Brigitte et les migrants

Une autre facette de mon épouse chérie, c'est son besoin de dépasser les limites du raisonnable. Il y a longtemps de cela, alors que nous étions mariés depuis une dizaine d'années, je décidai un jour de l'emmener visiter un camp de migrants à quelques kilomètres de chez nous. A cette époque, c'étaient essentiellement des hommes d'un âge bien mûr qui arrivaient des pays de l'ex-bloc communiste, de la Yougoslavie à l'Ukraine en passant par la Tchécoslovaquie, la Bulgarie, le Belarus, la Biélorussie, etc.... La plupart étaient de solides et rudes bûcherons, pour qui les femmes n'étaient qu'un lot de trous dans lesquels ils se purgeaient les testicules lorsque la pression à l'intérieur était trop forte. La première fois, je l'ai laissée tout l'après-midi dans une cabane de chantier squattée, dans laquelle se trouvait pour tout mobilier un matelas qui avait dû faire tous les foyers et squatts de la banlieue nord de Paris depuis des décennies. Mon épouse a toujours eu horreur des préservatifs, et je dois dire que cette première fois m'a paru très longue. Pas pour elle, en revanche, puisque quand je l'ai récupérée, vers 19 heures, une dizaine de messieurs faisaient encore la queue, et d'après ce qu'elle m'a dit en rentrant, une bonne trentaine était venue se soulager dans ses divers orifices. Elle était encore souriante, malgré le sperme séché qui la recouvrait intégralement, de la pointe des cheveux aux ongles des orteils. La première chose qu'elle m'a dite dans la voiture, c'est "Quand me ramènes-tu ici ?"
Le week-end suivant, nous avons fait presque 200 kilomètres pour aller sur une ZAD où une centaine de zonards et de SDF montait la garde autour d'un dépôt d'ordures que la préfecture voulait évacuer pour construire une centrale nucléaire. Nous y sommes restés deux jours, et mon petit amour a servi de vide-couilles sur les tas de déchets et de gravats de toutes sortes. Les salopards la pilonnaient à la chaîne dans tous les trous, à même le sol, sur des parpaings, des barres de fer ou des tas d'ordures ménagères en état de putréfaction, et tout ça évidemment sans capote.. Elle était aux anges.......
à suivre
Published by cocufieur17
3 years ago
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cocufieur17
cocufieur17 Publisher 3 years ago
to HagenRagnard : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
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HagenRagnard 3 years ago
un vide-couilles comme on les aimes...
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Softnice 3 years ago
c'est vrai que ca doit etre tres tentant toutes ces grosses bites plutot exotiques pour les francaises blanches qui aimerai  essayer autre chose
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didou008 3 years ago
superbe court mais tré bon 
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titi17000 3 years ago
superbe récit de ta petite chérie, tu en as fait une bonne salope une vide couilles aux immigrés et sans capote , j’attends la suite
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hacene2017 3 years ago
C’est bien ce que t’a fait à ta salope femme....il y’a juste une chose qui manque et que je voulais savoir ,Pourquoi vous rejoindre pas ta femme ce moment là ......il sera mieux comme ça 
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cedriccarcas11 3 years ago
J'adoooooooore
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algerianbull 3 years ago
Encore une qui a compris que les immigrés sont le meilleurs pour les faire jouir, ces salopes !
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