Rosie Toujours Une Pute
Partie 1 : Rosie Pute
Le mec me donne rencart Ă lâancienne gare du cĂŽtĂ© des ateliers. Je lâai rencontrĂ© dans un bar un soir et il avait envie de baiser, jâavais dit ok. Jâarrive et passe Ă cĂŽtĂ© des wagons laissĂ©s Ă lâabandon certains sont taguĂ©s, un coup de sifflet et une tĂȘte qui dĂ©passe de la porte dâun long wagon de bois.
Jâapproche il est la. « Monte ». Je grimpe, il nâest pas seul, deux mecs en teeshirt, musclĂ©s, tatouages sur les bras.
« Câest quoi ? » je demande. « Des potes en galĂšre, ils veulent te baiser aussi ». DĂ©jĂ des sexes sont sortis.
Je suce, ils sont assez violents et jâavale durement leurs bites. Lâun des mecs arrache mes fringues et veux mâenculer je me laisse faire. Sans protester, bien sur, jâai tellement envie de me faire baiser.
Sur le sol froid et crade du wagon, nu, je subi les trois pĂ©nĂ©trations. Chacun leur tour ils dĂ©foncent mon anus sans capote ni lubrifiant, juste des crachats. Et jouissent sur moi pour lâun et dans mon cul pour les deux autres. Je dois encore les sucer, avaler le reste de jus.
Puis lâun des mecs veut que je garde la bouche ouverte et urine dedans. Je suis tenu par les deux autres qui rigolent. Je tousse, mais avale cette pisse chaude avec aviditĂ©.
On me pousse en avant et couchĂ© sur le sol, une queue Ă nouveau dure me pĂ©nĂštre, je rĂ©alise que ce nâest pas une bite mais un manche dâoutil.
Mes jambes bien tenues Ă©cartĂ©es par ses potes, lâhomme enfonce par petits Ă coups ce mandrin de bois. Je gĂ©mi en le sentant parfois taper au fond de mon ventre. Puis laissant le manche toujours en moi, ils sâen vont.
En partant ils disent : « Salut la pute on tâas bien baisĂ© ». Voila le risque de draguer le soir dans un bar.
Partie 2 Rosie Soumise
De lâĂąge de dix huit ans Ă presque vingt et un, jâai acceptĂ© dâĂȘtre sa chose sa soumise offerte Ă ses fantasmes dâhomme de la soixantaine. Je le suivais, le soir dans des tenues toujours lĂ©gĂšres.
Pourtant, jâavais rien du physique de minet, assez grand dĂ©jĂ , un peu musclĂ© surtout des cuisses, la peau matte, bras et jambes poilus et un peu de barbe au menton.
Mais me voir juste avec un petit short court serrĂ© aux cuisses, parfois dĂ©cousu, dĂ©voilant bien mon absence de slip devait en exciter plus dâun.
Les mecs chez qui il me trainait ne s'intĂ©ressaient Ă moi que pour se faire sucer, ou prendre le cul dâun garçon, Ă lâair de mĂąle viril quâils baisaient comme un esclave soumis.
Parfois je devais vider les couilles de travailleurs Ă©migrĂ©s dans des locaux douteux et Ă lâhygiĂšne douteuse. Bien souvent sans capote. Je prĂ©fĂ©rais sans, bien sur, parce que jâaimais sentir le sperme inonder ma bouche.
Jâaimais me sentir diriger, obĂ©ir, ĂȘtre Ă eux. Ils mâenculaient et partaient sans un mot, jâĂ©tais moins quâune pute, elles Ă©taient payĂ©es.
Mon maitre me touchait rarement, par contre son chauffeur et homme Ă tout faire, un colosse noir montĂ© trĂšs trĂšs gros et long lui mâutilisait presque tout les soirs. Jâen ai avalĂ© du sperme, jâen ai pris dans le cul.
Et parfois, impuissant, pris dans lâaction, jâavalais de lâurine ou le mec pissait en moi.
Parfois je devais regarder lâhomme enculer un mec puis je devais lĂ©cher le jus qui coulait de son cul.
Parfois Ă la limite de vomir, mais jâacceptais et oui jâaimais ça. Nu Ă genou entre les cuisses du jeune noir Ă lĂ©cher son cul sous le regard excitĂ© du mec, souvent un notable, qui venait de lâenculer et de jouir dans son cul.
Voila avec le recul je ne regrette rien sans compter lâassurance que ça mâa donnĂ© pour baiser ensuite avec les mecs qui me plaisaient.
Partie 3 Plan Nature
La petite voiture sâarrĂȘte Ă cĂŽtĂ© de moi qui, pouce levĂ©, suis restĂ© immobile stoĂŻque sous cette averse estivale.
« Montes, tu vas ou ? ». « Au village du haut ». « Ă pieds tâen est loin, dit donc, je vais tây amener ». « Merci ».
Il faut parler un peut fort la pluie est torrentielle. « Par curiositĂ© tu fais quoi sur la route ? ». « JâĂ©tais censĂ© prendre le bus et je lâai ratĂ© ». « Ha ok ».
Il regarde ma tenue qui comme souvent lâĂ©tĂ© se compose dâun short noir trĂšs court sans slip et dâun teeshirt.
« Tâes pas bien couvert pour ce temps ». « Non ». « Je dois avoir de quoi te sĂ©cher derriĂšre sur le siĂšge prends le sac ». Je me retourne pĂ©niblement, lâauto nâest pas large et je rĂ©cupĂšre le sac.
Dedans des fringues de sports et deux serviettes de bain. « SĂšche toi enlĂšve ton teeshirt ». JâobĂ©is.
« Tâes musclĂ©, tâas quel Ăąge ? ». « Dix huit bientĂŽt dix neuf ». « Tu fais du sport ? ». « Du vĂ©lo, pas mal de vĂ©lo ».
« Oui tu as de belles jambes ». « Merci ». « Tu veux pas changer de short ? Il y en a un presque neuf dans le sac ». « Heu ici ? ».
« Pourquoi ? Des mecs en slips jâai dĂ©jĂ vu ». « Câest pas ça ». JâĂ©carte un peu mon short, il regarde. « Ha ok tâen as pas, bah ce nâest pas grave des sexes jâen ai vu aussi ».
Je me dĂ©cide Ă lâenlever et nu, je nâai pas encore mis le teeshirt je cherche le short. « Oui tâes beau mec et pas mal montĂ© ». En cachant dâune main mon dĂ©but dâĂ©rection je rĂ©ponds un merci timide.
« Non cache pas cette belle queue que tu as ». JâenlĂšve la main. « Câest moi qui te fais bander ». « Oui ».
Il ralenti et pose une main chaude sur mon genou, pendant que jâessaye de mettre le short. « Non reste nu un peu ». JâobĂ©is et laisse tomber le short Ă mes pieds. « Tâes pas farouche toi, tâas dĂ©jĂ Ă©tĂ© avec des hommes non ? ». « Oui ». « Ăa te dirais un petit moment avec moi ? » « Oui ».
Il se gare Ă cĂŽtĂ© dâune petite cabane de pierre sans porte au bord dâun chemin de vigne.
Il descend le dossier de mon siĂšge et lentement me caresse, lĂšche mes boules et ma queue trĂšs dure maintenant, puis me suce. Je passe mes mains sur son crane dĂ©garni, jâaime sentir sa bouche sur mon gland.
Il se relÚve et demande : « Et toi tu suces ? ». « Oui ». Il baisse son dossier et ouvre sa braguette, un beau sexe jailli long et dur. Je le suce, ses mains caressent mon dos et descendent vers mes fesses.
Jâai la bite du mec dans la gorge quand il me dit : « Tu suces bien, montre moi ton cul ».
Je me redresse et me mets Ă genou sur le siĂšge bien allongĂ© sur le dossier presque Ă plat, il Ă©carte mes fesses et me lĂšche lâanus enfonçant par moment un doigt humide. Je gĂ©mi doucement.
« Tu as envie que je te prenne ? Mon chĂ©ri ». « Oui jâai envie, putain oui ». « Oui je le veux ».
La pluie a cessĂ©e il se redresse et sort de lâauto, passe de mon cĂŽtĂ© et moi Ă quatre pattes sur le siĂšge et lui dans lâouverture de la portiĂšre il mâencule Ă fond doucement au dĂ©but puis plus vite et fort, plus profond, il tire sur mes jambes pour me faire reculer vers lui, pour bien mâempaler sur sa verge dure et Ă©paisse.
« Je vais jouir » dit-il. « Reste en moi, inonde moi le cul ». « Tâes sur ? ». « Oui ».
Et avec des grandes secousses il se vide dans mon cul.
La pluie repart de plus belle cette fois, et trempé, il remonte dans la voiture. Il enlÚve sa chemise et reste torse nu. Il me sourit, se penche vers moi, et demande : « Branle-toi ».
JâobĂ©is, il me caresse le corps, je jouis sur mon ventre. Il lĂšche le sperme avec douceur.
« Tu embrasses ? ». Je me penche vers lui et nos langues se mélangent.
Et il mâa ramenĂ© au village. Je ne lâai plus revu, dommage.
Partie 4 Rosie Copine
Je suis chez un copain dont les parents sont partis pour quelques jours, des affaires de famille Ă rĂ©gler et ça risquait dâĂȘtre pour pas mal de temps. Il ne voulait pas rester seul avec son demi-frĂšre de notre Ăąge, handicapĂ©, dont il avait lâhabitude de sâoccuper.
La maison, vaste, avec piscine et un grand jardin avec une belle serre, le secteur de son demi-frĂšre.
Xavier, peau trĂšs claire, rouquin, fils dâun premier mariage, avait Ă©tĂ© lâune des victimes dâun accident de la route le clouant sur un fauteuil roulant. Assez musclĂ©, il Ă©tait beau mec.
Pierrot, mon pote, brun cheveux frisĂ©s lĂ©gĂšrement typĂ© mĂ©tis rappelait ses origines paternelle rĂ©unionnaise, musclĂ© trĂšs sportif. « Sympa Ric dâĂȘtre la, je devais ĂȘtre seul encore un moment ».
« Et ton frÚre ? ». « Lui, il rùle tout le temps quand je suis seul avec lui. Il lui faudrait une nana je te jure ».
« Tant que ça ? Il peut au moins ? ». « Oui ce ne sont que les jambes qui marchent pas et je peux te le dire, il en profite pour me demander de le branler ». « Non ? ». « Si ». « Il peut pas ? ».
« Câest le seul moyen pour quâil bande et ça lâobsĂšde, il me rĂ©veille parfois la nuit, et ce nâest pas le pire, il mâa fait une crise un soir il voulait queâŠ. ». « Que quoi ? ». « Que je le suce ».
Cette remarque Ă©veille en moi un intĂ©rĂȘt, jâose. « Mais il est homo ? ». « Non, enfin jâen sais rien ».
« Il est bien montĂ© ? ». « Ouais en plus ouais ». « Câest pour ça que tu voulais que je vienne ? ».
« Ben, pas que, mais toi, les mecs, je peux te payer si tu veux ». « Nâimporte quoi, mais de quoi ça vient ces envies ».
« Le kinĂ© qui sâoccupait de lui, a Ă©tĂ© surpris Ă poil Ă cĂŽtĂ© de lui, mes parents lâon virĂ©, je crois quâils baisaient ensemble ».
« Il est ou la ? ». « Dans la serre il sâoccupe de ses plantes, viens on va le voir, mais change toi avant ». « Pourquoi ? ». « Si tây vas comme ça il va rĂąler que jâamĂšne un inconnu dans son antre, habille toi plus relax ». « Un short, un teeshirt ? ». « Oui voila ». « Jâai que celui-ci, trĂšs court et un marcel ». « Nickel ».
« Dit donc tu veux lui amener une pute ? ». « DĂ©solĂ© laisse tomber câest nul ».
« Non ok, je voudrais pas que tu sois obligĂ© de le sucer ». « En plus on câest croisĂ©s ce matin Ă mon arrivĂ©e, ça devrait le faire, si tu veux jây vais seul ». « Toi tu es chaud, maintenant ? ». « Oui ».
Donc petit short, sans slip, mon teeshirt tombant des Ă©paules et ne cachant rien jâentre dans la serre.
« Xavier ? Salut câest Ric ». « Salut, je te connais on câest dĂ©jĂ croisĂ©s ». « Oui ». « Et Pierrot il est pas avec toi ? ». « Non il prĂ©pare le barbecue pour tout Ă lâheure ». « Ok ». « Tâas lâair dâaller bien ».
« Oui ça va, Ă part mes pattes, mais je muscle mes bras Ă force ». « Oui tâes pas mal ». « Merci ».
« Ric tu restes la cette semaine ? ». « Oui, pourquoi ça tâembĂȘte ? ». « Non, mais tâas pas une copine ? ».
« Non, ni un copain si tu veux tout savoir ». Un sourire se dessine sur son visage criblĂ© de taches de rousseur, puis il sâassombrit. « Moi non plus, qui voudrait dâun rouquin Ă roulette ? ». « Tâes beau mec ». « Toi aussi ».
« Merci ». « Accompagne moi jusquâĂ ma chambre, je vais mâhabiller plus lĂ©ger, je suis trempĂ© de sueur en plus ». On traverse un long couloir et on entre dans une grande chambre avec sa salle de bain Ă©quipĂ©e.
Je mâassieds sur le lit, lui trifouille dans une armoire. Il enlĂšve son teeshirt, oui il est pas mal, et va dans la salle de bain. Je propose mon aide sâil veut.
Il mâappelle : « Viens ». Jâentre, il est en slip et est assis dans le bac Ă douche. « Aide-moi Ă lâenlever ». Lâeau coule un peu de la pomme de douche. « Attends jâenlĂšve mon teeshirt ». Il me dit : « EnlĂšve tout tu vas te tremper ». Nu devant lui je me penche, mes mains le frĂŽlent.
Je lâaide, il sâappuie sur moi et jâenlĂšve son slip. Je me retrouve Ă genou devant lui pour passer le slip Ă ses pieds, le nez pas trĂšs loin dâun sexe effectivement excitant.
Il me fixe, comme avec un regard implorant, sa queue se dresse, lâeau nous arrose un peu, il se penche en arriĂšre autant quâil peut et coupe lâeau. Je pose ma main sur sa cuisse, me penche et son sexe frĂŽle mes lĂšvres. Dâune main il se branle en silence.
Je le suce doucement, il souffle de plus en plus, pas de doute ça fonctionne. Au bout dâun moment un jet inonde ma bouche, jâavale puis me relĂšve. Cette fois câest mon sexe qui est au niveau de sa bouche. Il me suce et je jouis dans sa bouche.
On se lave et on se rhabille. On rejoint Pierrot qui ne pose aucune question, ne sachant que trop ce qui a pu se passer vu lâair guilleret de Xavier.
Jâai sucĂ© Xavier plusieurs fois pendant la semaine. Pierrot semblait me faire un peu la tĂȘte vu le temps que je passais avec Xavier.
Un soir jâai voulu parler Ă Pierrot, je suis entrĂ© dans sa chambre, on a un peu discutĂ© et je me suis glissĂ© dans son lit. Et on nâa pas trop discutĂ©, non, on a baisĂ©s.
Partie 5 Rosie Baise a la Campagne
Je pose mon vĂ©lo contre un gros chĂȘne, je lâattache pas, qui prendrais ce truc, et je mâenfonce dans le sentier.
Je croise des mecs de tous Ăąges, certains habillĂ©s, dâautre en slip, ou nus.
Un grand type en pleine discussion, avec un petit gros sâarrĂȘte de parler et me matte, je leur souri et continu mon chemin, ils me suivent.
Je me laisse ratt****r et me recule un peu sous les branches Ă©paisses dâun chĂȘne surement centenaire.
Le grand, en silence, sâapproche de moi et me caresse le ventre en soulevant mon teeshirt. Il descend sa main sur mon entrejambe en se touchant le sexe avec son autre main. Je le caresse aussi. Je sens quâil bande.
Il dĂ©fait son short qui glisse au sol et fait jaillir une belle queue puissante et dĂ©jĂ raide. Je me penche et lĂšche ce sexe tentant. Lâautre, passe derriĂšre moi, caresse mes fesses, mon dos, puis baisse doucement mon short et enlĂšve mon petit slip. Puis, Ă genou, il lĂšche mon anus, son nez bien coincĂ© entre mes fesses.
Jâaime, je suis nu, entre eux, sans un mot. De coups de langue en coups de langue je sens des doigts experts pĂ©nĂ©trer mon intimitĂ©. JâĂ©carte au mieux mes jambes pour laisser passer les quatre doigts du mec.
Lâautre tient ma tĂȘte et par de petits coups de rein enfonce sa queue dans ma gorge, me faisant toussoter et baver. La main en moi, bien lubrifiĂ©e, gagne du terrain et sâenfonce mieux. Ses doigts en cĂŽne, il me pĂ©nĂštre bien et je sens le pouce frotter contre mes parois.
Le grand se dĂ©gage, il me sourit dâun sourire qui demande plus et me retourne doucement laissant le petit gros Ă genou la main encore en lâair. Puis la bite gonflĂ©e et dure du grand me pĂ©nĂštre, lâautre toujours Ă genou me suce en avalant bien ma queue.
Le grand me dĂ©fonce lâanus, je me tiens au petit gros, mes mains sur ses Ă©paules Ă©paisses.
« Je vais te remplir le cul, ma salope » dit enfin le grand avant de jouir. Il jouit, se retire un peu puis continu à me limer. Il se retire et le petit gros passe à nouveau entre mes jambes et lÚche bien mon cul suintant de foutre. Je me branle un peu et je jouis aussi.
Puis les deux mecs partent, toujours en silence, me laissant la, debout, ma queue en main pleine de sperme. Je remets le short et regagne mon vĂ©lo. Deux mecs baisent juste Ă cĂŽtĂ©, jâattends quâils aient fini pour le rĂ©cupĂ©rer. Un mec de mon Ăąge, me propose un plan. Il voudrait bien se faire sucer. Je le suis dans les fourrĂ©s et le vide goulument, aprĂšs quâil se soit bien enfoncĂ© en moi.
Puis, enfin satisfait, je rentre, pĂ©dalant avec un peu mal au cul et assis sur la selle en sentant lâhumiditĂ© de mon cul suintant de jus qui a trempĂ© mon short.
Partie 6 Rosie Baise dans la Cave
Ă quatre patte dans la cave de cet immeuble, nu, je suis Ă la merci dâun jeune beur et de son pote plus ĂągĂ© Ă la peau noire. Les deux mecs sont debout devant moi, leurs sexes tendus comme une offrande a ma bouche. « Tourne-toi ».
JâobĂ©is, des doigts me triturent lâanus puis une queue me pĂ©nĂštre. Je suis nu, le cul offert, soumis Ă ces mecs chauds et prĂȘt Ă tout accepter pour les satisfaire.
Ils mâenculent Ă tour de rĂŽle, me frappant les fesses et le dos en me traitant de salope.
Parfois ils me crachent dessus ou sur le visage avant dâenfoncer leur verge dure dans ma bouche.
Il fait sombre et froid, la chaine que jâai au cou et qui mâattache au mur sale me serre, elle est froide. Ils tirent dessus, mâobligeant Ă rester Ă genou ou Ă quatre pattes. Mon cul dĂ©foncĂ© suinte de sperme et de pisse. Lâun des mecs Ă urinĂ© entre mes fesses et lâautre a voulu pisser en moi. Jâai aimĂ© recevoir sa pisse dans la bouche.
Je suce le sexe crade du noir pendant que lâautre me lime le cul. Ils ont dĂ©jĂ joui plusieurs fois, mais restent dur. Ăa dure des heures.
Jâai beaucoup de mal Ă marcher quand je sors de cette cave.
Le mec me donne rencart Ă lâancienne gare du cĂŽtĂ© des ateliers. Je lâai rencontrĂ© dans un bar un soir et il avait envie de baiser, jâavais dit ok. Jâarrive et passe Ă cĂŽtĂ© des wagons laissĂ©s Ă lâabandon certains sont taguĂ©s, un coup de sifflet et une tĂȘte qui dĂ©passe de la porte dâun long wagon de bois.
Jâapproche il est la. « Monte ». Je grimpe, il nâest pas seul, deux mecs en teeshirt, musclĂ©s, tatouages sur les bras.
« Câest quoi ? » je demande. « Des potes en galĂšre, ils veulent te baiser aussi ». DĂ©jĂ des sexes sont sortis.
Je suce, ils sont assez violents et jâavale durement leurs bites. Lâun des mecs arrache mes fringues et veux mâenculer je me laisse faire. Sans protester, bien sur, jâai tellement envie de me faire baiser.
Sur le sol froid et crade du wagon, nu, je subi les trois pĂ©nĂ©trations. Chacun leur tour ils dĂ©foncent mon anus sans capote ni lubrifiant, juste des crachats. Et jouissent sur moi pour lâun et dans mon cul pour les deux autres. Je dois encore les sucer, avaler le reste de jus.
Puis lâun des mecs veut que je garde la bouche ouverte et urine dedans. Je suis tenu par les deux autres qui rigolent. Je tousse, mais avale cette pisse chaude avec aviditĂ©.
On me pousse en avant et couchĂ© sur le sol, une queue Ă nouveau dure me pĂ©nĂštre, je rĂ©alise que ce nâest pas une bite mais un manche dâoutil.
Mes jambes bien tenues Ă©cartĂ©es par ses potes, lâhomme enfonce par petits Ă coups ce mandrin de bois. Je gĂ©mi en le sentant parfois taper au fond de mon ventre. Puis laissant le manche toujours en moi, ils sâen vont.
En partant ils disent : « Salut la pute on tâas bien baisĂ© ». Voila le risque de draguer le soir dans un bar.
Partie 2 Rosie Soumise
De lâĂąge de dix huit ans Ă presque vingt et un, jâai acceptĂ© dâĂȘtre sa chose sa soumise offerte Ă ses fantasmes dâhomme de la soixantaine. Je le suivais, le soir dans des tenues toujours lĂ©gĂšres.
Pourtant, jâavais rien du physique de minet, assez grand dĂ©jĂ , un peu musclĂ© surtout des cuisses, la peau matte, bras et jambes poilus et un peu de barbe au menton.
Mais me voir juste avec un petit short court serrĂ© aux cuisses, parfois dĂ©cousu, dĂ©voilant bien mon absence de slip devait en exciter plus dâun.
Les mecs chez qui il me trainait ne s'intĂ©ressaient Ă moi que pour se faire sucer, ou prendre le cul dâun garçon, Ă lâair de mĂąle viril quâils baisaient comme un esclave soumis.
Parfois je devais vider les couilles de travailleurs Ă©migrĂ©s dans des locaux douteux et Ă lâhygiĂšne douteuse. Bien souvent sans capote. Je prĂ©fĂ©rais sans, bien sur, parce que jâaimais sentir le sperme inonder ma bouche.
Jâaimais me sentir diriger, obĂ©ir, ĂȘtre Ă eux. Ils mâenculaient et partaient sans un mot, jâĂ©tais moins quâune pute, elles Ă©taient payĂ©es.
Mon maitre me touchait rarement, par contre son chauffeur et homme Ă tout faire, un colosse noir montĂ© trĂšs trĂšs gros et long lui mâutilisait presque tout les soirs. Jâen ai avalĂ© du sperme, jâen ai pris dans le cul.
Et parfois, impuissant, pris dans lâaction, jâavalais de lâurine ou le mec pissait en moi.
Parfois je devais regarder lâhomme enculer un mec puis je devais lĂ©cher le jus qui coulait de son cul.
Parfois Ă la limite de vomir, mais jâacceptais et oui jâaimais ça. Nu Ă genou entre les cuisses du jeune noir Ă lĂ©cher son cul sous le regard excitĂ© du mec, souvent un notable, qui venait de lâenculer et de jouir dans son cul.
Voila avec le recul je ne regrette rien sans compter lâassurance que ça mâa donnĂ© pour baiser ensuite avec les mecs qui me plaisaient.
Partie 3 Plan Nature
La petite voiture sâarrĂȘte Ă cĂŽtĂ© de moi qui, pouce levĂ©, suis restĂ© immobile stoĂŻque sous cette averse estivale.
« Montes, tu vas ou ? ». « Au village du haut ». « Ă pieds tâen est loin, dit donc, je vais tây amener ». « Merci ».
Il faut parler un peut fort la pluie est torrentielle. « Par curiositĂ© tu fais quoi sur la route ? ». « JâĂ©tais censĂ© prendre le bus et je lâai ratĂ© ». « Ha ok ».
Il regarde ma tenue qui comme souvent lâĂ©tĂ© se compose dâun short noir trĂšs court sans slip et dâun teeshirt.
« Tâes pas bien couvert pour ce temps ». « Non ». « Je dois avoir de quoi te sĂ©cher derriĂšre sur le siĂšge prends le sac ». Je me retourne pĂ©niblement, lâauto nâest pas large et je rĂ©cupĂšre le sac.
Dedans des fringues de sports et deux serviettes de bain. « SĂšche toi enlĂšve ton teeshirt ». JâobĂ©is.
« Tâes musclĂ©, tâas quel Ăąge ? ». « Dix huit bientĂŽt dix neuf ». « Tu fais du sport ? ». « Du vĂ©lo, pas mal de vĂ©lo ».
« Oui tu as de belles jambes ». « Merci ». « Tu veux pas changer de short ? Il y en a un presque neuf dans le sac ». « Heu ici ? ».
« Pourquoi ? Des mecs en slips jâai dĂ©jĂ vu ». « Câest pas ça ». JâĂ©carte un peu mon short, il regarde. « Ha ok tâen as pas, bah ce nâest pas grave des sexes jâen ai vu aussi ».
Je me dĂ©cide Ă lâenlever et nu, je nâai pas encore mis le teeshirt je cherche le short. « Oui tâes beau mec et pas mal montĂ© ». En cachant dâune main mon dĂ©but dâĂ©rection je rĂ©ponds un merci timide.
« Non cache pas cette belle queue que tu as ». JâenlĂšve la main. « Câest moi qui te fais bander ». « Oui ».
Il ralenti et pose une main chaude sur mon genou, pendant que jâessaye de mettre le short. « Non reste nu un peu ». JâobĂ©is et laisse tomber le short Ă mes pieds. « Tâes pas farouche toi, tâas dĂ©jĂ Ă©tĂ© avec des hommes non ? ». « Oui ». « Ăa te dirais un petit moment avec moi ? » « Oui ».
Il se gare Ă cĂŽtĂ© dâune petite cabane de pierre sans porte au bord dâun chemin de vigne.
Il descend le dossier de mon siĂšge et lentement me caresse, lĂšche mes boules et ma queue trĂšs dure maintenant, puis me suce. Je passe mes mains sur son crane dĂ©garni, jâaime sentir sa bouche sur mon gland.
Il se relÚve et demande : « Et toi tu suces ? ». « Oui ». Il baisse son dossier et ouvre sa braguette, un beau sexe jailli long et dur. Je le suce, ses mains caressent mon dos et descendent vers mes fesses.
Jâai la bite du mec dans la gorge quand il me dit : « Tu suces bien, montre moi ton cul ».
Je me redresse et me mets Ă genou sur le siĂšge bien allongĂ© sur le dossier presque Ă plat, il Ă©carte mes fesses et me lĂšche lâanus enfonçant par moment un doigt humide. Je gĂ©mi doucement.
« Tu as envie que je te prenne ? Mon chĂ©ri ». « Oui jâai envie, putain oui ». « Oui je le veux ».
La pluie a cessĂ©e il se redresse et sort de lâauto, passe de mon cĂŽtĂ© et moi Ă quatre pattes sur le siĂšge et lui dans lâouverture de la portiĂšre il mâencule Ă fond doucement au dĂ©but puis plus vite et fort, plus profond, il tire sur mes jambes pour me faire reculer vers lui, pour bien mâempaler sur sa verge dure et Ă©paisse.
« Je vais jouir » dit-il. « Reste en moi, inonde moi le cul ». « Tâes sur ? ». « Oui ».
Et avec des grandes secousses il se vide dans mon cul.
La pluie repart de plus belle cette fois, et trempé, il remonte dans la voiture. Il enlÚve sa chemise et reste torse nu. Il me sourit, se penche vers moi, et demande : « Branle-toi ».
JâobĂ©is, il me caresse le corps, je jouis sur mon ventre. Il lĂšche le sperme avec douceur.
« Tu embrasses ? ». Je me penche vers lui et nos langues se mélangent.
Et il mâa ramenĂ© au village. Je ne lâai plus revu, dommage.
Partie 4 Rosie Copine
Je suis chez un copain dont les parents sont partis pour quelques jours, des affaires de famille Ă rĂ©gler et ça risquait dâĂȘtre pour pas mal de temps. Il ne voulait pas rester seul avec son demi-frĂšre de notre Ăąge, handicapĂ©, dont il avait lâhabitude de sâoccuper.
La maison, vaste, avec piscine et un grand jardin avec une belle serre, le secteur de son demi-frĂšre.
Xavier, peau trĂšs claire, rouquin, fils dâun premier mariage, avait Ă©tĂ© lâune des victimes dâun accident de la route le clouant sur un fauteuil roulant. Assez musclĂ©, il Ă©tait beau mec.
Pierrot, mon pote, brun cheveux frisĂ©s lĂ©gĂšrement typĂ© mĂ©tis rappelait ses origines paternelle rĂ©unionnaise, musclĂ© trĂšs sportif. « Sympa Ric dâĂȘtre la, je devais ĂȘtre seul encore un moment ».
« Et ton frÚre ? ». « Lui, il rùle tout le temps quand je suis seul avec lui. Il lui faudrait une nana je te jure ».
« Tant que ça ? Il peut au moins ? ». « Oui ce ne sont que les jambes qui marchent pas et je peux te le dire, il en profite pour me demander de le branler ». « Non ? ». « Si ». « Il peut pas ? ».
« Câest le seul moyen pour quâil bande et ça lâobsĂšde, il me rĂ©veille parfois la nuit, et ce nâest pas le pire, il mâa fait une crise un soir il voulait queâŠ. ». « Que quoi ? ». « Que je le suce ».
Cette remarque Ă©veille en moi un intĂ©rĂȘt, jâose. « Mais il est homo ? ». « Non, enfin jâen sais rien ».
« Il est bien montĂ© ? ». « Ouais en plus ouais ». « Câest pour ça que tu voulais que je vienne ? ».
« Ben, pas que, mais toi, les mecs, je peux te payer si tu veux ». « Nâimporte quoi, mais de quoi ça vient ces envies ».
« Le kinĂ© qui sâoccupait de lui, a Ă©tĂ© surpris Ă poil Ă cĂŽtĂ© de lui, mes parents lâon virĂ©, je crois quâils baisaient ensemble ».
« Il est ou la ? ». « Dans la serre il sâoccupe de ses plantes, viens on va le voir, mais change toi avant ». « Pourquoi ? ». « Si tây vas comme ça il va rĂąler que jâamĂšne un inconnu dans son antre, habille toi plus relax ». « Un short, un teeshirt ? ». « Oui voila ». « Jâai que celui-ci, trĂšs court et un marcel ». « Nickel ».
« Dit donc tu veux lui amener une pute ? ». « DĂ©solĂ© laisse tomber câest nul ».
« Non ok, je voudrais pas que tu sois obligĂ© de le sucer ». « En plus on câest croisĂ©s ce matin Ă mon arrivĂ©e, ça devrait le faire, si tu veux jây vais seul ». « Toi tu es chaud, maintenant ? ». « Oui ».
Donc petit short, sans slip, mon teeshirt tombant des Ă©paules et ne cachant rien jâentre dans la serre.
« Xavier ? Salut câest Ric ». « Salut, je te connais on câest dĂ©jĂ croisĂ©s ». « Oui ». « Et Pierrot il est pas avec toi ? ». « Non il prĂ©pare le barbecue pour tout Ă lâheure ». « Ok ». « Tâas lâair dâaller bien ».
« Oui ça va, Ă part mes pattes, mais je muscle mes bras Ă force ». « Oui tâes pas mal ». « Merci ».
« Ric tu restes la cette semaine ? ». « Oui, pourquoi ça tâembĂȘte ? ». « Non, mais tâas pas une copine ? ».
« Non, ni un copain si tu veux tout savoir ». Un sourire se dessine sur son visage criblĂ© de taches de rousseur, puis il sâassombrit. « Moi non plus, qui voudrait dâun rouquin Ă roulette ? ». « Tâes beau mec ». « Toi aussi ».
« Merci ». « Accompagne moi jusquâĂ ma chambre, je vais mâhabiller plus lĂ©ger, je suis trempĂ© de sueur en plus ». On traverse un long couloir et on entre dans une grande chambre avec sa salle de bain Ă©quipĂ©e.
Je mâassieds sur le lit, lui trifouille dans une armoire. Il enlĂšve son teeshirt, oui il est pas mal, et va dans la salle de bain. Je propose mon aide sâil veut.
Il mâappelle : « Viens ». Jâentre, il est en slip et est assis dans le bac Ă douche. « Aide-moi Ă lâenlever ». Lâeau coule un peu de la pomme de douche. « Attends jâenlĂšve mon teeshirt ». Il me dit : « EnlĂšve tout tu vas te tremper ». Nu devant lui je me penche, mes mains le frĂŽlent.
Je lâaide, il sâappuie sur moi et jâenlĂšve son slip. Je me retrouve Ă genou devant lui pour passer le slip Ă ses pieds, le nez pas trĂšs loin dâun sexe effectivement excitant.
Il me fixe, comme avec un regard implorant, sa queue se dresse, lâeau nous arrose un peu, il se penche en arriĂšre autant quâil peut et coupe lâeau. Je pose ma main sur sa cuisse, me penche et son sexe frĂŽle mes lĂšvres. Dâune main il se branle en silence.
Je le suce doucement, il souffle de plus en plus, pas de doute ça fonctionne. Au bout dâun moment un jet inonde ma bouche, jâavale puis me relĂšve. Cette fois câest mon sexe qui est au niveau de sa bouche. Il me suce et je jouis dans sa bouche.
On se lave et on se rhabille. On rejoint Pierrot qui ne pose aucune question, ne sachant que trop ce qui a pu se passer vu lâair guilleret de Xavier.
Jâai sucĂ© Xavier plusieurs fois pendant la semaine. Pierrot semblait me faire un peu la tĂȘte vu le temps que je passais avec Xavier.
Un soir jâai voulu parler Ă Pierrot, je suis entrĂ© dans sa chambre, on a un peu discutĂ© et je me suis glissĂ© dans son lit. Et on nâa pas trop discutĂ©, non, on a baisĂ©s.
Partie 5 Rosie Baise a la Campagne
Je pose mon vĂ©lo contre un gros chĂȘne, je lâattache pas, qui prendrais ce truc, et je mâenfonce dans le sentier.
Je croise des mecs de tous Ăąges, certains habillĂ©s, dâautre en slip, ou nus.
Un grand type en pleine discussion, avec un petit gros sâarrĂȘte de parler et me matte, je leur souri et continu mon chemin, ils me suivent.
Je me laisse ratt****r et me recule un peu sous les branches Ă©paisses dâun chĂȘne surement centenaire.
Le grand, en silence, sâapproche de moi et me caresse le ventre en soulevant mon teeshirt. Il descend sa main sur mon entrejambe en se touchant le sexe avec son autre main. Je le caresse aussi. Je sens quâil bande.
Il dĂ©fait son short qui glisse au sol et fait jaillir une belle queue puissante et dĂ©jĂ raide. Je me penche et lĂšche ce sexe tentant. Lâautre, passe derriĂšre moi, caresse mes fesses, mon dos, puis baisse doucement mon short et enlĂšve mon petit slip. Puis, Ă genou, il lĂšche mon anus, son nez bien coincĂ© entre mes fesses.
Jâaime, je suis nu, entre eux, sans un mot. De coups de langue en coups de langue je sens des doigts experts pĂ©nĂ©trer mon intimitĂ©. JâĂ©carte au mieux mes jambes pour laisser passer les quatre doigts du mec.
Lâautre tient ma tĂȘte et par de petits coups de rein enfonce sa queue dans ma gorge, me faisant toussoter et baver. La main en moi, bien lubrifiĂ©e, gagne du terrain et sâenfonce mieux. Ses doigts en cĂŽne, il me pĂ©nĂštre bien et je sens le pouce frotter contre mes parois.
Le grand se dĂ©gage, il me sourit dâun sourire qui demande plus et me retourne doucement laissant le petit gros Ă genou la main encore en lâair. Puis la bite gonflĂ©e et dure du grand me pĂ©nĂštre, lâautre toujours Ă genou me suce en avalant bien ma queue.
Le grand me dĂ©fonce lâanus, je me tiens au petit gros, mes mains sur ses Ă©paules Ă©paisses.
« Je vais te remplir le cul, ma salope » dit enfin le grand avant de jouir. Il jouit, se retire un peu puis continu à me limer. Il se retire et le petit gros passe à nouveau entre mes jambes et lÚche bien mon cul suintant de foutre. Je me branle un peu et je jouis aussi.
Puis les deux mecs partent, toujours en silence, me laissant la, debout, ma queue en main pleine de sperme. Je remets le short et regagne mon vĂ©lo. Deux mecs baisent juste Ă cĂŽtĂ©, jâattends quâils aient fini pour le rĂ©cupĂ©rer. Un mec de mon Ăąge, me propose un plan. Il voudrait bien se faire sucer. Je le suis dans les fourrĂ©s et le vide goulument, aprĂšs quâil se soit bien enfoncĂ© en moi.
Puis, enfin satisfait, je rentre, pĂ©dalant avec un peu mal au cul et assis sur la selle en sentant lâhumiditĂ© de mon cul suintant de jus qui a trempĂ© mon short.
Partie 6 Rosie Baise dans la Cave
Ă quatre patte dans la cave de cet immeuble, nu, je suis Ă la merci dâun jeune beur et de son pote plus ĂągĂ© Ă la peau noire. Les deux mecs sont debout devant moi, leurs sexes tendus comme une offrande a ma bouche. « Tourne-toi ».
JâobĂ©is, des doigts me triturent lâanus puis une queue me pĂ©nĂštre. Je suis nu, le cul offert, soumis Ă ces mecs chauds et prĂȘt Ă tout accepter pour les satisfaire.
Ils mâenculent Ă tour de rĂŽle, me frappant les fesses et le dos en me traitant de salope.
Parfois ils me crachent dessus ou sur le visage avant dâenfoncer leur verge dure dans ma bouche.
Il fait sombre et froid, la chaine que jâai au cou et qui mâattache au mur sale me serre, elle est froide. Ils tirent dessus, mâobligeant Ă rester Ă genou ou Ă quatre pattes. Mon cul dĂ©foncĂ© suinte de sperme et de pisse. Lâun des mecs Ă urinĂ© entre mes fesses et lâautre a voulu pisser en moi. Jâai aimĂ© recevoir sa pisse dans la bouche.
Je suce le sexe crade du noir pendant que lâautre me lime le cul. Ils ont dĂ©jĂ joui plusieurs fois, mais restent dur. Ăa dure des heures.
Jâai beaucoup de mal Ă marcher quand je sors de cette cave.
3 years ago