2022 Mode Avion
Ma rencontre avec la vendeuse fut très prenante…
Bien que très silencieuse, elle résonna dans ma tête longuement…
Avoir une aventure si intense, avec une telle complicité, n’est pas courant…
Pour reprendre mes propos de la première partie, j’ai ressenti un déclic soudain…
Je l’ai localisé dans cette personne, qui ne m’avait pas fait réagir en entrant…
Occupée à sa caisse, un simple échange de politesses, aucune parole, aucun commentaire, juste dans ses yeux lorsque j’ai composé son numéro…
La reverrais-je ? Je ne sais pas…
Samedi je me rends à une soirée de la Mairie, mon ancien employeur fête Noël.
Après un bon repas, dans la salle des fêtes, où les 250 personnes présentes ne se sentaient pas gênées…
Je retrouvais quelques amis, quelques anciens collègues femmes et hommes, et je dansais en buvant au bon vieux temps… Les services sociaux se sont agrandis, j’étais passée dans d’autres sphères par la suite, mais toujours en contact avec la Mairie, dans mon entreprise pour aider les femmes en détresse, de mon quartier…
On me connaissait, mes ventes en réunion étaient appréciées, je défendais les causes incomprises, les non-dits, les victimes du silence… Donnant un peu d’espoir à celles qui venaient chez moi… Tous âges, toutes conditions, même souffrance… Délaissées, battues, humiliées, trompées, prostituées dans leur sphère conjugale, pour des contrats, une vente, des passe-droits, les hommes sont sans limite…
Dans un brouhaha, l’orchestre lança une danse effrénée…
Nous rions comme des folles, transpirons, buvons, attendant les slows pour nous calmer…
Je vois tourner des collègues autour de moi et de mes anciennes copines…
A l’époque j’étais mariée à Paul, et ne l’ai jamais trompé, malgré les occasions, jusqu’à ce qu’il franchisse la ligne…
L’alcool aidant, je me lâchais petit à petit, Monsieur le Maire me fit l’honneur d’une valse…
Divorcée et fière de l’être, libre de mon temps, mon ami Romain pour compagnon de route, j’habitais seule, il passait de temps en temps. Garder mon indépendance avait été mon premier souhait, et il aimait notre deal…
Bref, je dansais avec pas mal de mes anciens collègues, quelques danses entre copines esseulées, j’eux envie de me rafraîchir…
C’est dans le fond du WC des dames que j’entendis des voix…
Il y avait une dizaine de box, je m’approchais du dernier à pas de loup…
Viviane me tournait le dos, arcboutée sur la cuvette, un homme lui donnait ce qu’elle cherchait depuis notre dernière valse…
Il la pourfendait en la tenant par les hanches, robe retroussée, elle gémissait doucement, à chaque coup de rein…
Je refermais la porte, un placard me tendait les bras…
Ils ne pouvaient me voir sans se retourner, ni l’un, ni l’autre…
J’entendais son souffle, elle jouissait, et la musique très présente couvrait leurs ébats…
Je ne voyais pas le sexe du garçon, mais les fesses de ma meilleure collègue, étaient secouées de tremblements qui se répercutaient dans tout son corps…
Le chemisier ouvert laissait entrevoir sa poitrine fournie…
Ses seins tressautaient dans son soutien-gorge un peu lâche, malmenés, bousculés, prenant la tangente, libérant peu à peu des boutons…
Quand il massa ses globes en forniquant allégrement, elle augmenta son volume sonore !
Elle orgasmait, ondulait de la croupe, en le priant de la baiser à fond…
- Oh, oui, j’ai envie de sexe, continue, explose mes organes… Fais-moi jouir !
Elle libéra son soutif, il massa ses seins à pleines mains, la plantant en cadence d’un sexe qui semblait vigoureux !
Je sentais ma vulve jalouser la jeune femme…
Je me mis à me caresser dans ce réduit obscur…
Penchée en avant, pour atteindre cet œilleton indiscret, j’entendais des gens entrer et sortir des toilettes…
J’étais invisible, enfermée dans ce placard de service…
Elle se retourna, s’assit sur la cuvette des WC…
Ses seins magnifiques, je les avais connus à l’époque…
Tétons érigés, il la prit par mes chevilles, souleva l’ensemble afin qu’il puisse la prendre sans effort, je sentis le membre reprendre place dans un vagin détrempé…
J’étais scotchée, face à elle, je voyais ses grimaces, se tordre sous le plaisir, l’attirer contre elle pour mieux le ressentir… J’en subissais les assauts, mes doigts en profitaient…
Il la besogna longuement, lui faisant prendre des angles variés, elle jouissait de cette queue puissante, je sentis un orgasme exploser dans mon ventre…
En même temps que le sien…
Ils intervertirent leurs positions, elle enfonça la bite au fond de son ventre, écartelée sur lui, sautillant en cadence…
Puis elle se leva et se remit en levrette, lui parla à l’oreille…
- Viens ! J’aime par là aussi…
Et il la sodomisa avec efficacité…
Je les entendis jouir ensemble, il arrivait à ses fins, elle le voulait dans son ventre…
Il se libéra dans son vagin juste à temps, le remplissant de semence…
Elle était en nage… A poil, déguenillée, elle se nettoyait avec une lingette…
Elle lui parla à l’oreille…
- C’était bon mon chéri… Tu peux appeler Bernard…
Le silence se fit dans le local, je gardais mon œil collé dans la paroi…
Elle se rajustait, et la porte s’ouvrit…
- Bonsoir Bernard… Tu connais mes exigences ?… Comme l’autre jour, même tarif…
Elle mit les billets dans son sac, elle s’assit sur la cuvette, descendit la fermeture éclair et sortit le sexe de Bernard, qu’elle caressa un instant et l’emboucha vertement…
Il écarta le chemisier, empauma les seins libres, elle n’avait pas remis de soutif…
Elle se laissa caresser tandis qu’elle le pompait avec art… Elle sentait son plaisir monter…
Sa robe glissait peu à peu à terre…
Elle se tourna en position sur le WC, les fesses relevées, le minou encore luisant…
Il la saisit aux hanches, guida son membre vers le sexe béant…
La queue la pénétra sans souci, elle poussa un feulement de lionne…
- Oh, oui, tu es gros Bernard, baise-moi à fond, fais-moi jouir encore, comme la dernière fois, j’aime quand tu fourres ma chatte et remplis mon cul, avec ta queue d’étalon…
- Tiens, Vivi, prend-ça dans ton cul de salope, tu vas m’en dire des nouvelles, je vais éclater ta rondelle, tu vas crier ta maman…
- Oh, j’aime ton mandrin dans ma porte arrière, oui, encule-moi bien profond, je suis tienne, emporte-moi sur ton nuage, tu es mon ange !...
Tout craque, tout autour, toilettes et lavabo, j’en prends plein les oreilles…
Elle se lâche comme une bourgeoise qu’elle était avec moi…
Elle se donne, se transforme en furie, nue dans ce WC pour dames, trop bien équipé, il ne manque qu’une douche pour terminer en beauté !
Elle atteint des sommets dans ses vocalises, des gros mots injurieux dans sa bouche adorable qui suce actuellement un dard infatigable !...
Elle le pose entre ses seins, et lui fait la cravate de notaire…
Il gicle dans tous les sens, elle en récupère au hasard, ouvrant sa bouche, récoltant le fruit de son labeur…
Lorsqu’elle avale, en le regardant droit dans les yeux, je jouis à mon tour, écrasant mon clitoris d’un doigt rageur, qui déclenche mon portable…
Ma pute d’ex-copine se rhabille lentement, ils s’embrassent avec passion…
- Viens chez moi demain soir, samedi… Je veux te filmer quand tu me fais levrette, quand je perds le nord, quand j’halète mon plaisir, en te sentant grossir en moi… On refera tout ça dans mon lit de velours, entouré de coussins, si tu veux je peux inviter une amie, je viens juste de la retrouver, on te laissera sans voix, on bouffera ta queue, on videra tes couilles, s’il le faut toute la nuit…
- Elle est jolie ?
- Elle a été mon mentor, m’a ouvert sa foufoune, m’a appris la femme, à me redonner confiance en moi, vis à vis des hommes, à oublier ma vie de merde en savourant le plaisir du sexe…
- C’est vrai qu’il est beau le tien ! Tu as une chatte divine, et quand mon gland franchit ta porte, je me sens comme un puceau qui entre dans une cathédrale, je rêve d’y allumer mon cierge…
Quand mon téléphone sonne, un peu plus tard, je me doute qui appelle…
- Allo ? Marika ? C’est Vivi, ton amour dans des temps reculés… Tu me manques, cela fait longtemps que je n’ai pas caressé tes seins, léché ta douce chatte, lui présenter la mienne, et nous fondre dans un élan de sexe lesbien…
- Oh, quelle déclaration d’amour !... Oui, je t’ai aperçue cet aprèm, tu étais bien occupée…
- Oh, tu sais, j’ai évolué et mis en marche un turbin de première… Mais je te raconterai. Moi aussi je t’ai vue, tu étais aux bras de Monsieur le Maire, et il te mangeait des yeux… Tu fais quoi demain soir, samedi ?
- Pas grand-chose…
- Allez, tu te souviens où j’habite, je n’ai pas changé… 3ème droite…
J’étais vidée en sortant de ma cachette, et ce que je venais de voir, d’entendre, me mit dans un état second… Vivi faisait la pute au sein de nos copains…
Un vivier de pauvres bougres qui se faisaient ainsi jouir avec une superbe jeune femme, enfin, maintenant un peu moins, mais quel corps, et que de plaisir de s’envoyer en l’air avec elle…
Mais ces rapports malsains me pesaient, car elle avait été adorable, nous étions souvent ensemble, elle venait chez moi, on parlait de nos ex, on se caressait tant et plus dans mon grand salon, à la barbe de mon ex-mari qui logeait dans un garage réaffecté…
On a passé des heures à nous bouffer la chatte, à essayer des jouets féminins, en vue de mes ventes coquines… Parfois, elle me demandait d’aider telle ou telle beauté en détresse…
Une de ses connaissances, et elle la convertissait en une battante chevronnée…
Elle m’aidait dans l’animation de nos adhérentes, pour nos après-midis intimes, on calmait leur stress, leur névrose, leur dégoût des hommes…
Dans la première partie, on présentait notre méthode, on expliquait qu’avec le sexe, on se glisse partout, on revient vers la vie, on oublie… Le sexe est une thérapie…
On ne forçait personne pour entrevoir un avenir, se faire des amies, se libérer enfin…
Quand elles acceptaient une première expérience, place aux plaisirs saphiques dans mon salon… Par jeu, par manque, par vengeance, par curiosité…
En toute sécurité, elles découvraient un monde de tendresse, on dansait pour faire connaissance, on discutait à bâtons rompus devant un thé, elles parlaient d’elles, se vidaient de leur fiel, on créait une ambiance, librement, sans tabou…
Les nouvelles se faisaient des amies, des confidentes, et très vite, une amante…
Le désir, une libido régénérée, elles se laissaient porter, sans pression, oubliant la cause de leur déchéance, on flirtait en comité restreint, en totale confiance…
Les habituées venaient chaque semaine, souvent pour rencontrer leur amante, fières de tromper leur mec…
De 35 à 70 ans et plus parfois, ragaillardies par leurs échanges discrets, elles retrouvaient des raisons de se battre, de se défendre, de se libérer de leurs liens conjugaux ou autres, heureuses de passer des moments de plaisir…
Samedi, je sonnais à sa porte et je retrouvais la Vivi que je connaissais… Riante, plaisante, complice, adorable et très coquine…
Son ami Juju, était assez beau, des yeux perçants, un corps de sportif, dans la cinquantaine…
On fit connaissance en prenant l’apéritif, et on plongea dans nos travers…
En travers, en long, debout, assises, il nous faisait gueuler de plaisir, un vrai étalon avec ses deux pouliches…
On lui offrit une séance lesbienne, pour qu’il se régénère, mais on avait déjà bien donné…
Plutôt, on avait trop bien reçu !
Il nous liquéfiait, on coulait nos sucs de femelles, il savait pertinemment, ce qui nous enchantait et nous faisait perdre la tête…
Il aimait me prendre en levrette, allongée entre les cuisses de Vivi, que je broutais avec passion et excitait avec ma langue…
Cela le faisait bander, il en râlait d’excitation, et nous démontait de suite après…
J’ai aimé le chevaucher en amazone, sentir sa verge pénétrer mon vagin, et le remplir avec point G excité !
Un vrai carnage, le sol se dérobait sous mes pieds, ils me tenaient, me menaient à l’extase, elle sodomisait ma rondelle avec des jouets de plus en plus gros…
Elle m’imitait, arrosée de foutre, le vidant de sa semence d’homme…
Elle possédait un petit Spa dans sa salle de bains et on put s’adonner à des privautés tous les trois… Elle s’activait sur Juju, en moi, s’aidait de trucs électroniques, elle se laissa attacher, avec moi et il nous commanda, nous promena en laisse, nous mit des pinces et nous gratifia de coups de fouet, très softs, mais prenants…
Je jouis de la fessée pour la première fois, n’étant pas une adepte, mais il maniait aussi bien le fouet et d’autres instruments, qu’elle…
Je l’entraînais sur le balcon, en mangeant une glace, autre fantasme…
Quelques vis-à-vis, éloignés, très excitant
Juju savourait derrière une baie vitrée du salon…
Elle invita un inconnu, un voisin, pour déboucher sa salle de bains…
Il arriva immédiatement…
Je m’enfermais sans bruit avec Juju dans sa chambre, tandis qu’elle jouissait en silence, avec une poire de débouchage, un plaisir rare, qu’il utilisait par les deux bouts !...
Nos orgasmes se fondirent dans le silence, une nuit magique…
Au matin, tout était calme, elle s’était levée, préparait le café, le voisin revint avec des croissants…
On déjeuna en silence, encore bercés par nos rêves érotiques…
Je regardais le voisin avec insistance, il me prit sur la table…
Vivi et Juju s’était réfugiés au salon, elle s’était arcboutée contre la baie vitrée, et, en silence, elle se faisait baiser sans pudeur, les seins animés de soubresauts, face aux voyeurs, mimant ses orgasmes…
FIN
Marika842010
Novembre 2022
Bien que très silencieuse, elle résonna dans ma tête longuement…
Avoir une aventure si intense, avec une telle complicité, n’est pas courant…
Pour reprendre mes propos de la première partie, j’ai ressenti un déclic soudain…
Je l’ai localisé dans cette personne, qui ne m’avait pas fait réagir en entrant…
Occupée à sa caisse, un simple échange de politesses, aucune parole, aucun commentaire, juste dans ses yeux lorsque j’ai composé son numéro…
La reverrais-je ? Je ne sais pas…
Samedi je me rends à une soirée de la Mairie, mon ancien employeur fête Noël.
Après un bon repas, dans la salle des fêtes, où les 250 personnes présentes ne se sentaient pas gênées…
Je retrouvais quelques amis, quelques anciens collègues femmes et hommes, et je dansais en buvant au bon vieux temps… Les services sociaux se sont agrandis, j’étais passée dans d’autres sphères par la suite, mais toujours en contact avec la Mairie, dans mon entreprise pour aider les femmes en détresse, de mon quartier…
On me connaissait, mes ventes en réunion étaient appréciées, je défendais les causes incomprises, les non-dits, les victimes du silence… Donnant un peu d’espoir à celles qui venaient chez moi… Tous âges, toutes conditions, même souffrance… Délaissées, battues, humiliées, trompées, prostituées dans leur sphère conjugale, pour des contrats, une vente, des passe-droits, les hommes sont sans limite…
Dans un brouhaha, l’orchestre lança une danse effrénée…
Nous rions comme des folles, transpirons, buvons, attendant les slows pour nous calmer…
Je vois tourner des collègues autour de moi et de mes anciennes copines…
A l’époque j’étais mariée à Paul, et ne l’ai jamais trompé, malgré les occasions, jusqu’à ce qu’il franchisse la ligne…
L’alcool aidant, je me lâchais petit à petit, Monsieur le Maire me fit l’honneur d’une valse…
Divorcée et fière de l’être, libre de mon temps, mon ami Romain pour compagnon de route, j’habitais seule, il passait de temps en temps. Garder mon indépendance avait été mon premier souhait, et il aimait notre deal…
Bref, je dansais avec pas mal de mes anciens collègues, quelques danses entre copines esseulées, j’eux envie de me rafraîchir…
C’est dans le fond du WC des dames que j’entendis des voix…
Il y avait une dizaine de box, je m’approchais du dernier à pas de loup…
Viviane me tournait le dos, arcboutée sur la cuvette, un homme lui donnait ce qu’elle cherchait depuis notre dernière valse…
Il la pourfendait en la tenant par les hanches, robe retroussée, elle gémissait doucement, à chaque coup de rein…
Je refermais la porte, un placard me tendait les bras…
Ils ne pouvaient me voir sans se retourner, ni l’un, ni l’autre…
J’entendais son souffle, elle jouissait, et la musique très présente couvrait leurs ébats…
Je ne voyais pas le sexe du garçon, mais les fesses de ma meilleure collègue, étaient secouées de tremblements qui se répercutaient dans tout son corps…
Le chemisier ouvert laissait entrevoir sa poitrine fournie…
Ses seins tressautaient dans son soutien-gorge un peu lâche, malmenés, bousculés, prenant la tangente, libérant peu à peu des boutons…
Quand il massa ses globes en forniquant allégrement, elle augmenta son volume sonore !
Elle orgasmait, ondulait de la croupe, en le priant de la baiser à fond…
- Oh, oui, j’ai envie de sexe, continue, explose mes organes… Fais-moi jouir !
Elle libéra son soutif, il massa ses seins à pleines mains, la plantant en cadence d’un sexe qui semblait vigoureux !
Je sentais ma vulve jalouser la jeune femme…
Je me mis à me caresser dans ce réduit obscur…
Penchée en avant, pour atteindre cet œilleton indiscret, j’entendais des gens entrer et sortir des toilettes…
J’étais invisible, enfermée dans ce placard de service…
Elle se retourna, s’assit sur la cuvette des WC…
Ses seins magnifiques, je les avais connus à l’époque…
Tétons érigés, il la prit par mes chevilles, souleva l’ensemble afin qu’il puisse la prendre sans effort, je sentis le membre reprendre place dans un vagin détrempé…
J’étais scotchée, face à elle, je voyais ses grimaces, se tordre sous le plaisir, l’attirer contre elle pour mieux le ressentir… J’en subissais les assauts, mes doigts en profitaient…
Il la besogna longuement, lui faisant prendre des angles variés, elle jouissait de cette queue puissante, je sentis un orgasme exploser dans mon ventre…
En même temps que le sien…
Ils intervertirent leurs positions, elle enfonça la bite au fond de son ventre, écartelée sur lui, sautillant en cadence…
Puis elle se leva et se remit en levrette, lui parla à l’oreille…
- Viens ! J’aime par là aussi…
Et il la sodomisa avec efficacité…
Je les entendis jouir ensemble, il arrivait à ses fins, elle le voulait dans son ventre…
Il se libéra dans son vagin juste à temps, le remplissant de semence…
Elle était en nage… A poil, déguenillée, elle se nettoyait avec une lingette…
Elle lui parla à l’oreille…
- C’était bon mon chéri… Tu peux appeler Bernard…
Le silence se fit dans le local, je gardais mon œil collé dans la paroi…
Elle se rajustait, et la porte s’ouvrit…
- Bonsoir Bernard… Tu connais mes exigences ?… Comme l’autre jour, même tarif…
Elle mit les billets dans son sac, elle s’assit sur la cuvette, descendit la fermeture éclair et sortit le sexe de Bernard, qu’elle caressa un instant et l’emboucha vertement…
Il écarta le chemisier, empauma les seins libres, elle n’avait pas remis de soutif…
Elle se laissa caresser tandis qu’elle le pompait avec art… Elle sentait son plaisir monter…
Sa robe glissait peu à peu à terre…
Elle se tourna en position sur le WC, les fesses relevées, le minou encore luisant…
Il la saisit aux hanches, guida son membre vers le sexe béant…
La queue la pénétra sans souci, elle poussa un feulement de lionne…
- Oh, oui, tu es gros Bernard, baise-moi à fond, fais-moi jouir encore, comme la dernière fois, j’aime quand tu fourres ma chatte et remplis mon cul, avec ta queue d’étalon…
- Tiens, Vivi, prend-ça dans ton cul de salope, tu vas m’en dire des nouvelles, je vais éclater ta rondelle, tu vas crier ta maman…
- Oh, j’aime ton mandrin dans ma porte arrière, oui, encule-moi bien profond, je suis tienne, emporte-moi sur ton nuage, tu es mon ange !...
Tout craque, tout autour, toilettes et lavabo, j’en prends plein les oreilles…
Elle se lâche comme une bourgeoise qu’elle était avec moi…
Elle se donne, se transforme en furie, nue dans ce WC pour dames, trop bien équipé, il ne manque qu’une douche pour terminer en beauté !
Elle atteint des sommets dans ses vocalises, des gros mots injurieux dans sa bouche adorable qui suce actuellement un dard infatigable !...
Elle le pose entre ses seins, et lui fait la cravate de notaire…
Il gicle dans tous les sens, elle en récupère au hasard, ouvrant sa bouche, récoltant le fruit de son labeur…
Lorsqu’elle avale, en le regardant droit dans les yeux, je jouis à mon tour, écrasant mon clitoris d’un doigt rageur, qui déclenche mon portable…
Ma pute d’ex-copine se rhabille lentement, ils s’embrassent avec passion…
- Viens chez moi demain soir, samedi… Je veux te filmer quand tu me fais levrette, quand je perds le nord, quand j’halète mon plaisir, en te sentant grossir en moi… On refera tout ça dans mon lit de velours, entouré de coussins, si tu veux je peux inviter une amie, je viens juste de la retrouver, on te laissera sans voix, on bouffera ta queue, on videra tes couilles, s’il le faut toute la nuit…
- Elle est jolie ?
- Elle a été mon mentor, m’a ouvert sa foufoune, m’a appris la femme, à me redonner confiance en moi, vis à vis des hommes, à oublier ma vie de merde en savourant le plaisir du sexe…
- C’est vrai qu’il est beau le tien ! Tu as une chatte divine, et quand mon gland franchit ta porte, je me sens comme un puceau qui entre dans une cathédrale, je rêve d’y allumer mon cierge…
Quand mon téléphone sonne, un peu plus tard, je me doute qui appelle…
- Allo ? Marika ? C’est Vivi, ton amour dans des temps reculés… Tu me manques, cela fait longtemps que je n’ai pas caressé tes seins, léché ta douce chatte, lui présenter la mienne, et nous fondre dans un élan de sexe lesbien…
- Oh, quelle déclaration d’amour !... Oui, je t’ai aperçue cet aprèm, tu étais bien occupée…
- Oh, tu sais, j’ai évolué et mis en marche un turbin de première… Mais je te raconterai. Moi aussi je t’ai vue, tu étais aux bras de Monsieur le Maire, et il te mangeait des yeux… Tu fais quoi demain soir, samedi ?
- Pas grand-chose…
- Allez, tu te souviens où j’habite, je n’ai pas changé… 3ème droite…
J’étais vidée en sortant de ma cachette, et ce que je venais de voir, d’entendre, me mit dans un état second… Vivi faisait la pute au sein de nos copains…
Un vivier de pauvres bougres qui se faisaient ainsi jouir avec une superbe jeune femme, enfin, maintenant un peu moins, mais quel corps, et que de plaisir de s’envoyer en l’air avec elle…
Mais ces rapports malsains me pesaient, car elle avait été adorable, nous étions souvent ensemble, elle venait chez moi, on parlait de nos ex, on se caressait tant et plus dans mon grand salon, à la barbe de mon ex-mari qui logeait dans un garage réaffecté…
On a passé des heures à nous bouffer la chatte, à essayer des jouets féminins, en vue de mes ventes coquines… Parfois, elle me demandait d’aider telle ou telle beauté en détresse…
Une de ses connaissances, et elle la convertissait en une battante chevronnée…
Elle m’aidait dans l’animation de nos adhérentes, pour nos après-midis intimes, on calmait leur stress, leur névrose, leur dégoût des hommes…
Dans la première partie, on présentait notre méthode, on expliquait qu’avec le sexe, on se glisse partout, on revient vers la vie, on oublie… Le sexe est une thérapie…
On ne forçait personne pour entrevoir un avenir, se faire des amies, se libérer enfin…
Quand elles acceptaient une première expérience, place aux plaisirs saphiques dans mon salon… Par jeu, par manque, par vengeance, par curiosité…
En toute sécurité, elles découvraient un monde de tendresse, on dansait pour faire connaissance, on discutait à bâtons rompus devant un thé, elles parlaient d’elles, se vidaient de leur fiel, on créait une ambiance, librement, sans tabou…
Les nouvelles se faisaient des amies, des confidentes, et très vite, une amante…
Le désir, une libido régénérée, elles se laissaient porter, sans pression, oubliant la cause de leur déchéance, on flirtait en comité restreint, en totale confiance…
Les habituées venaient chaque semaine, souvent pour rencontrer leur amante, fières de tromper leur mec…
De 35 à 70 ans et plus parfois, ragaillardies par leurs échanges discrets, elles retrouvaient des raisons de se battre, de se défendre, de se libérer de leurs liens conjugaux ou autres, heureuses de passer des moments de plaisir…
Samedi, je sonnais à sa porte et je retrouvais la Vivi que je connaissais… Riante, plaisante, complice, adorable et très coquine…
Son ami Juju, était assez beau, des yeux perçants, un corps de sportif, dans la cinquantaine…
On fit connaissance en prenant l’apéritif, et on plongea dans nos travers…
En travers, en long, debout, assises, il nous faisait gueuler de plaisir, un vrai étalon avec ses deux pouliches…
On lui offrit une séance lesbienne, pour qu’il se régénère, mais on avait déjà bien donné…
Plutôt, on avait trop bien reçu !
Il nous liquéfiait, on coulait nos sucs de femelles, il savait pertinemment, ce qui nous enchantait et nous faisait perdre la tête…
Il aimait me prendre en levrette, allongée entre les cuisses de Vivi, que je broutais avec passion et excitait avec ma langue…
Cela le faisait bander, il en râlait d’excitation, et nous démontait de suite après…
J’ai aimé le chevaucher en amazone, sentir sa verge pénétrer mon vagin, et le remplir avec point G excité !
Un vrai carnage, le sol se dérobait sous mes pieds, ils me tenaient, me menaient à l’extase, elle sodomisait ma rondelle avec des jouets de plus en plus gros…
Elle m’imitait, arrosée de foutre, le vidant de sa semence d’homme…
Elle possédait un petit Spa dans sa salle de bains et on put s’adonner à des privautés tous les trois… Elle s’activait sur Juju, en moi, s’aidait de trucs électroniques, elle se laissa attacher, avec moi et il nous commanda, nous promena en laisse, nous mit des pinces et nous gratifia de coups de fouet, très softs, mais prenants…
Je jouis de la fessée pour la première fois, n’étant pas une adepte, mais il maniait aussi bien le fouet et d’autres instruments, qu’elle…
Je l’entraînais sur le balcon, en mangeant une glace, autre fantasme…
Quelques vis-à-vis, éloignés, très excitant
Juju savourait derrière une baie vitrée du salon…
Elle invita un inconnu, un voisin, pour déboucher sa salle de bains…
Il arriva immédiatement…
Je m’enfermais sans bruit avec Juju dans sa chambre, tandis qu’elle jouissait en silence, avec une poire de débouchage, un plaisir rare, qu’il utilisait par les deux bouts !...
Nos orgasmes se fondirent dans le silence, une nuit magique…
Au matin, tout était calme, elle s’était levée, préparait le café, le voisin revint avec des croissants…
On déjeuna en silence, encore bercés par nos rêves érotiques…
Je regardais le voisin avec insistance, il me prit sur la table…
Vivi et Juju s’était réfugiés au salon, elle s’était arcboutée contre la baie vitrée, et, en silence, elle se faisait baiser sans pudeur, les seins animés de soubresauts, face aux voyeurs, mimant ses orgasmes…
FIN
Marika842010
Novembre 2022
2 years ago