Rosie Pute

Partie 1

Le petit bñtiment des WC est au fond d’un parking sous les marronniers. J’y entre, juste un bruit de chasse d’eau qui coule, j’urine sur un des urinoirs blanc, pas trùs propre.

Un homme petit et gros entre, passe derriĂšre moi en me frĂŽlant, il ouvre une cabine de WC et y entre sans fermer la porte.
Je l’entends toussoter, je me retourne et vois qu’il cale la porte ouverte avec son pied.

Curieux je m’approche et le vois sa queue en main, en train de se branler. Il me voit et se tourne bien face Ă  moi. Belle queue, pas longue, mais Ă©paisse. Je le regarde faire. Il me fait signe de la tĂȘte.

Pas de problĂšme, je suis lĂ  pour ça. Je prends sa queue en main, il caresse mon dos et passe sa main sous ma chemise. Je m’incline et lĂšche le gland puis enfonce son membre dans ma gorge. Je le suce Ă  fond, il gĂ©mit un peu. Des pas rĂ©sonnent derriĂšre nous. Je vais pour me relever. « Non continue, reste, ça me plait trop, tu suce bien » me souffle t-il. J’obĂ©is et continue de sucer sa queue. Je sens une prĂ©sence derriĂšre moi mais je m’en moque. Ça m’excite au contraire.

Des mains caressent mes fesses, mon dos. Je me retourne. Un mec jeune, beau et mince, me sourit.

Il embrasse le gros et continue de me malaxer les fesses, j’aime ça et je reprends la pipe.

« Tu veux qu’il te prenne ? » demande le gros. Je tremble de plaisir, j’en ai tellement envie. Je dĂ©fais ma ceinture et mon premier bouton. Le gars derriĂšre moi fait descendre mon jeans et enlĂšve mon slip.

Ses mains commencent Ă  caresser mes fesses et je sens un doigt pĂ©nĂ©trer mon anus. Je me cambre pour accepter la caresse et tortille du cul. En mĂȘme temps j’intensifie ma pipe. Je suis aux anges.

Un objet chaud frotte contre puis entre mes fesses. J’écarte les jambes pour qu’il puisse bien m’enculer.

La queue se pose sur mon anus et, en poussant un cri de plaisir, il me pĂ©nĂštre d’un coup. Je le prends bien et je rĂąle de contentement. Il tape sur mes fesses avec ses couilles, lui par contre Ă  une longue queue et elle tape au fond de mon cul, me faisant gĂ©mir.

Il me lime longuement, le gros excitĂ© bande plus dur et dans un rĂąle il lĂąche son jus que j’avale goulĂ»ment, trop excitĂ© par cette sodomie puissante.

Je me cramponne au gros qui sourit et encourage le jeune. « J’ai envie de te fĂ©conder » dit celui qui m’encule. « Oui, vide toi en moi, inonde-moi la chatte ». Et il jouit en moi, quelques coups de bite encore puis il se retire. Je sens que je suis bien pleine et son jus couler ma chatte anale. C’est bon, ça me plait.

Je jouis dans les doigts du gros qui c’est mis à me branler. Je ressors des WC suivit du gros qui remet sa veste de police municipale.


Partie 2

J’aime les WC publics un peu Ă  l’écart dans les parcs ou les parkings sous les arbres.

Celui ci est au bord de la petite route ou se trouvait un terrain de tennis et un boulodrome maintenant abandonnĂ©s. Il se fait tard dans l’aprĂšs midi, c’est le moment que j’aime, la luminositĂ© baisse et donne une ambiance lugubre Ă  ce site. J’entre, les urinoirs sont vides, et les portes de cabines ouvertes.

Sur les murs des inscriptions plus ou moins Ă©videntes sur leur nature Ă  caractĂšres sexuels.

J’entre dans une des cabines, la cuvette n’y est plus juste un bout de tuyau qui dĂ©passe du sol d’oĂč se dĂ©gage encore une odeur d’urine.

Appuyé à la cloison, je passe ma main sous mon pantalon et me caresse, puis ayant baissé mon pantalon, ma main glisse sous mon petit slip. Je me branle un peu plus du bout des doigts.

Ne rĂ©sistant plus, le slip sur les genoux, je me branle Ă  pleine main, bien campĂ© sur mes jambes le sexe dressĂ© et tendu. Des pas tout Ă  coups se font entendre dans le silence du lieu. Je m’en fous je suis bien, tant pis, je continu.

L’homme, pas trĂšs jeune s’approche de moi et me regarde en souriant, il porte une salopette de travail. Il dĂ©fait la fermeture Ă©clair et rabat le haut sur ses hanches dĂ©voilant un corps Ă©pais et velu.

Il passe sa main entre ses jambes sous le vĂȘtement et se caresse. Il se colle Ă  moi, pose une main sur mon sexe, se penche et d’une bouche gourmande il commence Ă  me sucer. Je caresse ses Ă©paules nues, son crane dĂ©garni, il suce bien. Je me laisse aller et je gĂ©mis un peu en sentant sa langue faire le tour de mon gland.

Je le repousse un peu et fini de descendre sa salopette jusqu’à ses pieds, et Ă©cartant son slip, je dĂ©gage son membre devenu dur. À mon tour je me penche sur lui et je le prends en bouche avec douceur.

Son sexe est gros et Ă©pais, pas trĂšs long mais assez pour me plaire et en avoir envie entre les cuisses.

Il comprend vite ce que je veux, il me retourne, me plaque contre la cloison et appui sa belle bite contre mon Ɠillet. Il me pĂ©nĂštre avec juste de la salive comme lubrifiant. Sa queue entre en moi comme dans du beurre.

Il est puissant, j’aime et je couine comme une truie. Il aime, me tient par les Ă©paules, face Ă  la porte, bien pliĂ©e en deux, sa bite enfoncĂ©e jusqu’à la garde. Ses couilles velues tapent sur mes fesses.

Il ahane et jouit en moi tout en continuant de me limer. Il se retire, je me retourne et il me branle vigoureusement. Je crache en criant de plaisir, il se penche et avale mon jus. A mon tour, je me mets à genoux pour lécher sa queue et nettoyer son sperme.

On s’embrasse, mĂ©langeant, avec nos langues mon sperme et le sien. Ca nous excite, je bande encore, lui aussi, je descends Ă  ses pieds et le suce de nouveau comme une folle. Son sexe gluant laissant couler encore un filet de jus, il me surprend en Ă©jaculant dans ma gorge.

J’avale encore avec plaisir, je me relĂšve et me rajuste. Lui a remontĂ© son vĂȘtement il me sourit.

« J’ai passĂ© un bon moment, je voudrais bien recommencer, tu viens chez moi ? ». J’ai envie, j’y vais.

Partie 3

Assis, un peu fatiguĂ© par la danse et l’alcool, je somnole. La boite commence Ă  se vider. Un type s’assied Ă  cĂŽtĂ© de moi. Il se penche et me susurre a l’oreille : « J’ai envie de baiser ». « C’est bien, moi aussi » dit-je.

« De me faire branler aussi ». Je le repousse un peu pour la forme, puis il se repenche contre moi et insiste. « Branle moi, regarde je bande bien ». Il a sorti sa queue. Regarde elle est dure, donne ta main. Il prend ma main et la pose sur sa queue. Elle est grosse, dure et chaude, je n’hĂ©site plus et je commence Ă  le caresser.

Trois mecs arrivent et s’assoient sur le canapĂ© en face de nous, sĂ©parĂ© juste par une table basse.

« Vas-y, branle le ». Ils sont chauds aussi. « Chiche qu’il ne le fait pas ». « Si, mĂȘme qu’il pourrait le sucer ».

Le troisiĂšme reste muet. Je les regarde et machinalement je branle la bite.

Un des mecs se lÚve, se met à cÎté de moi passe sa main sous mes fringues, je me laisse faire.

« T’es gentil toi, suce le ». Il me pousse vers celui que je branle. « Il le fera pas » dit un des autres gars.

On est plus trĂšs nombreux dans la boite. Je regarde le mec qui a parlĂ©, je me penche et avale la queue du gars qui se coule en arriĂšre les jambes bien ouvertes. Un mec qui partait s’arrĂȘte et nous regarde.

Celui qui ne disait rien sort sa bite et se branle, caressé par le mec resté à cÎté de lui.

Pendant que je suce une main a défait mon pantalon et dégagée mon sexe déjà dur et une bouche humide commence à sucer mon gland.

Celui qui partait s’assied Ă  cĂŽtĂ© de nous, je sens qu’il est excitĂ© mais je ne vois pas ce qu’il fait.

Les spots au dessus des canapĂ©s s’éteignent, j’ai envie de cette queue dans le cul. Je me lĂšve, le pantalon glisse Ă  mes pieds, on me tire en arriĂšre et je sens le glissement lent du sexe me pĂ©nĂ©trant.

Assis sur cette queue, je joins ma langue à celle du mec que je suçais et il enroule sa langue dans ma bouche.

Une sorte de partouze s’est enclenchĂ©e. A demi-nu on baise dans la semi pĂ©nombre, il n’y a plus de musique et le bar est Ă©teint.

Je pénÚtre un cul lisse et accueillant, on me suce, je suce et je me fais encore enculer sur le cuir blanc du canapé, le visage collé au coussin. Je prends bien ces queues qui me défoncent. Je suis bien. Je me fais baiser.

Puis ça s’arrĂȘte. On est tous nu, on se relĂšve et on cherche nos fringues. « Paul tu fermeras, tu fais chier avec tes baises Ă  la con ». « Ouais » dit le mec Ă  cĂŽtĂ© de moi, file, va baiser ta femme. « Connard, tu ne serais pas mon frĂšre
. ». Le mec qui m’a baisĂ© me fait face. « Tu me plais, viens chez moi manger un truc ».

Je pense : Avec joie, j’ai encore le cul en feu, il me faut des queues et celui là va me donner bien fort.

Partie 4

Dans cette grange ou il m’a emmenĂ© un matelas est posĂ© au sol. Il est nu devant moi, grand, bien montĂ©.

Sa queue est bien raide en face de moi, elle attend ma bouche.

Je tombe a genoux sur le matelas, je suis nu aussi, je le branle puis malaxe ses couilles et lentement je le prends dans la bouche. Je m’applique, je suce, je lĂšche. Je me rĂ©gale de cette bite.

Son pote arrive, avec deux hommes. Des Ă©migrĂ©s qu’ils emploient dans la propriĂ©tĂ©. Ils font cercle autour de moi les bites tendues. Je suis content, je vais en prendre plein la bouche et le cul.

Je suce tour Ă  tour ces sexes puis on me relĂšve, me pousse vers un Ă©tabli, et penchĂ© en avant les jambes Ă©cartĂ©es ils me pĂ©nĂštrent Ă  tour de rĂŽle. Je crie de plaisir comme une pute. Ils se dĂ©gagent et me font prendre en bouche leur sperme chaud. J’avale, parfois il est amer, mais je n’ai pas le choix et j’adore ça en fait.

Ça les excitent de me voir la bouche pleine puis encore Ă  quatre pattes ou couchĂ© sur le ventre ils me pĂ©nĂštrent encore Ă  grand coups de reins.

Mon cul ouvert défoncé par ces hommes virils au sexe bien gonflé. Tous on envie de se vider dans la pute à jus que je suis, offert à eux, oubliant que je suis un mec. Je suis devenue leur salope.

Ils partent, restĂ© seul avec mon hĂŽte, il me jette une serviette et une bouteille d’eau. « T’es un bon trou Ă  bite toi ». « Habille-toi et casse toi ». J’obĂ©is et quitte la ferme. Sur le petit chemin un des mecs me ratt****.

Il enlÚve mon teeshirt et passe sa main sous mon short. « Juste un dernier coup » dit il à mon oreille.

Et il m’encule debout contre un vieux chĂȘne, et se vide en moi.

Partie 5

Il voulait me voir ĂȘtre soumis, aussi il ne ratait pas une occasion. DĂ©jĂ  me vouloir nu ou presque nu Ă  ses cĂŽtĂ©, avec mon physique de jeune du sud la peau mate, ma tignasse noire, mon corps peu poilu, un peu musclĂ© surtout des cuisses.

Me voir Ă  quatre pattes du sperme sur les poils de mes fesses, m’entendre gĂ©mir Ă  chaque coup de rein de mon partenaire toujours bien plus ĂągĂ© que moi.

J’acceptais tout, volontairement, j’aimais les montĂ©es d’adrĂ©naline avant d’aborder des plans qui me soumettaient parfois durement Ă  des inconnus.

Savoir qu’un type, parfois plusieurs, bien montĂ©s de toutes nationalitĂ© allaient m’enculer ou se vider dans ma bouche, m’excitait. Aussi j’évitais de me toucher, malgrĂ© les Ă©rections que j’avais.

Les lieux aussi participaient Ă  ces frissons souvent isolĂ©s, parfois glauques, crades sentant la sueur de mĂąle ou l’urine. Pour mon maitre je n’étais qu’un trou Ă  sperme qu’il passait Ă  des hommes en manque pour la plupart.

Parfois il me demandait de me faire baiser par un SDF sous un pont ou dans un camp, installé au bord de la riviÚre.

Je passais des nuits avec des africains dans leurs baraques de chantier. A cĂŽtĂ© de putes ramenĂ©es de l’ancienne gare, j’étais Ă  « L’abattage ». A disposition et contente de me faire dĂ©foncer.

J’avais 21 ans quand j’ai dĂ©cidĂ© d’arrĂȘter, ça c’est fait sans problĂšme, il y avait dĂ©jĂ  un mec de 18 ans qui me remplaçait.

Pourtant malgrĂ© tout ce que j’ai subit je ne regrette rien et je prends cette pĂ©riode comme un bon souvenir.

J’avais, en fait, rĂ©ellement choisi d’ĂȘtre Ă  lui. Être Ă  lui, et lui obĂ©ir Ă  genou entre ses cuisses et avaler le sexe chaud d’un inconnu. Avec cette odeur de sueur, ce gout parfois d’urine, je me caresse en la suçant avec gourmandise. Puis passer sous lui, et lĂ©cher son cul, mon nez entre ses fesses.

Ou me laisser doigter et sentir son gland dur sur mon anus puis lentement, parfois, ou durement souvent prendre la queue en moi. Me faire limer, pilonner le fion, profondĂ©ment, jusqu’à me faire gĂ©mir.

Puis à nouveau à genou, nu, dans ces lieux parfois crade, insalubre, mais discret, j’avale le sperme.

J’ai 18 ans lui parfois dix ou vingt ans de plus que moi. Jusqu’à mes 21 ans j’ai aimĂ© ces plans, puis une rencontre m’a fait changer et ça devenait plus rare. Aujourd’hui, c’est un agrĂ©able souvenir.
Published by Rosie83
3 years ago
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Rosie83
Rosie83 Publisher 3 years ago
to jacbisex59 : Merci. Je voudrais bien recueillir tout ça dans la bouche.
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Roesoge
Roesoge 3 years ago
Tres tres belles histoires
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fabienne63
fabienne63 3 years ago
to Rosie83 : nous avons un point en commun alors 
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Rosie83
Rosie83 Publisher 3 years ago
to fabienne63 : Merci, oui tu a raison sucer et se faire enculer dans les toilettes est tellement excitant. j'y vais souvent
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jacbisex59
jacbisex59 3 years ago
trĂšs bandantes tes histoires. J'en mouille!
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fabienne63
fabienne63 3 years ago
trÚs bandante histoire ,j'adore l'ambiance des toilettes hommes l'odeur m'excite beaucoup je me fait enculer et je suce des inconnues ,bisous 
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chrispompeur 3 years ago
belles histoires c'est bandant
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cauet6080
cauet6080 3 years ago
Superbe histoire merci 
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babettevar 3 years ago
Merci pour ces récits j'ai bien mouillé 
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jacbisex59
jacbisex59 3 years ago
TrĂšs excitant
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