VOISINS
Jeannette et Jean, les petits voisins.
Il ne se passe plus grand-chose dans notre village avec ce putain de virus.
Les gens ne sortent plus.
Sauf que⊠Les voisins sont partis un Week end, ce vendredi.
Jeannette et Jean leurs enfants ont dĂ©cidĂ©s de faire la fĂȘte.
De mon jardin, je les vois sur la pelouse tous les deux (il y a juste un grillage et quelques plantes).
Ils boivent de la biĂšre et la musique et forte.
Je suis en train de lire en jetant un coup dâĆil de temps en temps.
Je suis torse nu et en short.
Ils se mettent à danser⊠si on peut appeler ça danser.
Eux aussi sont en tenues légÚres, shorts et tee-shirts.
Encore une biĂšre.
Jean retire son tee-shirt.
Pas mal le gamin, bien bronzé, bien foutu, dans les quinze seize ans.
Sa sĆur est aussi mignonne, elle doit avoir un an de plus que lui.
Une belle poitrine qui est assez opulente.
Jeannette Ă des formes, pour son Ăąge.
Elle danse et ça balance bien.
Je commence à ne plus trop lire, les regardant se trémousser.
Jean prend une bouteille dâeau et commence Ă arroser sa sĆur.
Un jeu de con qui finit toujours mal.
Jeannette saisi un seau dâeau et le balance sur son frĂšre.
Il rigole comme un jeune fou.
Il est trempé.
Sa sĆur tire un grand coup sur le short.
- « Retire ça sâest trempĂ©. »
- « ArrĂȘte, oĂč je te fais pareil. »
- « Pas besoin, je peux le faire toute seule. »
Elle retire son short.
Son T-shirt assez long couvre ses fesses.
Je pose le bouquin et me met Ă les regardez sans me cacher.
Jean me voit et me montre du doigtâŠ
Cette derniĂšre se retourne vers moi en riant.
- « Bonjour Monsieur Steph, vous allez bien. On ne vous dérange pas avec notre musique ?
Je me lĂšve et me dirige vers eux.
- « Non pas du tout, ma femme est sortie avec des amies, je suis tout seul et je nâai plus vraiment envie de lire. »
- « Une biÚre avec nous alors ? »
Me demande Jeannette.
- « Si vous voulez. »
Le grillage est petit sur un muret.
Facile Ă enjamber, ce que je fais.
Je regarde Jean en caleçon moulant.
Il ne semble pas avoir un trop gros membre.
Quant Ă Jeannette, je mâaperçois quâelle a juste un string.
- « Excusez nos tenues, mais il fait chaud et Jean ma aspergĂ©e, alors jâai retirĂ© mon short. »
- « Pas de problÚme, tu es trÚs jolie comme ça. »
- « Et moi alors, je ne suis pas beau ? »
Dit Jean, en tournant sur lui-mĂȘme.
- « Ah celui-lĂ toujours prĂȘt Ă faire le beau !! »
- « Vous ĂȘtes trĂšs bien tous les deux, câest beau dâĂȘtre jeune. »
- « Allez santé Steph et pas un mot aux parents quand ils vont rentrer. »
- « Promis ! »
Dis-je en trinquant avec eux.
Mes yeux se fixent sur les seins de Jeannette.
Ses tétons sont tendus et marquent le tissu.
Elle ne semble pas avoir de soutien-gorge.
Ăa pointe fort.
Elle remarque mon regard.
On boit un coup.
Balance quelques banalités.
Puis une autre biĂšre.
Jean tire sur son caleçon mouillé.
Sa sĆur me glisse Ă lâoreille quâil puceau.
Jean lâentend, ce fĂąche et balance un seau dâeau Ă sa sĆur.
Le T-shirt mouillé laisse voir les gros nichons de Jeannette.
Les tétons toujours dressés.
Jâai reçu de lâeau sur moi.
Jean sâexcuse en bredouillant.
- « Ce nâest pas grave, câest juste de lâeau. »
- « Tu aurais pu faire attention !!! »
Dit Jeannette a son frĂšre.
Elle prend une serviette et commence Ă me lâappliquer sur le short.
Comme jâĂ©tais assis, câest le devant qui tout pris lâeau.
Je sens ses doigts sur mon short.
Elle tamponne ma cuisse, puis sur ma braguette.
Je regarde ses gros nichons sous mes yeux.
Ăa commence Ă me chauffer.
Maintenant elle tamponne carrément sur ma bite qui gonfle.
Elle retire la serviette.
Regarde la bosseâŠ
Puis recommence, en glissant sa main sous la serviette, elle me caresseâŠ
Jean a vu le manĂšge, qui nâa pourtant pas durĂ© longtemps.
Il est bizarre, il semble excité aussi.
Il sâapproche de nous.
Pousse sa sĆur.
- « Nâen profite pas, sĆurette. Câest Ă moi de lâessuyer. Excuser ma sĆur Steph, il ne faudrait pas que vous nous preniez pour des voyous. »
- « Non, nâayez crainte, je ne pense pas cela. »
Lui aussi frotte sur ma bosse.
Je me détends en écartant les jambes.
Je le regarde dans les yeux.
Son caleçon est gonflé.
Ce petit con bandeâŠ
Je lui baisserais bien le caleçon pour voir sa bestiole.
Il semble quâil est compris mon envie, mĂȘme si je voulais rester discret avec mes voisins.
Il tire sur la serviette et dégrafe ma braguette.
Glisse sa main et saisit ma bite raide.
Il tire dessus et la sort.
Câest assez rapide et il mâa surpris.
Sa sĆur sâapproche et regarde.
- « Hooo ! Jean tu ne devrais pas, câest notre voisin, il connaĂźt nos parents. »
- « Mâen fou, jâai trop envie de sucer une queue. »
Il la regarde.
- « Tu nâas pas envie toi ? »
- « Si, mais on nâest pas avec les copains du lycĂ©e, câest un vieux, et puis câest notre voisin. »
- « Mâen fout jâai trop envie dâune bite dâhomme. Dâun vrai homme, pas de mes copains de lycĂ©e. Et puis faut bien se faire plaisir et je suis sĂ»r que câest un vieux vicieux ??!! »
- « Oh ! Jean soit poli avec Steph. »
- « Laisse le Jeannette, ton frĂšre est aussi un petit morveux, doublĂ© dâun petit salop⊠il mĂ©rite une bonne correction et câest toi qui vas le corriger avec cette baguette. Fais-lui rougir le cul pendant quâil va sucer.
- « Tu vois sĆurette, je te lâavais dit que Steph est un pervers. »
Et il commence Ă me prendre en bouche.
Elle prend la baguette et regarde ce cul tendu vers elle.
Elle me regarde dans les yeux, souris et commence Ă le frapper doucement.
Le petit cul sâagite et se trĂ©mousse.
Sa bouche sâaccĂ©lĂšre en Ă©mettant de petits rĂąles.
Je lui tiens bien la tĂȘte et lâoblige Ă sucer loin.
Sa sĆur commence Ă sâexciter de voir son frĂšre prendre du plaisir.
Ses tétons pointent forts.
- « Retire ton T-shirt Jeannette et joue avec tes tétons tout en corrigeant ton frÚre. Pince les plus fort et tire dessus en tournant petite salope. »
- « Oh oui Steph, insultez-moi, jâaime quand mes copains du lycĂ©e me traite de salope et de pute quand je les suce dans les chiottes. Je peux me doigter la chatte en regardant Jean vous sucer la bite ? »
- « Bien sĂ»r, donne-moi la baguette, câest moi qui vais le corriger ce petit con. »
Elle retire son string.
Elle est Ă poil sur la terrasse.
Jolie comme tout.
Fraiche comme une fleur dans la rosée du matin.
Elle se pose dans un fauteuil en plastique, une jambe sur lâaccoudoir, vulve offerte et Ă©cartĂ©eâŠ
Elle se caresse le clito qui pointe, puis alterne avec un doigt ou deux dans la chatte.
Jean lâobserve du coin de lâĆil tout en suçant.
Je ralenti mes coups de baguette et lui sâactive de plus en plus sur ma bite.
Je me dĂ©place doucement entrainant Jean vers sa sĆur.
Je remplace la main de Jeannette et la branle rapidement, lui mettant plusieurs doigts dans la chatte ou claquant son petit clito.
Elle se laisse aller, se raidi, puis lùche un cri secoué de spasmes.
- « Oh oui encore, je joui, merci Steph, merci ! »
- « Vas brouter ta sĆur, câest elle qui va recevoir mon sperme ! »
Dit jâen plaçant ma bite contre les lĂšvres de Jeannette qui ouvre la bouche et mâavale.
Elle ne suce pas longtemps, jâai trop envie et je lĂąche mon foutre dans sa bouche chaude. Surprise par le sperme, elle veut recracher, mais je lui tiens bien la tĂȘte et lâoblige Ă avaler.
- « Si tu veux faire la salope, faut la faire jusquâau bout, ma petite. Alors tu avale tout. Tu verras tu vas aimer, puis tu suceras ton frĂšre et tu avaleras sans que je tâoblige, ni te tienne, compris ? »
- « Oui Steph, je le ferais. »
Dit-elle en sâessuyant la bouche.
- « Je nâavais jamais avalĂ© avant, ce nâest pas trĂšs bon, mais il faut que je devienne salope, alors je le ferais. »
Jean câĂ©tait relevĂ©, son braquemard dĂ©formant son caleçon.
Sa sĆur le sort et lâembouche.
Je baissé le caleçon, caressant ses jeunes fesses encore rouges.
JâĂ©carte les fesses, caressant son petit trou.
Je mouille un doigt et lui enfonce dans le cul, de lâautre main, je caresse son entrejambe et ses boules.
Il ne tarda pas Ă Ă©jaculer dans la bouche de sa sĆur qui en bonne salope, aspire jusquâĂ la derniĂšre goutte.
Il se retire, elle ouvrit la bouche pour me montrer le sperme de son frĂšre et avale en faisant la grimace.
- « Vouai je lâai fait, je suis une salope. On nâavait jamais fait ça avec Jean, juste quelques attouchements. Maintenant quand tu auras envie, Jean, au lieu de te branler dans les chiottes ou sous la douche. Jâirais te sucer et tu me dĂ©chargeras ton jus. »
- « Oh oui alors⊠mais tu vas avoir du boulot, parce quâen ce moment je me branle tous les soirs. Je pourrais te baiser aussi ? »
- « Ah non, je tiens à rester vierge encore un peu. »
- « Ah bon, dommage, tu mâas donnĂ© envie. »
- « Bon ce nâest pas tout, il faut que je me sauve, ma femme va rentrer⊠et rhabillez-vous ! Motus les jeunes dis-je en sautant par-dessus le grillage.
- « Bonne soirée Steph. »
Me dit Jeannette en renfilant son T-shirt et remettant son short sans son string.
Elle sâapproche du grillage et me glisse.
- « Je veux rester vierge, mais si vous voulez mon petit Ćillet a dĂ©jĂ accueilli quelques copains. Je serais toujours dâaccord pour vous y accueillir. »
- « Et bien ok Jeannette, demain matin 10h, ma femme va faire les courses, on aura deux heures si tu as envie. »
- « Ok, Jean ne se lĂšve quâĂ midi, on se retrouve dans la cabane du jardin. »
- « 10h dans la cabane, tu seras en robe sans rien dessous, à quatre pattes, jupe troussée, cul tendu, tu ne te retourne pas quand je rentre dans cabane, tu écartes tes fesses et tu attends. »
- « Hummm, vous allez me prendre sauvagement ?
- « Tu verras bien ! à demain 10h !!! »
Il ne se passe plus grand-chose dans notre village avec ce putain de virus.
Les gens ne sortent plus.
Sauf que⊠Les voisins sont partis un Week end, ce vendredi.
Jeannette et Jean leurs enfants ont dĂ©cidĂ©s de faire la fĂȘte.
De mon jardin, je les vois sur la pelouse tous les deux (il y a juste un grillage et quelques plantes).
Ils boivent de la biĂšre et la musique et forte.
Je suis en train de lire en jetant un coup dâĆil de temps en temps.
Je suis torse nu et en short.
Ils se mettent à danser⊠si on peut appeler ça danser.
Eux aussi sont en tenues légÚres, shorts et tee-shirts.
Encore une biĂšre.
Jean retire son tee-shirt.
Pas mal le gamin, bien bronzé, bien foutu, dans les quinze seize ans.
Sa sĆur est aussi mignonne, elle doit avoir un an de plus que lui.
Une belle poitrine qui est assez opulente.
Jeannette Ă des formes, pour son Ăąge.
Elle danse et ça balance bien.
Je commence à ne plus trop lire, les regardant se trémousser.
Jean prend une bouteille dâeau et commence Ă arroser sa sĆur.
Un jeu de con qui finit toujours mal.
Jeannette saisi un seau dâeau et le balance sur son frĂšre.
Il rigole comme un jeune fou.
Il est trempé.
Sa sĆur tire un grand coup sur le short.
- « Retire ça sâest trempĂ©. »
- « ArrĂȘte, oĂč je te fais pareil. »
- « Pas besoin, je peux le faire toute seule. »
Elle retire son short.
Son T-shirt assez long couvre ses fesses.
Je pose le bouquin et me met Ă les regardez sans me cacher.
Jean me voit et me montre du doigtâŠ
Cette derniĂšre se retourne vers moi en riant.
- « Bonjour Monsieur Steph, vous allez bien. On ne vous dérange pas avec notre musique ?
Je me lĂšve et me dirige vers eux.
- « Non pas du tout, ma femme est sortie avec des amies, je suis tout seul et je nâai plus vraiment envie de lire. »
- « Une biÚre avec nous alors ? »
Me demande Jeannette.
- « Si vous voulez. »
Le grillage est petit sur un muret.
Facile Ă enjamber, ce que je fais.
Je regarde Jean en caleçon moulant.
Il ne semble pas avoir un trop gros membre.
Quant Ă Jeannette, je mâaperçois quâelle a juste un string.
- « Excusez nos tenues, mais il fait chaud et Jean ma aspergĂ©e, alors jâai retirĂ© mon short. »
- « Pas de problÚme, tu es trÚs jolie comme ça. »
- « Et moi alors, je ne suis pas beau ? »
Dit Jean, en tournant sur lui-mĂȘme.
- « Ah celui-lĂ toujours prĂȘt Ă faire le beau !! »
- « Vous ĂȘtes trĂšs bien tous les deux, câest beau dâĂȘtre jeune. »
- « Allez santé Steph et pas un mot aux parents quand ils vont rentrer. »
- « Promis ! »
Dis-je en trinquant avec eux.
Mes yeux se fixent sur les seins de Jeannette.
Ses tétons sont tendus et marquent le tissu.
Elle ne semble pas avoir de soutien-gorge.
Ăa pointe fort.
Elle remarque mon regard.
On boit un coup.
Balance quelques banalités.
Puis une autre biĂšre.
Jean tire sur son caleçon mouillé.
Sa sĆur me glisse Ă lâoreille quâil puceau.
Jean lâentend, ce fĂąche et balance un seau dâeau Ă sa sĆur.
Le T-shirt mouillé laisse voir les gros nichons de Jeannette.
Les tétons toujours dressés.
Jâai reçu de lâeau sur moi.
Jean sâexcuse en bredouillant.
- « Ce nâest pas grave, câest juste de lâeau. »
- « Tu aurais pu faire attention !!! »
Dit Jeannette a son frĂšre.
Elle prend une serviette et commence Ă me lâappliquer sur le short.
Comme jâĂ©tais assis, câest le devant qui tout pris lâeau.
Je sens ses doigts sur mon short.
Elle tamponne ma cuisse, puis sur ma braguette.
Je regarde ses gros nichons sous mes yeux.
Ăa commence Ă me chauffer.
Maintenant elle tamponne carrément sur ma bite qui gonfle.
Elle retire la serviette.
Regarde la bosseâŠ
Puis recommence, en glissant sa main sous la serviette, elle me caresseâŠ
Jean a vu le manĂšge, qui nâa pourtant pas durĂ© longtemps.
Il est bizarre, il semble excité aussi.
Il sâapproche de nous.
Pousse sa sĆur.
- « Nâen profite pas, sĆurette. Câest Ă moi de lâessuyer. Excuser ma sĆur Steph, il ne faudrait pas que vous nous preniez pour des voyous. »
- « Non, nâayez crainte, je ne pense pas cela. »
Lui aussi frotte sur ma bosse.
Je me détends en écartant les jambes.
Je le regarde dans les yeux.
Son caleçon est gonflé.
Ce petit con bandeâŠ
Je lui baisserais bien le caleçon pour voir sa bestiole.
Il semble quâil est compris mon envie, mĂȘme si je voulais rester discret avec mes voisins.
Il tire sur la serviette et dégrafe ma braguette.
Glisse sa main et saisit ma bite raide.
Il tire dessus et la sort.
Câest assez rapide et il mâa surpris.
Sa sĆur sâapproche et regarde.
- « Hooo ! Jean tu ne devrais pas, câest notre voisin, il connaĂźt nos parents. »
- « Mâen fou, jâai trop envie de sucer une queue. »
Il la regarde.
- « Tu nâas pas envie toi ? »
- « Si, mais on nâest pas avec les copains du lycĂ©e, câest un vieux, et puis câest notre voisin. »
- « Mâen fout jâai trop envie dâune bite dâhomme. Dâun vrai homme, pas de mes copains de lycĂ©e. Et puis faut bien se faire plaisir et je suis sĂ»r que câest un vieux vicieux ??!! »
- « Oh ! Jean soit poli avec Steph. »
- « Laisse le Jeannette, ton frĂšre est aussi un petit morveux, doublĂ© dâun petit salop⊠il mĂ©rite une bonne correction et câest toi qui vas le corriger avec cette baguette. Fais-lui rougir le cul pendant quâil va sucer.
- « Tu vois sĆurette, je te lâavais dit que Steph est un pervers. »
Et il commence Ă me prendre en bouche.
Elle prend la baguette et regarde ce cul tendu vers elle.
Elle me regarde dans les yeux, souris et commence Ă le frapper doucement.
Le petit cul sâagite et se trĂ©mousse.
Sa bouche sâaccĂ©lĂšre en Ă©mettant de petits rĂąles.
Je lui tiens bien la tĂȘte et lâoblige Ă sucer loin.
Sa sĆur commence Ă sâexciter de voir son frĂšre prendre du plaisir.
Ses tétons pointent forts.
- « Retire ton T-shirt Jeannette et joue avec tes tétons tout en corrigeant ton frÚre. Pince les plus fort et tire dessus en tournant petite salope. »
- « Oh oui Steph, insultez-moi, jâaime quand mes copains du lycĂ©e me traite de salope et de pute quand je les suce dans les chiottes. Je peux me doigter la chatte en regardant Jean vous sucer la bite ? »
- « Bien sĂ»r, donne-moi la baguette, câest moi qui vais le corriger ce petit con. »
Elle retire son string.
Elle est Ă poil sur la terrasse.
Jolie comme tout.
Fraiche comme une fleur dans la rosée du matin.
Elle se pose dans un fauteuil en plastique, une jambe sur lâaccoudoir, vulve offerte et Ă©cartĂ©eâŠ
Elle se caresse le clito qui pointe, puis alterne avec un doigt ou deux dans la chatte.
Jean lâobserve du coin de lâĆil tout en suçant.
Je ralenti mes coups de baguette et lui sâactive de plus en plus sur ma bite.
Je me dĂ©place doucement entrainant Jean vers sa sĆur.
Je remplace la main de Jeannette et la branle rapidement, lui mettant plusieurs doigts dans la chatte ou claquant son petit clito.
Elle se laisse aller, se raidi, puis lùche un cri secoué de spasmes.
- « Oh oui encore, je joui, merci Steph, merci ! »
- « Vas brouter ta sĆur, câest elle qui va recevoir mon sperme ! »
Dit jâen plaçant ma bite contre les lĂšvres de Jeannette qui ouvre la bouche et mâavale.
Elle ne suce pas longtemps, jâai trop envie et je lĂąche mon foutre dans sa bouche chaude. Surprise par le sperme, elle veut recracher, mais je lui tiens bien la tĂȘte et lâoblige Ă avaler.
- « Si tu veux faire la salope, faut la faire jusquâau bout, ma petite. Alors tu avale tout. Tu verras tu vas aimer, puis tu suceras ton frĂšre et tu avaleras sans que je tâoblige, ni te tienne, compris ? »
- « Oui Steph, je le ferais. »
Dit-elle en sâessuyant la bouche.
- « Je nâavais jamais avalĂ© avant, ce nâest pas trĂšs bon, mais il faut que je devienne salope, alors je le ferais. »
Jean câĂ©tait relevĂ©, son braquemard dĂ©formant son caleçon.
Sa sĆur le sort et lâembouche.
Je baissé le caleçon, caressant ses jeunes fesses encore rouges.
JâĂ©carte les fesses, caressant son petit trou.
Je mouille un doigt et lui enfonce dans le cul, de lâautre main, je caresse son entrejambe et ses boules.
Il ne tarda pas Ă Ă©jaculer dans la bouche de sa sĆur qui en bonne salope, aspire jusquâĂ la derniĂšre goutte.
Il se retire, elle ouvrit la bouche pour me montrer le sperme de son frĂšre et avale en faisant la grimace.
- « Vouai je lâai fait, je suis une salope. On nâavait jamais fait ça avec Jean, juste quelques attouchements. Maintenant quand tu auras envie, Jean, au lieu de te branler dans les chiottes ou sous la douche. Jâirais te sucer et tu me dĂ©chargeras ton jus. »
- « Oh oui alors⊠mais tu vas avoir du boulot, parce quâen ce moment je me branle tous les soirs. Je pourrais te baiser aussi ? »
- « Ah non, je tiens à rester vierge encore un peu. »
- « Ah bon, dommage, tu mâas donnĂ© envie. »
- « Bon ce nâest pas tout, il faut que je me sauve, ma femme va rentrer⊠et rhabillez-vous ! Motus les jeunes dis-je en sautant par-dessus le grillage.
- « Bonne soirée Steph. »
Me dit Jeannette en renfilant son T-shirt et remettant son short sans son string.
Elle sâapproche du grillage et me glisse.
- « Je veux rester vierge, mais si vous voulez mon petit Ćillet a dĂ©jĂ accueilli quelques copains. Je serais toujours dâaccord pour vous y accueillir. »
- « Et bien ok Jeannette, demain matin 10h, ma femme va faire les courses, on aura deux heures si tu as envie. »
- « Ok, Jean ne se lĂšve quâĂ midi, on se retrouve dans la cabane du jardin. »
- « 10h dans la cabane, tu seras en robe sans rien dessous, à quatre pattes, jupe troussée, cul tendu, tu ne te retourne pas quand je rentre dans cabane, tu écartes tes fesses et tu attends. »
- « Hummm, vous allez me prendre sauvagement ?
- « Tu verras bien ! à demain 10h !!! »
3 years ago