Nini 7

- Tu as fait un lavement ?
- Un ? ah oui
euh non

- On va Ă©viter la sodomie alors, nous n’en serions peut-ĂȘtre satisfaits ni l’un ni l’autre tu ne crois pas ?
- Comme vous voulez Mr Diop

- Appelle-moi Emile quand nous sommes en famille et tutoie-moi dans ces moments-là
tu me vouvoiera comme marque de respect en privé 
- Oui Mr Emile
voulez-vous que je vous suce jusqu’au bout ? je n’ai pas eu loisir de gouter à votre semence

- Bonne initiative Nini

Nini goba la bite de Diop et pris plaisir Ă  l’enfoncer loin dans sa gorge... elle suffoquait parfois et devait reculer le membre de Diop 
celui-ci en bon dominant pris la direction des opĂ©rations. il avait saisi la tĂȘte de Nini et imprimait son rythme sans trop enfoncer sa verge 
Nini avait discrĂštement glissĂ© sa main jusqu’à son entrejambe et se caressait vigoureusement
Diop Ă©jacula en mĂȘme temps qu’elle atteignait l’orgasme
elle dĂ»t s’y reprendre Ă  deux fois pour avaler tout le foutre que son amant avait dĂ©versĂ© dans sa bouche

- Nini, tu attendras que je te donne l’autorisation pour te caresser

- Pardon Mr Diop, mais là j’avais vraiment trop envie

- Ça passe pour cette fois, mais que je ne t’y reprenne pas
vas te laver les dents
et t’habiller

Quand ils descendirent dans la salle Ă  manger, la table Ă©tait prĂȘte et Louise et Faty discutaient Ă  bĂątons rompus
le repas Ă©tait excellent et le vin aidant tous Ă©taient bien dĂ©tendus. Ils Ă©taient au dessert quand un Ă©lĂ©gant jeune mĂ©tis fit son entrĂ©e dans la piĂšce
il fit un tour de table en claquant la bise Ă  tous et se prĂ©senta Ă  Nini :
- Je suis Antoine le petit-fils d’Emile et le fils de Claude et de Virginie

- Enchantée, je suis Nini
et voici ma fille Louise
- Bonsoir Louise !
- Bon
bonsoir Antoine, enchantée

Louise semblait trĂšs Ă©mue devant ce beau jeune homme d’un mĂštre quatre vingt cinq au physique athlĂ©tique
celui-ci s’assit prĂšs d’elle et la discussion des « adultes » reprenant son cours normal, ils se mirent Ă  deviser gentiment
Louise se dĂ©tendait au fil du temps
tous les deux Ă©taient des passionnĂ©s d’impressionnisme et rapidement ils envisagĂšrent d’aller ensemble visiter le MusĂ©e d’Orsay Ă  Paris
sans mĂȘme s’en rendre compte leurs mains s’étaient jointes et ils Ă©taient tournĂ©s l’un vers l’autre, les yeux dans les yeux
c’est Ă  peine s(ils remarquĂšrent que les autres s’étaient Ă©clipsĂ©s discrĂštement, remettant le dĂ©barrassage de la table au lendemain afin de les laisser tranquilles
tout en Ă©voquant qui Monet, qui Renoir, leurs visages s’étaient rapprochĂ©s et leurs bouches se rejoignirent
leurs mains se sĂ©parĂšrent pour partir dĂ©licatement explorer le corps de l’autre
leurs bouches toujours scellĂ©es entre elles, les caresses se firent plus intenses
contrairement Ă  ses prĂ©cĂ©dentes fois, ce fut Louise qui prit l’initiative
sans dire un mot, elle se leva, embrassant toujours Antoine, puis elle le prit dĂ©licatement par la main et l’amena jusqu’à sa chambre
Quand elle eut refermĂ© la porte, elle descendit sur ses genoux et entreprit d’ouvrir la braguette d’Antoine

- Tu n’es pas obligĂ©e tu sais

- Pour la premiùre fois de ma vie j’en ai envie
mais si tu ne 

- Si, bien sĂ»r que j’en ai envie, mais pas comme ça

DĂ©licatement il la releva, puis toujours en douceur, il commença Ă  dĂ©boutonner son chemisier
plus maladroitement louise, rĂ©ussit Ă  dĂ©boutonner le jean d’Antoine et Ă  le faire glisser jusqu’à ses chevilles. Ce qu’elle devina sous le caleçon du jeune homme la fit saliver
elle se dĂ©pĂȘcha d’enlever Ă©galement le sous-vĂȘtement
Antoine n’était pas restĂ© inactif et avait dĂ©grafĂ© son soutien-gorge
le temps qu’il enlĂšve son Tee-shirt et se dĂ©fasse de ses jeans et caleçon, elle avait ĂŽtĂ© sa jupe et son slip
ils se reculĂšrent un peu pour s’admirer puis se blottirent dans les bras l’un de l’autre tout en s’embrassant langoureusement
ils glissĂšrent jusqu’au sol, mais au grand Ă©tonnement de Louise Antoine positionna sa tĂȘte entre ses cuisses laissant sa verge Ă  portĂ©e de bouche pour Louise
Comme elle l’avait dĂ©cidĂ© en entrant dans la chambre, elle entreprit de sucer cette verge de belle taille
elle n’était pas experte dans le domaine, loin de lĂ , mais elle avait dĂ©cidĂ© de s’appliquer
Antoine, lui, fit glisser ses lĂšvres jusqu’au lĂšvres intimes de Louise, ce qui lui procura un frisson de plaisir
ses tĂ©tons avaient durcis, elle les sentait comme elle ne les avait jamais senti auparavant
Antoine ouvrait dĂ©licatement ses lĂšvres de ses doigts maintenant et elle sentait son souffle caresser dĂ©licatement toute son intimité son clitoris commençait Ă  sortir de sa cage et la langue d’Antoine vint le titiller ???c’était si bon qu’elle en oubliait de le sucer
heureusement les palpitations du sang bouillonnant dans la jeune verge la rappelĂšrent Ă  ses « devoirs » sa main gauche vint dĂ©licatement caresser les couilles lisses du jeune amant
ses lĂšvres s’enroulĂšrent autour du gland et elle se surprit Ă  aspirer le sexe
les caresses et le jeu de langue d’Antoine la firent mouiller abondamment .. Elle n’avait jamais vĂ©cu un tel phĂ©nomĂšne avant ce soir
Antoine redoubla les coups de langue sur se lĂšvres et sur son clitoris et elle jouit dans un immense cri que toute la maison put entendre
elle s’effondra rouge de honte et de plaisir mĂȘlĂ©s sur le cĂŽté Antoine Ă©tait hilare

- J’espĂšre qu’ils ne dormaient pas sinon tu les as rĂ©veillĂ©s

- Oui, mais toi
tu n’as pas joui
.
- Tu veux que je te fasse l’amour ?
- Oui

- Tu veux d’une façon particuliùre ?
- Comme toi tu voudras
C’était bien la premiĂšre fois qu’elle disait cela
Antoine, dĂ©licatement la positionna en levrette
lĂ  aussi c’était une premiĂšre pour elle
elle essaya de se dĂ©tendre mĂȘme si elle avait de cette bite au fond d’elle comme jamais
la bite d’Antoine effleurait dĂ©jĂ  ses grandes lĂšvres
il Ă©tait doux dans son approche, ce qui n’avait pas toujours le cas de ses « coups » d’avant
dĂ©licatement la verge se fraya son chemin entre ses parois gorgĂ©es de dĂ©sir
Louise se surprit Ă  vouloir qu’il s’enfonce brutalement en elle , qu’il la tienne par les hanches tout en lui pilonnant la chatte jusqu’à jouir au plus profond d’elle
elle qui disait dĂ©tester toute la philosophie BDSM se surprenait Ă  avoir de telle pensĂ©es
il avait tout comme dans ses pensĂ©es Ă©rotiques posĂ© ses mains sur ses hanches et trĂšs dĂ©licatement il s’enfonçait en elle
elle aurait voulu, c’était fou Ă  bien y rĂ©flĂ©chir, qu’il lui tire les cheveux pour lui cambrer le dos
mais Antoine ne le fit pas
elle sentit ses couilles toucher la peau de ses cuisses. ;.
- Ça va ? je ne te fais pas mal ?
- Non
elle se sentit rougir en ajoutant :
- Vas y fort si tu veux

- Fort ? genre tu risques de douiller demain ?
- Fort comme tu crois que je vais aimer

Il ne dit rien, mais sa main gauche vint empoigner ses cheveux rĂ©unis sagement en une queue de cheval
il tira ostensiblement et elle sentit son dos se cambrer
ce faisant la bite d’Antoine investissait un peu plus encore sa chatte
il commença de lents va et vient au creux de son intimitĂ©, reculant Ă  presque sortir de sa chatte puis en s’enfonçant jusqu’à ce que ses couilles viennent taper contre les cuisses de Louise
il accĂ©lĂ©ra la cadence 
Louise sentait qu’elle mouillait abondamment les bruits Ă©mis par sa chatte le prouvaient
elle Ă©tait bien
elle voulait jouir encore , et le voir jouir en elle
et
comme elle avait honte Ă  cette seule idĂ©e, qu’il lui claque le cul, comme elle l’avait vu faire lors du visionnage de vidĂ©os x
la claque sur sa fesse lui fit pousser un petit cri

- Oui, vas-y continues
Mais d’oĂč venaient ces mots ? hier encore elle se serait pendue plutĂŽt que de les prononcer

Ce fut au tour de l’autre fesse
c’est sĂ»r, demain ça risquait d’ĂȘtre compliquĂ© pour marcher normalement, d’autant qu’Antoine avait accĂ©lĂ©rĂ© le tempo et qu’il lui dĂ©fonçait littĂ©ralement la chatte maintenant
elle suait abondamment et Ă©mettait de petits cris de plaisir
fut-ce la claque sur la fesse, un coup de bite plus fort ou plus profond ? l’orgasme la terrassa de nouveau, ses bras pliĂšrent et elle s’effondra dans un long rĂąle sur le parquet de la chambre

- RelĂšve-toi !
Le ton Ă©tait ferme et ne souffrait pas de contradiction
et elle ne voulait surtout pas le contredire
un dĂ©clic s’était produit en elle
c’était par son biais, et par ses volontĂ©s que son plaisir de femme viendrait
il Ă©tait clair pour elle Ă  prĂ©sent que tout ce qu’elle avait vĂ©cu avant en matiĂšre de sexualitĂ© Ă©tait balayĂ© par Antoine, et qu’elle ferait tout ce qu’il lui demanderait car c’était lui qui l’avait rĂ©vĂ©lĂ©e en tant que femme
elle se remit en position de levrette
mais la bite d’Antoine ne prenait pas le chemin de sa chatte
elle s’était posĂ© sur son Ɠillet 

- Tu veux m’enculer ?
Bizarrement, elle aimait ce langage grossier. Il y a peu elle n’aurait mĂȘme pas pu prononcer ces mots

- Toi, tu le veux ?
- Oui ! encules moi fort et jouis dans mon cul
je veux sentir ton foutre au plus profond de moi

D’oĂč connaissait-elle ces mots ? elle se le demandait

La bite posĂ©e contre sa rondelle la ramena Ă  la rĂ©alité elle sentit quelque chose de froid couler sur son anus
puis le sexe d’Antoine vint pousser dĂ©licatement
la pĂ©nĂ©tration lui sembla facile
comme un corps Ă©tranger qui s’insinuerait en elle, c’était d’ailleurs tout Ă  fait ça
mais sans douleur
puis aprĂšs quelques va et vient doux, les couilles qui tapent sur ses fesses

- Ça va ?
- Oui
les mots qui suivirent la firent rougir

- Bourre-moi bien le cul 
je veux ĂȘtre ta petite salope que tu encules

Il ne dit rien, mais une fois de plus se saisit de sa chevelure et la fit se cambrer
le pilonnage de son cul lui sembla plus intense que celui de sa chatte
elle s’entendait crier son plaisir sans qu’aucune honte ne l’affecte
son vagin dĂ©goulinait de sa mouille
son amant la pistonnait comme si sa vie en dĂ©pendait
les claques retentissaient sur ses fesses, ajoutant semblait il Ă  son plaisir
enfin elle sentit la verge plantĂ©e en elle se dilater encore plus, prĂ©mices d’une Ă©jaculation libĂ©ratoire pour les deux amants
il lui sembla sentir le foutre frapper les parois de son anus avant que l’orgasme ne la fasse de nouveau s’effondrer en de multiples soubresauts

Quand elle reprit conscience, Antoine l’avait portĂ© jusqu’au lit
il caressait d’un doigt son teton gauche encore tout dur de son plaisir
il lui glissa un petit baiser sur l’épaule

- Merci, je n’ai jamais connu ça de ma vie
malgrĂ© sa fatigue, elle parvint Ă  lui rĂ©pondre
- Moi non plus tu sais

Ils s’endormirent ainsi tendrement enlacĂ©s

Quelques chambres plus loin, Nini souriait dans l’obscurité aprĂšs qu’elle eut fait son lavement ‘merci les tutos sur internet
) Emile l’avait vigoureusement sodomisé si ses gĂ©missements n’avaient pas Ă©tĂ© couverts par les cris de plaisir de sa fille, c’est sĂ»r qu’ils auraient tenus Ă©veillĂ©s les autres membres de la maisonnĂ©e
Faty souriait Ă©galement dans sa chambre 
sur une appli de rencontres spĂ©cialisĂ©e dans le lesbianisme, elle pensait avoir trouvĂ© la perle rare
du coup sa main avait virevoltĂ© sur ses replis intimes et elle avait atteint ce sentiment de plĂ©nitude et d’extase qu’on nomme l’orgasme
mais Ă  son grand regret, c’était seule

Published by josyldo
1 year ago
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ccandau
ccandau 3 months ago
c'est Nini divine trĂšs beau chapitre
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josyldo
josyldo Publisher 1 year ago
to frpoiutre : Merci....
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frpoiutre
frpoiutre 1 year ago
trĂšs belle suite fort excitante. Bravo
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josyldo
josyldo Publisher 1 year ago
to caso29 : merci! la suite est en cours
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caso29
caso29 1 year ago
Excellente partie 7, félicitations
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