SOUVENIRS.
SOUVENIRS.
Pur Fantasme, je ne voudrais pas avoir de problÚmes avec les Abbés et les curés qui se promÚnent sur le site ;-)
LâactualitĂ© me rappelle des souvenirs de jeunesse.
Surtout quand jâentends pleurer tous ses hypocrites qui se rappelle de ce que des curĂ©s leurs ont fait subir il y a pour certains, plus de trente ans.
Moi je me rappelle quâil y en a plus dâun qui courait aprĂšs lâabbĂ© le mercredi pour le sucer, voire plus.
Jâavais goĂ»tĂ© aux joies du sexe trĂšs jeune.
Un grand mâavait racontĂ© quâau cinĂ© porno il se passait des choses dans les W C et mĂȘme dans la salle.
Que certain petit vieux Ă©taient vicieux.
Moi, je ne pouvais pas y rentrer, jâĂ©tais trop jeune.
Le cinĂ© Ă©tait dans le quartier des halles et en trainant jâavais vu quâil y avait du mouvement aprĂšs les sĂ©ances vers les chiottes des halles.
Un jour, jâai Ă©tĂ© voir et jâai vu deux mecs qui se touchaient en pissant.
Un autre jour il y en avait deux qui faisait comme font les chiens : un Ă quatre pattes, lâautre qui le secoue par derriĂšre.
Câest Ă partir de lĂ que jâai commencĂ© ma carriĂšre de petite salope.
Mais revenant aux mercredis avec lâabbĂ©.
Tous les moyens Ă©taient bons pour moi pour me retrouver seul avec lui.
Dâautant que je ne refusais pas de lui donner mes fesses comme jâavais vu faire aux halles.
Il me prenait comme une chienne se vidant dans ma chatte de mec.
Il est mĂȘme arrivĂ© une fois, quâon le suce avec un copain pendant quâon baisait sa vieille bonne.
Et qui aprĂšs, nous roulait des pelles pour manger sa semence.
Puis, un jour, lâabbĂ© est parti.
Un nouveau est arrivé.
Le curĂ© lâa mis au courant pour lâancien.
Il câĂ©tait fait surprendre par une petite vieille qui balayait lâĂ©glise alors quâun jeune le suçait dans le confessionnal.
Le petit jeune, câĂ©tait moi !
Je mâĂ©tais fait une bonne rĂ©putation.
Jâavais mes habituĂ©s.
Le notaire, que je suçais sous son bureau lors de ses rendez-vous avec des clients.
CâĂ©tait un gros juteux, facilement une cuillĂšre par sĂ©ance.
Le boucher, qui me baisait dans la chambre froide.
Le pharmacien, lui Ă©tait plus vieux, je baisais sa femme devant lui pour le faire bander, pour quâil puisse mâenculer aprĂšs avoir fini avec sa mĂ©gĂšre.
Mon meilleur coup, câĂ©tait le coiffeur.
Il me baisait trois ou quatre fois de suite.
Cela se passait au bord de lâeau, il Ă©tait pĂȘcheur.
Un jour, sa femme nous a surpris.
Il pleuvait et on baisait dans son cabanon de jardin.
Gros scandale au village.
Ma mĂšre, pour calmer les choses, mâa envoyĂ© chez sa sĆur, ma Tante Ă la ville.
Dans notre rĂ©gion, câĂ©tait la dame que lâon cite en exemple.
Une veille fille qui vivait de ses rentes.
On mâa mis dans le train, celle-ci est venue me chercher en taxi.
Sa maison se trouvait en extérieur de la ville.
Une maison ancienne, trĂšs belle.
Avec elle, vivait sa femme de chambre, une cuisiniĂšre.
CâĂ©tait deux femmes dâune cinquantaine dâannĂ©es.
La maison et le jardin Ă©taient entretenu par un vieux couple qui habitait une petite conciergerie.
La tante Ă©tait loin de ressembler Ă ce que lâon disait dâelle.
En visitant la maison, on entre dans la buanderie ou sĂšche une bonne dizaine de piĂšce de lingerie, ainsi que des bas.
Ma tante me fit tirer un bain prétextant que je pue le train.
Elle me fit prĂ©parer des vĂȘtements propres.
Ma tante assista Ă mon dĂ©shabillage et Ă mon bain en me disant quâavec une petite queue comme la mienne câĂ©tait normal de me faire baiser comme une fille.
Chacun son choit me dit-elle.
- « moi, je nâaime que les femmes !!
Appelant sa femme de ménage, celle-ci arriva en petite tenue.
Elle se mirent Ă sâembrasser devant moi sans aucune gĂȘne.
Ă la sortie de mon bain, on mâhabilla dâun caraco, dâune culotte flottante, des bas tenus par un porte jarretelles et de mules Ă talons mis haut.
Ăa commençait bien !!!
Pur Fantasme, je ne voudrais pas avoir de problÚmes avec les Abbés et les curés qui se promÚnent sur le site ;-)
LâactualitĂ© me rappelle des souvenirs de jeunesse.
Surtout quand jâentends pleurer tous ses hypocrites qui se rappelle de ce que des curĂ©s leurs ont fait subir il y a pour certains, plus de trente ans.
Moi je me rappelle quâil y en a plus dâun qui courait aprĂšs lâabbĂ© le mercredi pour le sucer, voire plus.
Jâavais goĂ»tĂ© aux joies du sexe trĂšs jeune.
Un grand mâavait racontĂ© quâau cinĂ© porno il se passait des choses dans les W C et mĂȘme dans la salle.
Que certain petit vieux Ă©taient vicieux.
Moi, je ne pouvais pas y rentrer, jâĂ©tais trop jeune.
Le cinĂ© Ă©tait dans le quartier des halles et en trainant jâavais vu quâil y avait du mouvement aprĂšs les sĂ©ances vers les chiottes des halles.
Un jour, jâai Ă©tĂ© voir et jâai vu deux mecs qui se touchaient en pissant.
Un autre jour il y en avait deux qui faisait comme font les chiens : un Ă quatre pattes, lâautre qui le secoue par derriĂšre.
Câest Ă partir de lĂ que jâai commencĂ© ma carriĂšre de petite salope.
Mais revenant aux mercredis avec lâabbĂ©.
Tous les moyens Ă©taient bons pour moi pour me retrouver seul avec lui.
Dâautant que je ne refusais pas de lui donner mes fesses comme jâavais vu faire aux halles.
Il me prenait comme une chienne se vidant dans ma chatte de mec.
Il est mĂȘme arrivĂ© une fois, quâon le suce avec un copain pendant quâon baisait sa vieille bonne.
Et qui aprĂšs, nous roulait des pelles pour manger sa semence.
Puis, un jour, lâabbĂ© est parti.
Un nouveau est arrivé.
Le curĂ© lâa mis au courant pour lâancien.
Il câĂ©tait fait surprendre par une petite vieille qui balayait lâĂ©glise alors quâun jeune le suçait dans le confessionnal.
Le petit jeune, câĂ©tait moi !
Je mâĂ©tais fait une bonne rĂ©putation.
Jâavais mes habituĂ©s.
Le notaire, que je suçais sous son bureau lors de ses rendez-vous avec des clients.
CâĂ©tait un gros juteux, facilement une cuillĂšre par sĂ©ance.
Le boucher, qui me baisait dans la chambre froide.
Le pharmacien, lui Ă©tait plus vieux, je baisais sa femme devant lui pour le faire bander, pour quâil puisse mâenculer aprĂšs avoir fini avec sa mĂ©gĂšre.
Mon meilleur coup, câĂ©tait le coiffeur.
Il me baisait trois ou quatre fois de suite.
Cela se passait au bord de lâeau, il Ă©tait pĂȘcheur.
Un jour, sa femme nous a surpris.
Il pleuvait et on baisait dans son cabanon de jardin.
Gros scandale au village.
Ma mĂšre, pour calmer les choses, mâa envoyĂ© chez sa sĆur, ma Tante Ă la ville.
Dans notre rĂ©gion, câĂ©tait la dame que lâon cite en exemple.
Une veille fille qui vivait de ses rentes.
On mâa mis dans le train, celle-ci est venue me chercher en taxi.
Sa maison se trouvait en extérieur de la ville.
Une maison ancienne, trĂšs belle.
Avec elle, vivait sa femme de chambre, une cuisiniĂšre.
CâĂ©tait deux femmes dâune cinquantaine dâannĂ©es.
La maison et le jardin Ă©taient entretenu par un vieux couple qui habitait une petite conciergerie.
La tante Ă©tait loin de ressembler Ă ce que lâon disait dâelle.
En visitant la maison, on entre dans la buanderie ou sĂšche une bonne dizaine de piĂšce de lingerie, ainsi que des bas.
Ma tante me fit tirer un bain prétextant que je pue le train.
Elle me fit prĂ©parer des vĂȘtements propres.
Ma tante assista Ă mon dĂ©shabillage et Ă mon bain en me disant quâavec une petite queue comme la mienne câĂ©tait normal de me faire baiser comme une fille.
Chacun son choit me dit-elle.
- « moi, je nâaime que les femmes !!
Appelant sa femme de ménage, celle-ci arriva en petite tenue.
Elle se mirent Ă sâembrasser devant moi sans aucune gĂȘne.
Ă la sortie de mon bain, on mâhabilla dâun caraco, dâune culotte flottante, des bas tenus par un porte jarretelles et de mules Ă talons mis haut.
Ăa commençait bien !!!
3 years ago