Nini 7
- Tu as fait un lavement ?
- Un ? ah ouiâŠeuh nonâŠ
- On va Ă©viter la sodomie alors, nous nâen serions peut-ĂȘtre satisfaits ni lâun ni lâautre tu ne crois pas ?
- Comme vous voulez Mr DiopâŠ
- Appelle-moi Emile quand nous sommes en famille et tutoie-moi dans ces moments-lĂ âŠtu me vouvoiera comme marque de respect en privĂ©âŠ
- Oui Mr EmileâŠvoulez-vous que je vous suce jusquâau bout ? je nâai pas eu loisir de gouter Ă votre semenceâŠ
- Bonne initiative NiniâŠ
Nini goba la bite de Diop et pris plaisir Ă lâenfoncer loin dans sa gorge... elle suffoquait parfois et devait reculer le membre de Diop âŠcelui-ci en bon dominant pris la direction des opĂ©rations. il avait saisi la tĂȘte de Nini et imprimait son rythme sans trop enfoncer sa verge âŠNini avait discrĂštement glissĂ© sa main jusquâĂ son entrejambe et se caressait vigoureusementâŠDiop Ă©jacula en mĂȘme temps quâelle atteignait lâorgasmeâŠelle dĂ»t sây reprendre Ă deux fois pour avaler tout le foutre que son amant avait dĂ©versĂ© dans sa boucheâŠ
- Nini, tu attendras que je te donne lâautorisation pour te caresserâŠ
- Pardon Mr Diop, mais lĂ jâavais vraiment trop envieâŠ
- Ăa passe pour cette fois, mais que je ne tây reprenne pasâŠvas te laver les dentsâŠet tâhabillerâŠ
Quand ils descendirent dans la salle Ă manger, la table Ă©tait prĂȘte et Louise et Faty discutaient Ă bĂątons rompusâŠle repas Ă©tait excellent et le vin aidant tous Ă©taient bien dĂ©tendus. Ils Ă©taient au dessert quand un Ă©lĂ©gant jeune mĂ©tis fit son entrĂ©e dans la piĂšceâŠil fit un tour de table en claquant la bise Ă tous et se prĂ©senta Ă Nini :
- Je suis Antoine le petit-fils dâEmile et le fils de Claude et de VirginieâŠ
- EnchantĂ©e, je suis NiniâŠet voici ma fille Louise
- Bonsoir Louise !
- BonâŠbonsoir Antoine, enchantĂ©eâŠ
Louise semblait trĂšs Ă©mue devant ce beau jeune homme dâun mĂštre quatre vingt cinq au physique athlĂ©tiqueâŠcelui-ci sâassit prĂšs dâelle et la discussion des « adultes » reprenant son cours normal, ils se mirent Ă deviser gentimentâŠLouise se dĂ©tendait au fil du tempsâŠtous les deux Ă©taient des passionnĂ©s dâimpressionnisme et rapidement ils envisagĂšrent dâaller ensemble visiter le MusĂ©e dâOrsay Ă ParisâŠsans mĂȘme sâen rendre compte leurs mains sâĂ©taient jointes et ils Ă©taient tournĂ©s lâun vers lâautre, les yeux dans les yeuxâŠcâest Ă peine s(ils remarquĂšrent que les autres sâĂ©taient Ă©clipsĂ©s discrĂštement, remettant le dĂ©barrassage de la table au lendemain afin de les laisser tranquillesâŠtout en Ă©voquant qui Monet, qui Renoir, leurs visages sâĂ©taient rapprochĂ©s et leurs bouches se rejoignirentâŠleurs mains se sĂ©parĂšrent pour partir dĂ©licatement explorer le corps de lâautreâŠleurs bouches toujours scellĂ©es entre elles, les caresses se firent plus intensesâŠcontrairement Ă ses prĂ©cĂ©dentes fois, ce fut Louise qui prit lâinitiativeâŠsans dire un mot, elle se leva, embrassant toujours Antoine, puis elle le prit dĂ©licatement par la main et lâamena jusquâĂ sa chambreâŠQuand elle eut refermĂ© la porte, elle descendit sur ses genoux et entreprit dâouvrir la braguette dâAntoineâŠ
- Tu nâes pas obligĂ©e tu saisâŠ
- Pour la premiĂšre fois de ma vie jâen ai envieâŠmais si tu ne âŠ
- Si, bien sĂ»r que jâen ai envie, mais pas comme çaâŠ
DĂ©licatement il la releva, puis toujours en douceur, il commença Ă dĂ©boutonner son chemisierâŠplus maladroitement louise, rĂ©ussit Ă dĂ©boutonner le jean dâAntoine et Ă le faire glisser jusquâĂ ses chevilles. Ce quâelle devina sous le caleçon du jeune homme la fit saliverâŠelle se dĂ©pĂȘcha dâenlever Ă©galement le sous-vĂȘtementâŠAntoine nâĂ©tait pas restĂ© inactif et avait dĂ©grafĂ© son soutien-gorgeâŠle temps quâil enlĂšve son Tee-shirt et se dĂ©fasse de ses jeans et caleçon, elle avait ĂŽtĂ© sa jupe et son slipâŠils se reculĂšrent un peu pour sâadmirer puis se blottirent dans les bras lâun de lâautre tout en sâembrassant langoureusementâŠils glissĂšrent jusquâau sol, mais au grand Ă©tonnement de Louise Antoine positionna sa tĂȘte entre ses cuisses laissant sa verge Ă portĂ©e de bouche pour LouiseâŠComme elle lâavait dĂ©cidĂ© en entrant dans la chambre, elle entreprit de sucer cette verge de belle tailleâŠelle nâĂ©tait pas experte dans le domaine, loin de lĂ , mais elle avait dĂ©cidĂ© de sâappliquerâŠAntoine, lui, fit glisser ses lĂšvres jusquâau lĂšvres intimes de Louise, ce qui lui procura un frisson de plaisirâŠses tĂ©tons avaient durcis, elle les sentait comme elle ne les avait jamais senti auparavantâŠAntoine ouvrait dĂ©licatement ses lĂšvres de ses doigts maintenant et elle sentait son souffle caresser dĂ©licatement toute son intimitĂ©âŠson clitoris commençait Ă sortir de sa cage et la langue dâAntoine vint le titiller ???câĂ©tait si bon quâelle en oubliait de le sucerâŠheureusement les palpitations du sang bouillonnant dans la jeune verge la rappelĂšrent Ă ses « devoirs »âŠsa main gauche vint dĂ©licatement caresser les couilles lisses du jeune amantâŠses lĂšvres sâenroulĂšrent autour du gland et elle se surprit Ă aspirer le sexeâŠles caresses et le jeu de langue dâAntoine la firent mouiller abondamment .. Elle nâavait jamais vĂ©cu un tel phĂ©nomĂšne avant ce soirâŠAntoine redoubla les coups de langue sur se lĂšvres et sur son clitoris et elle jouit dans un immense cri que toute la maison put entendreâŠelle sâeffondra rouge de honte et de plaisir mĂȘlĂ©s sur le cĂŽtĂ©âŠAntoine Ă©tait hilareâŠ
- JâespĂšre quâils ne dormaient pas sinon tu les as rĂ©veillĂ©sâŠ
- Oui, mais toiâŠtu nâas pas jouiâŠ.
- Tu veux que je te fasse lâamour ?
- OuiâŠ
- Tu veux dâune façon particuliĂšre ?
- Comme toi tu voudras
CâĂ©tait bien la premiĂšre fois quâelle disait celaâŠAntoine, dĂ©licatement la positionna en levretteâŠlĂ aussi câĂ©tait une premiĂšre pour elleâŠelle essaya de se dĂ©tendre mĂȘme si elle avait de cette bite au fond dâelle comme jamaisâŠla bite dâAntoine effleurait dĂ©jĂ ses grandes lĂšvresâŠil Ă©tait doux dans son approche, ce qui nâavait pas toujours le cas de ses « coups » dâavantâŠdĂ©licatement la verge se fraya son chemin entre ses parois gorgĂ©es de dĂ©sirâŠLouise se surprit Ă vouloir quâil sâenfonce brutalement en elle , quâil la tienne par les hanches tout en lui pilonnant la chatte jusquâĂ jouir au plus profond dâelleâŠelle qui disait dĂ©tester toute la philosophie BDSM se surprenait Ă avoir de telle pensĂ©esâŠil avait tout comme dans ses pensĂ©es Ă©rotiques posĂ© ses mains sur ses hanches et trĂšs dĂ©licatement il sâenfonçait en elleâŠelle aurait voulu, câĂ©tait fou Ă bien y rĂ©flĂ©chir, quâil lui tire les cheveux pour lui cambrer le dosâŠmais Antoine ne le fit pasâŠelle sentit ses couilles toucher la peau de ses cuisses. ;.
- Ăa va ? je ne te fais pas mal ?
- NonâŠelle se sentit rougir en ajoutant :
- Vas y fort si tu veuxâŠ
- Fort ? genre tu risques de douiller demain ?
- Fort comme tu crois que je vais aimerâŠ
Il ne dit rien, mais sa main gauche vint empoigner ses cheveux rĂ©unis sagement en une queue de chevalâŠil tira ostensiblement et elle sentit son dos se cambrerâŠce faisant la bite dâAntoine investissait un peu plus encore sa chatteâŠil commença de lents va et vient au creux de son intimitĂ©, reculant Ă presque sortir de sa chatte puis en sâenfonçant jusquâĂ ce que ses couilles viennent taper contre les cuisses de LouiseâŠil accĂ©lĂ©ra la cadence âŠLouise sentait quâelle mouillait abondamment les bruits Ă©mis par sa chatte le prouvaientâŠelle Ă©tait bienâŠelle voulait jouir encore , et le voir jouir en elleâŠetâŠcomme elle avait honte Ă cette seule idĂ©e, quâil lui claque le cul, comme elle lâavait vu faire lors du visionnage de vidĂ©os xâŠla claque sur sa fesse lui fit pousser un petit criâŠ
- Oui, vas-y continues
Mais dâoĂč venaient ces mots ? hier encore elle se serait pendue plutĂŽt que de les prononcerâŠ
Ce fut au tour de lâautre fesseâŠcâest sĂ»r, demain ça risquait dâĂȘtre compliquĂ© pour marcher normalement, dâautant quâAntoine avait accĂ©lĂ©rĂ© le tempo et quâil lui dĂ©fonçait littĂ©ralement la chatte maintenantâŠelle suait abondamment et Ă©mettait de petits cris de plaisirâŠfut-ce la claque sur la fesse, un coup de bite plus fort ou plus profond ? lâorgasme la terrassa de nouveau, ses bras pliĂšrent et elle sâeffondra dans un long rĂąle sur le parquet de la chambreâŠ
- RelĂšve-toi !
Le ton Ă©tait ferme et ne souffrait pas de contradictionâŠet elle ne voulait surtout pas le contredireâŠun dĂ©clic sâĂ©tait produit en elleâŠcâĂ©tait par son biais, et par ses volontĂ©s que son plaisir de femme viendraitâŠil Ă©tait clair pour elle Ă prĂ©sent que tout ce quâelle avait vĂ©cu avant en matiĂšre de sexualitĂ© Ă©tait balayĂ© par Antoine, et quâelle ferait tout ce quâil lui demanderait car câĂ©tait lui qui lâavait rĂ©vĂ©lĂ©e en tant que femmeâŠelle se remit en position de levretteâŠmais la bite dâAntoine ne prenait pas le chemin de sa chatteâŠelle sâĂ©tait posĂ© sur son Ćillet âŠ
- Tu veux mâenculer ?
Bizarrement, elle aimait ce langage grossier. Il y a peu elle nâaurait mĂȘme pas pu prononcer ces motsâŠ
- Toi, tu le veux ?
- Oui ! encules moi fort et jouis dans mon culâŠje veux sentir ton foutre au plus profond de moiâŠ
DâoĂč connaissait-elle ces mots ? elle se le demandaitâŠ
La bite posĂ©e contre sa rondelle la ramena Ă la rĂ©alitĂ©âŠelle sentit quelque chose de froid couler sur son anusâŠpuis le sexe dâAntoine vint pousser dĂ©licatementâŠla pĂ©nĂ©tration lui sembla facileâŠcomme un corps Ă©tranger qui sâinsinuerait en elle, câĂ©tait dâailleurs tout Ă fait çaâŠmais sans douleurâŠpuis aprĂšs quelques va et vient doux, les couilles qui tapent sur ses fessesâŠ
- Ăa va ?
- OuiâŠles mots qui suivirent la firent rougirâŠ
- Bourre-moi bien le cul âŠje veux ĂȘtre ta petite salope que tu enculesâŠ
Il ne dit rien, mais une fois de plus se saisit de sa chevelure et la fit se cambrerâŠle pilonnage de son cul lui sembla plus intense que celui de sa chatteâŠelle sâentendait crier son plaisir sans quâaucune honte ne lâaffecteâŠson vagin dĂ©goulinait de sa mouilleâŠson amant la pistonnait comme si sa vie en dĂ©pendaitâŠles claques retentissaient sur ses fesses, ajoutant semblait il Ă son plaisirâŠenfin elle sentit la verge plantĂ©e en elle se dilater encore plus, prĂ©mices dâune Ă©jaculation libĂ©ratoire pour les deux amantsâŠil lui sembla sentir le foutre frapper les parois de son anus avant que lâorgasme ne la fasse de nouveau sâeffondrer en de multiples soubresautsâŠ
Quand elle reprit conscience, Antoine lâavait portĂ© jusquâau litâŠil caressait dâun doigt son teton gauche encore tout dur de son plaisirâŠil lui glissa un petit baiser sur lâĂ©pauleâŠ
- Merci, je nâai jamais connu ça de ma vieâŠmalgrĂ© sa fatigue, elle parvint Ă lui rĂ©pondre
- Moi non plus tu saisâŠ
Ils sâendormirent ainsi tendrement enlacĂ©sâŠ
Quelques chambres plus loin, Nini souriait dans lâobscuritĂ©âŠaprĂšs quâelle eut fait son lavement âmerci les tutos sur internetâŠ) Emile lâavait vigoureusement sodomisĂ©âŠsi ses gĂ©missements nâavaient pas Ă©tĂ© couverts par les cris de plaisir de sa fille, câest sĂ»r quâils auraient tenus Ă©veillĂ©s les autres membres de la maisonnĂ©eâŠFaty souriait Ă©galement dans sa chambre âŠsur une appli de rencontres spĂ©cialisĂ©e dans le lesbianisme, elle pensait avoir trouvĂ© la perle rareâŠdu coup sa main avait virevoltĂ© sur ses replis intimes et elle avait atteint ce sentiment de plĂ©nitude et dâextase quâon nomme lâorgasmeâŠmais Ă son grand regret, câĂ©tait seuleâŠ
- Un ? ah ouiâŠeuh nonâŠ
- On va Ă©viter la sodomie alors, nous nâen serions peut-ĂȘtre satisfaits ni lâun ni lâautre tu ne crois pas ?
- Comme vous voulez Mr DiopâŠ
- Appelle-moi Emile quand nous sommes en famille et tutoie-moi dans ces moments-lĂ âŠtu me vouvoiera comme marque de respect en privĂ©âŠ
- Oui Mr EmileâŠvoulez-vous que je vous suce jusquâau bout ? je nâai pas eu loisir de gouter Ă votre semenceâŠ
- Bonne initiative NiniâŠ
Nini goba la bite de Diop et pris plaisir Ă lâenfoncer loin dans sa gorge... elle suffoquait parfois et devait reculer le membre de Diop âŠcelui-ci en bon dominant pris la direction des opĂ©rations. il avait saisi la tĂȘte de Nini et imprimait son rythme sans trop enfoncer sa verge âŠNini avait discrĂštement glissĂ© sa main jusquâĂ son entrejambe et se caressait vigoureusementâŠDiop Ă©jacula en mĂȘme temps quâelle atteignait lâorgasmeâŠelle dĂ»t sây reprendre Ă deux fois pour avaler tout le foutre que son amant avait dĂ©versĂ© dans sa boucheâŠ
- Nini, tu attendras que je te donne lâautorisation pour te caresserâŠ
- Pardon Mr Diop, mais lĂ jâavais vraiment trop envieâŠ
- Ăa passe pour cette fois, mais que je ne tây reprenne pasâŠvas te laver les dentsâŠet tâhabillerâŠ
Quand ils descendirent dans la salle Ă manger, la table Ă©tait prĂȘte et Louise et Faty discutaient Ă bĂątons rompusâŠle repas Ă©tait excellent et le vin aidant tous Ă©taient bien dĂ©tendus. Ils Ă©taient au dessert quand un Ă©lĂ©gant jeune mĂ©tis fit son entrĂ©e dans la piĂšceâŠil fit un tour de table en claquant la bise Ă tous et se prĂ©senta Ă Nini :
- Je suis Antoine le petit-fils dâEmile et le fils de Claude et de VirginieâŠ
- EnchantĂ©e, je suis NiniâŠet voici ma fille Louise
- Bonsoir Louise !
- BonâŠbonsoir Antoine, enchantĂ©eâŠ
Louise semblait trĂšs Ă©mue devant ce beau jeune homme dâun mĂštre quatre vingt cinq au physique athlĂ©tiqueâŠcelui-ci sâassit prĂšs dâelle et la discussion des « adultes » reprenant son cours normal, ils se mirent Ă deviser gentimentâŠLouise se dĂ©tendait au fil du tempsâŠtous les deux Ă©taient des passionnĂ©s dâimpressionnisme et rapidement ils envisagĂšrent dâaller ensemble visiter le MusĂ©e dâOrsay Ă ParisâŠsans mĂȘme sâen rendre compte leurs mains sâĂ©taient jointes et ils Ă©taient tournĂ©s lâun vers lâautre, les yeux dans les yeuxâŠcâest Ă peine s(ils remarquĂšrent que les autres sâĂ©taient Ă©clipsĂ©s discrĂštement, remettant le dĂ©barrassage de la table au lendemain afin de les laisser tranquillesâŠtout en Ă©voquant qui Monet, qui Renoir, leurs visages sâĂ©taient rapprochĂ©s et leurs bouches se rejoignirentâŠleurs mains se sĂ©parĂšrent pour partir dĂ©licatement explorer le corps de lâautreâŠleurs bouches toujours scellĂ©es entre elles, les caresses se firent plus intensesâŠcontrairement Ă ses prĂ©cĂ©dentes fois, ce fut Louise qui prit lâinitiativeâŠsans dire un mot, elle se leva, embrassant toujours Antoine, puis elle le prit dĂ©licatement par la main et lâamena jusquâĂ sa chambreâŠQuand elle eut refermĂ© la porte, elle descendit sur ses genoux et entreprit dâouvrir la braguette dâAntoineâŠ
- Tu nâes pas obligĂ©e tu saisâŠ
- Pour la premiĂšre fois de ma vie jâen ai envieâŠmais si tu ne âŠ
- Si, bien sĂ»r que jâen ai envie, mais pas comme çaâŠ
DĂ©licatement il la releva, puis toujours en douceur, il commença Ă dĂ©boutonner son chemisierâŠplus maladroitement louise, rĂ©ussit Ă dĂ©boutonner le jean dâAntoine et Ă le faire glisser jusquâĂ ses chevilles. Ce quâelle devina sous le caleçon du jeune homme la fit saliverâŠelle se dĂ©pĂȘcha dâenlever Ă©galement le sous-vĂȘtementâŠAntoine nâĂ©tait pas restĂ© inactif et avait dĂ©grafĂ© son soutien-gorgeâŠle temps quâil enlĂšve son Tee-shirt et se dĂ©fasse de ses jeans et caleçon, elle avait ĂŽtĂ© sa jupe et son slipâŠils se reculĂšrent un peu pour sâadmirer puis se blottirent dans les bras lâun de lâautre tout en sâembrassant langoureusementâŠils glissĂšrent jusquâau sol, mais au grand Ă©tonnement de Louise Antoine positionna sa tĂȘte entre ses cuisses laissant sa verge Ă portĂ©e de bouche pour LouiseâŠComme elle lâavait dĂ©cidĂ© en entrant dans la chambre, elle entreprit de sucer cette verge de belle tailleâŠelle nâĂ©tait pas experte dans le domaine, loin de lĂ , mais elle avait dĂ©cidĂ© de sâappliquerâŠAntoine, lui, fit glisser ses lĂšvres jusquâau lĂšvres intimes de Louise, ce qui lui procura un frisson de plaisirâŠses tĂ©tons avaient durcis, elle les sentait comme elle ne les avait jamais senti auparavantâŠAntoine ouvrait dĂ©licatement ses lĂšvres de ses doigts maintenant et elle sentait son souffle caresser dĂ©licatement toute son intimitĂ©âŠson clitoris commençait Ă sortir de sa cage et la langue dâAntoine vint le titiller ???câĂ©tait si bon quâelle en oubliait de le sucerâŠheureusement les palpitations du sang bouillonnant dans la jeune verge la rappelĂšrent Ă ses « devoirs »âŠsa main gauche vint dĂ©licatement caresser les couilles lisses du jeune amantâŠses lĂšvres sâenroulĂšrent autour du gland et elle se surprit Ă aspirer le sexeâŠles caresses et le jeu de langue dâAntoine la firent mouiller abondamment .. Elle nâavait jamais vĂ©cu un tel phĂ©nomĂšne avant ce soirâŠAntoine redoubla les coups de langue sur se lĂšvres et sur son clitoris et elle jouit dans un immense cri que toute la maison put entendreâŠelle sâeffondra rouge de honte et de plaisir mĂȘlĂ©s sur le cĂŽtĂ©âŠAntoine Ă©tait hilareâŠ
- JâespĂšre quâils ne dormaient pas sinon tu les as rĂ©veillĂ©sâŠ
- Oui, mais toiâŠtu nâas pas jouiâŠ.
- Tu veux que je te fasse lâamour ?
- OuiâŠ
- Tu veux dâune façon particuliĂšre ?
- Comme toi tu voudras
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- Ăa va ? je ne te fais pas mal ?
- NonâŠelle se sentit rougir en ajoutant :
- Vas y fort si tu veuxâŠ
- Fort ? genre tu risques de douiller demain ?
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Il ne dit rien, mais sa main gauche vint empoigner ses cheveux rĂ©unis sagement en une queue de chevalâŠil tira ostensiblement et elle sentit son dos se cambrerâŠce faisant la bite dâAntoine investissait un peu plus encore sa chatteâŠil commença de lents va et vient au creux de son intimitĂ©, reculant Ă presque sortir de sa chatte puis en sâenfonçant jusquâĂ ce que ses couilles viennent taper contre les cuisses de LouiseâŠil accĂ©lĂ©ra la cadence âŠLouise sentait quâelle mouillait abondamment les bruits Ă©mis par sa chatte le prouvaientâŠelle Ă©tait bienâŠelle voulait jouir encore , et le voir jouir en elleâŠetâŠcomme elle avait honte Ă cette seule idĂ©e, quâil lui claque le cul, comme elle lâavait vu faire lors du visionnage de vidĂ©os xâŠla claque sur sa fesse lui fit pousser un petit criâŠ
- Oui, vas-y continues
Mais dâoĂč venaient ces mots ? hier encore elle se serait pendue plutĂŽt que de les prononcerâŠ
Ce fut au tour de lâautre fesseâŠcâest sĂ»r, demain ça risquait dâĂȘtre compliquĂ© pour marcher normalement, dâautant quâAntoine avait accĂ©lĂ©rĂ© le tempo et quâil lui dĂ©fonçait littĂ©ralement la chatte maintenantâŠelle suait abondamment et Ă©mettait de petits cris de plaisirâŠfut-ce la claque sur la fesse, un coup de bite plus fort ou plus profond ? lâorgasme la terrassa de nouveau, ses bras pliĂšrent et elle sâeffondra dans un long rĂąle sur le parquet de la chambreâŠ
- RelĂšve-toi !
Le ton Ă©tait ferme et ne souffrait pas de contradictionâŠet elle ne voulait surtout pas le contredireâŠun dĂ©clic sâĂ©tait produit en elleâŠcâĂ©tait par son biais, et par ses volontĂ©s que son plaisir de femme viendraitâŠil Ă©tait clair pour elle Ă prĂ©sent que tout ce quâelle avait vĂ©cu avant en matiĂšre de sexualitĂ© Ă©tait balayĂ© par Antoine, et quâelle ferait tout ce quâil lui demanderait car câĂ©tait lui qui lâavait rĂ©vĂ©lĂ©e en tant que femmeâŠelle se remit en position de levretteâŠmais la bite dâAntoine ne prenait pas le chemin de sa chatteâŠelle sâĂ©tait posĂ© sur son Ćillet âŠ
- Tu veux mâenculer ?
Bizarrement, elle aimait ce langage grossier. Il y a peu elle nâaurait mĂȘme pas pu prononcer ces motsâŠ
- Toi, tu le veux ?
- Oui ! encules moi fort et jouis dans mon culâŠje veux sentir ton foutre au plus profond de moiâŠ
DâoĂč connaissait-elle ces mots ? elle se le demandaitâŠ
La bite posĂ©e contre sa rondelle la ramena Ă la rĂ©alitĂ©âŠelle sentit quelque chose de froid couler sur son anusâŠpuis le sexe dâAntoine vint pousser dĂ©licatementâŠla pĂ©nĂ©tration lui sembla facileâŠcomme un corps Ă©tranger qui sâinsinuerait en elle, câĂ©tait dâailleurs tout Ă fait çaâŠmais sans douleurâŠpuis aprĂšs quelques va et vient doux, les couilles qui tapent sur ses fessesâŠ
- Ăa va ?
- OuiâŠles mots qui suivirent la firent rougirâŠ
- Bourre-moi bien le cul âŠje veux ĂȘtre ta petite salope que tu enculesâŠ
Il ne dit rien, mais une fois de plus se saisit de sa chevelure et la fit se cambrerâŠle pilonnage de son cul lui sembla plus intense que celui de sa chatteâŠelle sâentendait crier son plaisir sans quâaucune honte ne lâaffecteâŠson vagin dĂ©goulinait de sa mouilleâŠson amant la pistonnait comme si sa vie en dĂ©pendaitâŠles claques retentissaient sur ses fesses, ajoutant semblait il Ă son plaisirâŠenfin elle sentit la verge plantĂ©e en elle se dilater encore plus, prĂ©mices dâune Ă©jaculation libĂ©ratoire pour les deux amantsâŠil lui sembla sentir le foutre frapper les parois de son anus avant que lâorgasme ne la fasse de nouveau sâeffondrer en de multiples soubresautsâŠ
Quand elle reprit conscience, Antoine lâavait portĂ© jusquâau litâŠil caressait dâun doigt son teton gauche encore tout dur de son plaisirâŠil lui glissa un petit baiser sur lâĂ©pauleâŠ
- Merci, je nâai jamais connu ça de ma vieâŠmalgrĂ© sa fatigue, elle parvint Ă lui rĂ©pondre
- Moi non plus tu saisâŠ
Ils sâendormirent ainsi tendrement enlacĂ©sâŠ
Quelques chambres plus loin, Nini souriait dans lâobscuritĂ©âŠaprĂšs quâelle eut fait son lavement âmerci les tutos sur internetâŠ) Emile lâavait vigoureusement sodomisĂ©âŠsi ses gĂ©missements nâavaient pas Ă©tĂ© couverts par les cris de plaisir de sa fille, câest sĂ»r quâils auraient tenus Ă©veillĂ©s les autres membres de la maisonnĂ©eâŠFaty souriait Ă©galement dans sa chambre âŠsur une appli de rencontres spĂ©cialisĂ©e dans le lesbianisme, elle pensait avoir trouvĂ© la perle rareâŠdu coup sa main avait virevoltĂ© sur ses replis intimes et elle avait atteint ce sentiment de plĂ©nitude et dâextase quâon nomme lâorgasmeâŠmais Ă son grand regret, câĂ©tait seuleâŠ
1 year ago