Isaac
Mais non, je ne vous ai pas oubliĂ©Â ! Câest vrai quâil y a dĂ©jĂ un bon moment que je ne suis pas venu vous raconter une de mes aventures. Peut-ĂȘtre avez-vous pensĂ© que jâavais « raccroché » pour retourner dans le droit chemin. Et bien, rassurez-vous, ce nâest pas le cas ! Les jours, puis les mois, ont passĂ©s sans que je trouve le temps dâĂ©crire et de partager avec vous une petite histoire excitante et je suis bien la seule fautive de ce long silence. Vous me retrouvez donc comme il y a quelques mois (je nâose penser en annĂ©es) avec ma vie dĂ©bridĂ©e et mes rendez-vous coquins. GrĂące Ă mon cercle dâamis qui sâest un peu Ă©toffĂ©, je ne suis heureusement pas victime de la routine. Le seul Ă©lĂ©ment vraiment marquant de cette pĂ©riode assez calme reste mon dĂ©mĂ©nagement. Non, je ne parle pas de mon cerveau, (qui fonctionne encore trĂšs bien, merci) mais dâun vrai remue-mĂ©nage qui mâa fait vivre plus dâune semaine au milieu des cartons et me nourrir uniquement de plats prĂ©parĂ©s. Je suis bien consciente que cette information nâa aucune chance de vous faire frĂ©mir, mais, elle reste trĂšs importante, et pour tout dire primordiale, pour lâhistoire qui va suivre.
Me voici donc dans mon nouveau chez-moi. Une piĂšce supplĂ©mentaire, mais surtout, au troisiĂšme Ă©tage dâun immeuble cossu plantĂ© au beau milieu dâun quartier calme et tranquille. Cet aprĂšs-midi lĂ , je rejoignais justement mon bel appartement, emmitouflĂ©e dans un manteau trois-quart crĂšme avec col de fourrure. Dans lâascenseur , je croisai mon petit voisin de palier, un retraitĂ© aux cheveux blancs visiblement satisfait de monter trois Ă©tages en ma compagnie avant de rĂȘver dâune merveilleuse ascension jusquâ au septiĂšme ciel. MĂȘme sâil faisait des efforts dĂ©sespĂ©rĂ©s pour paraĂźtre dĂ©tachĂ©, son regard fixĂ© sur mes jambes trahissait son Ă©tat dâesprit. Il tentait probablement de dĂ©terminer si je portai des bas ou un simple collant. Sur ce point, les petits plis sur mes chevilles devaient lui donner ce prĂ©cieux renseignement. Comment lui en vouloir ? Heureusement, sa tempĂ©rature nâeut pas le temps de grimper aussi vite que notre ascenseur.
A peine avais-je ouvert la porte de mon appartement quâune Ă©trange sensation me fit frĂ©mir. Jâavais lâimpression trĂšs dĂ©sagrĂ©able de ne pas ĂȘtre seule. Je ne saurais dire pourquoi et comment cette sensation sâempara de moi mais, elle Ă©tait bel et bien prĂ©sente. AussitĂŽt, par une sorte de rĂ©flexe conditionnĂ©, je fis un pas pour atteindre le tapis du salon, puis un autre, trĂšs lentement, en retenant mon souffle. Mon esprit mâordonna le silence le plus absolu et ne cessai de me rĂ©pĂ©ter : « un cambrioleur, certainement un cambrioleur... » Un bruit Ă©touffĂ© venant de la chambre me figea sur place. JâĂ©valuai la distance entre la porte de ma chambre et le lieu oĂč je me trouvai, en plein centre du salon, et retenais ma respiration. Que devais-je faire ? Mâenfuir⊠CâĂ©tait certainement la meilleure des solutions. Jouant sur lâeffet de surprise, lâintrus nâaurait pas le temps matĂ©riel de me ratt****r avant que je ne dĂ©vale les escaliers. Pourtant, je fis glisser mes chaussures sur le tapis et dĂ©cidai dâavancer pas Ă pas en direction de la chambre. Je me souviens aujourdâhui avoir pensĂ© que jâagissais comme lâhĂ©roĂŻne dâun film qui plonge droit vers le danger de façon inconsciente , stupidement, sans raisons Ă©videntes. La minute quâil mâa fallu pour rejoindre la porte entre-baillĂ©e de la chambre mâ a paru une Ă©ternitĂ©. Et puis, il y avait ce bruit incessant qui sâamplifiait ; un bruissement, un frottement, je nâĂ©tais certaine de rien. Enfin, haletante, je penchai la tĂȘte lentement, trĂšs lentement, en avant et, jâĂ©carquillai les yeux !
Je ne trouve pas les mots pour tenter de vous dĂ©crire au plus juste la scĂšne qui sâoffrait Ă moi. Une scĂšne tellement irrĂ©elle que je me souviens avoir pensĂ© ĂȘtre entrĂ©e au pays des songes ! Mais, lâhomme Ă©tait bien lĂ , penchĂ© au-dessus dâun tiroir ouvert de ma commode. Je rĂ©primai un cri et posai ma main sur ma bouche. JâĂ©tais maintenant tĂ©tanisĂ©e. Je contemplais cet homme Ă la peau noir dâĂ©bĂšne brillante de sueur, taillĂ© comme un menhir , le jean baissĂ© sur ces chevilles, tenant dans sa main puissante une fine culotte blanche, une culotte si minuscule dans cette main quâelle nâapparaissait pas plus grande qu âun confetti. Sa bouche mangeait et suçait la dentelle comme un convive qui se rĂ©gale de crustacĂ©s et qui ne veut pas laisser la plus petite parcelle de chair blanche. Cette vison mâa coupĂ© le souffle et je me suis appuyĂ© contre la chambranle de la porte pour reprendre haleine et poser la main sur ma poitrine pour faire cesser ces battements de coeur incessants.
Ma chambre nâĂ©tait plus que soupirs et grognements ! Puis, mon regard glissa plus bas et je tombais sur son sexe dressĂ© et gonflĂ© quâun rĂ©seau de veines palpitantes agitait sans cesse. Ce fut comme une dĂ©charge Ă©lectrique et je portai la main sur mon propre sexe qui venait de se manifester sous ma petite culotte. Lâhomme semblait seul au monde. Sans laisser tomber la culotte, il attrapa une nuisette dans le tiroir dont il se couvrit la presque totalitĂ© du visage. Cet enchevĂȘtrement de dentelle blanche sur peau noire Ă©tait dâune beautĂ© rare. Je commençais Ă me caresser moi aussi lorsquâil prit une autre nuisette (vous savez que jâen possĂšde un bon stock) pour lâenrouler autour de son sexe. Seul son prĂ©puce dĂ©passait lĂ©gĂšrement de la dentelle comme un cadeau du ciel. Je me mis Ă soupirer de plaisir Ă mon tour. Nây tenant plus, jâentrai complĂštement dans la chambre et mâavançais vers la commode. Lorsquâil me vit enfin, ses pupilles se dilatĂšrent lĂ©gĂšrement puis, il tomba Ă genoux Ă mes pieds. Surprise (je mâattendais Ă aucune rĂ©action en particulier, mais sĂ»rement pas celle-ci) je dĂ©cidai de demeurer immobile.
Lorsque ses lĂšvres brĂ»lantes se posĂšrent sur mes pieds une formidable onde de chaleur me parcouru tout le corps. Je levai le pied droit et il goba mon pouce et tous les autres doigts de pied. La sensation Ă©tait merveilleuse. Jâavais dĂ©jĂ subi ce genre de caresse mais, Ă ce moment-lĂ et probablement grĂące Ă cette situation trĂšs inattendue , elle mâa paru totalement nouvelle et ĂŽ combien excitante ! Je baissai la main pour lui toucher sa barbe naissante. Bien sĂ»r, câĂ©tait seulement une excuse pour lui toucher le visage. BientĂŽt mon doigt touchait sa joue et ma main caressa ses courts cheveux crĂ©pus. Câest alors quâil prit ma main au vol et embrassa les doigts un Ă un avant de les suçoter. CâĂ©tait la premiĂšre fois de toute ma vie que lâon mâembrassait ainsi. Jâavais bien senti dans sa maniĂšre de mâembrasser son intention dâ installer entre nous non pas un rapport homme et femme des plus classique mais plutĂŽt celui dâun valet Ă sa maĂźtresse.
Je posai la pointe de mon pied sur son Ă©paule et lui fit perdre lâĂ©quilibre dâune simple poussĂ©e. Le colosse se retrouva allongĂ© sur le dos au pied de mon lit respirant si bruyamment que ses narines se dilatĂšrent. Mon pied sâamusait maintenant avec sa si jolie bite, venant Ă©galement titiller ses belles boules . Avec lâautre, jâenfonçais la nuisette dans sa bouche grande ouverte. Il se mit Ă geindre de plaisir, Ă soupirer encore plus fort. Des soupirs Ă©touffĂ©s mais tellement excitants !
Je ne peux dire combien de temps dura cette sĂ©ance inhabituelle pour moi mais, elle se solda inĂ©vitablement par des gerbes de sperme brĂ»lant qui inondĂšrent mon pied droit tandis quâil mordait ma nuisette Ă pleines dents en laissant Ă©chapper des rĂąles rauques.
Plus tard, alors quâil Ă©tait toujours allongĂ© sur le tapis dans la mĂȘme position, je vins mâasseoir sur le rebord du lit. Jâapprochai mon pied dĂ©goulinant de sperme de sa bouche et il apprĂ©cia vraiment la rĂ©compense en me lĂ©chant chaque orteils avec un dĂ©vouement magnifique. Il profita pleinement de ce dĂ©lice et quand je le pensai rassasiĂ©, je lâabandonnai et partit vers la salle de bains.
Quand il se dĂ©cida Ă sortir de la chambre, il me trouva allongĂ© sur le canapĂ©. TĂȘte baissĂ©e, il rejoignit la porte en deux grandes enjambĂ©es seulement. Sur le seuil, il se retourna et montra le sac quâil tenait dans la main. Jâentendis sa voix grave et mĂ©lodieuse pour la premiĂšre fois de cet aprĂšs-midi lĂ .
-Â Je vais laver votre linge et le ramener.
Je me redressai.
- TrĂšs bien , rĂ©pondis-je. Mais nâoublie pas les bas, dans la salle de bains.
En quelques secondes, il sâexĂ©cuta.
A son retour, je demandai.
-Comment tâappelles-tu ?
-Isaac, madame. Je suis votre concierge.
-TrĂšs bien Isaac. Quand tu reviendras, jâaurais quelques petites choses Ă te demander.
Son regard sâillumina.
-Merci, MaĂźtresse, Ă votre service.
Le soir venu, seule dans la chambre de mon appartement dâun immeuble cossu dâun quartier tranquille, allongĂ©e sur mon lit, je repensai Ă cette scĂšne de lâaprĂšs-midi. Je roulai sur moi-mĂȘme en glissant la main entre mes jambes et bientĂŽt, je rĂȘvai de lui. Des rĂȘves brĂ»lants, dĂ©lirants et perturbants.
Me voici donc dans mon nouveau chez-moi. Une piĂšce supplĂ©mentaire, mais surtout, au troisiĂšme Ă©tage dâun immeuble cossu plantĂ© au beau milieu dâun quartier calme et tranquille. Cet aprĂšs-midi lĂ , je rejoignais justement mon bel appartement, emmitouflĂ©e dans un manteau trois-quart crĂšme avec col de fourrure. Dans lâascenseur , je croisai mon petit voisin de palier, un retraitĂ© aux cheveux blancs visiblement satisfait de monter trois Ă©tages en ma compagnie avant de rĂȘver dâune merveilleuse ascension jusquâ au septiĂšme ciel. MĂȘme sâil faisait des efforts dĂ©sespĂ©rĂ©s pour paraĂźtre dĂ©tachĂ©, son regard fixĂ© sur mes jambes trahissait son Ă©tat dâesprit. Il tentait probablement de dĂ©terminer si je portai des bas ou un simple collant. Sur ce point, les petits plis sur mes chevilles devaient lui donner ce prĂ©cieux renseignement. Comment lui en vouloir ? Heureusement, sa tempĂ©rature nâeut pas le temps de grimper aussi vite que notre ascenseur.
A peine avais-je ouvert la porte de mon appartement quâune Ă©trange sensation me fit frĂ©mir. Jâavais lâimpression trĂšs dĂ©sagrĂ©able de ne pas ĂȘtre seule. Je ne saurais dire pourquoi et comment cette sensation sâempara de moi mais, elle Ă©tait bel et bien prĂ©sente. AussitĂŽt, par une sorte de rĂ©flexe conditionnĂ©, je fis un pas pour atteindre le tapis du salon, puis un autre, trĂšs lentement, en retenant mon souffle. Mon esprit mâordonna le silence le plus absolu et ne cessai de me rĂ©pĂ©ter : « un cambrioleur, certainement un cambrioleur... » Un bruit Ă©touffĂ© venant de la chambre me figea sur place. JâĂ©valuai la distance entre la porte de ma chambre et le lieu oĂč je me trouvai, en plein centre du salon, et retenais ma respiration. Que devais-je faire ? Mâenfuir⊠CâĂ©tait certainement la meilleure des solutions. Jouant sur lâeffet de surprise, lâintrus nâaurait pas le temps matĂ©riel de me ratt****r avant que je ne dĂ©vale les escaliers. Pourtant, je fis glisser mes chaussures sur le tapis et dĂ©cidai dâavancer pas Ă pas en direction de la chambre. Je me souviens aujourdâhui avoir pensĂ© que jâagissais comme lâhĂ©roĂŻne dâun film qui plonge droit vers le danger de façon inconsciente , stupidement, sans raisons Ă©videntes. La minute quâil mâa fallu pour rejoindre la porte entre-baillĂ©e de la chambre mâ a paru une Ă©ternitĂ©. Et puis, il y avait ce bruit incessant qui sâamplifiait ; un bruissement, un frottement, je nâĂ©tais certaine de rien. Enfin, haletante, je penchai la tĂȘte lentement, trĂšs lentement, en avant et, jâĂ©carquillai les yeux !
Je ne trouve pas les mots pour tenter de vous dĂ©crire au plus juste la scĂšne qui sâoffrait Ă moi. Une scĂšne tellement irrĂ©elle que je me souviens avoir pensĂ© ĂȘtre entrĂ©e au pays des songes ! Mais, lâhomme Ă©tait bien lĂ , penchĂ© au-dessus dâun tiroir ouvert de ma commode. Je rĂ©primai un cri et posai ma main sur ma bouche. JâĂ©tais maintenant tĂ©tanisĂ©e. Je contemplais cet homme Ă la peau noir dâĂ©bĂšne brillante de sueur, taillĂ© comme un menhir , le jean baissĂ© sur ces chevilles, tenant dans sa main puissante une fine culotte blanche, une culotte si minuscule dans cette main quâelle nâapparaissait pas plus grande qu âun confetti. Sa bouche mangeait et suçait la dentelle comme un convive qui se rĂ©gale de crustacĂ©s et qui ne veut pas laisser la plus petite parcelle de chair blanche. Cette vison mâa coupĂ© le souffle et je me suis appuyĂ© contre la chambranle de la porte pour reprendre haleine et poser la main sur ma poitrine pour faire cesser ces battements de coeur incessants.
Ma chambre nâĂ©tait plus que soupirs et grognements ! Puis, mon regard glissa plus bas et je tombais sur son sexe dressĂ© et gonflĂ© quâun rĂ©seau de veines palpitantes agitait sans cesse. Ce fut comme une dĂ©charge Ă©lectrique et je portai la main sur mon propre sexe qui venait de se manifester sous ma petite culotte. Lâhomme semblait seul au monde. Sans laisser tomber la culotte, il attrapa une nuisette dans le tiroir dont il se couvrit la presque totalitĂ© du visage. Cet enchevĂȘtrement de dentelle blanche sur peau noire Ă©tait dâune beautĂ© rare. Je commençais Ă me caresser moi aussi lorsquâil prit une autre nuisette (vous savez que jâen possĂšde un bon stock) pour lâenrouler autour de son sexe. Seul son prĂ©puce dĂ©passait lĂ©gĂšrement de la dentelle comme un cadeau du ciel. Je me mis Ă soupirer de plaisir Ă mon tour. Nây tenant plus, jâentrai complĂštement dans la chambre et mâavançais vers la commode. Lorsquâil me vit enfin, ses pupilles se dilatĂšrent lĂ©gĂšrement puis, il tomba Ă genoux Ă mes pieds. Surprise (je mâattendais Ă aucune rĂ©action en particulier, mais sĂ»rement pas celle-ci) je dĂ©cidai de demeurer immobile.
Lorsque ses lĂšvres brĂ»lantes se posĂšrent sur mes pieds une formidable onde de chaleur me parcouru tout le corps. Je levai le pied droit et il goba mon pouce et tous les autres doigts de pied. La sensation Ă©tait merveilleuse. Jâavais dĂ©jĂ subi ce genre de caresse mais, Ă ce moment-lĂ et probablement grĂące Ă cette situation trĂšs inattendue , elle mâa paru totalement nouvelle et ĂŽ combien excitante ! Je baissai la main pour lui toucher sa barbe naissante. Bien sĂ»r, câĂ©tait seulement une excuse pour lui toucher le visage. BientĂŽt mon doigt touchait sa joue et ma main caressa ses courts cheveux crĂ©pus. Câest alors quâil prit ma main au vol et embrassa les doigts un Ă un avant de les suçoter. CâĂ©tait la premiĂšre fois de toute ma vie que lâon mâembrassait ainsi. Jâavais bien senti dans sa maniĂšre de mâembrasser son intention dâ installer entre nous non pas un rapport homme et femme des plus classique mais plutĂŽt celui dâun valet Ă sa maĂźtresse.
Je posai la pointe de mon pied sur son Ă©paule et lui fit perdre lâĂ©quilibre dâune simple poussĂ©e. Le colosse se retrouva allongĂ© sur le dos au pied de mon lit respirant si bruyamment que ses narines se dilatĂšrent. Mon pied sâamusait maintenant avec sa si jolie bite, venant Ă©galement titiller ses belles boules . Avec lâautre, jâenfonçais la nuisette dans sa bouche grande ouverte. Il se mit Ă geindre de plaisir, Ă soupirer encore plus fort. Des soupirs Ă©touffĂ©s mais tellement excitants !
Je ne peux dire combien de temps dura cette sĂ©ance inhabituelle pour moi mais, elle se solda inĂ©vitablement par des gerbes de sperme brĂ»lant qui inondĂšrent mon pied droit tandis quâil mordait ma nuisette Ă pleines dents en laissant Ă©chapper des rĂąles rauques.
Plus tard, alors quâil Ă©tait toujours allongĂ© sur le tapis dans la mĂȘme position, je vins mâasseoir sur le rebord du lit. Jâapprochai mon pied dĂ©goulinant de sperme de sa bouche et il apprĂ©cia vraiment la rĂ©compense en me lĂ©chant chaque orteils avec un dĂ©vouement magnifique. Il profita pleinement de ce dĂ©lice et quand je le pensai rassasiĂ©, je lâabandonnai et partit vers la salle de bains.
Quand il se dĂ©cida Ă sortir de la chambre, il me trouva allongĂ© sur le canapĂ©. TĂȘte baissĂ©e, il rejoignit la porte en deux grandes enjambĂ©es seulement. Sur le seuil, il se retourna et montra le sac quâil tenait dans la main. Jâentendis sa voix grave et mĂ©lodieuse pour la premiĂšre fois de cet aprĂšs-midi lĂ .
-Â Je vais laver votre linge et le ramener.
Je me redressai.
- TrĂšs bien , rĂ©pondis-je. Mais nâoublie pas les bas, dans la salle de bains.
En quelques secondes, il sâexĂ©cuta.
A son retour, je demandai.
-Comment tâappelles-tu ?
-Isaac, madame. Je suis votre concierge.
-TrĂšs bien Isaac. Quand tu reviendras, jâaurais quelques petites choses Ă te demander.
Son regard sâillumina.
-Merci, MaĂźtresse, Ă votre service.
Le soir venu, seule dans la chambre de mon appartement dâun immeuble cossu dâun quartier tranquille, allongĂ©e sur mon lit, je repensai Ă cette scĂšne de lâaprĂšs-midi. Je roulai sur moi-mĂȘme en glissant la main entre mes jambes et bientĂŽt, je rĂȘvai de lui. Des rĂȘves brĂ»lants, dĂ©lirants et perturbants.
1 year ago