JARDINAGE
Le jardinage a du bon.
Hier, J'étais en plein jardinage avec de la musique dans les oreilles.
Alors que je fais une pause, j'enlève mon casque et crois entendre des bruits bizarres venant de chez mon voisin.
Je tends l'oreille et perçois distinctement les cris de ma voisine prenant, semble-t-il, du plaisir. Curieux, je m'approche de la haie.
Il faut dire qu’Henri, le voisin, est un vieux vicelard et que nous avons eu quelques aventures ensemble.
Mais, sans être envahissant, il me baise bien.
Plus de doute sur la nature des bruits que j'entends.
À un moment, la voix de Sylvianne, ma voisine, qui se fait sauter, est un peu plus forte et je comprends très distinctement :
- « Oui !!! Elle est bonne ta queue ! Défonce-moi bien comme ça ! Haaaa Oui !! Pince-les-moi plus fort ! c'est trop booon !!! »
Instinctivement, ma main remonte vers ma queue et je me mets à me caresser.
Mais je n'ai que le son et je voudrais l'image.
Alors j'écarte discrètement les buissons et arrive à les mater entrain de forniquer.
C’est bien Sylvianne qui est en train de se faire démonter la chatte par mon mari.
D'où je suis, ils m'offrent une vue imprenable sur leurs ébats.
Mes voisins changent de position et entament un 69.
Les bruits de succion me parviennent distinctement et, il faut bien l'avouer, entretiennent mon excitation.
Mes doigts s’activent sur ma queue et mes bourses.
Je pousse un petit gémissement de plaisir.
Tout à mon plaisir, je n'ai pas remarqué qu'ils m'avaient entendu.
Je ferme les yeux tout à ma masturbation.
Je suis de plus en plus excité.
Je sursaute en entendant Sylvianne dire :
- « Ça te fait jouir de nous mater mon salop ?! »
Avant que je n'ai le temps de régir, Henri me saisit et me fait passer la haie.
- « Tu vas être aussi bien là avec nous ! Bouffe sa chatte mon salop pendant que je te défonce la rondelle ! »
(Ce n’était bien sur pas la première fois que mon voisin m’enculait)
Quelques secondes plus tard, me voilà leur proie en train de me faire baiser par Henri alors que ma bouche se délecte de la cyprine de Sylvianne.
Je dévore son minou.
Elle pousse de longs feulements sous mes coups de langue habiles.
Puis, Paul sort de mon cul et en me tirant par les cheveux me fourre son dard dans la bouche. Il le fait aller et venir comme dans un vagin, pendant que Sylvianne lui flatte les bourses.
Elle me lance :
- « Pompe le bien putain ! On va partager son foutre ! »
Je suis surprise par le langage de Sylvianne qui d'habitude est plutôt soumise et effacée.
Je n'en reviens pas !
Mon après-midi de jardinage prend un tour des plus inattendu.
Toujours est-il que je suis involontairement devenu leur objet sexuel et que je m'applique à sucer du mieux que je peux cette verge qui abuse de ma bouche.
Paul sent qu'il parvient au nirvana. Il 'enfonce un peu plus dans ma bouche en m’ordonnant :
- « Prend mon foutre dans ta bouche mais n'avale pas ! »
Il éjacule en grognant et je me garde bien d'avaler.
Puis, repu, il sort de ma bouche et nous dit :
- « Partagez-vous mon nectar mes salopes ! »
Notre spectacle enchante le vieux bougre qui nous encourage tout en nous insultant.
De m'exhiber devant ce vieux vicieux et partager son sperme avec Sylvianne est très excitant. Même si je sais que les deux me manipule et que je suis leur proie.
Ça ne fait qu'augmenter mon plaisir.
Je sens ma bite couler de plaisir et mes doigts s'imprègne de la cyprine de Sylvianne qui couine de plaisir.
Devant un tel spectacle le vieux bougre reprend de la vigueur.
Sylvianne me couche sur le dos et m'enfourche pour un 69 d'enfer.
Nous nous suçons mutuellement, elle ma queue et moi son clito et hurlons notre plaisir.
Elle est vraiment douée avec sa langue et, en un rien de temps, elle m'amène au bord de l'orgasme.
J'ai beaucoup de mal à me concentrer sur son propre clitoris.
Sentant que je vais céder, elle s'amuse à me doigter le cul.
En montrant à Henri comme je m’ouvre.
S'en est trop et je joui, criant mon plaisir.
Henri continue de se branler, admirant mon orgasme.
Henri arrête de se masturber.
Il se lève, s'approche de moi, et aidé de Sylvianne, il me pénètre par le petit trou qu'elle avait soigneusement préparée.
- « Putain que t'es bon du cul ! On est bien dedans !"
Pendant qu'il m'encule, Patricia lui suce les couilles.
Presque machinalement, je lui dis :
- « Il est à toi Henri ! encule-moi bien à fond ! »
Pas la peine de me répéter pour qu'il me prenne plus intensément le cul.
Cette bestialité me ravit.
C'est absolument divin de sentir cette tige palpitante entrer et sortir de mon cul et de savoir Sylvianne qui suce alternativement ses couilles et ma bite.
Mon orgasme asperge de sperme le visage de Sylvianne.
Henri se retire de mon cul aussitôt et j'ai juste le temps de me retourner pour recevoir son sperme dans la figure.
Quand il a achevé de jouir sur moi, son liquide chaud et visqueux, à l'odeur si caractéristique, coule sur mon visage et dans mon cou.
Sylvianne s'empresse de me lécher et d'avaler le précieux nectar.
Une pause s'impose et nous filons vite fait chez moi pour déboucher une bouteille de champagne en lançant joyeusement :
- « Je crois que mon jardinage mérite d'être arrosée !! »
Nous trinquons joyeusement quand une fois la bouteille vide Henri se prend l'idée de nous fourrer à tour de rôle la bouteille dans le cul pour voir lequel de ne deux rectums est comme il le dit :
- « La plus apte à se faire enculer ! »
À ce jeu, c'est Sylvianne la meilleure.
Moi je n'arrête pas de geindre et de crier, alors qu'elle jouit avec des vocalises de cantatrice.
Après ces dernières jouissances mes voisins on pris congés.
Quand ma femme est rentrée le soir, elle m'a trouvée les traits tirés.
Je lui ai raconté mon aventure et elle a voulu vérifier d’elle même l'état de mon orifice.
En voyant l'état de mon anus, elle n'a pu résister de me prendre le cul sans ménagement avec notre god ceinture.
Elle m’a fait jouir sans me toucher.
Il s'est terminé en m'aspergeant le corps de
Elle a récupéré mon foutre dans sa main et l’avala en me traitant de salop.
Puis nous sommes passé sous la douche avant d'aller dans notre chambre pour un câlin amoureux, pendant lequel je me suis endormie comme une masse tellement j'étais exténuée par tous ces moments de plaisirs.
Hier, J'étais en plein jardinage avec de la musique dans les oreilles.
Alors que je fais une pause, j'enlève mon casque et crois entendre des bruits bizarres venant de chez mon voisin.
Je tends l'oreille et perçois distinctement les cris de ma voisine prenant, semble-t-il, du plaisir. Curieux, je m'approche de la haie.
Il faut dire qu’Henri, le voisin, est un vieux vicelard et que nous avons eu quelques aventures ensemble.
Mais, sans être envahissant, il me baise bien.
Plus de doute sur la nature des bruits que j'entends.
À un moment, la voix de Sylvianne, ma voisine, qui se fait sauter, est un peu plus forte et je comprends très distinctement :
- « Oui !!! Elle est bonne ta queue ! Défonce-moi bien comme ça ! Haaaa Oui !! Pince-les-moi plus fort ! c'est trop booon !!! »
Instinctivement, ma main remonte vers ma queue et je me mets à me caresser.
Mais je n'ai que le son et je voudrais l'image.
Alors j'écarte discrètement les buissons et arrive à les mater entrain de forniquer.
C’est bien Sylvianne qui est en train de se faire démonter la chatte par mon mari.
D'où je suis, ils m'offrent une vue imprenable sur leurs ébats.
Mes voisins changent de position et entament un 69.
Les bruits de succion me parviennent distinctement et, il faut bien l'avouer, entretiennent mon excitation.
Mes doigts s’activent sur ma queue et mes bourses.
Je pousse un petit gémissement de plaisir.
Tout à mon plaisir, je n'ai pas remarqué qu'ils m'avaient entendu.
Je ferme les yeux tout à ma masturbation.
Je suis de plus en plus excité.
Je sursaute en entendant Sylvianne dire :
- « Ça te fait jouir de nous mater mon salop ?! »
Avant que je n'ai le temps de régir, Henri me saisit et me fait passer la haie.
- « Tu vas être aussi bien là avec nous ! Bouffe sa chatte mon salop pendant que je te défonce la rondelle ! »
(Ce n’était bien sur pas la première fois que mon voisin m’enculait)
Quelques secondes plus tard, me voilà leur proie en train de me faire baiser par Henri alors que ma bouche se délecte de la cyprine de Sylvianne.
Je dévore son minou.
Elle pousse de longs feulements sous mes coups de langue habiles.
Puis, Paul sort de mon cul et en me tirant par les cheveux me fourre son dard dans la bouche. Il le fait aller et venir comme dans un vagin, pendant que Sylvianne lui flatte les bourses.
Elle me lance :
- « Pompe le bien putain ! On va partager son foutre ! »
Je suis surprise par le langage de Sylvianne qui d'habitude est plutôt soumise et effacée.
Je n'en reviens pas !
Mon après-midi de jardinage prend un tour des plus inattendu.
Toujours est-il que je suis involontairement devenu leur objet sexuel et que je m'applique à sucer du mieux que je peux cette verge qui abuse de ma bouche.
Paul sent qu'il parvient au nirvana. Il 'enfonce un peu plus dans ma bouche en m’ordonnant :
- « Prend mon foutre dans ta bouche mais n'avale pas ! »
Il éjacule en grognant et je me garde bien d'avaler.
Puis, repu, il sort de ma bouche et nous dit :
- « Partagez-vous mon nectar mes salopes ! »
Notre spectacle enchante le vieux bougre qui nous encourage tout en nous insultant.
De m'exhiber devant ce vieux vicieux et partager son sperme avec Sylvianne est très excitant. Même si je sais que les deux me manipule et que je suis leur proie.
Ça ne fait qu'augmenter mon plaisir.
Je sens ma bite couler de plaisir et mes doigts s'imprègne de la cyprine de Sylvianne qui couine de plaisir.
Devant un tel spectacle le vieux bougre reprend de la vigueur.
Sylvianne me couche sur le dos et m'enfourche pour un 69 d'enfer.
Nous nous suçons mutuellement, elle ma queue et moi son clito et hurlons notre plaisir.
Elle est vraiment douée avec sa langue et, en un rien de temps, elle m'amène au bord de l'orgasme.
J'ai beaucoup de mal à me concentrer sur son propre clitoris.
Sentant que je vais céder, elle s'amuse à me doigter le cul.
En montrant à Henri comme je m’ouvre.
S'en est trop et je joui, criant mon plaisir.
Henri continue de se branler, admirant mon orgasme.
Henri arrête de se masturber.
Il se lève, s'approche de moi, et aidé de Sylvianne, il me pénètre par le petit trou qu'elle avait soigneusement préparée.
- « Putain que t'es bon du cul ! On est bien dedans !"
Pendant qu'il m'encule, Patricia lui suce les couilles.
Presque machinalement, je lui dis :
- « Il est à toi Henri ! encule-moi bien à fond ! »
Pas la peine de me répéter pour qu'il me prenne plus intensément le cul.
Cette bestialité me ravit.
C'est absolument divin de sentir cette tige palpitante entrer et sortir de mon cul et de savoir Sylvianne qui suce alternativement ses couilles et ma bite.
Mon orgasme asperge de sperme le visage de Sylvianne.
Henri se retire de mon cul aussitôt et j'ai juste le temps de me retourner pour recevoir son sperme dans la figure.
Quand il a achevé de jouir sur moi, son liquide chaud et visqueux, à l'odeur si caractéristique, coule sur mon visage et dans mon cou.
Sylvianne s'empresse de me lécher et d'avaler le précieux nectar.
Une pause s'impose et nous filons vite fait chez moi pour déboucher une bouteille de champagne en lançant joyeusement :
- « Je crois que mon jardinage mérite d'être arrosée !! »
Nous trinquons joyeusement quand une fois la bouteille vide Henri se prend l'idée de nous fourrer à tour de rôle la bouteille dans le cul pour voir lequel de ne deux rectums est comme il le dit :
- « La plus apte à se faire enculer ! »
À ce jeu, c'est Sylvianne la meilleure.
Moi je n'arrête pas de geindre et de crier, alors qu'elle jouit avec des vocalises de cantatrice.
Après ces dernières jouissances mes voisins on pris congés.
Quand ma femme est rentrée le soir, elle m'a trouvée les traits tirés.
Je lui ai raconté mon aventure et elle a voulu vérifier d’elle même l'état de mon orifice.
En voyant l'état de mon anus, elle n'a pu résister de me prendre le cul sans ménagement avec notre god ceinture.
Elle m’a fait jouir sans me toucher.
Il s'est terminé en m'aspergeant le corps de
Elle a récupéré mon foutre dans sa main et l’avala en me traitant de salop.
Puis nous sommes passé sous la douche avant d'aller dans notre chambre pour un câlin amoureux, pendant lequel je me suis endormie comme une masse tellement j'étais exténuée par tous ces moments de plaisirs.
3 years ago
