La joggeuse 2

Une fois qu'elle se retrouva nue et totalement soumise à ses volontés, alors que sa volonté à elle était précisément de lui être totalement soumise, il s'agenouilla, alors qu'elle devait lutter pour parvenir à rester debout. Il lui lécha l'intérieur de ses jambes, puis son abricot déjà si excité.
Elle devait s'agripper à ses épaules, à sa nuque pour ne pas tomber à la renverse.... submergée déjà par l'approche d'un premier orgasme. Mais par sadisme ou raffinement, il interrompit les caresses de sa langue laissant Marie face à un abîme de frustration sexuelle.

Il lui demanda ensuite de se plaquer dos au mur et s'approcha doucement d'elle. Il la caressait du bout des doigts lui laissant imaginer qu'il pourrait la laisser là sans lui faire l'amour. Elle eu l'impression que cet instant durait une éternité. La seule caresse qu'elle pouvait éprouver, étant celle de son regard.

À cet instant, il pouvait tout faire d'elle. Elle savait dans son fantasme même, qu'il n'y avait rien qui l'excitait plus que de céder à tout ce qu'elle refusait désormais à son mari.
Il commença par la prendre debout, en lui mordillant les lèvres , l'oreille puis les seins.

Il lui demanda ensuite de la retourner et avec beaucoup d'application, de délicatesse et d'assurance dans ses gestes, il se glissa à nouveau en elle, pour la prendre en levrette tout en tripotant ses seins. Ce moment dura longtemps, elle aimait sentir sa vigoureuse ardeur au fond de son intimité ! Il lui chuchotait des mots tendres et c'est alors qu'il glissa à son oreille :
« Tu préfères que je sois plus tendre ou plus brutal? »
Elle lui répondit qu'il pourrait faire comme il voudrait, qu'elle était prête à tout !

Chacun avait conscience que leurs étreintes sauvages seraient les premières et la dernières, et elle avait l'intention de tout lui donner, et surtout de lui sacrifier ce qui lui restait de dignité de femme bourgeoise à l'éducation stricte et culpabilisante!
Elle avait envie d'être humiliée, et il le comprit vite, se mettant à lui donner la fessée et à l'insulter.
En même temps qu'elle rougissait du cul, elle rougissait des joues mais de honte.
Elle avait envie de ratt****r tout ce temps où elle n'osait pas même reconnaître le plaisir légitime d'une femme d'être désirée par des hommes.

Prête à accepter tous les outrages, il décida lui de commencer par l'enculer avec un gode de bonne taille.. puis par l'enculer tout court... ça faisait longtemps qu'elle ne s'était pas laissée faire, longtemps qu'elle n'avait pas éprouvé cette douleur singulière, mais ce plaisir aussi, de sentir son anus et les parois du fourreau de son cul ainsi dilaté par un membre viril déterminé à jouir de son intimité honteuse.

Il lui demanda de le sucer, ce qu'elle fit avec toute la concentration possible, en lui caressant les bourses de façons si exquise. Il lui baisa ensuite littéralement la bouche avec son sexe pour finir de nettoyer la souillure de son cul en gorge profonde en la faisant baver... C'était la première fois pour elle et elle avait l'impression qu'elle allait vomir. Ça la dégoûtait et en même temps, elle porta sa main à son entrecuisse déjà trempée, poussée par un désir irrésistible de se branler . Ce qu'elle ne faisait jamais d'habitude qu'à l'abri des regards.

Il commença ensuite à gifler ses seins de plus en plus fort, à lui triturer ses mamelons, à les pincer jusqu'à la faire crier et il ne la laissa pas tranquille, jusqu'à ce que de belles marques rouges zèbrent l'ensemble de son superbe buste.

Il lui demanda d'aller ensuite dans la salle de bain pour lui lui pisser dessus. De se placer dans la baignoire assise les jambes écartées et d'ouvrir grandement la bouche tout en commençant par déverser son urine sur ses jambes, sa chatte, puis ses seins, son visage et ses cheveux.

Puis , il lui ordonna à nouveau à la levrette et il lui claqua le cul de plus en plus fort afin de bien y laisser l'empreinte de ses mains.
Il introduisit ensuite un vibro dans sa chatte et son cul qu'il actionna à distance, se délectant du spectacle de cette digne bourgeoise perdant tout ce qu'il lui restait de dignité. En poussant des gémissement et des cris de plus en plus fort d'un ton suppliant sans qu'on sache si c'était pour arrêter ou ne surtout pas arrêter !

Quand il fut lassé d'avoir joué avec elle , et alors qu'elle avait plus que jamais envie qu'il la prenne à nouveau et qu'il la souille. Il lui offrit uniquement le léchage de sa raie du cul en lui demandant de le branler en même temps en lui caressant les couilles.
Et sa dernière giclée, au lieu de venir combler ses ardeurs incontrôlées de femme qui se découvre , vint atterrir sur la froideur du carrelage. Il lui accorda de pouvoir venir lécher son foutre tout en profitant de sa position pour lui fourrer le vagin puis le cul avec sa main puis avec son poing le plus profondément possible!

De tous ces actes inavouables, elle devait garder le plus ému des souvenirs et la succession de plusieurs orgasmes qu'elle n'aurait jamais cru pouvoir vivre un jour dans l'alliance de la douleur et de la jouissance, de la soumission et du sentiments de puissance d'aller jusqu'au bout de sa volonté.

Elle se sentait plus femme que jamais. D'avoir été ainsi dégradée, dépravée curieusement, faisait naître en elle une force. Elle savait que l'acceptation ou le refus de certains actes ne dépendait en fait que d'elle-même. Elle avait osé assumer ce qu'elle avait jusqu'ici caché et inconsciemment voulu ignorer en elle.
Elle pouvait désormais se dire que sa sensualité de femme épanouie , que sa sexualité dépendait de son seul désir tant elle se sentait désirable et désirée.
Longtemps elle aurait eu peur de brûler ses ailes en s'approchant de la concrétisation de ses fantasmes à peine avoués. Maintenant qu'elle avait dépassé ces peurs, elle se sentait simplement heureuse, et si heureuse de retrouver son cher mari !


À propos de son mari après tous ces outrages, son amant lui demanda, comme elle le désirait elle même, de ne surtout pas se laver du sperme et de la pisse quelle avait reçu en elle et sur elle. Et de les porter comme un témoignage d'affection ultime à l'égard de son mari resté fidèle qui pourra enfin réaliser son rêve de cocu.

Comme son bel amant d'un jour était malgré tout un gentleman, il ne la laissa pas partir seule dans la rue mais l'accompagna en voiture jusqu'à chez elle. Tout en conduisant, il lui demanda de le gratifier du belle pipe tout en doigtant son cul lubrifié par le foutre et élargi par les outrages subits.

Ils se dirent adieu par un chaste baiser, en se remerciant l'un l'autre et en se jurant de changer leur parcours de course pour ne plus jamais se revoir. Ils ne savaient presque rien l'un de l'autre et c'était la force de leur rencontre. Ils avaient vécu ces moments merveilleux comme détachés de toute contingence et des pesanteurs de la vie quotidienne.

Quand Marie put rejoindre son mari, ça réaction en la voyant ainsi souillée et déshonorée, fut de lui dire qu'elle lui offrait le plus beau cadeau de sa vie !

À cet instant, elle savait qu'elle avait carte blanche pour s'offrir tous les amants du monde.
Mais sincèrement, elle ne savait pas encore si ce fantasme réalisé devait rester le seul, chaque autre conquête n'étant que la répétition en moins bien de la réalisation du premier... ou si elle allait devenir la plus dévergondée des femmes mariées libertines !



FIN
Published by sensualites
3 years ago
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SUK77 3 years ago
Parfait ! Maintenant elle doit aller encore plus loin et se faire baiser par une dizaine de mec en rut 
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sensualites
sensualites Publisher 3 years ago
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nudemum 3 years ago
perdre sa dignité volontairement,le mal du siecle
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sensualites
sensualites Publisher 3 years ago
to caso29 : c'est clair!
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caso29
caso29 3 years ago
to sensualites : Bienheureux l'homme qui va lui faire découvrir sa véritable nature de Salope soumise
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sensualites
sensualites Publisher 3 years ago
to caso29 : j'en rêve pour cet été
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caso29
caso29 3 years ago
Marie s'est totalement lâchée et est devenue l'espace d'un instant une superbe Chienne bourgeoise totalement dépravée
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inconnu57 3 years ago
le fist anal n est pas anodin .il faut de nombreuses année de pratique avant d'y arrivé ..c'est l'ultime soumission pour une femme ...la suite est très bien écrit aussi .un grand bravo a vous 
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sensualites
sensualites Publisher 3 years ago
to ccandau : merci!!!
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ccandau
ccandau 3 years ago
superbe Marie se sens devenir une pute soumise et son mari là remercie génial
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regardhomme 3 years ago
Beau partage ..d 'un fantasme ! 
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davidtoulouse
davidtoulouse 3 years ago
superbe récit qui traduit bien tes fantasmes qui deviendrons peut etre réalité , félicitation tu ma bien excité !!
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POUFFIASSELOVER
POUFFIASSELOVER 3 years ago
la chienne
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belgorobby1
Très beau récit... excitant.
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