Rosie Toujours Une Pute

Partie 1 : Rosie Pute

Le mec me donne rencart Ă  l’ancienne gare du cĂŽtĂ© des ateliers. Je l’ai rencontrĂ© dans un bar un soir et il avait envie de baiser, j’avais dit ok. J’arrive et passe Ă  cĂŽtĂ© des wagons laissĂ©s Ă  l’abandon certains sont taguĂ©s, un coup de sifflet et une tĂȘte qui dĂ©passe de la porte d’un long wagon de bois.

J’approche il est la. « Monte ». Je grimpe, il n’est pas seul, deux mecs en teeshirt, musclĂ©s, tatouages sur les bras.

« C’est quoi ? » je demande. « Des potes en galĂšre, ils veulent te baiser aussi ». DĂ©jĂ  des sexes sont sortis.

Je suce, ils sont assez violents et j’avale durement leurs bites. L’un des mecs arrache mes fringues et veux m’enculer je me laisse faire. Sans protester, bien sur, j’ai tellement envie de me faire baiser.

Sur le sol froid et crade du wagon, nu, je subi les trois pĂ©nĂ©trations. Chacun leur tour ils dĂ©foncent mon anus sans capote ni lubrifiant, juste des crachats. Et jouissent sur moi pour l’un et dans mon cul pour les deux autres. Je dois encore les sucer, avaler le reste de jus.
Puis l’un des mecs veut que je garde la bouche ouverte et urine dedans. Je suis tenu par les deux autres qui rigolent. Je tousse, mais avale cette pisse chaude avec aviditĂ©.

On me pousse en avant et couchĂ© sur le sol, une queue Ă  nouveau dure me pĂ©nĂštre, je rĂ©alise que ce n’est pas une bite mais un manche d’outil.

Mes jambes bien tenues Ă©cartĂ©es par ses potes, l’homme enfonce par petits Ă  coups ce mandrin de bois. Je gĂ©mi en le sentant parfois taper au fond de mon ventre. Puis laissant le manche toujours en moi, ils s’en vont.

En partant ils disent : « Salut la pute on t’as bien baisĂ© ». Voila le risque de draguer le soir dans un bar.

Partie 2 Rosie Soumise

De l’ñge de dix huit ans Ă  presque vingt et un, j’ai acceptĂ© d’ĂȘtre sa chose sa soumise offerte Ă  ses fantasmes d’homme de la soixantaine. Je le suivais, le soir dans des tenues toujours lĂ©gĂšres.

Pourtant, j’avais rien du physique de minet, assez grand dĂ©jĂ , un peu musclĂ© surtout des cuisses, la peau matte, bras et jambes poilus et un peu de barbe au menton.

Mais me voir juste avec un petit short court serrĂ© aux cuisses, parfois dĂ©cousu, dĂ©voilant bien mon absence de slip devait en exciter plus d’un.

Les mecs chez qui il me trainait ne s'intĂ©ressaient Ă  moi que pour se faire sucer, ou prendre le cul d’un garçon, Ă  l’air de mĂąle viril qu’ils baisaient comme un esclave soumis.

Parfois je devais vider les couilles de travailleurs Ă©migrĂ©s dans des locaux douteux et Ă  l’hygiĂšne douteuse. Bien souvent sans capote. Je prĂ©fĂ©rais sans, bien sur, parce que j’aimais sentir le sperme inonder ma bouche.

J’aimais me sentir diriger, obĂ©ir, ĂȘtre Ă  eux. Ils m’enculaient et partaient sans un mot, j’étais moins qu’une pute, elles Ă©taient payĂ©es.
Mon maitre me touchait rarement, par contre son chauffeur et homme Ă  tout faire, un colosse noir montĂ© trĂšs trĂšs gros et long lui m’utilisait presque tout les soirs. J’en ai avalĂ© du sperme, j’en ai pris dans le cul.

Et parfois, impuissant, pris dans l’action, j’avalais de l’urine ou le mec pissait en moi.

Parfois je devais regarder l’homme enculer un mec puis je devais lĂ©cher le jus qui coulait de son cul.

Parfois Ă  la limite de vomir, mais j’acceptais et oui j’aimais ça. Nu Ă  genou entre les cuisses du jeune noir Ă  lĂ©cher son cul sous le regard excitĂ© du mec, souvent un notable, qui venait de l’enculer et de jouir dans son cul.

Voila avec le recul je ne regrette rien sans compter l’assurance que ça m’a donnĂ© pour baiser ensuite avec les mecs qui me plaisaient.

Partie 3 Plan Nature

La petite voiture s’arrĂȘte Ă  cĂŽtĂ© de moi qui, pouce levĂ©, suis restĂ© immobile stoĂŻque sous cette averse estivale.

« Montes, tu vas ou ? ». « Au village du haut ». « À pieds t’en est loin, dit donc, je vais t’y amener ». « Merci ».

Il faut parler un peut fort la pluie est torrentielle. « Par curiositĂ© tu fais quoi sur la route ? ». « J’étais censĂ© prendre le bus et je l’ai ratĂ© ». « Ha ok ».

Il regarde ma tenue qui comme souvent l’étĂ© se compose d’un short noir trĂšs court sans slip et d’un teeshirt.

« T’es pas bien couvert pour ce temps ». « Non ». « Je dois avoir de quoi te sĂ©cher derriĂšre sur le siĂšge prends le sac ». Je me retourne pĂ©niblement, l’auto n’est pas large et je rĂ©cupĂšre le sac.

Dedans des fringues de sports et deux serviettes de bain. « SĂšche toi enlĂšve ton teeshirt ». J’obĂ©is.

« T’es musclĂ©, t’as quel Ăąge ? ». « Dix huit bientĂŽt dix neuf ». « Tu fais du sport ? ». « Du vĂ©lo, pas mal de vĂ©lo ».

« Oui tu as de belles jambes ». « Merci ». « Tu veux pas changer de short ? Il y en a un presque neuf dans le sac ». « Heu ici ? ».

« Pourquoi ? Des mecs en slips j’ai dĂ©jĂ  vu ». « C’est pas ça ». J’écarte un peu mon short, il regarde. « Ha ok t’en as pas, bah ce n’est pas grave des sexes j’en ai vu aussi ».

Je me dĂ©cide Ă  l’enlever et nu, je n’ai pas encore mis le teeshirt je cherche le short. « Oui t’es beau mec et pas mal montĂ© ». En cachant d’une main mon dĂ©but d’érection je rĂ©ponds un merci timide.

« Non cache pas cette belle queue que tu as ». J’enlĂšve la main. « C’est moi qui te fais bander ». « Oui ».

Il ralenti et pose une main chaude sur mon genou, pendant que j’essaye de mettre le short. « Non reste nu un peu ». J’obĂ©is et laisse tomber le short Ă  mes pieds. « T’es pas farouche toi, t’as dĂ©jĂ  Ă©tĂ© avec des hommes non ? ». « Oui ». « Ça te dirais un petit moment avec moi ? » « Oui ».

Il se gare Ă  cĂŽtĂ© d’une petite cabane de pierre sans porte au bord d’un chemin de vigne.

Il descend le dossier de mon siĂšge et lentement me caresse, lĂšche mes boules et ma queue trĂšs dure maintenant, puis me suce. Je passe mes mains sur son crane dĂ©garni, j’aime sentir sa bouche sur mon gland.

Il se relÚve et demande : « Et toi tu suces ? ». « Oui ». Il baisse son dossier et ouvre sa braguette, un beau sexe jailli long et dur. Je le suce, ses mains caressent mon dos et descendent vers mes fesses.

J’ai la bite du mec dans la gorge quand il me dit : « Tu suces bien, montre moi ton cul ».

Je me redresse et me mets Ă  genou sur le siĂšge bien allongĂ© sur le dossier presque Ă  plat, il Ă©carte mes fesses et me lĂšche l’anus enfonçant par moment un doigt humide. Je gĂ©mi doucement.

« Tu as envie que je te prenne ? Mon chĂ©ri ». « Oui j’ai envie, putain oui ». « Oui je le veux ».

La pluie a cessĂ©e il se redresse et sort de l’auto, passe de mon cĂŽtĂ© et moi Ă  quatre pattes sur le siĂšge et lui dans l’ouverture de la portiĂšre il m’encule Ă  fond doucement au dĂ©but puis plus vite et fort, plus profond, il tire sur mes jambes pour me faire reculer vers lui, pour bien m’empaler sur sa verge dure et Ă©paisse.

« Je vais jouir » dit-il. « Reste en moi, inonde moi le cul ». « T’es sur ? ». « Oui ».

Et avec des grandes secousses il se vide dans mon cul.

La pluie repart de plus belle cette fois, et trempé, il remonte dans la voiture. Il enlÚve sa chemise et reste torse nu. Il me sourit, se penche vers moi, et demande : « Branle-toi ».

J’obĂ©is, il me caresse le corps, je jouis sur mon ventre. Il lĂšche le sperme avec douceur.

« Tu embrasses ? ». Je me penche vers lui et nos langues se mélangent.

Et il m’a ramenĂ© au village. Je ne l’ai plus revu, dommage.

Partie 4 Rosie Copine

Je suis chez un copain dont les parents sont partis pour quelques jours, des affaires de famille Ă  rĂ©gler et ça risquait d’ĂȘtre pour pas mal de temps. Il ne voulait pas rester seul avec son demi-frĂšre de notre Ăąge, handicapĂ©, dont il avait l’habitude de s’occuper.
La maison, vaste, avec piscine et un grand jardin avec une belle serre, le secteur de son demi-frĂšre.

Xavier, peau trĂšs claire, rouquin, fils d’un premier mariage, avait Ă©tĂ© l’une des victimes d’un accident de la route le clouant sur un fauteuil roulant. Assez musclĂ©, il Ă©tait beau mec.

Pierrot, mon pote, brun cheveux frisĂ©s lĂ©gĂšrement typĂ© mĂ©tis rappelait ses origines paternelle rĂ©unionnaise, musclĂ© trĂšs sportif. « Sympa Ric d’ĂȘtre la, je devais ĂȘtre seul encore un moment ».

« Et ton frÚre ? ». « Lui, il rùle tout le temps quand je suis seul avec lui. Il lui faudrait une nana je te jure ».

« Tant que ça ? Il peut au moins ? ». « Oui ce ne sont que les jambes qui marchent pas et je peux te le dire, il en profite pour me demander de le branler ». « Non ? ». « Si ». « Il peut pas ? ».

« C’est le seul moyen pour qu’il bande et ça l’obsĂšde, il me rĂ©veille parfois la nuit, et ce n’est pas le pire, il m’a fait une crise un soir il voulait que
. ». « Que quoi ? ». « Que je le suce ».

Cette remarque Ă©veille en moi un intĂ©rĂȘt, j’ose. « Mais il est homo ? ». « Non, enfin j’en sais rien ».

« Il est bien montĂ© ? ». « Ouais en plus ouais ». « C’est pour ça que tu voulais que je vienne ? ».

« Ben, pas que, mais toi, les mecs, je peux te payer si tu veux ». « N’importe quoi, mais de quoi ça vient ces envies ».

« Le kinĂ© qui s’occupait de lui, a Ă©tĂ© surpris Ă  poil Ă  cĂŽtĂ© de lui, mes parents l’on virĂ©, je crois qu’ils baisaient ensemble ».

« Il est ou la ? ». « Dans la serre il s’occupe de ses plantes, viens on va le voir, mais change toi avant ». « Pourquoi ? ». « Si t’y vas comme ça il va rĂąler que j’amĂšne un inconnu dans son antre, habille toi plus relax ». « Un short, un teeshirt ? ». « Oui voila ». « J’ai que celui-ci, trĂšs court et un marcel ». « Nickel ».

« Dit donc tu veux lui amener une pute ? ». « DĂ©solĂ© laisse tomber c’est nul ».

« Non ok, je voudrais pas que tu sois obligĂ© de le sucer ». « En plus on c’est croisĂ©s ce matin Ă  mon arrivĂ©e, ça devrait le faire, si tu veux j’y vais seul ». « Toi tu es chaud, maintenant ? ». « Oui ».

Donc petit short, sans slip, mon teeshirt tombant des Ă©paules et ne cachant rien j’entre dans la serre.

« Xavier ? Salut c’est Ric ». « Salut, je te connais on c’est dĂ©jĂ  croisĂ©s ». « Oui ». « Et Pierrot il est pas avec toi ? ». « Non il prĂ©pare le barbecue pour tout Ă  l’heure ». « Ok ». « T’as l’air d’aller bien ».

« Oui ça va, Ă  part mes pattes, mais je muscle mes bras Ă  force ». « Oui t’es pas mal ». « Merci ».

« Ric tu restes la cette semaine ? ». « Oui, pourquoi ça t’embĂȘte ? ». « Non, mais t’as pas une copine ? ».

« Non, ni un copain si tu veux tout savoir ». Un sourire se dessine sur son visage criblĂ© de taches de rousseur, puis il s’assombrit. « Moi non plus, qui voudrait d’un rouquin Ă  roulette ? ». « T’es beau mec ». « Toi aussi ».

« Merci ». « Accompagne moi jusqu’à ma chambre, je vais m’habiller plus lĂ©ger, je suis trempĂ© de sueur en plus ». On traverse un long couloir et on entre dans une grande chambre avec sa salle de bain Ă©quipĂ©e.

Je m’assieds sur le lit, lui trifouille dans une armoire. Il enlùve son teeshirt, oui il est pas mal, et va dans la salle de bain. Je propose mon aide s’il veut.

Il m’appelle : « Viens ». J’entre, il est en slip et est assis dans le bac Ă  douche. « Aide-moi Ă  l’enlever ». L’eau coule un peu de la pomme de douche. « Attends j’enlĂšve mon teeshirt ». Il me dit : « EnlĂšve tout tu vas te tremper ». Nu devant lui je me penche, mes mains le frĂŽlent.

Je l’aide, il s’appuie sur moi et j’enlùve son slip. Je me retrouve à genou devant lui pour passer le slip à ses pieds, le nez pas trùs loin d’un sexe effectivement excitant.

Il me fixe, comme avec un regard implorant, sa queue se dresse, l’eau nous arrose un peu, il se penche en arriùre autant qu’il peut et coupe l’eau. Je pose ma main sur sa cuisse, me penche et son sexe frîle mes lùvres. D’une main il se branle en silence.

Je le suce doucement, il souffle de plus en plus, pas de doute ça fonctionne. Au bout d’un moment un jet inonde ma bouche, j’avale puis me relùve. Cette fois c’est mon sexe qui est au niveau de sa bouche. Il me suce et je jouis dans sa bouche.

On se lave et on se rhabille. On rejoint Pierrot qui ne pose aucune question, ne sachant que trop ce qui a pu se passer vu l’air guilleret de Xavier.

J’ai sucĂ© Xavier plusieurs fois pendant la semaine. Pierrot semblait me faire un peu la tĂȘte vu le temps que je passais avec Xavier.
Un soir j’ai voulu parler Ă  Pierrot, je suis entrĂ© dans sa chambre, on a un peu discutĂ© et je me suis glissĂ© dans son lit. Et on n’a pas trop discutĂ©, non, on a baisĂ©s.

Partie 5 Rosie Baise a la Campagne

Je pose mon vĂ©lo contre un gros chĂȘne, je l’attache pas, qui prendrais ce truc, et je m’enfonce dans le sentier.

Je croise des mecs de tous Ăąges, certains habillĂ©s, d’autre en slip, ou nus.

Un grand type en pleine discussion, avec un petit gros s’arrĂȘte de parler et me matte, je leur souri et continu mon chemin, ils me suivent.

Je me laisse ratt****r et me recule un peu sous les branches Ă©paisses d’un chĂȘne surement centenaire.

Le grand, en silence, s’approche de moi et me caresse le ventre en soulevant mon teeshirt. Il descend sa main sur mon entrejambe en se touchant le sexe avec son autre main. Je le caresse aussi. Je sens qu’il bande.

Il dĂ©fait son short qui glisse au sol et fait jaillir une belle queue puissante et dĂ©jĂ  raide. Je me penche et lĂšche ce sexe tentant. L’autre, passe derriĂšre moi, caresse mes fesses, mon dos, puis baisse doucement mon short et enlĂšve mon petit slip. Puis, Ă  genou, il lĂšche mon anus, son nez bien coincĂ© entre mes fesses.

J’aime, je suis nu, entre eux, sans un mot. De coups de langue en coups de langue je sens des doigts experts pĂ©nĂ©trer mon intimitĂ©. J’écarte au mieux mes jambes pour laisser passer les quatre doigts du mec.

L’autre tient ma tĂȘte et par de petits coups de rein enfonce sa queue dans ma gorge, me faisant toussoter et baver. La main en moi, bien lubrifiĂ©e, gagne du terrain et s’enfonce mieux. Ses doigts en cĂŽne, il me pĂ©nĂštre bien et je sens le pouce frotter contre mes parois.
Le grand se dĂ©gage, il me sourit d’un sourire qui demande plus et me retourne doucement laissant le petit gros Ă  genou la main encore en l’air. Puis la bite gonflĂ©e et dure du grand me pĂ©nĂštre, l’autre toujours Ă  genou me suce en avalant bien ma queue.

Le grand me dĂ©fonce l’anus, je me tiens au petit gros, mes mains sur ses Ă©paules Ă©paisses.

« Je vais te remplir le cul, ma salope » dit enfin le grand avant de jouir. Il jouit, se retire un peu puis continu à me limer. Il se retire et le petit gros passe à nouveau entre mes jambes et lÚche bien mon cul suintant de foutre. Je me branle un peu et je jouis aussi.

Puis les deux mecs partent, toujours en silence, me laissant la, debout, ma queue en main pleine de sperme. Je remets le short et regagne mon vĂ©lo. Deux mecs baisent juste Ă  cĂŽtĂ©, j’attends qu’ils aient fini pour le rĂ©cupĂ©rer. Un mec de mon Ăąge, me propose un plan. Il voudrait bien se faire sucer. Je le suis dans les fourrĂ©s et le vide goulument, aprĂšs qu’il se soit bien enfoncĂ© en moi.

Puis, enfin satisfait, je rentre, pĂ©dalant avec un peu mal au cul et assis sur la selle en sentant l’humiditĂ© de mon cul suintant de jus qui a trempĂ© mon short.

Partie 6 Rosie Baise dans la Cave

À quatre patte dans la cave de cet immeuble, nu, je suis Ă  la merci d’un jeune beur et de son pote plus ĂągĂ© Ă  la peau noire. Les deux mecs sont debout devant moi, leurs sexes tendus comme une offrande a ma bouche. « Tourne-toi ».

J’obĂ©is, des doigts me triturent l’anus puis une queue me pĂ©nĂštre. Je suis nu, le cul offert, soumis Ă  ces mecs chauds et prĂȘt Ă  tout accepter pour les satisfaire.

Ils m’enculent à tour de rîle, me frappant les fesses et le dos en me traitant de salope.

Parfois ils me crachent dessus ou sur le visage avant d’enfoncer leur verge dure dans ma bouche.

Il fait sombre et froid, la chaine que j’ai au cou et qui m’attache au mur sale me serre, elle est froide. Ils tirent dessus, m’obligeant Ă  rester Ă  genou ou Ă  quatre pattes. Mon cul dĂ©foncĂ© suinte de sperme et de pisse. L’un des mecs Ă  urinĂ© entre mes fesses et l’autre a voulu pisser en moi. J’ai aimĂ© recevoir sa pisse dans la bouche.

Je suce le sexe crade du noir pendant que l’autre me lime le cul. Ils ont dĂ©jĂ  joui plusieurs fois, mais restent dur. Ça dure des heures.

J’ai beaucoup de mal à marcher quand je sors de cette cave.
Published by Rosie83
3 years ago
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algar56 2 years ago
oui c'est bon de prendre une queue  un beau récits 
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Titi31240
J ai trop envie de te prendre  apres cette petite histoire 
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jacbisex59
jacbisex59 3 years ago
J'ai beaucoup aimé les récits 3 et 5. TrÚs bandant et mouillant.
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babettevar 3 years ago
to Rosie83 : Cocjonne
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Rosie83
Rosie83 Publisher 3 years ago
to fabienne63 : merci. Vraiment nous avons beaucoup de gouts en commun.
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Rosie83
Rosie83 Publisher 3 years ago
to babettevar : Moi je le sais. Et je voudrais bien que tu mouille dans ma bouche.
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babettevar 3 years ago
Je sais pas pourquoi je mouille en lisant tes récits 
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fabienne63
fabienne63 3 years ago
la partie n° 3 ressemble a une de mes aventures avec Lucien et homme la soixantaine passée bien vicelard avec qui j'ai baisé en voiture ,j'aimais bien me faire tripoter en voiture il y a quelque chose de salope a le faire dans une voiture 
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fabienne63
fabienne63 3 years ago
les baises le soir oui vos mieux ĂȘtre prudent mais superbe histoire 
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