PLAGE.
Vide couilles à la plage.
Il faisait chaud sur cette plage naturiste dans le Var.
Cette année-là, le soleil et la chaleur étaient au rendez-vous.
La plage bondée était surtout connue pour être fréquentée par des gays.
Après m'être baigné dans cette eau turquoise dans le plus simple appareil, je me suis étalé sur ma serviette à plat ventre pour faire une sieste.
Lorsque je me réveillais sous une chaleur torride, je sentis « honteusement » que mon sexe était en érection…
J’écartais un peu les jambes pour laisser de la place à ma queue gonflée que personne ne pouvait voir ainsi.
Je n'avais pas aperçu que derrière moi, un homme s'était installé pendant que je dormais, et qu'il avait une vue parfaite sur ma raie des fesses écartée et mes couilles pendantes et ramollies, étalées en dessous.
À un moment, j'entendis le clic caractéristique d'une prise de photo et retournant la tête, je vis ce voisin avec son portable en train de prendre mon cul en photo.
Me voyant et sans aucune gêne, il me dit :
- « Tu as un joli petit cul et de là où je suis, je vois que tu es bien épilé y compris autour de ton anus qui a l'air bien mignon et accueillant. Ça te dirait qu'on aille un peu dans le bois derrière tous les deux ? »
Il était sur le côté et je voyais sa bite énorme et circoncise, gonflée d’excitation reposant sur sa serviette.
J'étais très gêné par la situation, même si j'étais venu sur cette plage en la sachant fréquentée par le milieu gay…
Cette invitation directe m'excitait et m'effrayait en même temps.
L'homme, beaucoup plus âgé que moi, j’avais une bonne vingtaine d’années à l'époque et lui au moins 55…
Il était poilu, bedonnant et pas particulièrement beau mais sa bite longue et surtout épaisse m’impressionnait par sa taille.
Il vit mon regard sur son engin et me dit :
- « Elle te plait on dirait, allez viens avec moi, je vais te la faire gouter et après si tu veux je baiserais ton beau petit cul ! »
Je me relevais alors sans un mot et mis ma serviette autour de ma taille pour cacher au mieux mon excitation.
Je me dirigeais vers le bois en arrière de la plage, immédiatement suivi par mon dragueur.
Une fois dans les bosquets, il me rattrapa…
Me palpa les fesses.
Nous continuâmes de marcher pendant quelques minutes…
On croisait des hommes nus ou juste avec une serviette.
À un endroit, un homme à genou en suçait un autre…
Un peu plus loin, un homme était à quatre pattes sur sa serviette et se faisait prendre en levrette pendant que d'autres se branlaient en observant la scène.
Ayant trouvé un endroit un peu plus isolé, l'homme me prit la tête dans les mains et me dit :
- « Papa vas te baiser maintenant ! »
Puis il m'embrassa, introduisant de force sa langue dans ma bouche.
Nos serviettes tombèrent toutes seules.
Ma petite bite dressée touchait son pieu énorme.
Je me mis moi-même à explorer avidement sa bouche avec ma langue.
Alors, il se mit à genou et commença à me sucer en me tenant les fesses.
- « Tu as une jolie petite bite et elle est bien épilée. »
Me dit-il.
J'avais pris l'habitude de m’épiler entièrement le sexe et le cul.
Il me fit retourner et pencher en avant tout en écartant mes jambes.
Alors je sentis sa langue monter et descendre dans ma raie des fesses.
Les poils de sa barbe de trois jours me picotaient de chaque côté et tout en gémissant j'écartais un peu plus les jambes pour qu'il atteigne mon anus.
- « Humm, tu as l'air d'aimer ça ma petite salope. »
Alors, en se relevant, il me dit :
- « À toi, met toi à genou et suce Papa ! »
Sans hésiter, malgré mon inexpérience, mais trop excité, je posais ma serviette au sol et me mis à genou.
Je pris son sexe en main.
Je n'arrivais pas à en faire le tour, tant il était gros.
Alors j'ouvris grand la bouche pour avaler son magnifique gland…
Je m'appliquais du mieux possible pour sucer son pieu tout en caressant ses couilles velues.
Je n'arrivais cependant pas à le prendre tout en bouche et il me prit alors de chaque côté de la tête et imprima lui-même la cadence de son sexe dans ma bouche…
Allant de plus en plus loin et de plus en plus vite.
Je me mis à étouffer, tousser et baver.
Il me laissa m’en remettre quelques minutes avant de me dire :
- « Vas-y ouvre grand ta bouche mon garçon, on y retourne ! Suce Papa ! »
Alors, il recommença à me limer la bouche sans ménagement.
Je bandais comme un fou devant cette situation où je n'étais plus que sa chose soumise.
Mon érection se renforça encore plus quand je vis l'attroupement qui s'était fait autour de nous.
Tous ces hommes, bites en main qui se branlaient en me regardant me faire défoncer la bouche par un homme qui aurait pu être mon père.
Ressortant de ma bouche, il me fit mettre à quatre pattes.
L'attroupement autour de nous était de plus en plus important et mon érection ne faiblissait pas.
J’essayais de me branler mais il s’en aperçut :
- « Avec ta petite bite, tu dois être un éjaculateur précoce ! Ne te touche pas sinon tu vas jouir trop vite ! »
Il s'installa alors derrière moi…
Me fit écarter les cuisses et je sentis son énorme gland contre mon anus encore fermé.
Il mit alors de la salive autour de son pieu et de mon trou…
Il poussa lentement son engin en moi.
Mais aussi doux fut’ il, la douleur fut grande et me fit pousser un cri de douleur…
J’essayais d'avancer un peu pour limiter son introduction, mais il me retint par les hanches et alla plus profond en moi.
La moitié de son énorme queue avait franchi l’entrée de mon anus…
Il remit de la salive sur le reste de son pieu avant de finir son introduction douloureuse dans mon petit cul.
Un véritable « viol » consenti !
Je poussais de nouveau un cri, mais il me dit :
- « Sois sage ! Laisse-toi faire et tu vas voir que tu vas aimer la bite de Papa ! »
Il s’immobilisa.
Je sentais son ventre proéminent s'étaler sur mes fesses et le bas de mon dos.
Il fit un geste de la tête à un homme qui se branlait à côté de nous.
Celui-ci se mit à genou devant moi et présenta sa bite.
Je me mis à le sucer lentement pendant que derrière moi, mon amant recommençait à me défoncer le cul.
Je me détendais et la douleur commençait à s’estomper.
Sa grosse queue allait à une cadence de plus en plus rapide.
Par moment, il sortait complètement de mon cul pour offrir aux voyeurs la vision de mon anus complètement béant.
Devant moi, l'homme qui était dans ma bouche ne mit pas longtemps à jouir…
Me remplissant de son sperme chaud.
Il était à peine sorti qu'il fut remplacé par un autre qui me lima la bouche à son tour…
Ma bouche lubrifiée par le sperme du précédent se laissait défoncer sans ménagement…
Il jouit à son tour son sperme se mélangeant à celui du précédent que je n’avais pas fini d’avaler.
Tout en me faisant toujours défoncer, je pris le temps d’avaler toute cette semence avec délectation.
Lorsqu'il s'éloigna en remettant son maillot de bain, un troisième prit sa place…
C’était un homme circoncis d'origine maghrébine.
Sa queue était splendide et sans ménagement il me baisa la bouche à son tour.
Je voyais quand sa queue ressortait de ma bouche, son sexe entouré de bave et de quelques restes de sperme des précédents.
Derrière moi, mon 1er amant continuait à me défoncer le cul en me traitant de salope, de lopette, de vide couilles, de chienne…
Tant de mots orduriers qui me plaisent.
J’y prenais énormément de plaisir et il me manquait presque les « petites douleurs » du début tellement j’étais dilaté.
Je l’entendis pousser un grognement tout en éjaculant en moi une bonne dose de sperme dans ma chatte anale.
À peine sortit, il fut remplacé par un autre homme.
Son sexe devait être beaucoup moins gros…
Je ne le sentais pratiquement pas aller et venir en moi, tellement mon petit anus avait été dilaté et lubrifié juste avant.
L'homme maghrébin joui à son tour dans ma bouche et m'obligea à lui montrer que j'avalais tout son jus que j'avais en bouche.
Derrière, j'entendis celui qui me baisait, grogner et se vider à son tour les couilles dans mon cul offert.
Alors, n’en pouvant plus, je me relevais, et commençais à me branler devant le reste de l'attroupement.
Deux hommes, bite en main, en train de s'astiquer, s’approchèrent de moi…
Le premier me fit baisser la tête et éjacula sur ma figure et dans mes cheveux qui dégoulinèrent de son sperme…
Le deuxième se vida sur mon ventre.
C'était trop pour moi et je joui à mon tour par saccades…
Heureux, pour cette toute première fois, d'avoir servi de vide couilles à tous ces hommes…
Il faisait chaud sur cette plage naturiste dans le Var.
Cette année-là, le soleil et la chaleur étaient au rendez-vous.
La plage bondée était surtout connue pour être fréquentée par des gays.
Après m'être baigné dans cette eau turquoise dans le plus simple appareil, je me suis étalé sur ma serviette à plat ventre pour faire une sieste.
Lorsque je me réveillais sous une chaleur torride, je sentis « honteusement » que mon sexe était en érection…
J’écartais un peu les jambes pour laisser de la place à ma queue gonflée que personne ne pouvait voir ainsi.
Je n'avais pas aperçu que derrière moi, un homme s'était installé pendant que je dormais, et qu'il avait une vue parfaite sur ma raie des fesses écartée et mes couilles pendantes et ramollies, étalées en dessous.
À un moment, j'entendis le clic caractéristique d'une prise de photo et retournant la tête, je vis ce voisin avec son portable en train de prendre mon cul en photo.
Me voyant et sans aucune gêne, il me dit :
- « Tu as un joli petit cul et de là où je suis, je vois que tu es bien épilé y compris autour de ton anus qui a l'air bien mignon et accueillant. Ça te dirait qu'on aille un peu dans le bois derrière tous les deux ? »
Il était sur le côté et je voyais sa bite énorme et circoncise, gonflée d’excitation reposant sur sa serviette.
J'étais très gêné par la situation, même si j'étais venu sur cette plage en la sachant fréquentée par le milieu gay…
Cette invitation directe m'excitait et m'effrayait en même temps.
L'homme, beaucoup plus âgé que moi, j’avais une bonne vingtaine d’années à l'époque et lui au moins 55…
Il était poilu, bedonnant et pas particulièrement beau mais sa bite longue et surtout épaisse m’impressionnait par sa taille.
Il vit mon regard sur son engin et me dit :
- « Elle te plait on dirait, allez viens avec moi, je vais te la faire gouter et après si tu veux je baiserais ton beau petit cul ! »
Je me relevais alors sans un mot et mis ma serviette autour de ma taille pour cacher au mieux mon excitation.
Je me dirigeais vers le bois en arrière de la plage, immédiatement suivi par mon dragueur.
Une fois dans les bosquets, il me rattrapa…
Me palpa les fesses.
Nous continuâmes de marcher pendant quelques minutes…
On croisait des hommes nus ou juste avec une serviette.
À un endroit, un homme à genou en suçait un autre…
Un peu plus loin, un homme était à quatre pattes sur sa serviette et se faisait prendre en levrette pendant que d'autres se branlaient en observant la scène.
Ayant trouvé un endroit un peu plus isolé, l'homme me prit la tête dans les mains et me dit :
- « Papa vas te baiser maintenant ! »
Puis il m'embrassa, introduisant de force sa langue dans ma bouche.
Nos serviettes tombèrent toutes seules.
Ma petite bite dressée touchait son pieu énorme.
Je me mis moi-même à explorer avidement sa bouche avec ma langue.
Alors, il se mit à genou et commença à me sucer en me tenant les fesses.
- « Tu as une jolie petite bite et elle est bien épilée. »
Me dit-il.
J'avais pris l'habitude de m’épiler entièrement le sexe et le cul.
Il me fit retourner et pencher en avant tout en écartant mes jambes.
Alors je sentis sa langue monter et descendre dans ma raie des fesses.
Les poils de sa barbe de trois jours me picotaient de chaque côté et tout en gémissant j'écartais un peu plus les jambes pour qu'il atteigne mon anus.
- « Humm, tu as l'air d'aimer ça ma petite salope. »
Alors, en se relevant, il me dit :
- « À toi, met toi à genou et suce Papa ! »
Sans hésiter, malgré mon inexpérience, mais trop excité, je posais ma serviette au sol et me mis à genou.
Je pris son sexe en main.
Je n'arrivais pas à en faire le tour, tant il était gros.
Alors j'ouvris grand la bouche pour avaler son magnifique gland…
Je m'appliquais du mieux possible pour sucer son pieu tout en caressant ses couilles velues.
Je n'arrivais cependant pas à le prendre tout en bouche et il me prit alors de chaque côté de la tête et imprima lui-même la cadence de son sexe dans ma bouche…
Allant de plus en plus loin et de plus en plus vite.
Je me mis à étouffer, tousser et baver.
Il me laissa m’en remettre quelques minutes avant de me dire :
- « Vas-y ouvre grand ta bouche mon garçon, on y retourne ! Suce Papa ! »
Alors, il recommença à me limer la bouche sans ménagement.
Je bandais comme un fou devant cette situation où je n'étais plus que sa chose soumise.
Mon érection se renforça encore plus quand je vis l'attroupement qui s'était fait autour de nous.
Tous ces hommes, bites en main qui se branlaient en me regardant me faire défoncer la bouche par un homme qui aurait pu être mon père.
Ressortant de ma bouche, il me fit mettre à quatre pattes.
L'attroupement autour de nous était de plus en plus important et mon érection ne faiblissait pas.
J’essayais de me branler mais il s’en aperçut :
- « Avec ta petite bite, tu dois être un éjaculateur précoce ! Ne te touche pas sinon tu vas jouir trop vite ! »
Il s'installa alors derrière moi…
Me fit écarter les cuisses et je sentis son énorme gland contre mon anus encore fermé.
Il mit alors de la salive autour de son pieu et de mon trou…
Il poussa lentement son engin en moi.
Mais aussi doux fut’ il, la douleur fut grande et me fit pousser un cri de douleur…
J’essayais d'avancer un peu pour limiter son introduction, mais il me retint par les hanches et alla plus profond en moi.
La moitié de son énorme queue avait franchi l’entrée de mon anus…
Il remit de la salive sur le reste de son pieu avant de finir son introduction douloureuse dans mon petit cul.
Un véritable « viol » consenti !
Je poussais de nouveau un cri, mais il me dit :
- « Sois sage ! Laisse-toi faire et tu vas voir que tu vas aimer la bite de Papa ! »
Il s’immobilisa.
Je sentais son ventre proéminent s'étaler sur mes fesses et le bas de mon dos.
Il fit un geste de la tête à un homme qui se branlait à côté de nous.
Celui-ci se mit à genou devant moi et présenta sa bite.
Je me mis à le sucer lentement pendant que derrière moi, mon amant recommençait à me défoncer le cul.
Je me détendais et la douleur commençait à s’estomper.
Sa grosse queue allait à une cadence de plus en plus rapide.
Par moment, il sortait complètement de mon cul pour offrir aux voyeurs la vision de mon anus complètement béant.
Devant moi, l'homme qui était dans ma bouche ne mit pas longtemps à jouir…
Me remplissant de son sperme chaud.
Il était à peine sorti qu'il fut remplacé par un autre qui me lima la bouche à son tour…
Ma bouche lubrifiée par le sperme du précédent se laissait défoncer sans ménagement…
Il jouit à son tour son sperme se mélangeant à celui du précédent que je n’avais pas fini d’avaler.
Tout en me faisant toujours défoncer, je pris le temps d’avaler toute cette semence avec délectation.
Lorsqu'il s'éloigna en remettant son maillot de bain, un troisième prit sa place…
C’était un homme circoncis d'origine maghrébine.
Sa queue était splendide et sans ménagement il me baisa la bouche à son tour.
Je voyais quand sa queue ressortait de ma bouche, son sexe entouré de bave et de quelques restes de sperme des précédents.
Derrière moi, mon 1er amant continuait à me défoncer le cul en me traitant de salope, de lopette, de vide couilles, de chienne…
Tant de mots orduriers qui me plaisent.
J’y prenais énormément de plaisir et il me manquait presque les « petites douleurs » du début tellement j’étais dilaté.
Je l’entendis pousser un grognement tout en éjaculant en moi une bonne dose de sperme dans ma chatte anale.
À peine sortit, il fut remplacé par un autre homme.
Son sexe devait être beaucoup moins gros…
Je ne le sentais pratiquement pas aller et venir en moi, tellement mon petit anus avait été dilaté et lubrifié juste avant.
L'homme maghrébin joui à son tour dans ma bouche et m'obligea à lui montrer que j'avalais tout son jus que j'avais en bouche.
Derrière, j'entendis celui qui me baisait, grogner et se vider à son tour les couilles dans mon cul offert.
Alors, n’en pouvant plus, je me relevais, et commençais à me branler devant le reste de l'attroupement.
Deux hommes, bite en main, en train de s'astiquer, s’approchèrent de moi…
Le premier me fit baisser la tête et éjacula sur ma figure et dans mes cheveux qui dégoulinèrent de son sperme…
Le deuxième se vida sur mon ventre.
C'était trop pour moi et je joui à mon tour par saccades…
Heureux, pour cette toute première fois, d'avoir servi de vide couilles à tous ces hommes…
7 months ago