Ma première fois
Coucou cher lecteur et lectrice. Je vais vous compter ma première fois avec un homme. Pour rappel je suis un homme gay de 33 ans et nous allons faire un petit bon dans le temps tous ensemble pour vous faire découvrir ma première expérience homosexuelle. Bonne lecture
2003. C’est la rentrée des classes. Je prépare ma valise car me voilà partie pour une rentrée dans un nouvel établissement privé. Alors agé de 13 ans mes parents ont fît le choix de m’envoyer dans un collège privé pour redorer mes résultats scolaire. Ce choix fut influencé et soutenu par le meilleur ami de mon père, lui même papa de Lucie, amie de toujours de mes 1an et encore aujourd’hui. L’expérience internat étant trop difficile pour moi, la vie fut plus cool chez les amies de mes parents. Lucie et moi vivions donc sous le même toit en semaine et le week-end je retournais chez mes parents.
Il y avait ceux qui s’aimaient et ceux qui ce détestaient. Comme Thierry et Âne les parents de Lucie en instance de divorce. Sa mère vivait déjà avec un autre homme et n’était donc jamais avec nous. Lucie elle allait de temps à autre avec elle ce qui fesait que je me retrouvais quelque fois seul avec Thierry. C’était un bel homme. La cinquantaine, physiquement assez robuste. Mon intérêt pour les hommes ce découvrait souvent lors de ces moments de vie à deux. Il n’y avait pas de barrières entre nous car il m’a vu naître, je l’ai toujours connu. Du coup les moments cocasses n’existaient que peu. Je rentré sans problème dans la salle de bain pendant qui y était par exemple. Ce promener en caleçon ne lui était pas dérangeant. Mais moi de plus en plus vivais ces situations anodines de façons différentes. Mon regard sur lui devenait gênant. Mes observations étaient différentes. Je ne savais pas encore que c’était parce que j’étais attiré par lui sexuellement.
En rentrant chez mes parents le week-end, mon grand frère m’avez offert un de ses précieux livres de charmes et découvrez la joie des plaisirs solitaires en feuilletant les pages de femmes toute plus belle les unes que les autres. Mais au milieu de celui ci étais consacré sur deux ou trois pages un contenu différent. Ou hommes nu s’embrassait et autres. Mes regards alors évitant on eux aussi changer. Mon intérêt pour ses pages devenait de plus en plus fort. Jusqu’au jour où mes caresses solitaires ce firent justement sur ses photos d’hommes nus.
L’année scolaire était bien avancée. Mon bilan de 5ème était plutôt positif et ma routine de vie chez Lucie c’était bien installé. Chacun notre chambre, les repas à trois, les tâches, une vrai famille récompensée on aurait dit. Mais Thierry n’était plus le gentil tonton à mes yeux, mais l’objets de tout mes désirs et fantasmes. Lucie était chez sa mère cette semaine de février. Un hiver frais. Je passais donc la semaine seul avec Thierry. Nous étions devant la télé le soir et mes envies étaient invasives. Mon érection était continue et mes pensées complètement flouté par la vision de lui nu.
Un jour, rentrant du collège, Lucie chez sa mère, je rentra vite à la maison. En arrivant je le trouva allongé sur le canapé en train de faire une sieste. Je profita donc de ce moment pour aller me doucher. Je n’arrêtais pas de bander et mon plaisir solitaire ne combler plus cet irrésistible envie du plus. Toujours plus. Je me passa donc de ça, enroula mon corps tout mouillé dans la serviette, penis caler contre mon ventre et alla dans le salon. Mon cœur battait de façon chaotique et mon esprit s’engluer. J’étais devant lui, nu sous ma serviette, tétanisé, impossible de dire quoi que ce soit. Au bout de quelques secondes de silence et après ça question de qu’est-ce que j’étais venu chercher dans cet accoutrement, il me demanda si tout allait bien. Et c’est là que ma main qui tenait ma serviette lâcha prise, me laissant nu, devant lui, fragilisé par la peur. Peur d’être dénoncé à mes parents, peur de me faire engueuler peur d’avoir trop honte. Il resta silencieux pendant un bref instant pour finalement me demander qu’est ce que j’étais entrain de foutre a poil a milieu du salon. N’écoutant que mon courage je dit deux pas vers lui et m’installa à ses côtés sur le canapé. Il se leva et fit une sommation pour m’envoyer m’habiller. J’étais alors anéanti de honte. Je pleurais à chaude larmes en lui demandant pardon et en le suppliant de ne pas raconter cela à mes parents. Le repas de ce soir ce fit dans un silence assourdissant. Jusqu’à ce qu’il brise la glace en me demandant des explications. C’est la gorge nouée que je lui expliqua mon attirance pour lui. Il était sidéré. Ne savait pas vraiment quoi dire. Après le repas il alla s’installer devant la télé. Je me suis mis à côté de lui en gardant mes distances sur le canapé. Les minutes défilaient. Ma honte était toujours présente, le silence en nous également. Mais mon envie n’en étais néanmoins toujours aussi forte. Au bout d’un certain temps mon regard était tourné définitivement vers lui. Et son regard croisa le mien. Nous nous fixions sans parler sans bouger. Comme ça. Pendant de longues minutes. Puis il me dit que si je voulais je pouvais me remettre nu. Mon visage a dû devenir rouge à mon avis. Je me leva du canapé, enleva mon t-shirt mon pantalon ainsi que mon caleçon. Mon sexe était déjà dur. Une fois exécuté je re réinstalla sur le fauteuil et lui demanda si lui aussi ne voulait pas se déshabiller. Il s’approcha de moi, mis sa main sur ma cuisse et me dit « ça restera entre nous Thomas ». Et ma bouche alla sur la sienne. Je sentis sa langue toucher la mienne. J’étais en extase. Ses mains fesais la taille de mes fesses. Je ne savais trop comment m’y prendre. Il se déshabilla à son tour. Me laissant voir son sexe tout gonfler. Il essaya de me guider pas à pas. Mais il fut surpris de voir mon aisance avec celui ci. Une fois en bouche je senti le bonheur m’envahir. Quel goût, quelle texture, c’était chaud c’était gros. Au bout d’un moment il se retira de ma bouche, ce leva et me pris dans ses bras pour me porter jusqu’à son lit. Arrivant dans la chambre il me lança sur celui ci. Je devait faire 50k tout au plus ce fut aisé pour un homme qui en faisait le double. Il me demanda de me mettre à quatre pâtes. Je senti ses mains attrapé mes fesses, les écartants l’une de l’autre et sa langue ce poser contre mon petit trou. Quelle sacrée sensation ce fut. Il me lécha, mis un doigt puis deux. Comme ça pendant un long moment. Il se retira et parti dans la salle de bain revenant avec un tube de crème. Il sourit et me dit que ça allait peut-être être douloureux et que ça allait aider. Et voilà. La pénétration a été très difficile et douloureuse. Ça a pris un temps fou. On jonglait entre des doigts un essai un peu de fellation. Et finalement nous y sommes parvenus. Non pas sans douleur. Les premiers allé retour furent douloureux et pas forcément agréable. Mais au bout d’un moment la sensation d’étirements fut remplacé par une sensation de glisse, chatouilleuse, agréable, géniale même. Je sentis un liquide chaud d’un coup. Mélanger avec un bruit de râle. Il venait de m’ejacluer dedans. Il se retira. Je sentais son sperme couler le long de mes fesses. J’étais au paradis. Je me blotti contre lui et on s’embrassât pendant de longues minutes, riant, s’imaginant si quelqu’un allé être au courant. Un homme de 50ans, en cours de divorce, qui héberge le fils de 13ans de son meilleur ami et qui vient de le baiser. Sacré aventure.
Nos semaines étaient rythmées de deux façons. Celle avec sa fille à la maison, ou les rapports étaient impossibles, chacun dormait dans sa chambre et les semaines où elle partait chez sa mère. Et là c’était la folie. Je dormais dans son lit, je le sucer un peu partout et n’importe quand, les douches a deux, les réveils nocturnes parce qu’il avait envie de moi. J’ai appris à jouir juste avec le plaisir de la sodomi. J’ai appris à avaler. J’ai appris à gémir. J’étais devenu celui que je voulais être. Un jeune homme homosexuel passif et très salope.
voilà j’espère que mon histoire vous a plus. Bisous
2003. C’est la rentrée des classes. Je prépare ma valise car me voilà partie pour une rentrée dans un nouvel établissement privé. Alors agé de 13 ans mes parents ont fît le choix de m’envoyer dans un collège privé pour redorer mes résultats scolaire. Ce choix fut influencé et soutenu par le meilleur ami de mon père, lui même papa de Lucie, amie de toujours de mes 1an et encore aujourd’hui. L’expérience internat étant trop difficile pour moi, la vie fut plus cool chez les amies de mes parents. Lucie et moi vivions donc sous le même toit en semaine et le week-end je retournais chez mes parents.
Il y avait ceux qui s’aimaient et ceux qui ce détestaient. Comme Thierry et Âne les parents de Lucie en instance de divorce. Sa mère vivait déjà avec un autre homme et n’était donc jamais avec nous. Lucie elle allait de temps à autre avec elle ce qui fesait que je me retrouvais quelque fois seul avec Thierry. C’était un bel homme. La cinquantaine, physiquement assez robuste. Mon intérêt pour les hommes ce découvrait souvent lors de ces moments de vie à deux. Il n’y avait pas de barrières entre nous car il m’a vu naître, je l’ai toujours connu. Du coup les moments cocasses n’existaient que peu. Je rentré sans problème dans la salle de bain pendant qui y était par exemple. Ce promener en caleçon ne lui était pas dérangeant. Mais moi de plus en plus vivais ces situations anodines de façons différentes. Mon regard sur lui devenait gênant. Mes observations étaient différentes. Je ne savais pas encore que c’était parce que j’étais attiré par lui sexuellement.
En rentrant chez mes parents le week-end, mon grand frère m’avez offert un de ses précieux livres de charmes et découvrez la joie des plaisirs solitaires en feuilletant les pages de femmes toute plus belle les unes que les autres. Mais au milieu de celui ci étais consacré sur deux ou trois pages un contenu différent. Ou hommes nu s’embrassait et autres. Mes regards alors évitant on eux aussi changer. Mon intérêt pour ses pages devenait de plus en plus fort. Jusqu’au jour où mes caresses solitaires ce firent justement sur ses photos d’hommes nus.
L’année scolaire était bien avancée. Mon bilan de 5ème était plutôt positif et ma routine de vie chez Lucie c’était bien installé. Chacun notre chambre, les repas à trois, les tâches, une vrai famille récompensée on aurait dit. Mais Thierry n’était plus le gentil tonton à mes yeux, mais l’objets de tout mes désirs et fantasmes. Lucie était chez sa mère cette semaine de février. Un hiver frais. Je passais donc la semaine seul avec Thierry. Nous étions devant la télé le soir et mes envies étaient invasives. Mon érection était continue et mes pensées complètement flouté par la vision de lui nu.
Un jour, rentrant du collège, Lucie chez sa mère, je rentra vite à la maison. En arrivant je le trouva allongé sur le canapé en train de faire une sieste. Je profita donc de ce moment pour aller me doucher. Je n’arrêtais pas de bander et mon plaisir solitaire ne combler plus cet irrésistible envie du plus. Toujours plus. Je me passa donc de ça, enroula mon corps tout mouillé dans la serviette, penis caler contre mon ventre et alla dans le salon. Mon cœur battait de façon chaotique et mon esprit s’engluer. J’étais devant lui, nu sous ma serviette, tétanisé, impossible de dire quoi que ce soit. Au bout de quelques secondes de silence et après ça question de qu’est-ce que j’étais venu chercher dans cet accoutrement, il me demanda si tout allait bien. Et c’est là que ma main qui tenait ma serviette lâcha prise, me laissant nu, devant lui, fragilisé par la peur. Peur d’être dénoncé à mes parents, peur de me faire engueuler peur d’avoir trop honte. Il resta silencieux pendant un bref instant pour finalement me demander qu’est ce que j’étais entrain de foutre a poil a milieu du salon. N’écoutant que mon courage je dit deux pas vers lui et m’installa à ses côtés sur le canapé. Il se leva et fit une sommation pour m’envoyer m’habiller. J’étais alors anéanti de honte. Je pleurais à chaude larmes en lui demandant pardon et en le suppliant de ne pas raconter cela à mes parents. Le repas de ce soir ce fit dans un silence assourdissant. Jusqu’à ce qu’il brise la glace en me demandant des explications. C’est la gorge nouée que je lui expliqua mon attirance pour lui. Il était sidéré. Ne savait pas vraiment quoi dire. Après le repas il alla s’installer devant la télé. Je me suis mis à côté de lui en gardant mes distances sur le canapé. Les minutes défilaient. Ma honte était toujours présente, le silence en nous également. Mais mon envie n’en étais néanmoins toujours aussi forte. Au bout d’un certain temps mon regard était tourné définitivement vers lui. Et son regard croisa le mien. Nous nous fixions sans parler sans bouger. Comme ça. Pendant de longues minutes. Puis il me dit que si je voulais je pouvais me remettre nu. Mon visage a dû devenir rouge à mon avis. Je me leva du canapé, enleva mon t-shirt mon pantalon ainsi que mon caleçon. Mon sexe était déjà dur. Une fois exécuté je re réinstalla sur le fauteuil et lui demanda si lui aussi ne voulait pas se déshabiller. Il s’approcha de moi, mis sa main sur ma cuisse et me dit « ça restera entre nous Thomas ». Et ma bouche alla sur la sienne. Je sentis sa langue toucher la mienne. J’étais en extase. Ses mains fesais la taille de mes fesses. Je ne savais trop comment m’y prendre. Il se déshabilla à son tour. Me laissant voir son sexe tout gonfler. Il essaya de me guider pas à pas. Mais il fut surpris de voir mon aisance avec celui ci. Une fois en bouche je senti le bonheur m’envahir. Quel goût, quelle texture, c’était chaud c’était gros. Au bout d’un moment il se retira de ma bouche, ce leva et me pris dans ses bras pour me porter jusqu’à son lit. Arrivant dans la chambre il me lança sur celui ci. Je devait faire 50k tout au plus ce fut aisé pour un homme qui en faisait le double. Il me demanda de me mettre à quatre pâtes. Je senti ses mains attrapé mes fesses, les écartants l’une de l’autre et sa langue ce poser contre mon petit trou. Quelle sacrée sensation ce fut. Il me lécha, mis un doigt puis deux. Comme ça pendant un long moment. Il se retira et parti dans la salle de bain revenant avec un tube de crème. Il sourit et me dit que ça allait peut-être être douloureux et que ça allait aider. Et voilà. La pénétration a été très difficile et douloureuse. Ça a pris un temps fou. On jonglait entre des doigts un essai un peu de fellation. Et finalement nous y sommes parvenus. Non pas sans douleur. Les premiers allé retour furent douloureux et pas forcément agréable. Mais au bout d’un moment la sensation d’étirements fut remplacé par une sensation de glisse, chatouilleuse, agréable, géniale même. Je sentis un liquide chaud d’un coup. Mélanger avec un bruit de râle. Il venait de m’ejacluer dedans. Il se retira. Je sentais son sperme couler le long de mes fesses. J’étais au paradis. Je me blotti contre lui et on s’embrassât pendant de longues minutes, riant, s’imaginant si quelqu’un allé être au courant. Un homme de 50ans, en cours de divorce, qui héberge le fils de 13ans de son meilleur ami et qui vient de le baiser. Sacré aventure.
Nos semaines étaient rythmées de deux façons. Celle avec sa fille à la maison, ou les rapports étaient impossibles, chacun dormait dans sa chambre et les semaines où elle partait chez sa mère. Et là c’était la folie. Je dormais dans son lit, je le sucer un peu partout et n’importe quand, les douches a deux, les réveils nocturnes parce qu’il avait envie de moi. J’ai appris à jouir juste avec le plaisir de la sodomi. J’ai appris à avaler. J’ai appris à gémir. J’étais devenu celui que je voulais être. Un jeune homme homosexuel passif et très salope.
voilà j’espère que mon histoire vous a plus. Bisous
1 year ago
