Mon sauveur: A Sugar Daddy Storie #1
Je me rappelle de ce jour comme si c'était hier,
Je m'appelle Éden, je suis une jeune étudiante qui navigue dans la vie de manière chaotique, je n’ai pas beaucoup d'argent, mes parents mon reniée et je n’ai qu'une maigre bourse d’étude pour vivre chaque moi, pour tout dire, il m'arrive parfois de voler dans les magasins, je sais bien que je ne devrait pas, mais je n'aime pas porter le flanc à la critique, et j’aime me faire belle, alors oui parfois je vole des maquillages, et oui peut-être aussi quelques vêtements, je me dit que je pourrai rembourser tout ce que j’ai pris un jour, mais je croie bien me mentir à moi même.
Ce jour la je portais une robe blanche avec des fleurs, échancrée en haut et sur les cotés et un peu évasée en bas, elle me mettais bien en valeur, un ruban de tissus, enroulé autour de mes cheveux les maintenaient en place, ils sont bruns doux et soyeux, une vrai fierté pour moi, mes formes ne sont pas mal non plus ! à vrai dire, je n’ai pas de très gros seins, mais ils sont bien fermes, et ils font pas mal d'effet, surtout quand ils sont libérés de toutes contraintes (comme ce jour là ), mon petit cul lui, rond et bien remonté, fait se retourner presque tous les hommes célibataires que je croise, mais aussi beaucoup d’homme mariés, j’y prête souvent attention car j’aime me sentir désirée.
Mais voila ! c’est bien tout ce que j’avais sur moi ce jour là, pas un euro en poche à mon habitude, je me laissait attirer par les enseignes et les vitrines scintillantes, je regardais tout autour de moi et j’ai vue cette superbe boutique de maquillage et cosmétiques, il venait de recevoir un tas de nouveau produits.
Je m’en rendais pas vraiment compte sur le moment, mais je devait avoir le type de profil que les agents de sécurité surveille, car je parcours les rayons de long en large, j’essaie tout ce qui me plaît, je sent, je regarde, je touche, mais je ne prend rien, du moins pas officiellement.
Ce jour la c’était un rouge à lèvre que j’ai essayée de voler, comme souvent, je lai mis dans mes sous-vêtements, personne ne viendrai fouiller la pensais-je ! mais c’était sans compter sur les caméras, au moment de sortir du magasin, je me fit retenir par une mains sur l’épaule, en me retournant je vis une montagne de muscle vêtu de noire droit devant moi :
« excusez moi ma demoiselle » me dit cette baraque avec les biceps travaillés à la fonte.
Je savais bien c’était pour quoi ! je tremblais déjà de peur, et les gens qui passait en me dévisageant n’arrangeaient rien .
« Vous savez que le vole à l’étalage est un délit ? je pourrait appeler la police, » me dit encore cet homme
«Je suis tellement désolée, s’il vous plaît ne les appelez pas ! » dis-je apeurée
« Je fait que mon travail » il baissa le ton de sa voix, et me dit tout en me scrutant de haut en bas, « est-ce que tu peu payer ? »
Je fit mine de fouiller sur moi et lui répondis timidement « et bien non... »,
« Écoute si tu est très gentille avec moi, je garde cette incident pour moi »
Aucuns doutes possible c’était bien une proposition indécente.
Tous ça pour 15 euros ! mais comment j’ai pu en arriver la ! me disais-je, cet homme m'impressionnait beaucoup ! Je lai regarder avec beaucoup de confusion et je lui dit toute tremblante:
« mais je veux pas... »
il rétorqua « Très bien j’appelle la police »
Je me suis mise à pleurer totalement submergée par l’émotion.
Un type, d’une bonne trentaine peut-être moitié de Quarantaine, un belle homme, avec une apparence soignée avait vue la scène de loin, il lisait un journal assis dans la petite boutique d'en face, il savourai son moment de calme en regardant autour de lui, et profitant de chaque formes se profilant devant ses yeux, il avait déjà repérer Éden à son arrivée dans la boutique de cosmétiques.
Il avait apprécie son allure féminine dans sa jolie robe, et ce petit ruban sur la tête, peut commun, ça la distinguai de toutes ces citadines à l'aire hautain, qu’il appréciait regarder quand même, il lançait un regard de temps en temps par dessus son journal pour tenter de revoir Éden sortir de la Boutique.
Et il fini par la voir ! En détresses ! avec un agent de sécurité qui semblais l’embêter plus que de raison, il hésitait d’aller la voir, quand soudain, il la vie pleurer, ses yeux mouillées brillants sous les néons.
Il n’hésitait plus et posait rapidement son journal sur la table, déterminé il se leva pour aller à sa rencontre.
Moi je ne savait plus ou me mettre.
« Que ce passe t-il ici ? » entendis-je derrière moi,
En me retournant encore, je vit le belle homme qui lisait son journal et m'avait regardé de loin avant que je rentre dans cette boutique.
L’agent de sécurité intervint, « monsieur cette jeune femme viens de commettre un vole, je dois la garder à vue jusqu’à l'arrivé de la police, est ce que vous la connaissez ? »
L'homme lançait un regard à cette jeune femme qui avait les larmes aux yeux, elle semblait au bout de sa vie, prête à s’effondrer à tout moment, c’était instinctif pour lui, il se sentais un peu responsable.
« bien-sur monsieur, c’est ma femme » dit il sans réfléchir
« votre femme ? » interrogea l’agent, d'un aire de dire que quelque chose ne collait pas,
« oui ma femme ! » rétorqua-t-il en bombant le torse
L'agent de sécurité changea de tête brusquement, et dit timidement « vous savez, il y a quand même un préjudice ! »
« quelle préjudice ? » demanda mon sauveur
« 15€24 pour ce rouge à lèvres » répondis l'agent
« Écoutez je vous les donnes maintenant et l'affaire est réglée d’accord ? »
L’agent passât un appelle radio dépité, « vous pouvez annuler la patrouille le marie de la femme à régler le montant, désolé du dérangement terminé ....» « ...bien reçu, patrouille annulée »
L'agent de sécurité tendait le rouge au belle homme, comme s’il avait deviné qu’on était pas ensemble. Puis il se retourna et partis dans son magasin, je me retrouvait seule devant cette homme qui venait de me sauver la mise, on échangea un regards et il me dit
« quelle histoire ! tu vas bien ? »
Qui se serait mouillé pour moi à par cette homme ?
« oui ça vas, merci ! » disais-je soulagée « merci d’être intervenu je voulais pas le voler je pensai rembourser un jour vous savez, je suis pas une voleuse mais... »
l’Homme l’interrompue presque « Il n'y a pas de mal ! je sais bien, que la vie est parfois un chemin un peu tordu » il me tendit le rouge en me souriant.
Je le saisis et dit en le tenant, « je n’ai pas d’argent ! je ne pourrait pas vous rembourser ! »
« c’est un cadeau, une jolie fille comme toi mérite de pouvoir se mettre en valeur, c’est pas ton avis ? »
« alors Merci beaucoup ! je me sent si honteuse, j’aimerai quand même vous remercier comment puis-je ? »
« Accepte que je t'invite au restaurant et ça me vas ? »
« C’est vrai que je commence à avoir faim » répondis-je en repensant aux pâtes au fromage qu’il me restait dans mon frigo désertique.
Cette vielle dalle me poussait à accepter l’invitation mais c’est ses yeux au regard profond et transperçant qui me convainquaient.
J'acceptai donc sobrement son invitation.
Nous nous sommes dirigés vers un restaurant non loin d’ici,
« Bienvenue Messieurs Da… Mademoiselle... une table pour deux ? » demanda le serveur
« Oui s’il vous plaît » répondis l'homme que j’accompagnai,
Nous nous sommes installés face à face, dans ce grand et beau restaurant lumineux.
« Comment tu t’appelle ? »
« Eden et vous ? »
«Patrick, quand je t’ai vue toute triste, j’ai pas pu m’empêcher d'intervenir, ça vas mieux ? »
« Beaucoup mieux grâce à vous, merci encore »
« tu est étudiante c’est ça ? »
« oui mais je pense arrêter bientôt, je n'arrive plus à suivre le rythme, j’ai trop de mauvaises notes et je risque de perdre ma bourse »
« c’est dommage tu na pas d'autre revenus ? » demanda t-il presque étonné
« non »
« et tes parents ? » interrogeait-il
« mes parents mon mise à la porte dès qu'ils ont pu, depuis je fait comme je peu, je me débrouille, je trouve parfois des petits boulots, mais avec la fatigue, j’ai du mal à conjuguer avec les cours »
« d’où cette événement d’aujourd’hui » dit il avec un petit sourire en coin
« oui » répondis-je en rigolant nerveusement « mais je suis pas une voleuse, je vais rembourser un jour ! » lui assurais-je
J’ai pas vue le temps passer, on à du parler une heure au moins, je lui racontait ma vie, et lui la sienne :
Marié avec deux enfants la vingtaine fille et garçon, mais plus très heureux, il reste avec sa femme car il l’aime encore un peu et que c’est plus simple pour les papiers, mais il sent bien que c’est fini entre eux, ils habitent encore dans la même maison, mais ils font chambre à part,
Je savais maintenant presque tout de lui et lui de moi, au moment de s'en aller, je lui ais dit merci pour le repas qui était superbe, il ma passé une carte de visite, en la lisant je découvrais ‘Patrick ******* PDG de Compute AIM’
« On sais jamais si un jour tu as besoin ! je peu t’aider. »
J’ai pris sa carte et suis partie de mon coté en lui envoyant ce SMS « merci pour tout Éden »
J'avais presque oubliée ma mésaventure dans ce magasin, c'était pas une si mauvaise journée finalement, pensais-je.
La suite ici: https://fr.xhamster.com/posts/10444307
Je m'appelle Éden, je suis une jeune étudiante qui navigue dans la vie de manière chaotique, je n’ai pas beaucoup d'argent, mes parents mon reniée et je n’ai qu'une maigre bourse d’étude pour vivre chaque moi, pour tout dire, il m'arrive parfois de voler dans les magasins, je sais bien que je ne devrait pas, mais je n'aime pas porter le flanc à la critique, et j’aime me faire belle, alors oui parfois je vole des maquillages, et oui peut-être aussi quelques vêtements, je me dit que je pourrai rembourser tout ce que j’ai pris un jour, mais je croie bien me mentir à moi même.
Ce jour la je portais une robe blanche avec des fleurs, échancrée en haut et sur les cotés et un peu évasée en bas, elle me mettais bien en valeur, un ruban de tissus, enroulé autour de mes cheveux les maintenaient en place, ils sont bruns doux et soyeux, une vrai fierté pour moi, mes formes ne sont pas mal non plus ! à vrai dire, je n’ai pas de très gros seins, mais ils sont bien fermes, et ils font pas mal d'effet, surtout quand ils sont libérés de toutes contraintes (comme ce jour là ), mon petit cul lui, rond et bien remonté, fait se retourner presque tous les hommes célibataires que je croise, mais aussi beaucoup d’homme mariés, j’y prête souvent attention car j’aime me sentir désirée.
Mais voila ! c’est bien tout ce que j’avais sur moi ce jour là, pas un euro en poche à mon habitude, je me laissait attirer par les enseignes et les vitrines scintillantes, je regardais tout autour de moi et j’ai vue cette superbe boutique de maquillage et cosmétiques, il venait de recevoir un tas de nouveau produits.
Je m’en rendais pas vraiment compte sur le moment, mais je devait avoir le type de profil que les agents de sécurité surveille, car je parcours les rayons de long en large, j’essaie tout ce qui me plaît, je sent, je regarde, je touche, mais je ne prend rien, du moins pas officiellement.
Ce jour la c’était un rouge à lèvre que j’ai essayée de voler, comme souvent, je lai mis dans mes sous-vêtements, personne ne viendrai fouiller la pensais-je ! mais c’était sans compter sur les caméras, au moment de sortir du magasin, je me fit retenir par une mains sur l’épaule, en me retournant je vis une montagne de muscle vêtu de noire droit devant moi :
« excusez moi ma demoiselle » me dit cette baraque avec les biceps travaillés à la fonte.
Je savais bien c’était pour quoi ! je tremblais déjà de peur, et les gens qui passait en me dévisageant n’arrangeaient rien .
« Vous savez que le vole à l’étalage est un délit ? je pourrait appeler la police, » me dit encore cet homme
«Je suis tellement désolée, s’il vous plaît ne les appelez pas ! » dis-je apeurée
« Je fait que mon travail » il baissa le ton de sa voix, et me dit tout en me scrutant de haut en bas, « est-ce que tu peu payer ? »
Je fit mine de fouiller sur moi et lui répondis timidement « et bien non... »,
« Écoute si tu est très gentille avec moi, je garde cette incident pour moi »
Aucuns doutes possible c’était bien une proposition indécente.
Tous ça pour 15 euros ! mais comment j’ai pu en arriver la ! me disais-je, cet homme m'impressionnait beaucoup ! Je lai regarder avec beaucoup de confusion et je lui dit toute tremblante:
« mais je veux pas... »
il rétorqua « Très bien j’appelle la police »
Je me suis mise à pleurer totalement submergée par l’émotion.
Un type, d’une bonne trentaine peut-être moitié de Quarantaine, un belle homme, avec une apparence soignée avait vue la scène de loin, il lisait un journal assis dans la petite boutique d'en face, il savourai son moment de calme en regardant autour de lui, et profitant de chaque formes se profilant devant ses yeux, il avait déjà repérer Éden à son arrivée dans la boutique de cosmétiques.
Il avait apprécie son allure féminine dans sa jolie robe, et ce petit ruban sur la tête, peut commun, ça la distinguai de toutes ces citadines à l'aire hautain, qu’il appréciait regarder quand même, il lançait un regard de temps en temps par dessus son journal pour tenter de revoir Éden sortir de la Boutique.
Et il fini par la voir ! En détresses ! avec un agent de sécurité qui semblais l’embêter plus que de raison, il hésitait d’aller la voir, quand soudain, il la vie pleurer, ses yeux mouillées brillants sous les néons.
Il n’hésitait plus et posait rapidement son journal sur la table, déterminé il se leva pour aller à sa rencontre.
Moi je ne savait plus ou me mettre.
« Que ce passe t-il ici ? » entendis-je derrière moi,
En me retournant encore, je vit le belle homme qui lisait son journal et m'avait regardé de loin avant que je rentre dans cette boutique.
L’agent de sécurité intervint, « monsieur cette jeune femme viens de commettre un vole, je dois la garder à vue jusqu’à l'arrivé de la police, est ce que vous la connaissez ? »
L'homme lançait un regard à cette jeune femme qui avait les larmes aux yeux, elle semblait au bout de sa vie, prête à s’effondrer à tout moment, c’était instinctif pour lui, il se sentais un peu responsable.
« bien-sur monsieur, c’est ma femme » dit il sans réfléchir
« votre femme ? » interrogea l’agent, d'un aire de dire que quelque chose ne collait pas,
« oui ma femme ! » rétorqua-t-il en bombant le torse
L'agent de sécurité changea de tête brusquement, et dit timidement « vous savez, il y a quand même un préjudice ! »
« quelle préjudice ? » demanda mon sauveur
« 15€24 pour ce rouge à lèvres » répondis l'agent
« Écoutez je vous les donnes maintenant et l'affaire est réglée d’accord ? »
L’agent passât un appelle radio dépité, « vous pouvez annuler la patrouille le marie de la femme à régler le montant, désolé du dérangement terminé ....» « ...bien reçu, patrouille annulée »
L'agent de sécurité tendait le rouge au belle homme, comme s’il avait deviné qu’on était pas ensemble. Puis il se retourna et partis dans son magasin, je me retrouvait seule devant cette homme qui venait de me sauver la mise, on échangea un regards et il me dit
« quelle histoire ! tu vas bien ? »
Qui se serait mouillé pour moi à par cette homme ?
« oui ça vas, merci ! » disais-je soulagée « merci d’être intervenu je voulais pas le voler je pensai rembourser un jour vous savez, je suis pas une voleuse mais... »
l’Homme l’interrompue presque « Il n'y a pas de mal ! je sais bien, que la vie est parfois un chemin un peu tordu » il me tendit le rouge en me souriant.
Je le saisis et dit en le tenant, « je n’ai pas d’argent ! je ne pourrait pas vous rembourser ! »
« c’est un cadeau, une jolie fille comme toi mérite de pouvoir se mettre en valeur, c’est pas ton avis ? »
« alors Merci beaucoup ! je me sent si honteuse, j’aimerai quand même vous remercier comment puis-je ? »
« Accepte que je t'invite au restaurant et ça me vas ? »
« C’est vrai que je commence à avoir faim » répondis-je en repensant aux pâtes au fromage qu’il me restait dans mon frigo désertique.
Cette vielle dalle me poussait à accepter l’invitation mais c’est ses yeux au regard profond et transperçant qui me convainquaient.
J'acceptai donc sobrement son invitation.
Nous nous sommes dirigés vers un restaurant non loin d’ici,
« Bienvenue Messieurs Da… Mademoiselle... une table pour deux ? » demanda le serveur
« Oui s’il vous plaît » répondis l'homme que j’accompagnai,
Nous nous sommes installés face à face, dans ce grand et beau restaurant lumineux.
« Comment tu t’appelle ? »
« Eden et vous ? »
«Patrick, quand je t’ai vue toute triste, j’ai pas pu m’empêcher d'intervenir, ça vas mieux ? »
« Beaucoup mieux grâce à vous, merci encore »
« tu est étudiante c’est ça ? »
« oui mais je pense arrêter bientôt, je n'arrive plus à suivre le rythme, j’ai trop de mauvaises notes et je risque de perdre ma bourse »
« c’est dommage tu na pas d'autre revenus ? » demanda t-il presque étonné
« non »
« et tes parents ? » interrogeait-il
« mes parents mon mise à la porte dès qu'ils ont pu, depuis je fait comme je peu, je me débrouille, je trouve parfois des petits boulots, mais avec la fatigue, j’ai du mal à conjuguer avec les cours »
« d’où cette événement d’aujourd’hui » dit il avec un petit sourire en coin
« oui » répondis-je en rigolant nerveusement « mais je suis pas une voleuse, je vais rembourser un jour ! » lui assurais-je
J’ai pas vue le temps passer, on à du parler une heure au moins, je lui racontait ma vie, et lui la sienne :
Marié avec deux enfants la vingtaine fille et garçon, mais plus très heureux, il reste avec sa femme car il l’aime encore un peu et que c’est plus simple pour les papiers, mais il sent bien que c’est fini entre eux, ils habitent encore dans la même maison, mais ils font chambre à part,
Je savais maintenant presque tout de lui et lui de moi, au moment de s'en aller, je lui ais dit merci pour le repas qui était superbe, il ma passé une carte de visite, en la lisant je découvrais ‘Patrick ******* PDG de Compute AIM’
« On sais jamais si un jour tu as besoin ! je peu t’aider. »
J’ai pris sa carte et suis partie de mon coté en lui envoyant ce SMS « merci pour tout Éden »
J'avais presque oubliée ma mésaventure dans ce magasin, c'était pas une si mauvaise journée finalement, pensais-je.
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1 year ago