Sabine07 38-6
Je me demande ce que Gérard pourrait bien faire pour me faciliter un repos bien mérité… Il appelle les gars dans la cuisine et j’entends qu’ils parlent à voix basse, qu’est-ce qu’ils mijotent ?... Les gars rigolent, ils ont l’air tout content, ils reviennent et se rhabillent… Alors là, je n’y comprends plus rien… Puis, c’est Gérard qui revient habillé lui aussi, avec mon sac d’affaires à la main, je ne comprends toujours pas…
« Allez, att****z-moi cette salope, on y va » dit Gérard… Deux des gars m’att****nt, me soulèvent et je me retrouve sur l’épaule du plus costaud, le cul en l’air… Gérard en profite pour s’approcher et me glisse le plug qui dépasse dans la rondelle… C’est tout de même bon quand il rentre en moi… Je dois avoir l’air de la bonne pute de service, à poil sur le gars, le cul orné du plug qui dépasse… Je me demande bien ce qu’ils ont décidé de faire quand, tout à coup, Gérard ouvre la porte d’entrée et que les gars sortent, suivis de celui qui me porte… Je blêmi, ils sont fous, je ne peux pas sortir dans l’immeuble comme ça, n’importe qui pourrait me voir ainsi… Pourtant, ils le font… Rapidement, ils montent les marches, je suis surprise, je croyais qu’ils m’emmenaient au parking… Ils sont dingues, si un voisin sort, je suis morte… Il me semble entendre une porte claquer, mais je ne vois rien… Pourtant cela ne semble pas les effrayer, ben ils n’habitent pas ici eux… Puis, en passant l’étage au-dessus de celui de Gérard, comme ils continuent à monter, je comprends, il les fait monter chez moi…
Cela ne loupe pas, Gérard, qui est devant, ouvre la porte de chez moi et les fait rentrer. Eux l‘air tout joyeux et moi le cul toujours en l’air et le plug planté dedans… Au moment de franchir la porte, le gars qui me porte me soulève un peu et le plug touche le haut de l’encadrement de la porte… Cela fait énormément bouger le plug et je pousse un cri, mais de surprise et de bien être… Tout le monde rigole… « Tu vois, c’est bien d’être venu ici, comme ça, quand on aura fini de te baiser tu seras chez toi et tu pourras te reposer » me dit Gérard… Ce n’est pas faux, mais de là à me faire monter les étages à poil sur l’épaule d’un gars avec le plug qui dépasse dans le cul, y’a de la marge…
Ils m’installent sur le canapé et à peine suis-je posée dessus, que tout le monde se dessape et me voilà entourée de queues qui commencent à raidir… En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je suis déjà en train de sucer une queue… On me met à quatre pattes et une main vient faire bouger le plug, c’est bon… Je suis tout de même un peu lasse, ça fait beaucoup aujourd’hui et même si c’est bon, la fatigue est bien là… Les gars, eux, n’en n’ont absolument rien à faire et on me retire le plug, tandis qu’une queue force ma rondelle… Enfin forcer est un grand mot car à peine le gland pousse-t-il sur l’entrée de mon intimité, que la queue rentre en moi presque entièrement… Je pousse un long gémissement la bouche pleine, mon dieu que c’est bon… J’avoue que même fatiguée, c’est bon de se faire baiser par plusieurs gars devant Gérard… En plus, c’est la première fois que ça se passe chez moi avec d’autres personnes et c’est vrai que ça m’excite de me faire baiser dans mon salon, sur mon canapé…
Le gars dans mon cul me baise avec une certaine lenteur et j’aime ça… J’aime sentir sa queue coulisser en moi et presque ressortir avant de plonger de nouveau, quel délice… Je commence à gémir doucement… « Putain, cette salope est encore meilleure quand on l’a bien baisée avant, elle a le cul très accueillant maintenant » dit celui qui me baise… Je reconnais que ce doit être vrai car, même moi, je sens que ma rondelle n’offre plus aucune résistance quand on navigue dedans… Mon clito balance au gré des coups de reins mais sans réaction particulière, je n’ai plus beaucoup de force et c’est peut-être mieux ainsi, car je profite pleinement de ce qui se passe dans mon cul… En plus, j’ai du mal à continuer à sucer…
Heureusement, celui qui me baise a envie d’autre chose et dit « on va la baiser en double les gars, cette salope aime ça et de toutes façons, son avis on s’en fout »… L’annonce est accueillie dans une grande clameur et aussitôt, la queue dans ma bouche se retire, celle dans mon cul aussi et tandis que le gars qui me baisait s’assoit sur le canapé, des mains agiles me soulèvent et m’empalent sur sa queue… C’est bon quand elle rentre en moi… Je glisse jusqu’à la base de ce sexe, hummm, j’adore… Puis, celui sur lequel je suis empalée me relève les jambes et celui que je suçais vient présenter sa queue devant ma rondelle… Je remarque que tous les gars sont devant moi, la queue déjà bien raide à la main, c’est bon de savoir que je leur fait cet effet… Gérard, lui, est bien devant moi aussi, mais c’est l’appareil photo qu’il a en main et il immortalise cet instant… C’est une bonne chose, j’aurai des souvenirs de ce qui se passe aujourd’hui chez moi… La deuxième queue force l’entrée de mon intimité, mais là encore, forcer n’est pas vraiment le bon mot… A peine pousse-t-il que sa queue m’embroche à son tour tandis que je pousse un long gémissement… Alors qu’elle glisse au fond de moi, je ressens un bien-être étrange, je suis bien là, chez moi, baisée comme une grosse salope par ces gars, sous le regard bienveillant de Gérard… Pour un peu, bien qu’assez fatiguée, je voudrai que ce moment dure longtemps, je suis une chose à baiser et ça me plait… Les coups de queues me ramènent à la réalité et je recommence à gémir, mon clito tout mou pendouille en ballotant… Le gars devant moi s’accroche à mes cuisses et me baise maintenant à grands coups de reins, mon dieu que c’est bon… « Ah la salope, cette pute est la meilleure qu’on ait baisée les gars, en double on a déjà fait mais à deux dans le cul, y’a qu’elle » dit celui sur lequel je suis empalée… Je prends ça pour un compliment… Cela doit vraiment les exciter car en regardant autour de moi, je vois un regard lubrique dans les yeux de tout le monde et j’aime ça… Le gars devant accélère et juste après, il jouit dans un grognement presque bestial, m’inondant le cul de sperme chaud… Je suis fière de l’avoir fait jouir… Il se retire et il est immédiatement remplacé… La queue du nouveau est moins longue mais un peu plus grosse, elle ne force pourtant pas non plus pour rentrer, cependant je la sens bien… Quand elle commence à bouger en moi, je gémis tout de suite, j’ai le cul défoncé et c’est bon… Pourtant, je n’ai plus de force, mais comme ils me tiennent bien, je peux me faire baiser sans souci et je suis heureuse d’être la bonne petite pute que Gérard donne en pâture à ces jeunes mâles bien excités… Ceci dit, la pression exercée sur ma rondelle par la nouvelle queue, un peu plus grosse, m’excite et je m’aperçois que mon clito se remet à mouiller, ça me plait… Un des gars s’en aperçoit aussi et dit « regardez-moi cette salope, ça l’excite de se faire baiser comme une pute à deux dans son cul »… Tandis que la grosse queue me baise bien, il s’approche et me donne des petites tapes sur le clito, c’est plaisant… « Alors, elle aime ça ta nouille, qu’on te baise à deux dans ton cul de pute ? » me dit-il… Je réponds d’un « ouiiiiiiii » englobé dans un long râle, j’avoue que d’être la pute de service me comble… La grosse queue me défonce maintenant la rondelle à grands coups de reins et le gars pousse des cris rauques, il va jouir… En effet, à peine quelques instants plus tard, il s’enfonce le plus loin possible et gicle dans mon cul… Une vague de bien être m’envahit, quel bonheur de satisfaire tous ces jeunes hommes…
Alors qu’il se retire, la queue bien ramollie, le gars sur lequel je suis empalée dit aux autres « les gars on va changer de place, moi aussi je veux lui défoncer le cul à cette salope, on va la baiser par terre »… Des bras me soulèvent et quand la queue sort de mon cul, un gros bruit de succion retentit, tandis qu’un flot de sperme s’échappe de ma rondelle… J’en ai plein les cuisses et les autres poussent la table basse… Un autre gars s’allonge sur le tapis et on m’empale sur sa queue face à lui… L’entrée de sa queue me fait du bien, même si elle flotte énormément dans mon cul… Puis, le gars sur lequel j’étais assise se met à genoux derrière moi et me prend violemment… Sa queue rentre sans encombre et il me bourre le cul tout de suite, il doit avoir une grosse envie de jouir… Immédiatement, je me remets à râler, c’est bon se sentir sa queue coulisser en moi… L’autre en dessous se met à bouger aussi et là, j’avoue que c’est particulièrement bon de sentir les deux queues bouger en même temps… Je râle sans discontinuer et même mon clito commence à grossir mais sans vraiment entrer en érection, tout en coulant de nouveau, mon dieu que c’est bon… Il ne faut pas longtemps à celui de derrière pour jouir et quand il le fait, son sperme chaud lubrifie bien ma rondelle et les deux queues glissent encore mieux…
Sa queue diminue et il sort de moi en donnant une grande claque sur les fesses… Sa queue est vite remplacée par une autre et la baise reprend… J’ai du mal à me tenir sur le bras, aussi je me couche sur le gars au sol, je suis vraiment fatiguée mais contente qu’on me baise ainsi… Cela remonte mon cul et j’ai l’impression de sentir encore mieux les queues glisser en moi, quel bonheur… Le nouveau venu dans mon cul me baise lentement, comme j’aime et c’est merveilleux de sentir sa queue glisser doucement en moi… Je recommence à gémir, je ne voudrai plus que ça s’arrête et en même temps, je me sens épuisée, j’ai sommeil…
Cela n’empêche pas les gars de me prendre en duo, l’un rentre tandis que l’autre sort, une alternance monstrueusement délicieuse qui me chauffe terriblement le cul… J’ai tout à coup l’impression qu’une vague de plaisir m’emporte, pourtant mon clito est à peine gonflé et je suis épuisée… Cette vague tourne dans mon ventre, je veux jouir mais rien ne se passe, j’ai le cul en feu et c’est divin d’être portée par cette sensation…
Alors que la vague tourne toujours en moi, que les gars me baisent plus rapidement tous les deux, que je crie ce plaisir particulier qui me déborde, nous n’entendons pas la porte d’entrée s’ouvrir et soudain, ma mère et Evelyne débarquent dans le salon… Je tourne la tête en percevant du mouvement et je sursaute en découvrant ma mère et sa compagne… Je suis prise de panique, je voudrai disparaitre sous le tapis et en même temps, cette vague me tord le ventre et mon clito jute soudain quelques gouttes en restant mou, ce qui me procure une jouissance extraordinaire mais coupable… Les gars en profitent pour jouir eux aussi bruyamment, me remplissant le cul de leur sperme chaud, c’est bon mais j’ai honte…
Les autres viennent de s’apercevoir de l’arrivée de ma mère et d’Eveline, un grand silence s’impose, juste perturbé par nos respirations encore fortes suite à la jouissance… Je ne sais plus quoi faire, deux queues encore fichés en moi, anéantie par la jouissance et ce sentiment de honte qui s’amplifie…
C’est Gérard qui nous sauve un peu en prenant la parole. Il s’excuse au nom de nous tous, tandis que les rugbymans se rhabillent à toute vitesse, pas un seul n’a la queue en étendard… les gars quittent mon cul et eux aussi, se tournent et se rhabillent, battant le record de France en la matière.
Ma mère ne dit rien mais regarde la scène en pleurant… Evelyne la soutient et moi, nue sur le tapis, le cul plein de sperme qui s’échappe, j’ai terriblement honte… Les gars s’en vont sans rien dire et Gérard dit au revoir pour tout le monde…
Nous voilà seules toutes les trois et ma mère ne s’arrête pas de pleurer. Je n’ose pas me lever tellement je suis honteuse, en plus je suis à poil, le cul bien baveux… Heureusement, Evelyne vient à mon secours en allant chercher un peignoir à la salle de bains et me le tend à son retour… Je l’enfile maladroitement et me relève, les yeux plein de larmes moi aussi… ma mère ne me dit rien et se blottie contre Evelyne… Je file à la salle de bains sans un mot, je ne sais plus quoi faire, ni quoi dire…
L’eau chaude me fait du bien malgré tout et quand je sors de la douche, je file à ma chambre pour m’habiller. Une impression de grande lassitude me gagne tandis que je m’habille. J’opte pour une robe pull en coton, très sage, avec des collants couleurs chair et des mules à petit talons. Puis, je retourne au salon, où la table basse a été remise en place et la pièce aérée.
Ma mère et Evelyne sont assises sur le canapé, ma mère pleure toujours un peu, mais moins qu’avant tout de même. Je m’approche et finis par dire à ma mère que je suis désolée qu’elle ait assisté à ça, ce n’était pas mon idée, mais les gars m’ont amenée ici et j’ai laissé faire… Après un long moment, ma mère me répond, entre deux pleurs, « je ne suis pas fâchée, juste surprise, je croyais que tu n’avais de relation qu’avec Gérard et ta copine, ça m’allait bien, je m’y étais faite »… Je ne sais pas quoi répondre… « Là, te trouver entourée d’hommes qui te font des choses à plusieurs, ce n’est pas pareil » ajoute-t-elle en pleurs… Cela me fait pleurer aussi et je l’entends dire encore sur un ton plein de reproches « décidément, ce Gérard est un salaud, non content de profiter de toi, il te donne à d’autres, j’espère que tu ne fais pas la pute en plus »… Nous pleurons toutes les deux et au bout d’un moment, j’arrive à dire « non, maman, je ne fais pas la pute et c’est avec mon accord que Gérard a amené ces gars »…
Ma mère pleure de nouveau, je me sens très mal à l’aise, en plus, je suis morte de fatigue et cette découverte par ma mère ne fait rien pour arranger les choses… Je finis par dire que je les laisse, en demandant pardon à ma mère et file me coucher. J’ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil et quand j’ai sombré de fatigue, ce n’était pas l’esprit tranquille.
A mon réveil, le ciel est bleu et une douce lumière entre dans ma chambre. Je me lève et vais dans la cuisine, ma mère s’y trouve, seule et bois son café. Je viens l’embrasser, elle répond à mon bonjour et je m’installe en face d’elle pour petit-déjeuner à mon tour. Elle a les traits tirés, elle a dû beaucoup pleurer. Je lui demande comment elle va et elle me répond « ma chérie, j’ai été choquée hier soir de te trouver avec tous ces hommes, mais le pire pour moi c’est que tu ne semblais pas t’y trouver mal »… Ah ça pour le coup, si elle n’était pas arrivé sur le fait, j’aurai passé une très agréable journée à me faire baiser en groupe… « Oui, c’est vrai maman, parfois Gérard accepte de me laisser avec d’autres hommes, et j’aime cela » lui dis-je… « Et il ne faut pas blâmer Gérard, au contraire, c’est grâce à lui que je peux le faire sans danger, ça fait simplement partie de mes fantasmes » dis-je en la regardant dans les yeux… En même temps, je ne peux pas lui dire que depuis les amis de Didier, et ensuite avec Gérard, je n’ai fait que me faire baiser par tout un tas de gars qui m’ont fait des choses dont elle n’a pas besoin d’entendre parler… Ma mère pleure encore un peu puis, sa main vient chercher la mienne et elle me dit « c’est difficile pour moi, j’ai perdu un fils, trouvé une fille, rencontré Evelyne et maintenant je te vois avec beaucoup d’hommes en même temps, c’est compliqué »… Elle pleure de nouveau et je me sens triste mais soulagée, ça va passer…
Quand elle reprend ses esprits, nous avons fini le petit-déjeuner et elle me dit « je ne vais pas travailler aujourd’hui, Evelyne dort encore dans ma chambre, ne faisons pas trop de bruit ». Ah d’accord, bon je vais faire en sorte de les laisser tranquilles. Je lui dis que je m’habille et que je les laisse au calme, mais ma mère ajoute « non, reste ce matin, je voudrai parler un peu avec toi »… Je suis finalement contente que cela se fasse comme ça. Le temps de ranger de petit déjeuner et nous filons au salon.
Une fois installées sur le canapé, je me dis qu’heureusement qu’elle est arrivée quand j’étais baisée sur le tapis, sans ça nous aurions du mal à nous asseoir sur le canapé sans le nettoyer… ma mère me prend la main et me dit « tu sais ma chérie, beaucoup de choses se sont passées depuis peu et j’ai un peu de mal à m’y retrouver »… « Je comprends que ta vie sois particulière et que tu veuilles la vivre comme tu l’entends et j’ai fini par l’accepter »… « Pourtant, même si parfois c’est difficile, Evelyne m’aide beaucoup pour te comprendre »… « Hier soir, j’étais effondrée et c’est elle qui m’a rappelée ce que tu avais dû vivre quand tu as découvert ma relation avec elle, elle m’a aussi rappelée que tu ne m’as fait aucun reproche »… « J’y ai pensé toute la nuit et c’est vrai que tu es une fille formidable pour une mère »… « Alors bien que surprise, pardonne-moi, tu dois pouvoir vivre ta vie sans que je n’ai rien à en dire »…
Je reste un moment sans rien dire, ma mère est vraiment une chouette femme. Je finis par lui répondre « merci maman, moi aussi je voulais te dire que je suis désolée que tu m’ais trouvé dans cette situation, à l’avenir, je ferai attention à ce que cela ne se reproduise plus à la maison »… Ma mère me remercie en me prenant dans ses bras et ce câlin me fait du bien…
Après un moment sans parler, elle me regarde avec un air curieux et me dit « par contre, j’ai une question, s’il y avait bien deux hommes occupés avec toi hier soir, comment faisiez-vous ? »… « Je ne comprends pas ta question maman » lui dis-je… « Ben oui, y’en avait un qui avait sa…, enfin tu vois ce que je veux dire, dans toi, mais l’autre ? » me demande-t-elle… Ah d’accord, une question technique… « Et bien lui aussi maman » dis-je l’air innocente… « Mais comment est-ce possible ? » sursaute-telle… « Il faut un peu s’entrainer avant » dis-je avec un grand sourire… « Mon dieu, deux dans le c…, enfin dans ton derrière ? » me répond-elle… « Oui, et si tu veux savoir, c’est particulièrement bon » dis-je avec un air malicieux… Elle me regarde avec un air effrayé et envieux qui me fait penser que passé le choc, je me demande si cela ne fera pas comme les plugs, elle pourrait avoir envie d’essayer… Elle ajoute « j’ai remarqué que Gérard avait un appareil photo, il ne te prend pas en photos pendant vos ébats tout de même ? »… Aïe, la question qui tue… J’hésite un moment avant de répondre « tu sais maman, Gérard aime bien me prendre en photo, ce n’est pas nouveau, j’ai l’habitude, ça me fait plaisir »… « Enfin, du moment qu’il ne les montre à personne » me répond-elle un peu apaisée… La pauvre, je ne peux pas lui révéler qu’il les montre à tout le monde et que certaines sont très obscènes… Pas plus que je ne peux lui dire que le photographe qui les développe s’est bien occupé de mon cul lui aussi…
Evelyne s’est réveillée et vient nous rejoindre. Elle porte une nuisette courte, ce qui me laisse admirer ses jambes, qui sont fines et assez longues. Elle embrasse ma mère sur la bouche sans se cacher, tout en lui touchant un sein. Ben, vu ce qu’elles ont vu hier, ce n’est rien… Elle me salue et ma mère part lui préparer son café. Tandis que ma mère s’affaire à la cuisine, Evelyne me regarde et me dit tout bas « petite coquine, je ne savais pas que tu satisfaisais plusieurs gars à la fois »… « Je connais Gérard, je sais que c’est un libertin très ouvert et qu’il a beaucoup d’amis comme lui, mais je te voyais pas faire la salope pour tout le monde » ajoute-t-elle en riant… Je suis un peu décontenancée par son propos, il n’est pas méchant mais il dit bien ce qu’elle pense de moi aujourd’hui… Bon, en même temps, que puis-je nier ? Rien en vérité… C’est vrai qu’hier j’ai bien fait ma salope avec tous ces gars et que j’ai aimé ça… Ma mère revient avec le café d’Evelyne et tandis qu’elle le boit, ses yeux glissent sur ma silhouette d’une façon particulière que je n’avais jamais remarqué… Nous restons là toutes les trois à papoter de tout et de rien pendant un moment. Puis, ma mère dit qu’elle va prendre sa douche et Evelyne se lève pour prendre un autre café. Quand elle revient, elle s’assoit à côté de moi et me dit « tu avais l’air de beaucoup apprécier ce qu’on te faisait hier soir, à voir la façon dont tu criais »… « Deux queues dans le cul en même temps, tu as de l’expérience malgré ton jeune âge » ajoute-t-elle en posant une main sur ma cuisse… Je sursaute, je ne m’attendais pas à cela… Ce faisant, elle bouge le buste et une de ses bretelles se détache de son épaule et glisse sur son bras, dévoilant une bonne partie de son sein, très joli d’ailleurs… Elle remarque que mon regard se pose sur sa poitrine et sans complexe, elle me dévoile ses deux seins… « Comment les trouves-tu ? » me demande-t-elle en les saisissants à deux mains… Je bafouille en lui répondant que c’est gênant pour moi de voir sa poitrine… « Pourquoi, on est entre filles, non ? » me répond-elle… Je baisse les yeux, même si la vue des seins d’Evelyne m’attire car ils sont petits, certes, mais parfaitement bien dessinés, c’est quand même la chérie de ma mère, difficile de faire plus… Elle comprend mon malaise et se lève, je suis soulagée. Elle remet les bretelles de sa nuisette et ce faisant, elle la remonte trop, du coup, je vois soudain apparaitre sa chatte bien épilée… « Et ma chatte, tu la trouves comment ? » me demande-t-elle un grand sourire aux lèvres… Là, je ne sais plus quoi faire, je suis affreusement gênée, et en même temps, j’avoue que je la lui lècherai bien sa chatte, si elle n’était pas avec ma mère… Je suis folle de penser ça, je détourne le regard… Evelyne laisse retomber sa nuisette et se rassoit. « Ne fais pas ta timide, les petites salopes dans ton genre j’en ai déjà maté » me dit-elle… « Tu sais, j’ai un bon gode ceinture et je le mettrai bien dans le cul un de ces jours, pour t’entendre crier » ajoute-t-elle avec un air lubrique dans le regard… Oui, ça je sais qu’elle en a un, je suis tombée dessus l’autre jour… Je suis choquée… Non pas par la proposition, qui ne me déplairait pas en soi, mais par le fait que c’est la copine de ma mère et je me lève d’un bond… Tout en finissant son café, elle se penche vers moi et une de ses mains vient soulever ma robe et dévoiler mon clito… Je suis pétrifiée et ne bouge pas, je ne sais vraiment plus quoi faire… Un de ses doigts vient faire balancer mon clito, tandis qu’elle ajoute « il est mignon ton petit clito, tu crois que si je te mets mon gode-ceinture dans le cul il grossira un peu ? »… Son doigt laisse mon clito et glisse dans ma raie, descendant du haut de mes fesses jusque sur ma rondelle… Là, il se pose un peu, tournant doucement autour, ce qui m’électrise… Je suis folle, mais ça m’excite de sentir son doigt… Elle insiste en me regardant droit dans les yeux, enfonce même un peu son doigt dans ma rondelle et me dit doucement « un de ces jours, je vais m’occuper de toi petite salope, tu verras, tu aimeras »… Je n’arrive toujours pas à bouger, je ne suis pas à l’aise avec ce qu’il se passe et pourtant tout ça m’excite au plus haut point… Bien contre mon gré, mon clito perle et Evelyne s’en aperçoit… « Oh, pauvre petit chou, ton clito pleure, tu vois il aime déjà ça, qu’est-ce que ce sera quand je te défoncerai le cul avec le gode-ceinture» me dit-elle en riant… Elle retire sa main et ma robe retombe sur mon clito mouillé… Elle se lève à son tour, me tend sa tasse et me dit « tiens, salope, va nettoyer ma tasse pendant que je vais me laver »… Alors que je me tourne pour aller à la cuisine, elle me donne une petite tape sur le cul et s’en va…
Restée seule, tout en lavant la tasse, j’essaye de comprendre ce qu’il vient de se passer… Je viens de me faire doigter le cul par la copine de ma mère, lesbienne notoire, qui m’a montré sa chatte et ses seins et qui me promet de me baiser le cul à grands coups de gode-ceinture… Wow, c’est du délire… C’est la copine de ma mère, qui doit en être amoureuse, c’est impensable… Pourtant, je dois avouer que ce petit traitement m’a terriblement excitée et qu’au fond de moi, j’aurai envie que ça arrive… Je suis complètement folle…
A suivre, si vous avez aimé…
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Sabine 07
« Allez, att****z-moi cette salope, on y va » dit Gérard… Deux des gars m’att****nt, me soulèvent et je me retrouve sur l’épaule du plus costaud, le cul en l’air… Gérard en profite pour s’approcher et me glisse le plug qui dépasse dans la rondelle… C’est tout de même bon quand il rentre en moi… Je dois avoir l’air de la bonne pute de service, à poil sur le gars, le cul orné du plug qui dépasse… Je me demande bien ce qu’ils ont décidé de faire quand, tout à coup, Gérard ouvre la porte d’entrée et que les gars sortent, suivis de celui qui me porte… Je blêmi, ils sont fous, je ne peux pas sortir dans l’immeuble comme ça, n’importe qui pourrait me voir ainsi… Pourtant, ils le font… Rapidement, ils montent les marches, je suis surprise, je croyais qu’ils m’emmenaient au parking… Ils sont dingues, si un voisin sort, je suis morte… Il me semble entendre une porte claquer, mais je ne vois rien… Pourtant cela ne semble pas les effrayer, ben ils n’habitent pas ici eux… Puis, en passant l’étage au-dessus de celui de Gérard, comme ils continuent à monter, je comprends, il les fait monter chez moi…
Cela ne loupe pas, Gérard, qui est devant, ouvre la porte de chez moi et les fait rentrer. Eux l‘air tout joyeux et moi le cul toujours en l’air et le plug planté dedans… Au moment de franchir la porte, le gars qui me porte me soulève un peu et le plug touche le haut de l’encadrement de la porte… Cela fait énormément bouger le plug et je pousse un cri, mais de surprise et de bien être… Tout le monde rigole… « Tu vois, c’est bien d’être venu ici, comme ça, quand on aura fini de te baiser tu seras chez toi et tu pourras te reposer » me dit Gérard… Ce n’est pas faux, mais de là à me faire monter les étages à poil sur l’épaule d’un gars avec le plug qui dépasse dans le cul, y’a de la marge…
Ils m’installent sur le canapé et à peine suis-je posée dessus, que tout le monde se dessape et me voilà entourée de queues qui commencent à raidir… En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je suis déjà en train de sucer une queue… On me met à quatre pattes et une main vient faire bouger le plug, c’est bon… Je suis tout de même un peu lasse, ça fait beaucoup aujourd’hui et même si c’est bon, la fatigue est bien là… Les gars, eux, n’en n’ont absolument rien à faire et on me retire le plug, tandis qu’une queue force ma rondelle… Enfin forcer est un grand mot car à peine le gland pousse-t-il sur l’entrée de mon intimité, que la queue rentre en moi presque entièrement… Je pousse un long gémissement la bouche pleine, mon dieu que c’est bon… J’avoue que même fatiguée, c’est bon de se faire baiser par plusieurs gars devant Gérard… En plus, c’est la première fois que ça se passe chez moi avec d’autres personnes et c’est vrai que ça m’excite de me faire baiser dans mon salon, sur mon canapé…
Le gars dans mon cul me baise avec une certaine lenteur et j’aime ça… J’aime sentir sa queue coulisser en moi et presque ressortir avant de plonger de nouveau, quel délice… Je commence à gémir doucement… « Putain, cette salope est encore meilleure quand on l’a bien baisée avant, elle a le cul très accueillant maintenant » dit celui qui me baise… Je reconnais que ce doit être vrai car, même moi, je sens que ma rondelle n’offre plus aucune résistance quand on navigue dedans… Mon clito balance au gré des coups de reins mais sans réaction particulière, je n’ai plus beaucoup de force et c’est peut-être mieux ainsi, car je profite pleinement de ce qui se passe dans mon cul… En plus, j’ai du mal à continuer à sucer…
Heureusement, celui qui me baise a envie d’autre chose et dit « on va la baiser en double les gars, cette salope aime ça et de toutes façons, son avis on s’en fout »… L’annonce est accueillie dans une grande clameur et aussitôt, la queue dans ma bouche se retire, celle dans mon cul aussi et tandis que le gars qui me baisait s’assoit sur le canapé, des mains agiles me soulèvent et m’empalent sur sa queue… C’est bon quand elle rentre en moi… Je glisse jusqu’à la base de ce sexe, hummm, j’adore… Puis, celui sur lequel je suis empalée me relève les jambes et celui que je suçais vient présenter sa queue devant ma rondelle… Je remarque que tous les gars sont devant moi, la queue déjà bien raide à la main, c’est bon de savoir que je leur fait cet effet… Gérard, lui, est bien devant moi aussi, mais c’est l’appareil photo qu’il a en main et il immortalise cet instant… C’est une bonne chose, j’aurai des souvenirs de ce qui se passe aujourd’hui chez moi… La deuxième queue force l’entrée de mon intimité, mais là encore, forcer n’est pas vraiment le bon mot… A peine pousse-t-il que sa queue m’embroche à son tour tandis que je pousse un long gémissement… Alors qu’elle glisse au fond de moi, je ressens un bien-être étrange, je suis bien là, chez moi, baisée comme une grosse salope par ces gars, sous le regard bienveillant de Gérard… Pour un peu, bien qu’assez fatiguée, je voudrai que ce moment dure longtemps, je suis une chose à baiser et ça me plait… Les coups de queues me ramènent à la réalité et je recommence à gémir, mon clito tout mou pendouille en ballotant… Le gars devant moi s’accroche à mes cuisses et me baise maintenant à grands coups de reins, mon dieu que c’est bon… « Ah la salope, cette pute est la meilleure qu’on ait baisée les gars, en double on a déjà fait mais à deux dans le cul, y’a qu’elle » dit celui sur lequel je suis empalée… Je prends ça pour un compliment… Cela doit vraiment les exciter car en regardant autour de moi, je vois un regard lubrique dans les yeux de tout le monde et j’aime ça… Le gars devant accélère et juste après, il jouit dans un grognement presque bestial, m’inondant le cul de sperme chaud… Je suis fière de l’avoir fait jouir… Il se retire et il est immédiatement remplacé… La queue du nouveau est moins longue mais un peu plus grosse, elle ne force pourtant pas non plus pour rentrer, cependant je la sens bien… Quand elle commence à bouger en moi, je gémis tout de suite, j’ai le cul défoncé et c’est bon… Pourtant, je n’ai plus de force, mais comme ils me tiennent bien, je peux me faire baiser sans souci et je suis heureuse d’être la bonne petite pute que Gérard donne en pâture à ces jeunes mâles bien excités… Ceci dit, la pression exercée sur ma rondelle par la nouvelle queue, un peu plus grosse, m’excite et je m’aperçois que mon clito se remet à mouiller, ça me plait… Un des gars s’en aperçoit aussi et dit « regardez-moi cette salope, ça l’excite de se faire baiser comme une pute à deux dans son cul »… Tandis que la grosse queue me baise bien, il s’approche et me donne des petites tapes sur le clito, c’est plaisant… « Alors, elle aime ça ta nouille, qu’on te baise à deux dans ton cul de pute ? » me dit-il… Je réponds d’un « ouiiiiiiii » englobé dans un long râle, j’avoue que d’être la pute de service me comble… La grosse queue me défonce maintenant la rondelle à grands coups de reins et le gars pousse des cris rauques, il va jouir… En effet, à peine quelques instants plus tard, il s’enfonce le plus loin possible et gicle dans mon cul… Une vague de bien être m’envahit, quel bonheur de satisfaire tous ces jeunes hommes…
Alors qu’il se retire, la queue bien ramollie, le gars sur lequel je suis empalée dit aux autres « les gars on va changer de place, moi aussi je veux lui défoncer le cul à cette salope, on va la baiser par terre »… Des bras me soulèvent et quand la queue sort de mon cul, un gros bruit de succion retentit, tandis qu’un flot de sperme s’échappe de ma rondelle… J’en ai plein les cuisses et les autres poussent la table basse… Un autre gars s’allonge sur le tapis et on m’empale sur sa queue face à lui… L’entrée de sa queue me fait du bien, même si elle flotte énormément dans mon cul… Puis, le gars sur lequel j’étais assise se met à genoux derrière moi et me prend violemment… Sa queue rentre sans encombre et il me bourre le cul tout de suite, il doit avoir une grosse envie de jouir… Immédiatement, je me remets à râler, c’est bon se sentir sa queue coulisser en moi… L’autre en dessous se met à bouger aussi et là, j’avoue que c’est particulièrement bon de sentir les deux queues bouger en même temps… Je râle sans discontinuer et même mon clito commence à grossir mais sans vraiment entrer en érection, tout en coulant de nouveau, mon dieu que c’est bon… Il ne faut pas longtemps à celui de derrière pour jouir et quand il le fait, son sperme chaud lubrifie bien ma rondelle et les deux queues glissent encore mieux…
Sa queue diminue et il sort de moi en donnant une grande claque sur les fesses… Sa queue est vite remplacée par une autre et la baise reprend… J’ai du mal à me tenir sur le bras, aussi je me couche sur le gars au sol, je suis vraiment fatiguée mais contente qu’on me baise ainsi… Cela remonte mon cul et j’ai l’impression de sentir encore mieux les queues glisser en moi, quel bonheur… Le nouveau venu dans mon cul me baise lentement, comme j’aime et c’est merveilleux de sentir sa queue glisser doucement en moi… Je recommence à gémir, je ne voudrai plus que ça s’arrête et en même temps, je me sens épuisée, j’ai sommeil…
Cela n’empêche pas les gars de me prendre en duo, l’un rentre tandis que l’autre sort, une alternance monstrueusement délicieuse qui me chauffe terriblement le cul… J’ai tout à coup l’impression qu’une vague de plaisir m’emporte, pourtant mon clito est à peine gonflé et je suis épuisée… Cette vague tourne dans mon ventre, je veux jouir mais rien ne se passe, j’ai le cul en feu et c’est divin d’être portée par cette sensation…
Alors que la vague tourne toujours en moi, que les gars me baisent plus rapidement tous les deux, que je crie ce plaisir particulier qui me déborde, nous n’entendons pas la porte d’entrée s’ouvrir et soudain, ma mère et Evelyne débarquent dans le salon… Je tourne la tête en percevant du mouvement et je sursaute en découvrant ma mère et sa compagne… Je suis prise de panique, je voudrai disparaitre sous le tapis et en même temps, cette vague me tord le ventre et mon clito jute soudain quelques gouttes en restant mou, ce qui me procure une jouissance extraordinaire mais coupable… Les gars en profitent pour jouir eux aussi bruyamment, me remplissant le cul de leur sperme chaud, c’est bon mais j’ai honte…
Les autres viennent de s’apercevoir de l’arrivée de ma mère et d’Eveline, un grand silence s’impose, juste perturbé par nos respirations encore fortes suite à la jouissance… Je ne sais plus quoi faire, deux queues encore fichés en moi, anéantie par la jouissance et ce sentiment de honte qui s’amplifie…
C’est Gérard qui nous sauve un peu en prenant la parole. Il s’excuse au nom de nous tous, tandis que les rugbymans se rhabillent à toute vitesse, pas un seul n’a la queue en étendard… les gars quittent mon cul et eux aussi, se tournent et se rhabillent, battant le record de France en la matière.
Ma mère ne dit rien mais regarde la scène en pleurant… Evelyne la soutient et moi, nue sur le tapis, le cul plein de sperme qui s’échappe, j’ai terriblement honte… Les gars s’en vont sans rien dire et Gérard dit au revoir pour tout le monde…
Nous voilà seules toutes les trois et ma mère ne s’arrête pas de pleurer. Je n’ose pas me lever tellement je suis honteuse, en plus je suis à poil, le cul bien baveux… Heureusement, Evelyne vient à mon secours en allant chercher un peignoir à la salle de bains et me le tend à son retour… Je l’enfile maladroitement et me relève, les yeux plein de larmes moi aussi… ma mère ne me dit rien et se blottie contre Evelyne… Je file à la salle de bains sans un mot, je ne sais plus quoi faire, ni quoi dire…
L’eau chaude me fait du bien malgré tout et quand je sors de la douche, je file à ma chambre pour m’habiller. Une impression de grande lassitude me gagne tandis que je m’habille. J’opte pour une robe pull en coton, très sage, avec des collants couleurs chair et des mules à petit talons. Puis, je retourne au salon, où la table basse a été remise en place et la pièce aérée.
Ma mère et Evelyne sont assises sur le canapé, ma mère pleure toujours un peu, mais moins qu’avant tout de même. Je m’approche et finis par dire à ma mère que je suis désolée qu’elle ait assisté à ça, ce n’était pas mon idée, mais les gars m’ont amenée ici et j’ai laissé faire… Après un long moment, ma mère me répond, entre deux pleurs, « je ne suis pas fâchée, juste surprise, je croyais que tu n’avais de relation qu’avec Gérard et ta copine, ça m’allait bien, je m’y étais faite »… Je ne sais pas quoi répondre… « Là, te trouver entourée d’hommes qui te font des choses à plusieurs, ce n’est pas pareil » ajoute-t-elle en pleurs… Cela me fait pleurer aussi et je l’entends dire encore sur un ton plein de reproches « décidément, ce Gérard est un salaud, non content de profiter de toi, il te donne à d’autres, j’espère que tu ne fais pas la pute en plus »… Nous pleurons toutes les deux et au bout d’un moment, j’arrive à dire « non, maman, je ne fais pas la pute et c’est avec mon accord que Gérard a amené ces gars »…
Ma mère pleure de nouveau, je me sens très mal à l’aise, en plus, je suis morte de fatigue et cette découverte par ma mère ne fait rien pour arranger les choses… Je finis par dire que je les laisse, en demandant pardon à ma mère et file me coucher. J’ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil et quand j’ai sombré de fatigue, ce n’était pas l’esprit tranquille.
A mon réveil, le ciel est bleu et une douce lumière entre dans ma chambre. Je me lève et vais dans la cuisine, ma mère s’y trouve, seule et bois son café. Je viens l’embrasser, elle répond à mon bonjour et je m’installe en face d’elle pour petit-déjeuner à mon tour. Elle a les traits tirés, elle a dû beaucoup pleurer. Je lui demande comment elle va et elle me répond « ma chérie, j’ai été choquée hier soir de te trouver avec tous ces hommes, mais le pire pour moi c’est que tu ne semblais pas t’y trouver mal »… Ah ça pour le coup, si elle n’était pas arrivé sur le fait, j’aurai passé une très agréable journée à me faire baiser en groupe… « Oui, c’est vrai maman, parfois Gérard accepte de me laisser avec d’autres hommes, et j’aime cela » lui dis-je… « Et il ne faut pas blâmer Gérard, au contraire, c’est grâce à lui que je peux le faire sans danger, ça fait simplement partie de mes fantasmes » dis-je en la regardant dans les yeux… En même temps, je ne peux pas lui dire que depuis les amis de Didier, et ensuite avec Gérard, je n’ai fait que me faire baiser par tout un tas de gars qui m’ont fait des choses dont elle n’a pas besoin d’entendre parler… Ma mère pleure encore un peu puis, sa main vient chercher la mienne et elle me dit « c’est difficile pour moi, j’ai perdu un fils, trouvé une fille, rencontré Evelyne et maintenant je te vois avec beaucoup d’hommes en même temps, c’est compliqué »… Elle pleure de nouveau et je me sens triste mais soulagée, ça va passer…
Quand elle reprend ses esprits, nous avons fini le petit-déjeuner et elle me dit « je ne vais pas travailler aujourd’hui, Evelyne dort encore dans ma chambre, ne faisons pas trop de bruit ». Ah d’accord, bon je vais faire en sorte de les laisser tranquilles. Je lui dis que je m’habille et que je les laisse au calme, mais ma mère ajoute « non, reste ce matin, je voudrai parler un peu avec toi »… Je suis finalement contente que cela se fasse comme ça. Le temps de ranger de petit déjeuner et nous filons au salon.
Une fois installées sur le canapé, je me dis qu’heureusement qu’elle est arrivée quand j’étais baisée sur le tapis, sans ça nous aurions du mal à nous asseoir sur le canapé sans le nettoyer… ma mère me prend la main et me dit « tu sais ma chérie, beaucoup de choses se sont passées depuis peu et j’ai un peu de mal à m’y retrouver »… « Je comprends que ta vie sois particulière et que tu veuilles la vivre comme tu l’entends et j’ai fini par l’accepter »… « Pourtant, même si parfois c’est difficile, Evelyne m’aide beaucoup pour te comprendre »… « Hier soir, j’étais effondrée et c’est elle qui m’a rappelée ce que tu avais dû vivre quand tu as découvert ma relation avec elle, elle m’a aussi rappelée que tu ne m’as fait aucun reproche »… « J’y ai pensé toute la nuit et c’est vrai que tu es une fille formidable pour une mère »… « Alors bien que surprise, pardonne-moi, tu dois pouvoir vivre ta vie sans que je n’ai rien à en dire »…
Je reste un moment sans rien dire, ma mère est vraiment une chouette femme. Je finis par lui répondre « merci maman, moi aussi je voulais te dire que je suis désolée que tu m’ais trouvé dans cette situation, à l’avenir, je ferai attention à ce que cela ne se reproduise plus à la maison »… Ma mère me remercie en me prenant dans ses bras et ce câlin me fait du bien…
Après un moment sans parler, elle me regarde avec un air curieux et me dit « par contre, j’ai une question, s’il y avait bien deux hommes occupés avec toi hier soir, comment faisiez-vous ? »… « Je ne comprends pas ta question maman » lui dis-je… « Ben oui, y’en avait un qui avait sa…, enfin tu vois ce que je veux dire, dans toi, mais l’autre ? » me demande-t-elle… Ah d’accord, une question technique… « Et bien lui aussi maman » dis-je l’air innocente… « Mais comment est-ce possible ? » sursaute-telle… « Il faut un peu s’entrainer avant » dis-je avec un grand sourire… « Mon dieu, deux dans le c…, enfin dans ton derrière ? » me répond-elle… « Oui, et si tu veux savoir, c’est particulièrement bon » dis-je avec un air malicieux… Elle me regarde avec un air effrayé et envieux qui me fait penser que passé le choc, je me demande si cela ne fera pas comme les plugs, elle pourrait avoir envie d’essayer… Elle ajoute « j’ai remarqué que Gérard avait un appareil photo, il ne te prend pas en photos pendant vos ébats tout de même ? »… Aïe, la question qui tue… J’hésite un moment avant de répondre « tu sais maman, Gérard aime bien me prendre en photo, ce n’est pas nouveau, j’ai l’habitude, ça me fait plaisir »… « Enfin, du moment qu’il ne les montre à personne » me répond-elle un peu apaisée… La pauvre, je ne peux pas lui révéler qu’il les montre à tout le monde et que certaines sont très obscènes… Pas plus que je ne peux lui dire que le photographe qui les développe s’est bien occupé de mon cul lui aussi…
Evelyne s’est réveillée et vient nous rejoindre. Elle porte une nuisette courte, ce qui me laisse admirer ses jambes, qui sont fines et assez longues. Elle embrasse ma mère sur la bouche sans se cacher, tout en lui touchant un sein. Ben, vu ce qu’elles ont vu hier, ce n’est rien… Elle me salue et ma mère part lui préparer son café. Tandis que ma mère s’affaire à la cuisine, Evelyne me regarde et me dit tout bas « petite coquine, je ne savais pas que tu satisfaisais plusieurs gars à la fois »… « Je connais Gérard, je sais que c’est un libertin très ouvert et qu’il a beaucoup d’amis comme lui, mais je te voyais pas faire la salope pour tout le monde » ajoute-t-elle en riant… Je suis un peu décontenancée par son propos, il n’est pas méchant mais il dit bien ce qu’elle pense de moi aujourd’hui… Bon, en même temps, que puis-je nier ? Rien en vérité… C’est vrai qu’hier j’ai bien fait ma salope avec tous ces gars et que j’ai aimé ça… Ma mère revient avec le café d’Evelyne et tandis qu’elle le boit, ses yeux glissent sur ma silhouette d’une façon particulière que je n’avais jamais remarqué… Nous restons là toutes les trois à papoter de tout et de rien pendant un moment. Puis, ma mère dit qu’elle va prendre sa douche et Evelyne se lève pour prendre un autre café. Quand elle revient, elle s’assoit à côté de moi et me dit « tu avais l’air de beaucoup apprécier ce qu’on te faisait hier soir, à voir la façon dont tu criais »… « Deux queues dans le cul en même temps, tu as de l’expérience malgré ton jeune âge » ajoute-t-elle en posant une main sur ma cuisse… Je sursaute, je ne m’attendais pas à cela… Ce faisant, elle bouge le buste et une de ses bretelles se détache de son épaule et glisse sur son bras, dévoilant une bonne partie de son sein, très joli d’ailleurs… Elle remarque que mon regard se pose sur sa poitrine et sans complexe, elle me dévoile ses deux seins… « Comment les trouves-tu ? » me demande-t-elle en les saisissants à deux mains… Je bafouille en lui répondant que c’est gênant pour moi de voir sa poitrine… « Pourquoi, on est entre filles, non ? » me répond-elle… Je baisse les yeux, même si la vue des seins d’Evelyne m’attire car ils sont petits, certes, mais parfaitement bien dessinés, c’est quand même la chérie de ma mère, difficile de faire plus… Elle comprend mon malaise et se lève, je suis soulagée. Elle remet les bretelles de sa nuisette et ce faisant, elle la remonte trop, du coup, je vois soudain apparaitre sa chatte bien épilée… « Et ma chatte, tu la trouves comment ? » me demande-t-elle un grand sourire aux lèvres… Là, je ne sais plus quoi faire, je suis affreusement gênée, et en même temps, j’avoue que je la lui lècherai bien sa chatte, si elle n’était pas avec ma mère… Je suis folle de penser ça, je détourne le regard… Evelyne laisse retomber sa nuisette et se rassoit. « Ne fais pas ta timide, les petites salopes dans ton genre j’en ai déjà maté » me dit-elle… « Tu sais, j’ai un bon gode ceinture et je le mettrai bien dans le cul un de ces jours, pour t’entendre crier » ajoute-t-elle avec un air lubrique dans le regard… Oui, ça je sais qu’elle en a un, je suis tombée dessus l’autre jour… Je suis choquée… Non pas par la proposition, qui ne me déplairait pas en soi, mais par le fait que c’est la copine de ma mère et je me lève d’un bond… Tout en finissant son café, elle se penche vers moi et une de ses mains vient soulever ma robe et dévoiler mon clito… Je suis pétrifiée et ne bouge pas, je ne sais vraiment plus quoi faire… Un de ses doigts vient faire balancer mon clito, tandis qu’elle ajoute « il est mignon ton petit clito, tu crois que si je te mets mon gode-ceinture dans le cul il grossira un peu ? »… Son doigt laisse mon clito et glisse dans ma raie, descendant du haut de mes fesses jusque sur ma rondelle… Là, il se pose un peu, tournant doucement autour, ce qui m’électrise… Je suis folle, mais ça m’excite de sentir son doigt… Elle insiste en me regardant droit dans les yeux, enfonce même un peu son doigt dans ma rondelle et me dit doucement « un de ces jours, je vais m’occuper de toi petite salope, tu verras, tu aimeras »… Je n’arrive toujours pas à bouger, je ne suis pas à l’aise avec ce qu’il se passe et pourtant tout ça m’excite au plus haut point… Bien contre mon gré, mon clito perle et Evelyne s’en aperçoit… « Oh, pauvre petit chou, ton clito pleure, tu vois il aime déjà ça, qu’est-ce que ce sera quand je te défoncerai le cul avec le gode-ceinture» me dit-elle en riant… Elle retire sa main et ma robe retombe sur mon clito mouillé… Elle se lève à son tour, me tend sa tasse et me dit « tiens, salope, va nettoyer ma tasse pendant que je vais me laver »… Alors que je me tourne pour aller à la cuisine, elle me donne une petite tape sur le cul et s’en va…
Restée seule, tout en lavant la tasse, j’essaye de comprendre ce qu’il vient de se passer… Je viens de me faire doigter le cul par la copine de ma mère, lesbienne notoire, qui m’a montré sa chatte et ses seins et qui me promet de me baiser le cul à grands coups de gode-ceinture… Wow, c’est du délire… C’est la copine de ma mère, qui doit en être amoureuse, c’est impensable… Pourtant, je dois avouer que ce petit traitement m’a terriblement excitée et qu’au fond de moi, j’aurai envie que ça arrive… Je suis complètement folle…
A suivre, si vous avez aimé…
N’hésitez pas à me laisser un commentaire et un like…
Sabine 07
1 year ago