1 - Une semaine de vacances très chaude - I

Mots-clefs : blacks, vacances.

Suite à notre rencontre, je revis Moussa le lundi suivant à l'université. Je ne m'attendais pas à ce qu'il vienne me voir aussi rapidement.

A peine rentrée dans l'enceinte de la fac, quelqu'un me fit un bisou dans le cou. Je me retournai et c'était Moussa, avec un grand sourire. Il me demanda si j'étais bien rentrée et si je m'étais bien reposée, l'air coquin et intéressé. Je lui demandai pourquoi, interloquée.

- "Tu ne te souviens pas ce que je t'ai dit l'autre soir ?", me dit-il.
- "Non pourquoi ? Mais je me rappelle bien que ce que tu m'a fais avec ton pote, c'était très sympa d'ailleurs. Mais là je dois aller en cours. La soirée est finie maintenant, c'était un bon délire mais tu peux passer à autre chose", lui dis-je d'un ton un peu sec car j'étais pressée.
- "Passer à autre chose, tu rigoles j'espère, après ce que tu m'as montré et dit, c'est impossible."
- "Qu'est ce que je t'ai dit", lui demandai-je ?
- "Tu m'as dit que tu ferais tout ce que je voudrai et que que tu étais ma pute, tu m'as dit ça quand je t'ai dit que j'avais de la famille à te présenter."
- "Oui, je m'en souviens maintenant, mais c'était dans l'excitation, ne t'enflamme pas. Maintenant je dois aller travailler, à plus."

Moussa, déçu, s'en alla et je pus aller en cours où je n'étais pas vraiment concentrée. Je n'arrêtais pas de penser à ce qu'il m'avait dit. La soirée avec Moussa et John m'avait bien plu et excitée comme jamais mais je n'étais pas un pute non plus et j'avais un peu peur de ce qu'il m'était proposé, même si je dois l'avouer, ça commençait à me faire mouiller.

Un mois passa et je ne revoyais Moussa et John qu'au détours des couloirs, avec juste un petit salut en passant.

Mais un matin Moussa m'attendait en bas de chez moi. Je ne sais pas comment il avait fait pour trouver mon adresse.

- "Tu vois, je sais où t'habites maintenant", me dit-il d'un air réjoui. "J'ai une proposition à te faire."
- "Ok, mais pas ici, si mon père voit qu'un gars m'attend en bas de chez moi, il ne va pas arrêter de me questionner ce soir."
- "Dis-donc, t'as plus 18 ans maintenant, tu fais ce que tu veux non ?"
- "Oui, mais mon père pense que je suis encore vierge je suis sure."
- "Eh ben, s'il savait la chienne qu'est sa fille il serait choqué", me dit-il avant de m'embrasser sur la bouche par surprise.

Comme on avait quitté ma rue et que Moussa embrassait divinement bien, je l'embrassai à mon tour. Nos langues ne s'arrêtaient plus de tourner. Moussa pris ma main et tout en m'embrassant me guida sous le porche le plus proche à l'abri des regards. Il mit la main dans mon jean puis la fit glisser dans ma culotte qui s'humidifiait à mesure que ses doigts avançaient dans mon entrejambe. Il mit progressivement trois doigts et le pouce sur mon clitoris qui grandit en un clin d'oeil.

Moussa déboutonna son pantalon et sortit son sexe au repos. Je ne l'avais jamais aussi bien vu car l'autre soir il faisait plutôt sombre. C'était un sexe énorme déjà au repos. Il était épais et d'un beau noir ébène. Moussa le prit dans sa main et fit apparaître son gros gland. Je m'agenouillai et léchai son gland, puis je remontai ma langue sur son sexe et redescendit jusqu'à ses bourses, que j'aspirai goulûment. Je pris ensuite sa queue en bouche qui grandit immédiatement. Je le suçai alors pendant de longues minutes jusqu'à ce que des gouttes de spermes perlent sur son gland. Je les lapai avec gourmandise et pris sa bite presque en entier dans ma bouche. La situation me rendait folle de désir, surtout qu'il me doigtait à merveille pendant tout ce temps. Ses longs doigts branlaient mon clitoris et s'aventuraient jusqu'à l'intérieur de ma chatte et de mon anus.

- "C'est comme ça que je te préfère, quand tu te déchaines, quand tu deviens une vrai salope", me dit Moussa.
- "Eh ben quand même, t'as mis du temps à comprendre qu'il fallait me chauffer pour que j'accepte ta proposition", lui dis-je en reprenant ma respiration. "Je veux bien montrer de quoi je suis capable à ta famille..."

Je baissai mon jean, Moussa écarta ma culotte, se plaqua contre mon dos et me pris contre le mur du porche.

- "Au fait cochonne, toujours pas de capote pour les grosses bites africaines", me demanda-t il assuré de la réponse que j'allais lui faire.
- "Non toujours pas, tu sais que je vous suis réservée", lui susurrai-je pour l'exciter encore un peu plus.

Je le sentais collé contre moi et surtout je sentais sa queue encore grandir dans mon vagin. J'étais collée contre le mur à sa merci. Ses abdos musclés couleur chocolat tapaient contre mes petites fesses blanches. Je serrai le vagin pour encore mieux le sentir et je ne pus m'empêcher de jouir. Je tournai alors la tête en arrière et embrassai Moussa à pleine bouche pour m'empêcher de pousser des cris de jouissance et alerter le voisinage. Lui continuait à me prendre de plus belle, il avait une vigueur incroyable et bandait toujours comme un taureau. Il me pénétra encore au moins dix minutes en alternant entre mon cul et mon vagin. Il me fit jouir une deuxième fois. Il éjacula alors au même moment et abondamment au fond de ma chatte puis se retira d'un air satisfait. Son sexe était si long et ses giclées tellement puissantes que son sperme ne ressortit jamais de mes entrailles. Je me redressai un peu, remontai mon jean, ajustai ma culotte trempée puis nous continuâmes notre chemin comme si de rien n'était.

Sur le chemin de la fac, il me fit sa proposition. Son oncle avait un centre de vacances près de Dakar. Moussa devait y animer quelques soirées début juillet, en échange de quoi il pouvait emmener qui il voulait pendant une semaine, gratuitement.

- "J'ai une partie de ma famille qui bosse dans le club, tu verras c'est sympa et tu ne t'ennuieras pas. Piscine, soleil, repas et alcool à volonté et plus si affinité. Juste quelques petits services à mes amis et famille si tu vois ce que je veux dire..."
- "Ok, avec plaisir cette semaine-là, j'étais toute seule chez moi de toute façon."

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Deux mois après...

J'avais hâte de commencer cette semaine de vacances dans un lieu paradisiaque même si j'étais un peu stressée car je ne connaissais que Moussa et que je me doutais bien que j'allais vivre une sacrée expérience sexuelle. J'arrivai au club de vacances avec Moussa qui était venu me chercher. Mes parents étaient partis en vacances de leur côté donc j'étais tranquille.

- "J'ai beaucoup parlé de toi à mes cousins et ils on hâte de te connaître", dit Moussa. "D'ailleurs je ne te l'ai jamais présenté mais voilà Abedi au loin, un de mes oncles et c'est le directeur du club. Il est propriétaire des lieux et travaille ici depuis plus de 20 ans. Il ne croit pas ce que je lui ai raconté, peux-tu lui montrer ce que tu sais faire ?"

Abedi n'était pas très grand, environ 1 m70, mais trapu et musclé et avait environ 45 ans. Il était plutôt pas mal avec sa barbe. Il était en short et débardeur, ce qui faisait ressortir ses abdos genre tablettes de chocolat.

- "Ça commence fort", dis-je à Moussa, "mais si je suis là c'est pour faire ce que tu me dis. Je crois que je n'ai pas vraiment le choix."

Moussa me prit par la main et m'embrassa pour m'encourager. Il m'emmena dans le bureau du bâtiment d'accueil d'Abedi qui me fit la bise en guise de bienvenue. Sa bouche glissa sur la mienne et aussitôt il m'embrassa sur les lèvres.

- "Nous en Afrique on aime bien le contact", me dit-il. "On aime bien embrasser les nouvelles."

Comme il me collait contre lui et m'entourait avec ses bras musclés, il continua à me faire quelques baisers sur la bouche et dans le cou sans que je je ne puisse rien faire. Il mit alors sa langue dans ma bouche et je fis d'instinct de même. Sa langue épaisse prenait toutz ma bouche et je me sentais possédée. Il me roula une pelle mémorable, tout en faisant glisser ses mains sous mon tee-shirt pour me caresser le dos. Puis sans rien dire, Il baissa son short et sortit son sexe déjà bien en érection.

- "Vas-y , suce-moi ma belle", me dit-il. "Il paraît que tu es une bombe sexuelle et que t'as décidé de passer une semaine de rêve alors profite !"

Je le suçai avec gourmandise, sa bite était douce et avait bon goût. Je décidai de m'appliquer pour laisser une bonne première impression. Je lui léchais le gland, lui gobais les bourses une à une, tout en le branlant énergiquement. Sa bite, un peu plus petite que celles que j'avais connues jusque-là , me permettait de la prendre totalement en bouche. Je sentais que ça l'excitait de voire disparaître sa queue entièrement dans ma bouche et je m'en donnais à cœur joie. Au bout de dix minutes de pipe effrénée, un jeune homme sortit d'un bureau qui devait être à l'arrière de l'accueil.

L'homme devait avoir la vingtaine, pas plus. Il était grand, presque deux mètres et très mince. Il n'avait pas l'air étonné de la situation.

- "Salut, moi c'est Antoine, je bosse à la sécurité du centre. J'ai entendu parler de toi et comme j'ai la caméra de surveillance de l'accueil dans mon bureau, je viens te voir de plus près", continua t-il tout en déboutonnant son pantalon.

Sans rien dire, il sortit son sexe et l'approcha de mon visage alors que j'étais toujours affairée avec Abedi. Je tournai la tête et tout en branlant Abedi, je pris le sexe d'Antoine en bouche. Son sexe était large comme je les aime et je m'appliquai donc à le satisfaire lui aussi. Quelques minutes plus tard, je sentis qu'ils allaient jouir et je m'activai un peu plus. Je pris les deux bites en bouche, ou plutôt les deux glands et je jouai de la langue avec sensualité. Ils poussèrent un râle de jouissance et leur sperme gicla abondamment dans ma bouche. Je ne pus avaler toute leur semence et recrachai une partie par terre.

Antoine, l'air enchanté, retourna à son bureau en me remerciant d'une bise dans le cou. Abedi remit son short et sans un mot alla voir Moussa qui discrètement avait maté la scène sur le pas de la porte.

- "C'est bon t'avais raison, on peut l'accueillir gratuitement cette semaine cette bonne petite. Par contre, je crois qu'elle va s'en souvenir de son séjour ici. Tu l'as prévenue au moins qu'elle allait devenir le jouet du personnel ?", dit Abedi à Moussa.
- "Tiens regarde par exemple, enlève ta culotte toi", me dit Abedi, "et nettoie avec le sperme que t'as recraché par terre et ensuite remets-la".

Je m'exécutai sans broncher et remettre ma culotte mêlée de mouille et de sperme me fit une sensation étrange mais grave excitante. Je sentais le sperme d'Abedi et Antoine humidifier encore un peu plus mon entrejambe et je dois dire que la sensation était plutôt agréable.

- "Tu sais qu' on est sept maintenant à bosser ici", dit Abedi à Moussa, "dont cinq qui n'ont jamais connu de femme blanche. Tu crois qu'elle tiendra le choc ?"

- "T'inquiète", lui dit moussa , "elle est parfaite pour recevoir des bites de nos calibres et n'a jamais connu que ça."

Je pris un peu peur à les entendre mais ma chatte n'avait jamais été aussi trempée de désir.

Auteur : une certaine "Dani75".
Published by rabanmaur
3 years ago
Comments
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ropaul45
ropaul45 7 months ago
chaud et prometteur !
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