Royal Opera

Encore moi Lisa, moi et mes problĂšmes pouvez vous dire. Je confesse que dans ma tĂȘte rien n’est clair. Je suis comme ça depuis ce mariage ratĂ©, vous pouvez croire qu’une fois divorcĂ©e je serais repartie de zĂ©ro, pour construire une vraie vie. HĂ©las non, mon ex Ă  dĂ©truit une partie de ce Ă  quoi j’aspirais et je croyais. En tentant d’analyser les choses j’en arrive Ă  la conclusion que je suis devenue une sorte de pute gratuite, une obsĂ©dĂ©e du sexe jamais satisfaite, tout çà Ă  cause d’un mec qui n’a pas Ă©tĂ© foutu de me donner le minimum de tendresse et de sexe qu’on Ă  le droit d’espĂ©rer. Peut ĂȘtre que je suis particuliĂšrement vorace c’est possible, peut ĂȘtre que mes fantasmes s’imposent Ă  moi, je veux bien le croire. Mais je refuse d’ĂȘtre comme le disait mon ex, une nymphomane. Je suis peut ĂȘtre dotĂ© d’une bonne dose de perversitĂ©, j’aimes des choses hors norme, je me suis aventurĂ©e en dehors des chemins habituels et bien pensants. Si j’ai trompĂ© mon mari, j’estime que c’est lui qui a brisĂ© le mariage par son attitude et y a mis un point final en me frappant. Je me sens coupable que d’avoir trompĂ© car j’étais totalement insatisfaite.
Je vous ai parlĂ© de mon voisin, sans doute le meilleur amant que j’ai eu et le premier. HĂ©las nous avons du cesser car sa femme avait des doutes, non pas sur moi mais elle savait que son mari la trompait, habitant Ă  deux pas il n’y avait que peu de chance que nous puissions Ă©viter de nous faire prendre. La mort dans l’ñme nous avons dĂ©cidĂ© d’un commun accord de cesser de nous voir. Pour Jean-Pierre et pour moi ce fut un dĂ©chirement. Il Ă©tait peut ĂȘtre temps car nous avions petit Ă  petit cimentĂ© des sentiments sincĂšres. Ni lui ni moi (a cet Ă©poque) ne voulait briser son mariage nous avons Ă©tĂ© raisonnables.

Libre comme l'air, mes Ă©tudes se terminaient et j’obtenais mon master en management. Mon gentil papa avait usĂ© de quelques relations pour me trouver un poste. Ce poste dans cette sociĂ©tĂ© oĂč j’ai progressĂ© pour ĂȘtre dĂ©sormais directrice RH. Signifiait aussi une plus grande autonomie, je gagnais presque aussi bien ma vie que mon mari. Cela me donnait plus de libertĂ© car je devais me dĂ©placer dans les agences et filiales. La situation du couple n’avait pas Ă©voluĂ© d’un iota. Je me lançais dans les folles recherches de sensuelles complicitĂ©s.
Pour une femme je pense que l’embarras du choix est lĂ  rĂ©gle, enfin quand on Ă  en face des vrais mecs qui ne font pas que fantasmer. A plusieurs reprises, j’étais prĂȘte Ă  succomber et mon contact me lĂąchait. Le pire de tout, me donner rendez-vous dans un cafĂ© et ne voir personne arriver, Ă  moins que je ne sois trop moche pour lui, ce dont immodestement je doute quand mĂȘme.
Il y a l’inverse, je posais un lapin Ă  mon contact. En fait, plusieurs fois je suis arrivĂ©e sur le lieu de rendez-vous et voyant mon contact, j'ai dĂ©cidĂ© de surseoir Ă  mon exĂ©cution. Parfois il y a des abrutis qui vous mentent et promettent un physique et on se retrouve en face d’un “monstre”. Je ne suis pas une femme fortement attachĂ©e aux beaux gosses. S' ils sont mignons c’est agrĂ©able mais je prĂ©fĂšre un homme quelconque avec un cerveau et l’envie de faire plaisir Ă  un top modĂšle con comme un balais ou pire imbu de lui mĂȘme, un “moi-je”.
HonnĂȘtement j’ai eu peu de farces dans ce genre. Par contre j’ai souvent Ă©tĂ© déçue des prestations. Sans parler des pingres, ceux qui ne vous emmĂšnent mĂȘme pas dans un petit hĂŽtel, mais dans les toilettes du bar, ou dans leur voiture. J’ai une certaine connaissance des toilettes de pas mal de bar parisiens. Il y a pour contrebalancer ceux qui sont des princes, suite dans des hĂŽtels 4 Ă©toiles, grands restaurants, week-end Ă  la campagne. La classe, hĂ©las ils ne sont pas meilleurs amants, mais au moins on profite d’un cadre luxueux.

Certaines histoires me reviennent, quand un de mes contacts m’a donnĂ© rendez-vous au Royal OpĂ©ra, une brasserie parisienne bien connue. J’arrivais Ă  la station OpĂ©ra, je me dirigeais vers la brasserie. J’étais un peu angoissĂ©e, c'Ă©tait une de mes premiĂšres rencontres par internet. Le fait que ce soit dans un tel Ă©tablissement me rassurait. Je trouvais cet homme, facilement, il m’avait indiquĂ© qu’il aurait un bouquet de fleurs. Justement une table de deux, un bouquet posĂ© face Ă  lui, un homme la quarantaine, bien habillĂ©, costume, cravate. Un costume de tailleur pas un truc d’hypermarchĂ© pour les fraichements arrivĂ©s en France. Il se lĂšve, m’offre les fleurs et baise ma main. Autour de nous les gens ont remarquĂ© cette attitude. Moi j’avoue que je suis agrĂ©ablement surprise. Mais quand il ouvre la bouche pour parler c’est la douche froide, une voix dĂ©sagrĂ©able, vulgaire un langage de chartier, bref un vrai repoussoir. Il me trouve jolie, le dit mĂȘme un peu fort. Je suis assez gĂȘnĂ©e. Je ne suis pas bĂ©gueule, mais la vulgaritĂ© de cette nature me hĂ©risse. Je me suis mise dans un sacrĂ© pĂ©trin. Et mon admirateur semble bien dĂ©cidĂ© Ă  me “faire reluire” comme il me le dit avec tact . Si j’accepte volontiers qu’on me traite de tous les noms pendant l’acte. Dans la vie courante, je n’aime pas ça. On bavarde un peu, puis je prĂ©texte un besoin de m’isoler, m’échapper c’est ma seule idĂ©e. Je me lĂšve demande au garçon oĂč sont les lavabos. Je remarque qu’ils sont dans la direction d’une porte latĂ©rale de la brasserie. Je me dirige donc vers le fond, et lĂ  j’entends des pas tout prĂšs derriĂšre moi. Du coin de l'Ɠil j'aperçois mon bonhomme qui me suit, coincĂ©e, je descends l’escalier menant aux toilettes. Endroit dĂ©sert, bien tenu heureusement. Je sens deux mains sur mes fesses qui me poussent vers une cabine.

Dis donc la poulette ça presse tant que çà? Bonne idée çà me plait.
Ohhh dis-je prĂȘte Ă  hurler.
Je me ravise, si je fais un scandale il va dire qu’on avait rendez vous que je l’ai allumĂ© sur internet et que lĂ  je fais un esclandre. Au fond il aurait raison, c’est bien moi qui ai envie d’un mec, je l’ai choisi je suis venue, je pensais me trouver dans un autre cadre mais. MalgrĂ© tout ma libido reprend le dessus. Les mains qui se glissent dans mes vĂȘtements, sous ma jupe, m'excitent vraiment.

Ah tu as l'air d’avoir une belle queue salaud!! dis-je en palpant son entre-jambe.
Hé bah tu disais vrai tu est chaude petite garce. Tiens dit il suce moi çà

Il sort sa queue, par sa braguette, et l’agite. En effet, ce porc est bien montĂ©. Je m’accroupis et tenant la queue d’une main, je masse ses couilles de l’autre. Ma bouche chope le gland. Je dĂ©calotte la tĂȘte de sa bite, en passant ma langue autour de ce gros champignon rose. Il grogne, il Ă  l’air d’aimer. Moi, de mon cĂŽtĂ©, je me sens de plus en plus excitĂ©e par la situation. La bite dans ma bouche est bien dure, le cochon a une trique d’enfer, il me tire sur la nuque, m’obligeant Ă  l’avaler bien loin. Ce n’est pas un souci, j’adore ça.

Tu vas me baiser maintenant? dis-je.
Ah quelle salope !! Tourne toi que je te prenne ma petite chienne.

Je posais mes mains sur le bord du lavabo, un pied sur le rebord, mes cuisses bien écartées lui laissent le passage.

Souple la gueuse, et si je t’encules maintenant?
Vas y enfonce-moi le cul !!!
Il m’enfile la chatte qui je dois dire est bien mouillĂ©e, il ressort et pose son gland contre mon Ɠillet.

Vas-y n’est pas peur!! Encule moi!
Quelle pute tu fait !! T’en veux un une grosse queue comme la mienne.
Ouiiii j’en veux
Il donne un coup de rein, je pousse un cri, il est Ă©pais, il me fait quand mĂȘme mal. Ouf, cela passe trĂšs vite. Il coulisse bien en moi. avec ma main j’enfile 3 doigts dans ma chatte bien ouverte.

Et merde elle se branle en plus !!

Cette situation fait grimper en flĂšche ma libido. Je suis trempĂ©e, mes doigts font un bruit de mare, ça coule sur mes cuisses, mes doigts, dans le creux de ma main. II y a 10 minutes je voulais Ă©viter de baiser avec lui mais lĂ  j’en suis dingue. Je me rends compte que le regard qu’il porte sur moi m’excite beaucoup. Passer pour la pute de service ça me plais, humiliĂ©e, soumise je dĂ©couvre des traits inconnus de ma personnalitĂ©. Je lĂšche mes doigts ostensiblement pour l’exciter. Cela fonctionne. AprĂšs un grommellement, il me besogne encore plus fort. Sa queue grosse et serrĂ©e au dĂ©bit me paraĂźt bien trop petite maintenant. Je voudrais presque qu’il y en ai deux. Je sens qu’il ne va pas tarder Ă  dĂ©charger.
Je le fais sortir de mon cul d’un coup de reins, m'agenouille devant sa queue..Bouche grande ouverte, langue sortie je lui dit.

Viens décharge moi dans la gueule, fous moi en partout.
Tu vas voir!! regarde bien je vais t’en coller des litres espùce de morue

Le mec est rouge, congestionnĂ©, la sueur coule sur son front et ses joues. Il astique son manche luisant, le gland bien gonflĂ©. Le cyclope me fixe de son unique Ɠil. Mon amant de passage se met Ă  couiner, il souffle et dans un grand “Han de bĂ»cheron" il me crache tout son sperme sur le visage, dans ma bouche, mes yeux, mes cheveux. Je jouis en mĂȘme temps 4 doigts enfilĂ©s dans ma vulve inondĂ©e. En fait, j'inonde le carrelage et les pompes de mon amant de 10 minutes avec quelques jets que lĂąche ma vessie. Ooops

Il reste la queue sortie, dégoulinante, hébété .

Oh putain !! t’est bonne toi allez viens je t'emmùnes chez moi
Non non! je dois me sauver, je vais ĂȘtre en retard.
Me laisse pas comme çà merde on a tout juste commencé.
Une autre fois peut-ĂȘtre, dis-je en me pressant.

Je m’essuis rapidement le visage, tant pis pour le maquillage, naturellement il m’a collĂ© du sperme sur le devant de mon chemisier bleu..bonjour ça tranche !! Je me referais une beautĂ© ailleurs, lĂ  je me casse question de survie. J’avais pas de petite culotte pas besoin de chercher. Je sors de la cabine, une femme me regarde passer et pose sa main sur çà bouche en faisant un joli “ho!” quand elle entend mon amant dire “HĂ© tu m’a mĂȘme pas donnĂ© ton tĂ©lĂ©phone” .
Je suis loin, monte les escaliers quatre Ă  quatre, sors sur l’avenue de l'OpĂ©ra, je presse le pas.
DĂ©cidĂ©ment, ce n'est pas vraiment ce dont j’avais rĂȘvĂ©, mais j’ai bien jouis quand mĂȘme. En marchant je sens mes cuisses mouillĂ©es qui subissent le souffle d’air qui va me sĂ©cher le minou.
Dans ma tĂȘte dĂ©jĂ  je pense Ă  d’autres contacts qui me tentent

Lisa
Published by Lisa-Al
3 years ago
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therealtoz
therealtoz 3 years ago
DĂ©licieuse histoire
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Chocho88200
Chocho88200 3 years ago
to Lisa-Al : De rien avec plaisir, tu révÚle que malgré les difficultés de la vie, il y a du plaisir à prendre et qu'il faut profiter de ces moments
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Lisa-Al
Lisa-Al Publisher 3 years ago
to Chocho88200 : Ah mais c'est une déclaration LoL.. promis je continues Merci des gentils comment
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vieuxmachin
vieuxmachin 3 years ago
Quelle petite cochonne ! D'autant plus amusant que j'ai souvent fais une halte au r Royal Opera, c'est pas bien loin d'un de mes chez moi.
Joli morceau choisi. Une fois l'envie installée dur de ne pas céder et d'aller au bout.. Je connais çà
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Chocho88200
Chocho88200 3 years ago
Une fois partie, l'excitation s'arrĂȘte plus, j'adore te lire... 
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