long. Il en a profité pour me mettre un deuxième doigt dans la chatte. De son autre main, il me titille les tétons. J’ai fermé les yeux pour mieux apprécié. Je sens son souffle au creux de mon oreille.
- Je vais te montrer ce que ça fait de se faire baiser par un homme, un vrai, pas comme les gamins de ton âge.
- Me faites pas mal Monsieur L.
Je reconnais que j’en rajoute un peu et joue la fille inexpérimentée pour lui faire plaisir. Par contre j’ai vraiment peur que Julie se réveille inopinément et nous surprenne.
- Et si votre fille descendait?
Il fait comme si il avait pas entendu et appuie sur mes épaules pour me mettre à genoux. Pas besoin d’être voyante pour deviner ce qu’il veut. Je le prends dans ma bouche directement et commence le sucer en m’appliquant. Il m’a attrapée par la queue de cheval à la racine et accompagne les mouvements de tête en tirant un peu sur mes cheveux.
- Je pensais pas que tu suçais aussi bien. Doucement sinon je vais venir dans ta bouche.
Effectivement j’ai un petit goût salé dans la bouche. Il se retire et m’explique que finalement on sera mieux finalement sous la terrasse italienne au cas où, par rapport à sa fille. Je ne suis pas naïve, 50 ans ou pas, quand une fille de 18 ans te suce, tu peux vite gicler, malgré toi. Ça n’aurait pas été la première fois que ça m’arrivait.
Il me soulève et me porte sous la terrasse italienne, à l’ombre de la nuit, loin de la lumière de la piscine. Il me repose le temps de prendre des coussins et de les étaler sur la table en teck. Il me hisse sur la table et m’allonge de tout mon long. Il me relève les jambes et les écarte bien à l’aide de ses mains. Je relève un peu la tête pour mieux l’observer. Il est en train de regarder ma chatte bien ouverte à cause de la position. Il profite de l’instant, de ma vulve toute lisse. Une première en vrai pour lui au bout du compte. C’est presque ironique. Le temps est suspendu quelques instants puis sa tête plonge entre mes jambes. Pas de doute, il sait ce qu’il fait. Ses doigts viennent en renfort de sa langue. J’ondule du bassin en gémissant pour lui faire comprendre que j’aime trop. Il retire ses doigts sans que je comprenne pourquoi, c’était très bien de qu’il faisait. Après quelques secondes, je comprends mieux. Son doigt commence à me masser l’anus timidement, je sens qu’il attend de voir ma réaction pour aller plus loin ou pas. Comme je réagis en lâchant un petit Hmmmm, il plaque ses mains sur mes fesses pour les écarter un peu plus, me laissant toujours les jambes en l’air et sa langue commence à me galocher le petit trou en essayant de l’ouvrir avec des petits coups régulièrement. Il réussit parfaitement son plan. Il réattaque à me sucer le clitoris comme il faut, j’ai à peine le temps de sentir son doigt sur ma petite pastille, que je l’ai dans le cul. C’est rentré sans peine. Je sens l’orgasme monter en moi, il accélère ses mouvements dans mon derrière. Je tilte enfin qu’il va m’enculer après et c’est que qu’il entendait par me faire baiser par un homme, un vrai. J’accélère les mouvements de mon bassin, je me frotte littéralement sur sa bouche, mon anus aspire son doigt en cadence. La boule d’énergie enfle dans mon bas-ventre. Aaaah oui, une putain d’explosion me foudroie. Je jouis comme une malade. Les spasmes secouent mon corps encore et encore. J’arrête pas de gémir de plaisir trop bruyamment dans la nuit calme. Je repousse la tête de Monsieur L. Mon clitoris est devenu trop sensible pour ses coups de langue. J’essaie de reprendre mon souffle. Il me soulève de la table et me retourne en planquant mon buste sur les coussins. Il appuie d’une main dans le creux de mes reins pour me cambrer plus. Je sens son gland contre mon petit trou, j’avais vu juste. Encore une fois, je joue le jeu.
- Non Monsieur L. Pas comme ça. Elle est trop grosse.
- T’es pas vierge du cul quand même?
- Vous serez que le deuxième Monsieur L. (Un gros mensonge mais il faut savoir faire plaisir parfois et ça mange pas de pain).
Son gland force, j’ouvre mon cul en poussant pour faciliter son passage. Sa bite s’enfonce facilement dans mon trou dilaté. Il s’arrête quelques secondes et semble presque déçu. Il m’attrape par la queue de cheval et il fait quelques vas-et-vient lents. Il tire plus fort sur mes cheveux m’obligeant à relever la tête et à me cambrer encore plus. Ses coups de reins se font plus vigoureux. Il s’en fout de mon âge, je devine qu’il va me défoncer le cul sans état d’âme. Copine de sa fille ou pas.
Il se lâche complètement maintenant, il me met des grands coups de bite de plus en plus vite. J’ai du mal à retenir mes cris.
C’est si bon de t’enculer. J’en reviens pas. Je sens que ça vient, je vais jouir dans ton petit cul Marina.
Il ralentit ses mouvements et je l’entends répéter mon prénom entrecoupé de Oh oui. Encore un peu et j’aurais pu jouir une deuxième fois tellement j’étais excitée de me faire prendre par derrière par le père de ma meilleure amie. Qu’est-ce qui tourne pas rond dans ta petite tête ma fille, c’est pas normal quand même? J’en ai honte.
Il se retire de mon cul. Je reste penchée en avant sur la table sans bouger. Je suis épuisée, satisfaite mais fautive. J’entends le bruit d’un briquet et qu’on tire une latte avant de l’expirer longuement.
- T’es magnifique dans cette position. Si j’avais 20 ans, je te baiserai jusqu’à ce que tu n’en puisses plus.
Je rougis sans qu’il le voit. Je me relève doucement et marche naturellement vers la piscine. Je vérifie qu’il ne me quitte pas une seconde des yeux. Je mets mes pieds au bord de la margelle et plonge enfin dans l’eau fraîche et apaisante.
On avait sorti le grand jeu pour notre première soirée en boîte de l’été. Je portais un gilet de costume avec juste un soutien-gorge en dessous, une mini jupe et des talons. Pas de chance, on est tombés que sur des beaufs sans intérêt. Julie s’est faite peloter par un renoi mais c’est pas allé plus loin. Elle attire souvent des métisses avec ses quelques kilos en trop, Elle a de bonnes fesses et une poitrine opulente pour ses 18 ans. Je fait maigrichonne à côté d’elle.
On rigole comme des folles en rentrant dans la maison. Julie me dit de faire moins de bruit pour ne pas réveiller son père. Mais elle manque de se casser la figure en passant dans le salon et j’éclate de rire.
Bon, je vais me coucher sinon demain je vais pas réussir à me lever avant midi. Tu fais quoi ? me demande-t-elle
Je vais fumer une dernière clope et piquer une tête dans la piscine. Ça va me rafraichir les idées puis dodo aussi.
J’allume les lumières de la piscine pour mieux me repérer et je file vers le bassin. La nuit est douce. Je m’assoie sur un transat et m’allume une cigarette. Je regarde les oliviers un peu plus loin qui se détachent sur le ciel étoilé. On sent que l’aurore ne va pas tarder à pointer le bout du nez. J’enlève mes escarpins, retire mon gilet et son soutif et me lève. Je déboutonne ma jupe et elle glisse à mes pieds. Je me retrouve juste en string. J’hésite à l’enlever pour plonger, je ne sais pas encore.
« Magnifique». Je sursaute et me retourne vers la direction d’où venait la voix en me cachant maladroitement les seins avec les mains. « Désolé, je ne voulais pas te faire peur. Je croyais que tu m’avais vu en arrivant. Je buvais un café tranquillement sous la terrasse italienne».
Il se rapproche et je distingue mieux son visage. C’est bien le père de Julie. Il m’avait semblé avoir reconnu la voix. Plus de doute maintenant.
- Où est ma fille ? Elle n’est pas avec toi ?
- Elle est allée se coucher
- Tu n’as pas sommeil toi ?
- Je voulais nager un peu avant
- Mince, j’ai interrompu ton bain de minuit. En tout cas, j’adore ton nouveau « maillot de bain », ça change de celui de cet après-midi. Celui-là ne cache pas grand chose. De loin j’ai même crû que tu étais entièrement nue de dos. Très discret ton string couleur chair. On dit bien comme ça, c’est ça ?
- Oui Monsieur L. On dit bien couleur chair.
- Tu es magnifique Marina. On doit te le dire souvent. Tu sais, tu n’es pas obligée de cacher ta poitrine, je l’ai vu tout à l’heure déjà. Tu ne veux plus nager ?
Ça s’embrouille dans ma tête. J’ai mille idées qui fusent à la seconde. Je comprends pas vraiment ce qu’il m’arrive. C’est troublant. À la fois je suis trop gênée d’être en string devant le père de ma copine et à la fois la situation m’excite. Trop bizarre. C’est vrai que j’aime les amants plus âgés que moi. Mais là, il doit être proche de la cinquantaine. Après, il est très bien conservé et beau, je dois bien l’admettre. Mais c’est le père de ma meilleure amie. Arrête ça tout de suite Marina, c’est n’importe quoi.
Je retire mes mains pour prendre un élastique que j’ai au poignet. Je tire mes cheveux en arrière et les attache pour me faire une queue de cheval.
- Oh oui. T’as des seins magnifiques. Ils sont parfaits, ni trop petits, ni trop gros. Tu as froid, non? Parce qu’ils pointent bien par contre.
Il s’est encore rapproché, maintenant je peux voir une bosse déformant son caleçon. Ça m’excite malgré moi. Il a l’air bien membré, Madame L. ne doit pas s’ennuyer. Ressaisis toi ma fille, c’est vraiment n’importe quoi. Tu vas pas fantasmer sur le père de ta copine quand même.
- Tu n’as pas envie d’enlever ton string pour nager ? C’est tellement plus agréable de nager nu. Je le fais souvent.
- Vous en avez déjà trop vu Monsieur L., c’est pas bien tout ça.
- Justement, au point où on en est. Pour la beauté du geste. Comme un modèle pour son peintre.
- C’est gênant Monsieur L.
- Désolé, je ne voulais pas te mettre mal à l’aise. Je voyais plus ça comme un petit plaisir que tu me ferais. Sans conséquence. Que je puisse t’admirer entièrement.
Je ne sais pas quoi faire, Je m’imagine le retirer devant lui et ça m’excite comme une folle mais je m’en voudrais trop par rapport à Julie. Je peux pas lui faire ça. Je serais la pire des copines. Même si elle ne l’apprend jamais, moi je saurais ce que j’ai fait. Difficile à assumer et vivre avec cette pensée…
- Oh putain!
Je reviens à la réalité. Mes pensées se sont évaporées d’un coup au son de sa voix. Je m’aperçois que j’ai ôté machinalement son string. Je suis à poil devant le père de ma copine. C’est la première fois que je l’entends dire un gros mot.
Trop bandant ce petit ticket de métro. Ma femme est toute poilue, j’en peux plus de tout ces poils. Je n’ai vu ce genre d’épilation que dans des films sur Canal.
Ses yeux brillent trop, il s’est encore rapproché et, sans que j’ai le temps de réagir, il a ses doigts sur ma vulve. Je tressaute.
- Oh oui, c’est tout doux. c’est tout lisse. J’adore. Tu m’excites trop Marina. Tu ne te rends pas compte à quel point. Je n’imaginais pas que tu t’épilais autant le sexe à ton âge. Pourtant je t’ai souvent visualisée toute nue mais jamais avec si peu de poils en bas.
Je suis troublée et j’en ai honte. Mais c’est canon de faire fantasmer le père d’une amie, je me sens irrésistible et une vraie femme.
- Ben dis donc. J’ai l’impression que je te plais bien, t’as la chatte toute trempée Marina.
Il a rentré un doigt dans ma fente.
- Non, faut pas faire ça Monsieur L. Ce n’est pas bien.
- Trop tard ma grande et je suis sûre que tu n’es plus vierge. Tu m’as pas l'air bien farouche.
Il a sorti sa bite de son caleçon et a pris ma main en faisant comprendre que je devais le branler. Je m’étais pas trompée, il a un sexe large et assez long. Il en a profité pour me mettre un deuxième doigt dans la chatte. De son autre main, il me titille les tétons. J’ai fermé les yeux pour mieux apprécié. Je sens son souffle au creux de mon oreille.
- Je vais te montrer ce que ça fait de se faire baiser par un homme, un vrai, pas comme les gamins de ton âge.
- Me faites pas mal Monsieur L.
Je reconnais que j’en rajoute un peu et joue la fille inexpérimentée pour lui faire plaisir. Par contre j’ai vraiment peur que Julie se réveille inopinément et nous surprenne.
- Et si votre fille descendait?
Il fait comme si il avait pas entendu et appuie sur mes épaules pour me mettre à genoux. Pas besoin d’être voyante pour deviner ce qu’il veut. Je le prends dans ma bouche directement et commence le sucer en m’appliquant. Il m’a attrapée par la queue de cheval à la racine et accompagne les mouvements de tête en tirant un peu sur mes cheveux.
- Je pensais pas que tu suçais aussi bien. Doucement sinon je vais venir dans ta bouche.
Effectivement j’ai un petit goût salé dans la bouche. Il se retire et m’explique que finalement on sera mieux finalement sous la terrasse italienne au cas où, par rapport à sa fille. Je ne suis pas naïve, 50 ans ou pas, quand une fille de 18 ans te suce, tu peux vite gicler, malgré toi. Ça n’aurait pas été la première fois que ça m’arrivait.
Il me soulève et me porte sous la terrasse italienne, à l’ombre de la nuit, loin de la lumière de la piscine. Il me repose le temps de prendre des coussins et de les étaler sur la table en teck. Il me hisse sur la table et m’allonge de tout mon long. Il me relève les jambes et les écarte bien à l’aide de ses mains. Je relève un peu la tête pour mieux l’observer. Il est en train de regarder ma chatte bien ouverte à cause de la position. Il profite de l’instant, de ma vulve toute lisse. Une première en vrai pour lui au bout du compte. C’est presque ironique. Le temps est suspendu quelques instants puis sa tête plonge entre mes jambes. Pas de doute, il sait ce qu’il fait. Ses doigts viennent en renfort de sa langue. J’ondule du bassin en gémissant pour lui faire comprendre que j’aime trop. Il retire ses doigts sans que je comprenne pourquoi, c’était très bien de qu’il faisait. Après quelques secondes, je comprends mieux. Son doigt commence à me masser l’anus timidement, je sens qu’il attend de voir ma réaction pour aller plus loin ou pas. Comme je réagis en lâchant un petit Hmmmm, il plaque ses mains sur mes fesses pour les écarter un peu plus, me laissant toujours les jambes en l’air et sa langue commence à me galocher le petit trou en essayant de l’ouvrir avec des petits coups régulièrement. Il réussit parfaitement son plan. Il réattaque à me sucer le clitoris comme il faut, j’ai à peine le temps de sentir son doigt sur ma petite pastille, que je l’ai dans le cul. C’est rentré sans peine. Je sens l’orgasme monter en moi, il accélère ses mouvements dans mon derrière. Je tilte enfin qu’il va m’enculer après et c’est que qu’il entendait par me faire baiser par un homme, un vrai. J’accélère les mouvements de mon bassin, je me frotte littéralement sur sa bouche, mon anus aspire son doigt en cadence. La boule d’énergie enfle dans mon bas-ventre. Aaaah oui, une putain d’explosion me foudroie. Je jouis comme une malade. Les spasmes secouent mon corps encore et encore. J’arrête pas de gémir de plaisir trop bruyamment dans la nuit calme. Je repousse la tête de Monsieur L. Mon clitoris est devenu trop sensible pour ses coups de langue. J’essaie de reprendre mon souffle. Il me soulève de la table et me retourne en planquant mon buste sur les coussins. Il appuie d’une main dans le creux de mes reins pour me cambrer plus. Je sens son gland contre mon petit trou, j’avais vu juste. Encore une fois, je joue le jeu.
- Non Monsieur L. Pas comme ça. Elle est trop grosse.
- T’es pas vierge du cul quand même?
- Vous serez que le deuxième Monsieur L. (Un gros mensonge mais il faut savoir faire plaisir parfois et ça mange pas de pain).
Son gland force, j’ouvre mon cul en poussant pour faciliter son passage. Sa bite s’enfonce facilement dans mon trou dilaté. Il s’arrête quelques secondes et semble presque déçu. Il m’attrape par la queue de cheval et il fait quelques vas-et-vient lents. Il tire plus fort sur mes cheveux m’obligeant à relever la tête et à me cambrer encore plus. Ses coups de reins se font plus vigoureux. Il s’en fout de mon âge, je devine qu’il va me défoncer le cul sans état d’âme. Copine de sa fille ou pas.
Il se lâche complètement maintenant, il me met des grands coups de bite de plus en plus vite. J’ai du mal à retenir mes cris.
C’est si bon de t’enculer. J’en reviens pas. Je sens que ça vient, je vais jouir dans ton petit cul Marina.
Il ralentit ses mouvements et je l’entends répéter mon prénom entrecoupé de Oh oui. Encore un peu et j’aurais pu jouir une deuxième fois tellement j’étais excitée de me faire prendre par derrière par le père de ma meilleure amie. Qu’est-ce qui tourne pas rond dans ta petite tête ma fille, c’est pas normal quand même? J’en ai honte.
Il se retire de mon cul. Je reste penchée en avant sur la table sans bouger. Je suis épuisée, satisfaite mais fautive. J’entends le bruit d’un briquet et qu’on tire une latte avant de l’expirer longuement.
- T’es magnifique dans cette position. Si j’avais 20 ans, je te baiserai jusqu’à ce que tu n’en puisses plus.
Je rougis sans qu’il le voit. Je me relève doucement et marche naturellement vers la piscine. Je vérifie qu’il ne me quitte pas une seconde des yeux. Je mets mes pieds au bord de la margelle et plonge enfin dans l’eau fraîche et apaisante.
6 months ago