2023 - Recueil de souvenirs : Mariza
Elle travaillait avec moiâŠ
Mariza, 40 ans, en couple, 1 enfant de 14 ans, blonde comme un Ă©pi de blĂ©, des yeux bleu dĂ©lavĂ©, un pur portrait russe, avec souvent des habits bariolĂ©sâŠ
Robe brodĂ©e, ou avec des dentelles, ou corsage Ă frous-frous, et jupe en tartansâŠ
Elle attirait les regards des hommes, elle en jouait innocemment, Ă tous les Ă©tages du siĂšge social.
Elle Ă©tait comptable, et malgrĂ© quâelle vive en couple, elle nâĂ©tait pas avare de ses charmes, quâelle laissait parfois entrevoir, ce qui mettait ces messieurs en Ă©moiâŠ
Bref, cela faisait partie dâun jeu entre nous, on aimait notre travail, parfois trĂšs prenant, et on se permettait des plaisanteries ou des attitudes provocantes, bien innocentes en piquant nos collĂšgues dans leur dĂ©sirs machistesâŠ
On se rĂ©galait, et on en rĂ©cupĂ©rait les effets, quand ils nous coinçaient dans un local, ou nous prenaient virtuellement en otageâŠ
Tout cela nâĂ©tait que jeu, respect et camaraderieâŠ
Ils nous relĂąchaient, aprĂšs une traque dans les couloirs des archives pendant la pause dĂ©jeuner, ou dans les rĂ©serves, le plaisir de nous serrer dans leurs bras en riant aux Ă©clats de ce cache-cache dĂ©stressantâŠ
Parfois, un baiser Ă©tait volĂ©, un attouchement plus osĂ©, un sein effleurĂ©, caressĂ©, câest difficile de dire par qui, dans la pĂ©nombre des salles du dernier Ă©tageâŠ
Jamais nous nâeĂ»mes Ă nous plaindre de nos collĂšgues en plus de 10 ansâŠ
Mariza Ă©tait mon soleil, elle Ă©clairait mes matins chagrins, mes journĂ©es pluvieuses et mes coups de cafardâŠ
Elle devint petit Ă petit mon amie, au point que Paul, que je frĂ©quentais depuis peu, en Ă©tait jalouxâŠ
Mais quand il fit sa connaissance, un soir de fĂȘte au bureau, il changea dâavisâŠ
Elle Ă©tait ravissante, et ils fusionnĂšrent dĂšs les premiĂšres secondesâŠ
Elle aimait son regard acĂ©rĂ©, son physique, je la voyais, mutine, coquine, parler Ă mon amant, avec sa façon dâonduler, de croiser ses doigts et de se pencher vers lui, corsage bĂ©antâŠ
Paul lui plaisaitâŠ
Je la fis avouer dĂšs quâon sâisola dans les toilettes, pour une beautĂ©âŠ
- Oui, ton ami est trĂšs sexy, je perçois sa sensualitĂ©, et ses yeux font naĂźtre des papillons dans mon ventreâŠ
- Tu as envie de lui ?
- Je ne dirais pas nonâŠ
- Mais câest mon ami, tu me trahirais ?
- Non ! Je ne veux pas te le voler ! Juste sentir sa queue pĂ©nĂ©trer mon vagin et libĂ©rer mes papillons, puis mâenvoler quelques minutes⊠Tu serais jalouse ?
- Je nâavais pas envisagĂ© de le partager⊠Mais avant de me marier, pourquoi ne pas le testerâŠ
- Tu penses Ă quoi ?
- Je vais vous inviter, toi et ton mec, on va faire connaissance vraiment, ma chĂ©rieâŠ
- Un quadrille ? Echanger nos amants ?
- Oui, et plus encore, nous dévorer toutes les deux devant eux, les pousser à bout, comme au bureau, mais sans filet cette fois, pour récolter leurs jus, nous faire ensemencer par tous les deux, les goûter, les sucer, avaler leur sperme en récompense !
- GĂ©nial, oui ma belle ! Jâai jamais Ă©tĂ© aussi loin avec 2 hommes⊠Me laisser caresser par les deux, oui ; en branler un en suçant lâautre, oui ; me planter sur la bite du premier, et masturber lâautre, oui, et le pied, les faire gicler ensembleâŠ
- Et oui, ma chĂ©rie, un cran au-dessus maintenant, Paul est bien montĂ©âŠ
- Le mien nâest pas mal non plus⊠Je jouis Ă chaque fois⊠Et aprĂšs, il aime savourer ma chatte, sucer mon clitoris Ă mâen faire perdre la tĂȘte !
- Et la sodo ?
- Oui⊠Je ne me suis donnĂ©e quâĂ lui⊠Mais pas chaque foisâŠ
- Paul aime me prendre en macho, glisser sa queue dans mon derche et savourer mes cris de hyĂšne⊠Je nâai jamais eu mal avec lui⊠Il est doux et puissant, je le sens jusque dans mes entrailles, et comme une salope, je jouis en me masturbant la nĂ©nette !
- Tu es gĂ©niale, tout ce que je nâai pas osĂ© ! Atavisme ancien, coutumes ancestrales, Ă©ducation religieuseâŠ
- Fais-le avec Paul, laisse-toi prendre en levrette, et offre lui ton derriĂšre, tu mâen diras des nouvellesâŠ
- Toi aussi, alors⊠Profite du mien, suce-le Ă fond, offre-lui ta chatte, laisse-toi sucer, en 69, il adore, puis laisse-le te prendre, il va exploser ta vulve, et jouir en toi⊠Il ne peut pas se retenir quand il jouit⊠Je ne lâai jamais partagé⊠Je tâaime comme une amie⊠Jâaimerais ĂȘtre là ⊠Te voir jouir de lui, tâentendreâŠ
- Pas de soucis, ma douce⊠On le fait souvent Paul et moi, en vacances, en camping-car, on Ă©change avec des couples de rencontre⊠Ou Ă la maison, avec nos amis, barbecue, soirĂ©e raclette, ou piscine partieâŠ
- Dans le mĂȘme espace ? Je veux dire ensemble, face Ă face ?
- Oui, ce sont des moments intimes que lâon partage avec nos amis les plus chers, les plus tendres, ceux quâon connait depuis longtemps⊠Je me sens libre et cela dĂ©cuple mes sensations, quand la femme jouit sous Paul, ou que jâorgasme sous son mari⊠AprĂšs on se rejoint toutes les deux, et on se laisse aller⊠On leur offre un spectacleâŠ
Cela distrait nos mecs, et nous on jouit comme jamais avec une femmeâŠ
Parfois, on le fait en pleine nuit, dans le silence de notre couche, et tout y passeâŠ
Deux lesbiennes, bien dans nos corps de femmes libertines !
Quelquefois cela les rĂ©veille et les stimulent, et on passe un sale quart dâheure, ils nous prennent ensemble, une rĂ©compense, du plaisir haut de gamme !
- Ensemble ? Un par devant et un par derriĂšre ? Jâai jamais fait non plus⊠Une fois câĂ©tait pas loin, mais jâai refusĂ© que le second me sodomise, je lui ai offert mes seins, il sâest branlĂ© dedans, tandis que lâautre se vidait dans ma culotte, trop pressĂ© le bougre !âŠ
- Tu es impayable, Mariza ! Tu étais mariée ?
- Non, câĂ©tait lors dâun rĂ©veillon Ă lâhĂŽtel, on y Ă©tait allĂ© en bande⊠Jâavais larguĂ© Jim dĂ©jĂ et jâavais besoin de sexe⊠Cette nuit-lĂ , jâai eu 5 rapports ! Avec 5 hommes⊠Les deux premiers dans les toilettes, juste une mise en bouche et crac-crac, puis les deux autres dans ma chambre vers 5 heures du mat, ils mâavaient raccompagnĂ©e, je les ai remerciĂ© sur mon canapé⊠Ah, jâoubliais un 5Ăšme, avant de monter, il mâa labourĂ©e debout, dans les cuisines, dĂ©poitraillĂ©e, et arcboutĂ©e sur un plan de travail⊠Jâai joui comme une salope, en orgasmant de tout mon *****, la croupe Ă lâair !
- Bon, on le fait quand ce quadrille ?
On nâavait pas encore la villa, mais Paul avait un ami Belge, parti aux Antilles pour 1 anâŠ
Maison fabuleuse, calme, piscine, grandes piĂšces, cheminĂ©e, grand salon aux canapĂ©s immenses, tout le confort et une chambre Ă ****** de jalousie, lit 2m x 2m, SPA attenant, parfait pour notre but ultimeâŠ
On les met Ă lâaise, on fait connaissance de son ami, Stef, pas mal, trĂšs jovial, et le courant passe entre nous 4âŠ
Je nâai rien dit Ă Paul sur nos conversations, ni sur nos butsâŠ
Elle a fait pareil, juste dit quâon se marrait bien au bureau et quâen dehors, on riait beaucoup, et que lâon sâĂ©tait rapprochĂ©es depuis quelques temps, on se confiait nos fantasmesâŠ
AprĂšs deux apĂ©ros, on Ă©tait en septembre, le temps Ă©tait encore propice Ă une baignadeâŠ
Paul, mis lâĂ©clairage juste dans lâeau, on passa des maillots⊠Je restais seins nusâŠ
- Ce nâest pas obligĂ©, mais nous, câest Ă poil quâon se baigne !
Et jâenlevais le basâŠ
- Alors nous aussi ! La nature, on connait, hein chĂ©ri ? Quand tu mâemmenais Ă Agde dans les dunesâŠ
- Oui, mais lĂ , on nâest pas seuls !
- Mais si, vous ĂȘtes seuls, dans lâeau câest pareilâŠ
- Oh, que câest bon !
- Oui, allez, courrez⊠Sautez, attrapez-nous !
Le vin et nous, plus la nouveautĂ©, plus la libertĂ©, plus des images qui viennent se greffer, souvenirs ou fantasmes, et la soirĂ©e prend un grand virageâŠ
Stef est venu vers moi directement, en fendant les eaux transparentes, il mâa serrĂ©e contre lui puis ses mains se sont permises des caresses hardies, puis intimesâŠ
Jâai senti son membre sâenflammer, je nâavais plus de doutes sur la suiteâŠ
Je me suis laissĂ©e caresser, embrasser, Mariza profitait dĂ©jĂ de PaulâŠ
Mes doigts ont touchĂ© sa bite, je mâen suis saisie quand il a empaumĂ© mes deux seinsâŠ
Dure, intense, vivante et vibrante, elle a dĂ©clenchĂ© mes humeurs de femme, tandis que ses lĂšvres pinçaient mes tĂ©tons, et ses doigts parcouraient mon sillon et dĂ©busquaient mes trĂ©sors cachĂ©sâŠ
Je crevais de dĂ©sir au bout dâun moment, jâavais la chatte en folie, jâimaginais son dard Ă©carteler doucement mon puis dâamour, le pĂ©nĂ©trer, offerte, dĂ©trempĂ©e⊠Jâai craquĂ© !
Je me suis accrochĂ©e Ă son cou, cuisses autour de ses hanches, il a compris, mâa soutenue par les fesses, et je me suis pĂ©nĂ©trĂ©e avec son attribut, quâelle mâavait vantĂ©âŠ
Le plaisir de le sentir ouvrir mon antre, glisser dans mon vagin, distendre mes chairs, mes tissus, avec ses vas-et-viens lancinants, les papillons libĂ©rĂ©s, la chaleur dans mon ventre, ses lĂšvres sur les miennes, un doigt sur mon anus, jâai explosĂ© un orgasme puissant, mes yeux dans les siens, il mâa calĂ©e contre le mur, et mâa tringlĂ©e avec frĂ©nĂ©sie, je me tenais Ă la margelle, et dĂ©faillais de plaisir, en Ă©cartant mes cuisses, me donnant Ă luiâŠ
Fusionnel ! Ce premier contact avec StefâŠ
De leur cĂŽtĂ©, Mariza embrochĂ©e, arcboutĂ©e sur les escaliers, ondulait de la croupe, Ă moitiĂ© hors de lâeau, Paul, debout la possĂ©dait avec passion, la portant au nirvana, chose quâil me faisait trĂšs souventâŠ
Je me mis Ă la place de ma nouvelle amie et dĂ©cuplais mon plaisir en le serrant dans mon ventre, pour le prĂ©parer Ă la jouissance suprĂȘme !
Nos mains se sont jointes, nos doigts se sont croisĂ©s, je me suis donnĂ©e Ă lui, jubilant de plaisirâŠ
Il a joui en moi, jâai joui de lui, de le sentir exploser dans mon ventre, en ahanant de grands coups de reinsâŠ
JâĂ©tais dans un Ă©tat second, Ă©puisĂ©e nerveusement, venant de jouir intensĂ©ment de ce sexe quâil maintenait en moiâŠ
Jâen jouissais, dĂ©licieusement⊠Comme un jouet interdit, je fermais les yeux, il coulissait lentement, encore fermeâŠ
Je le savourais en Ă©goĂŻste, libĂ©rant mes derniĂšres humeurs de femme, lui faisant un Ă©tui de soieâŠ
Un moment de bien-ĂȘtre, de sexe entre adultes, un pur plaisir⊠Un orgasme particulier, intense et intimeâŠ
En le faisant glisser dans mon vagin, jâavais envie de me sodomiser avecâŠ
Mariza avait eu un orgasme, elle avait poussĂ© des gĂ©missements de femme, des rĂąles de plaisir, et embrassait mon Paul en frottant ses seins contre son torseâŠ
On se regarda enfin, toutes les deux rassasiĂ©es pour un temps, heureuses de cette rencontreâŠ
On sortit de lâeau les premiĂšres, nues et encore sous le joug de nos amantsâŠ
Je me drapais dans un peignoir, puis je servis du champagne, et on passa au plat de rĂ©sistance, un rĂŽti Ă ma façon, en habit de fĂȘteâŠ
Ils se rĂ©galaient, je sentis la main de Mariza sur ma cuisseâŠ
Je les Ă©cartais⊠Elle se plaqua sur ma vulveâŠ
Ils plaisantaient, faisaient connaissance, nous titillaient, nous promettant des heures douces⊠Un dessert des plus tendresâŠ
Un doigt glissa dans ma vulve et caressa mon clitorisâŠ
Je fis glisser ma culotte en entrant dans la cuisineâŠ
JâĂ©tais excitĂ©e⊠Mes tĂ©tons pointaient ardemment ma robe dâintĂ©rieurâŠ
- On va se refaire une beautĂ© quelques minutes⊠Prenez le temps, Paul, sers notre amiâŠ
On sâĂ©chappa jusque dans la chambre, nos vĂȘtements sâenvolĂšrent, on se mit en 69, je goutais Ă son jus de femme, elle me faisait jouir, continuant Ă tourner mon clitoris entre ses doigts⊠Je feulais, me donnais, la caressais, elle sentait Paul, je me gorgeais de ce jus qui sourdait de son vaginâŠ
On fit lâamour, le tendre, le lesbien, nous frottant avec tendresse, excitant, titillant, puis en ciseau, vulves encastrĂ©es, on escaladait les marches du plaisir ensembleâŠ
Sa langue me donna le tournis, je jouissais sans mâarrĂȘterâŠ
Elle sâĂ©cartelait sous la mienne, se tordait, je la masturbais avec passion, allant jusquâĂ pĂ©nĂ©trer son anus, pour la faire jouirâŠ
Elle me rendit ma caresse, fesses Ă©cartĂ©es, un doigt dans mes entrailles et les autres dans mon vagin, une double pĂ©nĂ©tration manuelle, irrĂ©elleâŠ
Elle savoura Ă son tour, Ă©cartelĂ©e, puis en levrette, offerte, savourant mes doigts de fĂ©e, qui la portĂšrent au suppliceâŠ
Que de sexe ! Que de passion, de dĂ©sirs enfouis, lĂąchĂ©s dans cet Ă©lan de partageâŠ
On sâembrassait, on se massait, on se lĂ©chaitâŠ
Je dĂ©couvris la vraie Mariza, femme, sensible, gĂ©nĂ©reuse, aimante, amante, complice, et on fondit quand ils vinrent nous rejoindreâŠ
Un festival de baise, partout, Ă 2, Ă 3, changeant de partenaire, ils nous emmenĂšrent au 7Ăšme ciel, jusquâĂ lâaube, Ă©puisĂ©es, couvertes de sperme et de sueur, on sâisola dans la salle de bains, prises de folie sexuelleâŠ
On dormit 3 heures, et on recommençaâŠ
Tous les 4 dans ce grand lit, sans aucune retenue, baisant Ă qui-mieux-mieux, nous offrant des sensations de salopes, engrossĂ©es par nos amants dans toutes les positionsâŠ
Puis ils essayĂšrent de la sodomiser Ă 2âŠ
Elle se laissa conduire, puis explosa de douleurâŠ
Je pris le relais, mais par devant, ils me prirent ensemble, explosant mon vagin avec leurs deux pĂ©nis⊠Je jouis pleinement, elle mâembrassait en se masturbantâŠ
La maison vide rĂ©sonna de nos frasques, on rangea, nettoya, en repensant Ă cette soirĂ©e hors-norme, un fantasme rĂ©alisĂ© pour nous 2, avec Mariza⊠Nos hommes Ă la hauteurâŠ
Paul me souriait, heureux et trĂšs satisfait de mon choixâŠ
- Je ne pensais pas quâelle Ă©tait aussi sensuelleâŠ
- Et lui, si gentil, si tendre, un vrai gentleman, comme toiâŠ
- Tu nâas pas fait semblant alors ?
- Non, toi non plus, elle sâest envolĂ©e avec toiâŠ
- Et tu as pu faire lâamour avec elle⊠Je tâai observĂ©e, vous Ă©tiez vraiment naturelles toutes les 2⊠Elle tâa apprĂ©ciĂ©eâŠ
- Oui, cela va changer nos rapports, mais on va faire attention au bureau⊠Elle nâavait jamais fait lâamour avec une femme, comme ça, en partageant son amant avec un coupleâŠ
On Ă©tait le premier janvier, repus tous les deux, en promettant de recommencerâŠ
Mariza mâappela le soirâŠ
Elle Ă©tait vannĂ©e, et heureuse dâavoir fait ce dealâŠ
Surtout avec moiâŠ
Elle recommencerait bien le week-end prochain !...
FIN
Marika84 â dĂ©cembre 2024
Mariza, 40 ans, en couple, 1 enfant de 14 ans, blonde comme un Ă©pi de blĂ©, des yeux bleu dĂ©lavĂ©, un pur portrait russe, avec souvent des habits bariolĂ©sâŠ
Robe brodĂ©e, ou avec des dentelles, ou corsage Ă frous-frous, et jupe en tartansâŠ
Elle attirait les regards des hommes, elle en jouait innocemment, Ă tous les Ă©tages du siĂšge social.
Elle Ă©tait comptable, et malgrĂ© quâelle vive en couple, elle nâĂ©tait pas avare de ses charmes, quâelle laissait parfois entrevoir, ce qui mettait ces messieurs en Ă©moiâŠ
Bref, cela faisait partie dâun jeu entre nous, on aimait notre travail, parfois trĂšs prenant, et on se permettait des plaisanteries ou des attitudes provocantes, bien innocentes en piquant nos collĂšgues dans leur dĂ©sirs machistesâŠ
On se rĂ©galait, et on en rĂ©cupĂ©rait les effets, quand ils nous coinçaient dans un local, ou nous prenaient virtuellement en otageâŠ
Tout cela nâĂ©tait que jeu, respect et camaraderieâŠ
Ils nous relĂąchaient, aprĂšs une traque dans les couloirs des archives pendant la pause dĂ©jeuner, ou dans les rĂ©serves, le plaisir de nous serrer dans leurs bras en riant aux Ă©clats de ce cache-cache dĂ©stressantâŠ
Parfois, un baiser Ă©tait volĂ©, un attouchement plus osĂ©, un sein effleurĂ©, caressĂ©, câest difficile de dire par qui, dans la pĂ©nombre des salles du dernier Ă©tageâŠ
Jamais nous nâeĂ»mes Ă nous plaindre de nos collĂšgues en plus de 10 ansâŠ
Mariza Ă©tait mon soleil, elle Ă©clairait mes matins chagrins, mes journĂ©es pluvieuses et mes coups de cafardâŠ
Elle devint petit Ă petit mon amie, au point que Paul, que je frĂ©quentais depuis peu, en Ă©tait jalouxâŠ
Mais quand il fit sa connaissance, un soir de fĂȘte au bureau, il changea dâavisâŠ
Elle Ă©tait ravissante, et ils fusionnĂšrent dĂšs les premiĂšres secondesâŠ
Elle aimait son regard acĂ©rĂ©, son physique, je la voyais, mutine, coquine, parler Ă mon amant, avec sa façon dâonduler, de croiser ses doigts et de se pencher vers lui, corsage bĂ©antâŠ
Paul lui plaisaitâŠ
Je la fis avouer dĂšs quâon sâisola dans les toilettes, pour une beautĂ©âŠ
- Oui, ton ami est trĂšs sexy, je perçois sa sensualitĂ©, et ses yeux font naĂźtre des papillons dans mon ventreâŠ
- Tu as envie de lui ?
- Je ne dirais pas nonâŠ
- Mais câest mon ami, tu me trahirais ?
- Non ! Je ne veux pas te le voler ! Juste sentir sa queue pĂ©nĂ©trer mon vagin et libĂ©rer mes papillons, puis mâenvoler quelques minutes⊠Tu serais jalouse ?
- Je nâavais pas envisagĂ© de le partager⊠Mais avant de me marier, pourquoi ne pas le testerâŠ
- Tu penses Ă quoi ?
- Je vais vous inviter, toi et ton mec, on va faire connaissance vraiment, ma chĂ©rieâŠ
- Un quadrille ? Echanger nos amants ?
- Oui, et plus encore, nous dévorer toutes les deux devant eux, les pousser à bout, comme au bureau, mais sans filet cette fois, pour récolter leurs jus, nous faire ensemencer par tous les deux, les goûter, les sucer, avaler leur sperme en récompense !
- GĂ©nial, oui ma belle ! Jâai jamais Ă©tĂ© aussi loin avec 2 hommes⊠Me laisser caresser par les deux, oui ; en branler un en suçant lâautre, oui ; me planter sur la bite du premier, et masturber lâautre, oui, et le pied, les faire gicler ensembleâŠ
- Et oui, ma chĂ©rie, un cran au-dessus maintenant, Paul est bien montĂ©âŠ
- Le mien nâest pas mal non plus⊠Je jouis Ă chaque fois⊠Et aprĂšs, il aime savourer ma chatte, sucer mon clitoris Ă mâen faire perdre la tĂȘte !
- Et la sodo ?
- Oui⊠Je ne me suis donnĂ©e quâĂ lui⊠Mais pas chaque foisâŠ
- Paul aime me prendre en macho, glisser sa queue dans mon derche et savourer mes cris de hyĂšne⊠Je nâai jamais eu mal avec lui⊠Il est doux et puissant, je le sens jusque dans mes entrailles, et comme une salope, je jouis en me masturbant la nĂ©nette !
- Tu es gĂ©niale, tout ce que je nâai pas osĂ© ! Atavisme ancien, coutumes ancestrales, Ă©ducation religieuseâŠ
- Fais-le avec Paul, laisse-toi prendre en levrette, et offre lui ton derriĂšre, tu mâen diras des nouvellesâŠ
- Toi aussi, alors⊠Profite du mien, suce-le Ă fond, offre-lui ta chatte, laisse-toi sucer, en 69, il adore, puis laisse-le te prendre, il va exploser ta vulve, et jouir en toi⊠Il ne peut pas se retenir quand il jouit⊠Je ne lâai jamais partagé⊠Je tâaime comme une amie⊠Jâaimerais ĂȘtre là ⊠Te voir jouir de lui, tâentendreâŠ
- Pas de soucis, ma douce⊠On le fait souvent Paul et moi, en vacances, en camping-car, on Ă©change avec des couples de rencontre⊠Ou Ă la maison, avec nos amis, barbecue, soirĂ©e raclette, ou piscine partieâŠ
- Dans le mĂȘme espace ? Je veux dire ensemble, face Ă face ?
- Oui, ce sont des moments intimes que lâon partage avec nos amis les plus chers, les plus tendres, ceux quâon connait depuis longtemps⊠Je me sens libre et cela dĂ©cuple mes sensations, quand la femme jouit sous Paul, ou que jâorgasme sous son mari⊠AprĂšs on se rejoint toutes les deux, et on se laisse aller⊠On leur offre un spectacleâŠ
Cela distrait nos mecs, et nous on jouit comme jamais avec une femmeâŠ
Parfois, on le fait en pleine nuit, dans le silence de notre couche, et tout y passeâŠ
Deux lesbiennes, bien dans nos corps de femmes libertines !
Quelquefois cela les rĂ©veille et les stimulent, et on passe un sale quart dâheure, ils nous prennent ensemble, une rĂ©compense, du plaisir haut de gamme !
- Ensemble ? Un par devant et un par derriĂšre ? Jâai jamais fait non plus⊠Une fois câĂ©tait pas loin, mais jâai refusĂ© que le second me sodomise, je lui ai offert mes seins, il sâest branlĂ© dedans, tandis que lâautre se vidait dans ma culotte, trop pressĂ© le bougre !âŠ
- Tu es impayable, Mariza ! Tu étais mariée ?
- Non, câĂ©tait lors dâun rĂ©veillon Ă lâhĂŽtel, on y Ă©tait allĂ© en bande⊠Jâavais larguĂ© Jim dĂ©jĂ et jâavais besoin de sexe⊠Cette nuit-lĂ , jâai eu 5 rapports ! Avec 5 hommes⊠Les deux premiers dans les toilettes, juste une mise en bouche et crac-crac, puis les deux autres dans ma chambre vers 5 heures du mat, ils mâavaient raccompagnĂ©e, je les ai remerciĂ© sur mon canapé⊠Ah, jâoubliais un 5Ăšme, avant de monter, il mâa labourĂ©e debout, dans les cuisines, dĂ©poitraillĂ©e, et arcboutĂ©e sur un plan de travail⊠Jâai joui comme une salope, en orgasmant de tout mon *****, la croupe Ă lâair !
- Bon, on le fait quand ce quadrille ?
On nâavait pas encore la villa, mais Paul avait un ami Belge, parti aux Antilles pour 1 anâŠ
Maison fabuleuse, calme, piscine, grandes piĂšces, cheminĂ©e, grand salon aux canapĂ©s immenses, tout le confort et une chambre Ă ****** de jalousie, lit 2m x 2m, SPA attenant, parfait pour notre but ultimeâŠ
On les met Ă lâaise, on fait connaissance de son ami, Stef, pas mal, trĂšs jovial, et le courant passe entre nous 4âŠ
Je nâai rien dit Ă Paul sur nos conversations, ni sur nos butsâŠ
Elle a fait pareil, juste dit quâon se marrait bien au bureau et quâen dehors, on riait beaucoup, et que lâon sâĂ©tait rapprochĂ©es depuis quelques temps, on se confiait nos fantasmesâŠ
AprĂšs deux apĂ©ros, on Ă©tait en septembre, le temps Ă©tait encore propice Ă une baignadeâŠ
Paul, mis lâĂ©clairage juste dans lâeau, on passa des maillots⊠Je restais seins nusâŠ
- Ce nâest pas obligĂ©, mais nous, câest Ă poil quâon se baigne !
Et jâenlevais le basâŠ
- Alors nous aussi ! La nature, on connait, hein chĂ©ri ? Quand tu mâemmenais Ă Agde dans les dunesâŠ
- Oui, mais lĂ , on nâest pas seuls !
- Mais si, vous ĂȘtes seuls, dans lâeau câest pareilâŠ
- Oh, que câest bon !
- Oui, allez, courrez⊠Sautez, attrapez-nous !
Le vin et nous, plus la nouveautĂ©, plus la libertĂ©, plus des images qui viennent se greffer, souvenirs ou fantasmes, et la soirĂ©e prend un grand virageâŠ
Stef est venu vers moi directement, en fendant les eaux transparentes, il mâa serrĂ©e contre lui puis ses mains se sont permises des caresses hardies, puis intimesâŠ
Jâai senti son membre sâenflammer, je nâavais plus de doutes sur la suiteâŠ
Je me suis laissĂ©e caresser, embrasser, Mariza profitait dĂ©jĂ de PaulâŠ
Mes doigts ont touchĂ© sa bite, je mâen suis saisie quand il a empaumĂ© mes deux seinsâŠ
Dure, intense, vivante et vibrante, elle a dĂ©clenchĂ© mes humeurs de femme, tandis que ses lĂšvres pinçaient mes tĂ©tons, et ses doigts parcouraient mon sillon et dĂ©busquaient mes trĂ©sors cachĂ©sâŠ
Je crevais de dĂ©sir au bout dâun moment, jâavais la chatte en folie, jâimaginais son dard Ă©carteler doucement mon puis dâamour, le pĂ©nĂ©trer, offerte, dĂ©trempĂ©e⊠Jâai craquĂ© !
Je me suis accrochĂ©e Ă son cou, cuisses autour de ses hanches, il a compris, mâa soutenue par les fesses, et je me suis pĂ©nĂ©trĂ©e avec son attribut, quâelle mâavait vantĂ©âŠ
Le plaisir de le sentir ouvrir mon antre, glisser dans mon vagin, distendre mes chairs, mes tissus, avec ses vas-et-viens lancinants, les papillons libĂ©rĂ©s, la chaleur dans mon ventre, ses lĂšvres sur les miennes, un doigt sur mon anus, jâai explosĂ© un orgasme puissant, mes yeux dans les siens, il mâa calĂ©e contre le mur, et mâa tringlĂ©e avec frĂ©nĂ©sie, je me tenais Ă la margelle, et dĂ©faillais de plaisir, en Ă©cartant mes cuisses, me donnant Ă luiâŠ
Fusionnel ! Ce premier contact avec StefâŠ
De leur cĂŽtĂ©, Mariza embrochĂ©e, arcboutĂ©e sur les escaliers, ondulait de la croupe, Ă moitiĂ© hors de lâeau, Paul, debout la possĂ©dait avec passion, la portant au nirvana, chose quâil me faisait trĂšs souventâŠ
Je me mis Ă la place de ma nouvelle amie et dĂ©cuplais mon plaisir en le serrant dans mon ventre, pour le prĂ©parer Ă la jouissance suprĂȘme !
Nos mains se sont jointes, nos doigts se sont croisĂ©s, je me suis donnĂ©e Ă lui, jubilant de plaisirâŠ
Il a joui en moi, jâai joui de lui, de le sentir exploser dans mon ventre, en ahanant de grands coups de reinsâŠ
JâĂ©tais dans un Ă©tat second, Ă©puisĂ©e nerveusement, venant de jouir intensĂ©ment de ce sexe quâil maintenait en moiâŠ
Jâen jouissais, dĂ©licieusement⊠Comme un jouet interdit, je fermais les yeux, il coulissait lentement, encore fermeâŠ
Je le savourais en Ă©goĂŻste, libĂ©rant mes derniĂšres humeurs de femme, lui faisant un Ă©tui de soieâŠ
Un moment de bien-ĂȘtre, de sexe entre adultes, un pur plaisir⊠Un orgasme particulier, intense et intimeâŠ
En le faisant glisser dans mon vagin, jâavais envie de me sodomiser avecâŠ
Mariza avait eu un orgasme, elle avait poussĂ© des gĂ©missements de femme, des rĂąles de plaisir, et embrassait mon Paul en frottant ses seins contre son torseâŠ
On se regarda enfin, toutes les deux rassasiĂ©es pour un temps, heureuses de cette rencontreâŠ
On sortit de lâeau les premiĂšres, nues et encore sous le joug de nos amantsâŠ
Je me drapais dans un peignoir, puis je servis du champagne, et on passa au plat de rĂ©sistance, un rĂŽti Ă ma façon, en habit de fĂȘteâŠ
Ils se rĂ©galaient, je sentis la main de Mariza sur ma cuisseâŠ
Je les Ă©cartais⊠Elle se plaqua sur ma vulveâŠ
Ils plaisantaient, faisaient connaissance, nous titillaient, nous promettant des heures douces⊠Un dessert des plus tendresâŠ
Un doigt glissa dans ma vulve et caressa mon clitorisâŠ
Je fis glisser ma culotte en entrant dans la cuisineâŠ
JâĂ©tais excitĂ©e⊠Mes tĂ©tons pointaient ardemment ma robe dâintĂ©rieurâŠ
- On va se refaire une beautĂ© quelques minutes⊠Prenez le temps, Paul, sers notre amiâŠ
On sâĂ©chappa jusque dans la chambre, nos vĂȘtements sâenvolĂšrent, on se mit en 69, je goutais Ă son jus de femme, elle me faisait jouir, continuant Ă tourner mon clitoris entre ses doigts⊠Je feulais, me donnais, la caressais, elle sentait Paul, je me gorgeais de ce jus qui sourdait de son vaginâŠ
On fit lâamour, le tendre, le lesbien, nous frottant avec tendresse, excitant, titillant, puis en ciseau, vulves encastrĂ©es, on escaladait les marches du plaisir ensembleâŠ
Sa langue me donna le tournis, je jouissais sans mâarrĂȘterâŠ
Elle sâĂ©cartelait sous la mienne, se tordait, je la masturbais avec passion, allant jusquâĂ pĂ©nĂ©trer son anus, pour la faire jouirâŠ
Elle me rendit ma caresse, fesses Ă©cartĂ©es, un doigt dans mes entrailles et les autres dans mon vagin, une double pĂ©nĂ©tration manuelle, irrĂ©elleâŠ
Elle savoura Ă son tour, Ă©cartelĂ©e, puis en levrette, offerte, savourant mes doigts de fĂ©e, qui la portĂšrent au suppliceâŠ
Que de sexe ! Que de passion, de dĂ©sirs enfouis, lĂąchĂ©s dans cet Ă©lan de partageâŠ
On sâembrassait, on se massait, on se lĂ©chaitâŠ
Je dĂ©couvris la vraie Mariza, femme, sensible, gĂ©nĂ©reuse, aimante, amante, complice, et on fondit quand ils vinrent nous rejoindreâŠ
Un festival de baise, partout, Ă 2, Ă 3, changeant de partenaire, ils nous emmenĂšrent au 7Ăšme ciel, jusquâĂ lâaube, Ă©puisĂ©es, couvertes de sperme et de sueur, on sâisola dans la salle de bains, prises de folie sexuelleâŠ
On dormit 3 heures, et on recommençaâŠ
Tous les 4 dans ce grand lit, sans aucune retenue, baisant Ă qui-mieux-mieux, nous offrant des sensations de salopes, engrossĂ©es par nos amants dans toutes les positionsâŠ
Puis ils essayĂšrent de la sodomiser Ă 2âŠ
Elle se laissa conduire, puis explosa de douleurâŠ
Je pris le relais, mais par devant, ils me prirent ensemble, explosant mon vagin avec leurs deux pĂ©nis⊠Je jouis pleinement, elle mâembrassait en se masturbantâŠ
La maison vide rĂ©sonna de nos frasques, on rangea, nettoya, en repensant Ă cette soirĂ©e hors-norme, un fantasme rĂ©alisĂ© pour nous 2, avec Mariza⊠Nos hommes Ă la hauteurâŠ
Paul me souriait, heureux et trĂšs satisfait de mon choixâŠ
- Je ne pensais pas quâelle Ă©tait aussi sensuelleâŠ
- Et lui, si gentil, si tendre, un vrai gentleman, comme toiâŠ
- Tu nâas pas fait semblant alors ?
- Non, toi non plus, elle sâest envolĂ©e avec toiâŠ
- Et tu as pu faire lâamour avec elle⊠Je tâai observĂ©e, vous Ă©tiez vraiment naturelles toutes les 2⊠Elle tâa apprĂ©ciĂ©eâŠ
- Oui, cela va changer nos rapports, mais on va faire attention au bureau⊠Elle nâavait jamais fait lâamour avec une femme, comme ça, en partageant son amant avec un coupleâŠ
On Ă©tait le premier janvier, repus tous les deux, en promettant de recommencerâŠ
Mariza mâappela le soirâŠ
Elle Ă©tait vannĂ©e, et heureuse dâavoir fait ce dealâŠ
Surtout avec moiâŠ
Elle recommencerait bien le week-end prochain !...
FIN
Marika84 â dĂ©cembre 2024
1 year ago