Rosie Petite Salope

Ma vraie première avec un homme

Bonjour je m’appelle Rosie. J’avais dix huit ans et le monsieur plus de quarante. Je le voyais régulièrement au baby-foot ou il venait boire un verre, surtout quand j’étais là, mais ça je l’ai su après. Je voyais bien qu’il me regardait souvent jouer et qu’il s’approchait avec son verre pour me fixer. Il me regardait avec envie et moi j’aimais bien ça. Avec le temps on s’est mis à jouer ensemble jusqu’à ce qu’il m’offre un verre. Quelqu’un de très poli, pas spécialement beau, mais sympa. Je me suis fait voler ma mobylette et c’est comme ça qu’il m’a proposé de venir me déposer au lycée un jour de pluie.

Il s’appelait Gérard, était photographe professionnel pour le cinéma et on a échangé sur les quelques films que j’avais vu dernièrement. En voiture je sentais qu’il regardait mon jeans serré mais, n’étant pas de nature méfiante, je ne voyais pas le problème.
Quelques jours plus tard, je le retrouvais cette fois-ci au bar en face de mon lycée. Je fus très surpris de le voir là mais après la surprise nous avons pris un café et nous avons poursuivi notre discussion entamée dans la voiture mais cette fois-ci il était plus curieux de ma vie.

Il m a demandé si j avais mes parents. Je lui répondais qu’ils étaient divorcés et que je vivais avec mon frère et ma mère. Si j avais une copine ? Oui plusieurs en même temps. Et si j avais déjà couché ? Je lui répondais que oui mais une seule fois avec une femme. Ce qui était vrai et faux a la fois. J’avais déjà eu des rapports mais avec un camarade de classe. Nous nous étions caressés et embrassés sans aller plus loin, ce qui m’avait donnée envie d’aller plus loin avec un homme.

Ensuite il me proposa de me ramener et j’ai commencée à sentir quelque chose de déterminé dans son comportement. Bizarrement j’ai acceptée avec un sentiment de curiosité. Arrivé à sa voiture, qui était garée un peu en retrait dans une rue pas très passante, il m’a dit qu’il me trouvait beau et attirant. J’ai été moyennement surpris et je me suis senti rougir et dire « Merci beaucoup ». « Non je t’assure tu es très beau » avec un regard lubrique qui en disait long sur ses intentions a mon égard. Je baissais la tète comme une jeune fille timide mais j’étais excitée a l’idée qu’enfin j’allais pouvoir assouvir mes fantasmes.

Et il a mis directement sa main sur mon genou. J’ai senti mon cœur s’accélérer et au lieu de retirer mon genou je n’ai pas bougée et regardée dehors comme pour ne pas laisser voir que je me laissais faire. Il a tout de suite saisi l‘ouverture en remontant sur ma jambe. Après un moment de silence qui m’a paru long il me dit : « Je suis sûr que tu as la peau douce comme une jeune fille ».

Je ne répondis pas mais cela ne l’empêchait pas de me masser doucement en remontant vers mon sexe et puis il a tiré ma jambe vers lui pour me faire écarter plus. Ce que j’ai accepté et qui commençait à faire monter en moi une impression bizarre.

Je me sentais excitée et je savais pourquoi. Sa main est remontée entre mes jambes et là j’ai entendu sa respiration s’accélérer. Il massait au dessus de mon jeans en surveillant régulièrement que personne ne passait à notre hauteur. Cela a duré un peu et il m a dit : « Je vois que tu ne trouves pas ça désagréable ». « Oui ça va, au contraire j’aime ça ». « Mais attention aux gens je suis connu dans le coin. ». Il m’a dit « Tu as raison on bouge de la ». Mais il continuait à me peloter en respirant fort et je compris que je l’excitais.
Ca me plaisait bien. Avec mon pote quand on s’embrassait et se caressais, ca n’avait pas cette saveur.

Enfin il se calma un peu. « Tu veux aller au cinéma ? Il n’est pas trop tard, tu dois rentrer pour quelle heure ? » Je m’entends dire : « Oui on peut et de toute façon ce soir je suis tout seul car ma mère travaille tard et mon frère est a l armée. »

On est arrivé au ciné, on a choisi un film, et il a voulu qu’on se mette totalement à droite de la salle. De toute façon, il n’y avait pas grand monde. Dès que les lumières se sont éteintes il a recommencé à me peloter en prenant cette fois ma main pour la poser entre ses jambes. J’étais figée mais excitée de nouveau surtout quand il m’a demandé doucement à l’oreille de masser sa queue. J’ai donc cherchée et vite senti la forme sous son jogging. Elle était déjà dure et grande.

Je sentais qu’il était bien car sa main a ouvert ma braguette et a vite remonté mon sweat-shirt pour accéder à ce qu’il voulait. Je bandais et moi aussi j’ai pris l’envie de glisser ma main à l’intérieur de son jogging. Et là, surprise il était nu et j’avais sa queue en main, toute chaude et grosse. C’était magique. Moi, Rosie me retrouver un après midi dans un ciné avec un homme. Et un homme plus vieux que moi qui était en train de faire de moi une petite fiote. Il m a dit doucement mais sèchement : « Baisse ton pantalon coquine ». « Tu vas avoir du plaisir comme tu n’en a pas connu encore ».

Je m’exécutais avec joie en baissant totalement mon pantalon, ce qui lui fit lever la tète pour regarder si personne ne nous voyait. Une fois qu’il fut rassuré, j’ai écartée les jambes totalement pour lui permettre d’accéder à mon intimité. Il tripotait partout sans faire trop de bruit et je voyais pour la première fois ma queue bander dans la main d un homme. Je lui pris le sexe a pleine main et commençais à le branler doucement.

« Applique-toi bien surtout » me dit-il. « Prends la bien entièrement». Je sentais son sexe grossir dans ma main. On a regardés un peu le film en nous masturbant mutuellement. Quel moment sympa. J’adorais ça et je voulais prendre le plus de plaisir possible. Nous nous sommes embrassés en même temps et je frémissais de désir en sentant sa langue fouiller ma bouche.

Puis il m’a fait avancer sur la banquette pour pouvoir atteindre mes couilles et mon anus. Ouah, l’effet dès qu’il a commencé à m’effleurer. Sa main massait mes couilles et il me pénétrait la chatte avec son doigt. Je n’avais qu’une envie, c’était de m’allonger et m’offrir, mais la raison et le lieu me forçait à me retenir. Alors j’ai essayée de me calmer.

Il a vu que je ne bougeais plus et il m’a dit : « Tu es belle et excitante, et je vais faire de toi ma salope » tout en continuant à me caresser le corps. « Dis-moi que tu es d accord ? » Et j’étais tellement excitée que je lui répondis: « Oui je veux être ta salope. ». « Parfait et pour me le prouver tu vas commencer par me sucer délicatement maintenant ». J’en avais très envie, sa queue était tellement belle. Je voulais le sucer et lui donner ma bouche. Je voulais sentir son sexe grossir entre mes lèvres.

Il prit mon cou et me fit me pencher pour avaler son gros gland qui sentait le sexe. « Allez pompe comme une bonne salope que tu va être pour moi » J’ouvris la bouche et là l’extase. Quelle impression d’avoir en bouche cette queue chaude raide, et douce a la fois. Je me suis appliquée à lécher tout le gland, la hampe et jusqu’à ses couilles poilues.

Je l’entendais râler doucement, il prenait plaisir à ma caresse et j’étais fière. Il profita que j’étais penchée pour glisser sa main droite er masser mon dos pour atteindre mon cul. J’ai tressaillie de surprise mais contente de sentir cette main masser mes fesses et ma raie chaude et vierge. Je sentais que j’étais humide de chaleur entre mes fesses car ses doigts ont très facilement trouvés mon trou anal.
Quel sentiment quand j’ai senti un doigt entrer en moi alors que je suçais sa queue. Je me suis dit « Rosie tu es dingue mais que c’est bon et ne te prive surtout pas ». Et « Oui je crois que je suis une petite salope qui s’ignore encore ».

De l’autre main il appuyait sur ma tête pour enfoncer plus profondément son sexe dans ma gorge. « Tu pompes bien ma salope et ton cul est tellement magnifique. JE peux te jurer qu’il va connaître ma bite très prochainement » « Oui ma petite pute il va falloir être obéissante et commencer par avaler mon jus qui va bientôt sortir. »

Je m’appliquais encore plus en essayant de sucer son sexe le mieux possible et en massant le dessous de ses couilles pour accélérer son plaisir.

Il éjacula dans ma bouche et là j’ai failli vomir de surprise et j’ai du avaler direct pour pouvoir respirer. En sentant son sperme chaud envahir ma bouche, j’ai enfin eu le goût et l’odeur qui était assez agréable et salé. J’ai tout léché et il m’a dit toujours doucement mais fermement. « Tu gagnes à être connue petite salope. Tu vas donc maintenant te doigter et te branler en regardant le film et en pensant à ce que tu viens de faire. Je veux te voir gicler. » J’obéissais et me voilà jambes bien écartées posées sur le siège de devant, me doigtant, ce que je n avais jamais fait seul en me caressant.

Il me regardait et caressait mon ventre, mes tétons qu’il pinçait assez fort. « Dis que tu es ma petite pute. Je n’osais pas le dire. Il pinça mon téton, « Dis le !! » « Je suis ta petite pute. » « Mieux que ça !! » « Je suis ta petite puteeeee » « Humm parfait ».

« Dis que tu veux que je te dépucele la chatte » « Oui je veux me faire dépuceler par toi » « Que tu veux m’obéir intégralement » « Oui s’il te plait je veux t’obéir ». Et je me suis vu cracher comme je n’avais jamais joui de ma jeune vie ». Il lécha mon jus qui coulait et on s’est réajustées. J’étais satisfaite pour cette vraie découverte. Je me disais : « Ouah que c’était bon. Ouah j espère le revivre ». Et il m’a pris la main pour me dire « La prochaine fois tu vas prendre cher ma petite salope ».

Je suis devenu sa petite salope

Deux jours après cette expérience inattendue mais au combien plaisante, je vois revenir Gérard au bar en face de mon lycée. J’étais contente, j’avais eu peur de ne plus le revoir après notre expérience au cinéma.

Je vous avoue que j’ai eu un sentiment de contentement à le savoir là car depuis deux jours mon esprit est troublé fortement et je repensais beaucoup à ce qu’il m’avait fait connaître. Il me fit un petit signe comme pour me faire comprendre qu’il fallait rester discret.
Je continuais à jouer mais je sentais son regard sur moi et cela me plaisais. Quand j’ai fini par croiser son regard, il en a profité pour me faire signe de le suivre discrètement. Je terminais la partie et allai aux toilettes vers lesquelles il s’était dirigé. Arrivé à sa hauteur, il attrapa mon bras et amena en tirant tranquillement mais avec force mon oreille près de sa bouche.

« Bonjour ma petite salope, tu vas entrer dans les toilettes et retirer ce que tu as dessous et ensuite tu viens t’assoir avec moi. Compris ». Surprise, inquiète d’être dans cet endroit avec le monde que je connaissais mais émoustillée à cette demande inattendue. Je lui répondis « Oui d’accord ». Et il me laisse et retourne dans la salle.

Je vais donc retirer rapidement mon slip et reviens après quelques minutes m’assoir en face de lui. Il me sourit de satisfaction et me demande de lui donner ma culotte. Je la sors et très rapidement lui donne en boule pour que ce manège ne sois vu par personne.
Il me propose de prendre un café puis sur un ton sec me dit : « Tu vas sortir et aller à ma voiture qui est garée presque au même endroit que la dernière fois et tu m’attends ok ? » « Tu fais quoi ce soir, ta mère t’attends ».

« Oui elle est là ». « Et bien tu lui téléphoneras d’une cabine pour lui dire que tu vas chez un copain ».

« Et je ne veux pas entendre autre chose que oui » « Oui ok » « Parfait alors vas-y ». Je sorti en pensant que j’allais encore sucer sa queue et peut être plus. Cette pensée m’excitai et j’avais très envie se me faire baiser.

Quelques instants après il me rejoint à la voiture. Une fois à l intérieur il me prend par le cou et me colle ses lèvres sur la bouche en sortant sa langue, j’ai très vite ouvert la bouche pour recevoir son baiser et j’ai donc moi aussi sorti la mienne et ce contact a fait réagir mon ventre et plus bas.

Il arrêta et me dit : « Tu vas finir par aimer ma salope !! »

Et il glissa direct la main entre mon ventre et mon survêtement. Quelle sensation excitante de se sentir dominée en se laissant faire.
J’ai tout de suite ouvert les jambes en fermant les yeux pour sentir cette main ferme et chaude att****r ma queue qui grossissait rapidement. « Ah tu commences à comprendre que tu es faite pour ça hein ? ».

Je n’osais rien répondre tellement j’étais d’accord avec lui et que j’aimais ça. Mais je m’offrait encore plus en ouvrant mes jambes pour lui donner accès a mon intimité.

Il recula mon siège et il me demanda de me mettre à genoux dans l’espace devant et de lui pomper le dard qu’il avait sorti et qui me dominait de toute sa hauteur.

A sa vue, de nouveau mon cœur battait plus fort et l’envie pressante de l’avoir en bouche m’envahissait. Je devais avoir les yeux brillants de désir car il avait un visage vicieux et satisfait.

« Montre moi petite salope que tu veux jouer avec, par exemple fais sortir ta langue et mouilles tes lèvres en la roulant comme une affamée que tu vas devenir ».

Et je m’exécutais avec envie en essayant de m’appliquer pour l exciter davantage.

« Humm oui et remue légèrement ton petit cul en même temps pour que je sente que tu es une bonne chienne obéissante ».
Et me voilà m’agitant doucement et caressant mon corps en même temps, ce qui plaisait à Gérard.

« Allez viens, penche toi pour prendre ta récompense, je pense que tu l’as bien mérité » Et sans attendre je salivais tellement que sa grosse et longue queue est entrée dans ma bouche au point qu’il a soupiré de plaisir.

Je me tenais d’une main sur sa jambe et de l’autre masturbait et décalottait son gland pour me permettre de bien le sucer. Je me servais de ma bouche comme d’une pompe en aspirant son gland avec dextérité.

Humm je prenais du plaisir à sentir cette chose dans ma bouche gourmande. Je faisais tout le tour avec ma langue et il m’a demandé de l’avaler entièrement.

Il a alors appuyé sur ma tête et me suis retrouvée avec une grosse partie au fond de la gorge.

Ouah cette fois je ne me suis pas fait surprendre et, au-delà du haut de cœur et de la salive que ça a généré, j’ai réussi à faire quelques va et vient avec sa queue bien au fond de ma bouche qui ont fait durcir direct mon clito.

Je prenais mon pied en suçant sa queue, je massais ses couilles et là il m’a demandé d’arrêter net. « Stop salope tu vas me faire jouir trop vite » « Tu es vraiment faite pour ça chérie et c’est grâce à moi si tu découvres maintenant que tu es née pour servir et te faire baiser par des vieux comme moi ». Je pensais « Vieux mais en forme. En fait il me faisait un effet terrible et je me sentais comme une jeune fille amoureuse de son homme.

« Regarde la bosse énorme qu’on voit a travers ton survêtement, preuve que tu mouilles comme il faut et ça j’adore ».

« Alors on va s’arrêter à une cabine et tu vas dire à ta mère que tu dors chez un pote ».

« A-tu déjà découché ? ». « Oui » lui répondis-je « Mais pas très souvent et si soudainement ». « Et bien tu vas te débrouiller mais je te garde pour moi ok ». « Je veux que ton cul découvre la vraie vie et le plaisir absolu » « Je veux te voir jouir et réclamer encore plus ».
« Tu crois que tu vas réussir à convaincre ta mère ? ». « Oui je pense que oui ».

J’étais dans un état d’excitation à l’entendre mais aussi de doute en imaginant l’excuse que j’allais trouver avec ma mère.
Finalement je m’inquiétais pour rien car ma mère, qui était chef d entreprise, n’a pas été plus curieuse que ça et m’a donnée l’autorisation de faire comme je voulais.

En lui annonçant, une fois revenue, que j’étais toute a lui pour la nuit, il était comme un fou d’apprendre que c’était bon et que je me rendais donc disponible pour lui.

Il me roula sans vraiment calculer une pelle mémorable que j’ai adorée. Je recommençais à bander en sentant son envie pour moi et sa langue qui fouillait ma bouche grande ouverte.

Puis il reprit le volant et dis : « Direction les boutiques, je vais m’occuper de ma petite salope pour qu’elle soit vraiment comme je l’attends ».

Je devinais déjà un peu ce qu’il voulait dire, et j’étais excitée en comprenant ce qu’il voulait faire de moi, que j’étais agitée et pressée.
Une fois dans le magasin nous sommes allés directement aux sous vêtements féminins et là, il a choisi des culottes en dentelles, des strings, une guêpière, des collants, des bas et même du rouge à lèvres.

Il m a demandé d’aller en essayer au moins une pour ne pas se tromper de taille. Quelle sensation de mettre une culotte de femme, cela me rappelais quand j’enfilais en cachette celles de ma mère. Il me fit aussi essayer une paire d’escarpins a talons hauts et me fis marcher pour apprécier le spectacle. J’allais et venais entre les cabines, nue avec seulement un string et des talons hauts. Dans la glace je voyais une belle Sissy et je me sentais fière.

Il s’écria : « Rosie tu es superbe et ce soir tu vas me faire jouir plusieurs fois. J’en suis sûr vu le cul que tu as ».
« Rosie ? Pourquoi m’appelles-tu Rosie ? ». « Ce n’est pas ton petit nom de salope ? » « Comment savait-il ça ? ».

Il savait tout sur moi me dit-il et j’acceptais en pensant que de toute façon je lui aurais demandée de m’appeler Rosie a un moment ou a un autre. Ca me faisait sentir que je devenais sa chienne et j’adorais ça.

J’étais maintenant pressée de sortir du magasin pour passer aux choses sérieuses. A la caisse, je ne savais plus où me mettre quand il a mis tout nos achats sur le tapis. Le temps m’a paru long mais bon je ne connaissais personne. Malgré tout la caissière nous regardait avec un petit sourire entendu qui voulait dire : Voila un joli couple.

Et nous voilà chez lui dans son appartement aménagé avec un grand salon et une grande chambre qu’il me fit visiter.
Dans la chambre, j’ai bien remarqué les portes de placards avec des glaces et la lumière qui était indirecte, quand au salon il avait des portes fenêtres donnant sur un balcon avec quand même du vis à vis et je pensais que les voisins pouvaient nous voir. Si, bien sur nous le voulions, et moi je le voulais. Je ne détesterais pas être exhibée en salope.

Il m a proposé de prendre une douche et ensuite d’aller dans la chambre pour commencer a essayer mes nouveaux dessous.
Je me suis douchée en prenant soin d’aller aux toilettes avant en prévision de la suite qui me faisait un peu peur. Mais mes gestes tremblaient et je n’étais plus trop connectée normalement. J’étais dans un état second en pensant que j’étais en train de devenir un Sissy Boy pour un homme.

Et là dans la chambre, posés sur le lit, un peignoir, une nuisette, une culotte en dentelle et un collant noir plus le rouge à lèvres et les talons hauts.

J’ai commencée par la culotte, puis le collant qui m’a fait réagir rien que de sentir le nylon sur mes longues jambes et surtout voir mes jambes avec ce collant me donnait un plaisir fou. Je me trouvais belle, sachant que je n’étais pas poilu comme jeune homme. Et enfin j’assouvissais mon désir de travestie.

Donc pas besoin de me raser les jambes. J’ai enfilé les chaussures et la nuisette. Ainsi vêtue j’ai commencée a aller et venir dans la chambre, surtout pour m’habituer a mes talons. Pour une première, c’était concluant. On aurait dit que j’avais portée des talons haut toute ma vie.

Je me regardais dans la glace et je me plaisais. J’ai alors pris le rouge a lèvres et j’ai essayée de faire comme je le voyais avec ma mère. Le résultat fut très acceptable et, de me voir ainsi faire la moue avec mes lèvres rouges comme une vrai femme devant la glace, me fit durcir légèrement le clito et sentir une humidité. Le plaisir des yeux. J’avais en face de moi une très jolie fille prête a se faire baiser par son homme.

C’était une énorme sensation de me regarder comme ça, excitante, prête pour mon homme qui allait profiter de moi comme bon lui semblerais car je sentais que je voulais le faire jouir intensément et me donner a lui sans retenue.
Enfin j’enfilais le peignoir et allais dans le salon où il était assis avec deux verres et différentes bouteilles.

Son visage s’illumina en me voyant arriver, sûrement du au fait que j avais la tenue qu’il m’avait offert, et de voir mes lèvres rouges, brillantes. Mon corps de fille paré de ses dessous, offerte comme une vraie salope, je marchais vers lui en faisant claquer mes talons. J’ondulais vers lui en faisant remuer mes fesses.

« Ouah tu es…. ouah !! ». « Merci Gérard mais ce n’est que moi, Rosie »

« Quoi ? Mais tu es plus que ça, tu es une bombe et qui ne demande qu’à exploser, ouvre le peignoir ».

Et la j ai cru qu’il allait faire une crise tellement il bougeait sur son siège avec déjà une grosse bosse que j’ai vite remarquée. « Tu restes comme ça surtout ...tu veux boire quoi vodka ou whisky ? ». En boîte j’ai toujours pris vodka orange ou Jin fizz alors j’ai répondu « Vodka ! »

Les lumières des appartements d’en face commençaient a être éclairées et cela commençait a m’exciter.
Je restais donc immobile, le peignoir ouvert, en face de lui puis il m a dit : « Fais tomber le peignoir et montre moi ton cul ». Je laissais glisser le peignoir a mes pieds et me tournais comme demandé.

Il admirait mon corps et mon cul face à lui quand le téléphone a sonné. Il répondît et quand j’ai entendu : « Oui ...oui tu la vois au milieu de la pièce ? » « Bien super ».

J’ai cru comprendre que quelqu’un d’en face devait nous regarder, ce qui a ma grande stupéfaction ne m’a pas gênée car j’attendais la suite avec impatience. Je commençais a comprendre ce qui allait se passer et ça me plaisait.
« Rosie tu vas maintenant venir trinquer avec ton Gérard mais à quatre pattes en montrant bien ton cul à la fenêtre »

Ça confirmait mon impression et là, c’est moi qui ai pris le délire, et doucement je me suis dans la position demandée en cambrant les fesses au maximum pour faire profiter au mieux le mateur d’en face. On a trinqués, il m’a pris en photo puis il a ouvert son peignoir ou je retrouvais ce sexe dressé qui me plaisait tant.

« Tu vois salope je rêve de te rouler une galoche mais ton rouge sur les lèvres est tellement excitant et te fait tellement chienne que je veux voir cette bouche à bites me sucer d’abord »

« Alors à toi de jouer et tu as intérêt à être bonne sinon ton cul va recevoir du martinet ». « Quoi ! » me demandais-je dans ma tête, il veut me donner du martinet. Et bien ça m’a motivée pour faire la garce.

A genoux, j’approchais de sa queue et l’avalais d’un coup. Je le pompais du mieux que je pouvais, je remuais mon cul quand il a finalement baissé le collant pour mieux me voir et pouvoir glisser ses doigts entre mes jambes. Là, je me pris une claque forte sur la fesse et il me dit : « Ecartes mieux que ça, je veux une chatte en chaleur », sur un ton impérieux qui me fis frissonner.
Je me délectais du liquide qui sortait de temps en temps et je pensais à l’autre en face. J’étais très excitée et mon clito commençais a bien durcir et a couler.

Je ressentais avec plaisir la chaleur de ses claques et je pense que c’est là que je me suis dis que j’aimais quand on me dirigeait fermement.

Il a doigté mon œillet avec un, deux puis trois doigts. Je m’entendais gémir et j’ai fini par lui ouvrir mon cul avec les deux mains. « Petite pute, elle veut se faire dépuceler hein ! » « C’est ça petite pute ? ». J’arrêtais de lécher pour réussir à dire : « Ouiiii j’ai envie que tu me baise, j’ai envie de me faire défoncer la chatte pour la première fois par toi et personne d’autre ».

« Montre-nous encore ce cul vierge, écarté et bien cambré » « Nous ?? » Ben oui, mon pote et voisin d’en face n’en rate pas une miette, qu’est ce que tu crois ». « C est pas tous les jours qu’on chope une belle prise comme toi ».

Je l’ai prévenu pendant ta douche et bien déjà il aime ton corps et tes grandes jambes.

Je me suis mis au milieu de la pièce à quatre pattes et je me déplaçais doucement en espérant que le spectacle valait le coup.
Quelques minutes et le téléphone sonna de nouveau : « Oui oui top, quoi ? Oui ok, enfin un truc du genre ».
Il raccrocha et me dit : « Bravo sale pute tu lui plais grave et il se branle assis sur son fauteuil mais il veut que tu retires la culotte maintenant mais on la remettra tout à l heure »

« Alors exécute-toi et je veux ensuite que tu envoie un baiser avec ta main vers les fenêtres un peu sur la droite pour l’exciter, salope »
Immédiatement j ai retiré la culotte en offrant au mieux mon corps et me caressant en même temps. Et j’ai mouillé un doigt pour aller me caresser et me le mettre dans la chatte.

J’entendais Gérard apprécier l’initiative et envoyais un bisou humide vers l’inconnu. Gérard étais debout devant moi, la queue raide. « A genoux et suce moi bien petite pute, montre encore ce que tu sais faire ».

Un régal sauf pour mes genoux à force. Et j’en profitais pour aspirer ses couilles très grosses et gonflées de jus.

« Oui c est ça tu es bien obéissante et maintenant je vais jouir dans ta gorge de pute. » « Réclame ! ». « Allez réclame ».
« S’il te plait je veux recevoir ton jus dans la bouche ». « Parfait alors claque moi ton cul en chaleur et continue à sucer ».

« Quoi ? ». « Claque moi ce cul immédiatement si tu veux ta récompense ». Et humm, je m’exécute en claquant mes belles fesses et en continuant avec ma bouche de faire briller ce membre objet de toutes mes envies.

Je savais que le spectacle était excitant et je me suis fait éjaculer juste en effleurant mon sexe. Et surtout le fait de savoir que l’inconnu en face se faisait jouir en nous regardant me rendait folle de désir. En plus entendre Gérard me dire que j’étais sa petite pute obéissante avec sa bite enfoncée bien profond dans ma bouche, fis encore couler mon clito comme une fontaine.

Et alors j’ai sentie le sexe de Gérard vibrer et j’ai été submergée de jets de sperme épais puis plus liquide qui glissait dans ma gorge.
J’avalais tout avec délice. Je sentais sa sève couler au fond de ma gorge et j’aurais voulu en recevoir des litres.
J’étais en transe et prête à la suite. Ca y est, je suis Rosie, la petite salope de Gérard.

Je suis devenu sa petite salope (suite)

Je venais de lui faire une pipe magistrale, à genoux au milieu de son salon, nue, les fesses écartées pour faire jouir son pote en face, qui n’en manquais pas une, dans son appartement. Je nettoyais tout avec ma langue et ma bouche comme il me l’avait demandé. Puis il me proposa de reprendre une vodka, mais cette fois ci en m’asseyant sur ses genoux de côté pour lui offrir mon profil et pouvoir accéder comme bon lui semble a mon corps.

Je m’asseyais donc après avoir remis ma culotte et bu rapidement ma vodka pour rincer ma bouche et le reste de son sperme. Pas que cela ne me plaisait pas, mais je voulais être fraiche pour en recevoir encore.
Il me félicita en disant : « Je crois que j’ai dégoté la plus belle petite salope de la région et je vais te prendre en main pour faire de toi ma pute soumise au doigt et a l’œil ». Tout en caressant mon cul encore vierge.

L’entendre me dire cela m’a excitée et je le regardais en sortant ma langue comme une chatte en chaleur. En même temps sa main glissait dans ma culotte pour atterrir directement à mon œillet
.
« Dis que tu veux être ma petite pute ». « Oui je veux l’être » répondis-je, fière de m’entendre dire ça a mon homme.
Le téléphone sonna, bien sûr c’était son voisin qui avait vu toute la scène et qui appelais pour donner son avis.

« Alors tu as bien joui sur ma petite salope quand tu l’a vu à poil a quatre pattes et te montrant son cul ouvert. Oui ne t’inquiète pas, tu auras l’occasion un de ces jours de la goûter. Oui promis, allez bonne soirée j’ai encore plein de choses à faire avec elle ».

Il parlait de moi comme si j’étais déjà sa chose et il avait bien raison. J’étais vraiment a lui. Je me resservis un verre pour me détendre davantage pendant qu’il continuait à me doigter et que sa queue commençait à reprendre du volume.

Ensuite, il m’ordonna d’aller dans sa chambre. « Ma petite salope va maintenant s’allonger sur mon lit et je la veux dans une position accueillante sinon elle va recevoir une punition. Allez exécution, j’ai quelques petites choses à prendre pour ma salope ».
Je me suis levée en marchant doucement, tout en me déhanchant pour qu’il soit encore plus excité. « Toi tu sais que tu va prendre cher à commencer par te faire pêter la rondelle et devenir un garage à bites ».

Hum, c’était tout ce que je voulais maintenant à savoir me faire dépuceler le cul et faire tout ce qu’il demandait pour découvrir une nouvelle forme de jouissance.

Arrivée dans la chambre j’en ai profité pour remplacer ma culotte par un string rouge et me remettre un peu de rouge a lèvres, puis j’ai pris les deux oreillers et me suis allongée sur le dos avec le premier derrière la tête et le deuxième sous mes reins pour me sentir prête et offerte, jambes bien ouvertes je me sentais déjà sa petite chose.

Il arriva dans la chambre nu avec son sexe raide et long qui me fascinais et dans la main un sac en plastique qu’il déposa sur le lit.
« Rosie, tu es magnifique et bandante, cette position me dit que je n’ai pas fini de te faire hurler de plaisir. Tu a surement très envie de mon sexe dans ton petit cul de chaudasse ». Ses yeux brillaient de désir pour moi.

Il s’avança jusqu’entre mes jambes et frotta sa queue tout le long de mon ventre. Ouah cette impression de chaleur. « Caresse toi les tétons et relèves tes jambes plus haut. J’obéissais en regardant la scène dans la glace du placard. C’était superbe de me voir allongée avec les jambes écartées et cet homme collé à moi. Puis il souleva mes jambes par les chevilles et les écarta. Je l’ai vu prendre un tube de lubrifiant et enduire son sexe mais également toute ma raie, ce qui me donna des frissons.

Et il recommença à frotter sa queue de façon plus insistante. « Petite pute je vois que c’est le moment de faire ton initiation, alors écartes bien tes jambes et donne moi ce beau cul qui ne connaît pas encore la queue ». Ce que je fis tout de suite avec un peu d appréhension mais beaucoup d’envie. Je fermais les yeux pour apprécier ce moment et m’offrir totalement.

Il prit mes hanches d’une main ferme et de l’autre sa queue qu’il plaça a l’entrée de ma chatte anale et commença des tentatives pour me pénétrer. « Détends toi tu vas adorer ». Et d’un coup brutal il enfonça son mandrin ce qui m’arracha un cri de douleur et qui m’empêcha presque de respirer.

Il ne bougea plus, attendant quelques instants, puis voyant ma respiration se calmer, malgré les larmes de douleur qui coulaient sur mon visage, il me dit : « Ouvre les yeux salope et souris plutôt, tu vois ça y est tu es prise et tu vas pouvoir jouir ».
J’avais une queue dans la chatte et j’étais heureuse. J’attendais ça depuis tellement longtemps. J’en rêvais les nuits en me caressant et en imaginant le plaisir de me faire prendre et de sentir une queue me défoncer l’anus. Et là c’était vrai. J’étais enfin prise comme une vrai femme. Le bonheur.

Il fit quelques va et viens qui étaient moins douloureux puis il ressorti. Il remit du lubrifiant et doucement il rentra de nouveau dans mon anus son gros gland et j’ai enfin ressentie un début de plaisir. Il me fixait et il me pénétra jusqu’à sentir son ventre contre le mien. Et ce fut extraordinaire quand je sentis que sa queue était totalement enfoncée dans ma chatte. Avoir cette grosseur et ressentir cette chaleur, ouah. J’ai attrapé mes chevilles pour bien lui laisser le passage.

« Tu aimes petite chienne tes yeux te trahissent, tu es bonne et ton cul étroit est à tomber. « Tu vas voir on va en faire un vrai garage ». « Tu adoreras te faire prendre dans toutes les positions et donner ta chatte ».

Ces mots m’excitaient plus que tout et ce fut moi, qui en tournant la tête vers les glaces, lui réclamais: « Vas-y vieux pervers baise moi plus fort, enfonce ta queue dans ma chatte et écarte moi l’anus.

« Ouah tu réclames déjà plus alors j’ai touché le gros lot, réclame mieux que ça petasse » « Ouiiii défonce moi ouiiii je suis ta pute qui mouille fort ».

Il me prit par les hanches et pendant de longues minutes il lima mon fondement, Ce qui fini par me faire cracher sans rien faire. Ce qui le fit se raidir en râlant et je sentis son jus m’envahir l intérieur. Je sentais la chaleur de sa semence dans ma chatte. Extraordinaire j’étais au paradis.

Nous restâmes un instant comme ça puis il se pencha pour prendre la bouche. Quelle bonne pelle à ce moment là.
Je lui enlaçais le corps comme une femme. Puis il se leva pour allumer une cigarette et pris son martinet pour venir à ma hauteur. Il fouetta assez fort mes jambes et mon sexe. Je ne comprenais pas mais le laissais faire. Humm c’était bon.
« Petite pute, petite chienne, salope tu me plais grave et a partir de maintenant tu vas m’obéir ».

Un silence puis un nouveau coup de martinet. « Je veux t’entendre salope ».
« Ouiiii je suis ta salope obéissante et tu m as fait jouir comme jamais merci ».

Et il me dit sèchement « Alors mets toi à quatre pattes comme une chienne, viens jusqu’à ma queue et lèche là encore ».
Je sentais une vive douleur sur mes fesses et eu du mal a me retourner mais j’ai pris mon temps pour aller me mettre face à lui au bord du lit nez à nez avec son membre. J’ouvris ma bouche pour, avec ma langue, laper comme une chatte le jus qui coulait encore de son gland. Il s est mis à fouetter mon cul pas trop fort, les lanières touchaient mes couilles aussi ce qui me faisait cambrer encore plus.
« Je vois tu aimes être corrigée donc à partir de maintenant je veux que tu m’appelles Maître » en claquant cette fois plus fort. « Tu as compris ? ».

« Ouiiii Maitre » « Bien ma putain tu te vas te doucher et tu mettras la guêpière et tout le reste pour ton maître et on mangera un petit morceau avant que tu sois mon dessert ce soir et toute la nuit.
Je m’exécutais et étais contente de pouvoir enfin reposer mon corps et surtout mon petit trou qui avait souffert comme jamais. Mais j’étais contente de ma première pénétration qui, je le savais, serait suivie de beaucoup d’autres.

Sous la douche je me suis doigtée tellement j’avais encore envie de me faire bander, je relevais une jambes pour faire salope. C’était excitant et je me suis encore branlée. Quel moment merveilleux mais la soirée a venir………

Je suis devenu sa petite Salope (suite)

Je tiens à vous raconter la fin de cette première journée, soirée et nuit complètement imprévu car il était rare pour moi du haut de mes dix-huit ans de dormir chez des potes de façon improvisée.

Mes parents étant divorcés et mon frère a l’armée, ma mère ayant une activité pro accaparante, elle a acceptée pour que je ne reste pas seul que je passe la soirée chez un copain.
J’étais donc chez Gérard et pas chez un copain de lycée et je n’en revenais pas moi même car je vivais quelque chose de fort et qui a bouleversé ma vie, en tout cas m’a ouvert d’autres horizons.

Une fois douchée, un peu calmée, surtout mon cul qui avait pris des coups de martinet. Je me retrouvais nue face à la nouvelle tenue qui m’était proposée et je vous avoue qu’elle m’attirait grandement. Guêpière, bas et string noirs. Il ne manquait rien pour me transformer en jolie Sissy.

Ça me rappelait quand j’essayais, plus jeune, les dessous de ma mère et déjà mon cœur battait plus fort et mes mains étaient plus fébriles.

J’ai commencée par la guêpière en mettant les crans par le devant, j’étais déjà pressé de la positionner sur mes hanches et voir le résultat. Puis les bas que je savais enfiler et attacher pour finir par ce string qui rentrait dans ma raie direct. C’était vraiment intense. Je finis par les talons hauts et là je sentais que j’étais vraiment féminine.

Je me suis levée pour me regarder déambuler devant les glaces, regarder mes jambes, mes fesses et dans cette tenue je commençais à sentir une chaleur en moi et puis j’ai terminé avec le rouge à lèvres. Ce qui me faisais fantasmer, c’étais l’idée que Gérard me découvre ainsi dans quelques minutes.

J’enfilais mon peignoir et me dirigeais dans la pièce principale, lui affalé à m’attendre une bière à la main et son peignoir à moitié ouvert. Ses yeux ont tout de suite trahis le plaisir de me voir arriver. Je me suis dirigée vers lui et d’un claquement de doigts il me dit d’aller sur le mur face à lui et de lui faire un strip en pensant à son pote aussi qui étais surement de nouveau en train de nous mater.
Je fis demi-tour et une fois face à lui et près de la baie vitrée je commençais à ouvrir doucement mon peignoir pour le laisser deviner ce qu’il y avait dessous et je voyais sa tête changer de couleur, il regardait partout pour ne rien manquer puis il me demanda de lâcher le peignoir. Ce que je fis, le faisant tomber à mes pieds.

Je ne bougeais plus et attendais ce qu’il allait dire. « Putain que tu es belle, putain que tu es bandante, tourne toi montre nous bien ton cul et ton corps ». Je tournais doucement, il commençait déjà à s’astiquer le manche et il dit « Maintenant à quatre pattes, tu avance doucement en ouvrant la bouche comme une chienne en chaleur et tu viens vers moi entre mes jambes pour me bouffer le sexe ».
J’obéis tout de suite et je me suis dirigée, doucement pour pas abîmer mes bas, vers sa queue toute raide qui me donnait envie de l’engloutir.

Arrivée devant Gérard, je pris ses couilles dans une main et dans l’autre sa queue en roulant la langue au bord de ma bouche comme une salope et le fixais en descendant vers cette sucrerie. Il n’en ratait pas une miette, les yeux écarquillés qu’il referma une fois que ma langue commença a faire le tour de son gland gonflé et que je commençais à mettre dans ma bouche, toute mouillée d’envie, la totalité de son membre.

Le pied, je fais des allers retours doucement en massant dessous et en prenant soin de bien la prendre jusqu’à la garde.
J’essayais de le regarder pour voir s’il aimait ce que je lui faisais. Oui, il aimais et regardait mon cul que je fit onduler légèrement pour ajouter une touche salope et montrer que j’aimais le sucer et que j’étais a lui.

Il me demanda ensuite de me mettre de côté, pour pouvoir accéder à mon cul, qu’il ne quittait pas des yeux, et il m’à caressée partout sur le corps en profitant pour glisser son doigt sous le string ce qui fit cambrer pour lui offrir ma chatte.

Il mouilla ses doigts et me doigta bien profondément pour sûrement préparer le terrain et moi réellement excitée je le léchais partout autour de la queue et même son anus dans lequel j’introduisais ma langue.

« Tu es vraiment une fée tombée du ciel toi ». Une pute qui s’ignorait. Je ne regrette pas de t’avoir rencontrée.
« Allez viens t’empaler sur ma queue, je vais te faire jouir comme jamais ». Je me relevais, enlevais mon string et je vins m’assoir en guidant sa queue vers mon orifice qui n’en pouvait plus d’attendre.

Humm, je sentais son sexe chaud et raide m’envahir l intérieur et je me suis entendu crier de plaisir.
Une fois sa queue absorbée je n’arrêtais plus de monter et descendre doucement au départ puis plus brutalement ensuite. Je m’empalais jusqu’a sentir ses couilles taper sur mes fesses. Je sentais sa queue au fond de mon ventre.

Je le tenais par les épaules et lui me serrais les hanches et il appuyait à chaque fois pour que je m’enfonce plus profond.
Je jouis en envoyant mon jus sur son ventre et il est ressortit pour me prendre en levrette rapidement en me faisant mettre à genoux.
Je n’en demandais pas davantage tellement cette position me plaisait. J’adorais ça et je cambrais au maximum mon cul pour faire entre sa queue le plus profond possible dans ma chatte
.
Il me défonça longuement en m’insultant et en claquant mon cul avant de décharger sa purée en moi.
Nous restâmes un moment puis il sortit de ma chatte pour me faire lécher sa queue.
Et il me roula une galoche mémorable alors que j’avais encore son sperme dans la bouche.

Je pense qu’il la fait exprès, puis je me suis essuyée un peu partout car je sentais mon cul dégouliner et mon rouge a lèvres était un peu étalé n’importe comment.

Il alla au téléphone, appela son voisin qui avait du bien prendre du plaisir à regarder même de loin. Et à ma grande surprise il l’invita à nous rejoindre. « Plus on est de fous plus on va faire son éducation à cette pute obéissante ».
« Réclame deux mecs salope, allez réclame qu’il t’entende » dit-il en me tendant le téléphone.

« Oui maître je veux deux hommes, ouiiii faites mon éducation s’il vous plait, donnez moi vos queues a sucer et prenez moi le cul ensemble ». « Je veux une double pénétration anale, je veux vous lécher l’anus et que vous me pissiez dessus aussi ». Je n’avais plus de mesure, j’étais décidée a devenir une vraie salope.

« Tu entends cette salope ? Elle en veut non ? On va se régaler avec sa bouche et son cul ».

« Allez, elle va se préparer et toi tu viens ok ». Je me suis vite préparée et il est venu………………….
Published by Rosie83
3 years ago
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BeSenior
comme cela doit être bon de se laisser transformer en salope comme cela, merci pour ce plaisir que tu me donnes
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biroute1 1 year ago
Ma bite est en feu; mon cul  est ouvert.
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lartiste1954
lartiste1954 2 years ago
belle pute 
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sissy-fannnie
sissy-fannnie 2 years ago
J'adore! merci
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POUFFIASSELOVER
POUFFIASSELOVER 2 years ago
superbe
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solenetv
solenetv 3 years ago
Oui ça donne envie de prendre la place de Rosie
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Rosie83
Rosie83 Publisher 3 years ago
to COYOTTE17 : merci d'aimer
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COYOTTE17 3 years ago
merci pour ce réçit.
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LacRob96
LacRob96 3 years ago
Tes récits me font tellement bander !
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fabienne63
fabienne63 3 years ago
to Rosie83 : ton récit me rappel beaucoup de souvenirs 
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cauet6080
cauet6080 3 years ago
Whaaa quelle histoire magnifique merci beaucoup 
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Rosie83
Rosie83 Publisher 3 years ago
to fabienne63 : Merci. Je t'imagine te caresser et je me branle pour toi
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fabienne63
fabienne63 3 years ago
waouh! quel merveilleux récit ,je mouille dans ma petite culotte ma chérie tu es trop bandante 
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jacbisex59
jacbisex59 3 years ago
Super excitant! La scène au cinéma m'a rappelé des souvenirs coquins.
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