Le restaurant avec Marc
Depuis un moment Marc me draguait plus ou moins ouvertement sur les réseaux sociaux.
La distance, la pandémie avait mis à mal une éventuelle rencontre que je ne déclinais pas mais que j'envisageais plutôt en club pour faciliter un rapprochement mutuel.
Un soir, alors que mon épouse est en vacances loin du domicile, ce dernier m'invite à une sortie restaurant pour bien marquer sa volonté de me séduire et prouver que ses propos n'étaient pas que du vent.
Après réflexion, pesant le pour et le contre, j'accepte le rendez-vous.
Nous devons nous retrouver sur la place du capitol à Toulouse et de là, gagner un restaurant qu'il connait pour y passer une soirée romantique et assumée.
Je suis en avance au rdv par principe, détestant devoir patienter.
Marc me rejoint rapidement et nous faisons enfin connaissance réellement. Rien ne remplace le contact physique, même de longs dialogues au clavier n'ont rien à voir avec une voix qui envoute ou pas dès le premier mot.
J'ai décidé de revêtir une jupe en vinyle plissée, un corset de la même matière, des bas ambrés avec un porte jarretelles en vinyle et un soutien gorge et slip noir. Pour l'occasion j'ai sorti une perruque brune afin de donner à mes yeux plus de luminosité. Le bleu le brun, beau mariage.

Je vois que je ne laisse pas insensible du regard mon chevalier d'un soir. Il s'attache à une visite discrète mais perceptible. Je fais semblant de partir pour lui montrer de dos ce que ça donne et après quelques pas un demi tour pour venir lui plaquer une bise sur la joue, le remercier d'avoir respecté le rdv et l'inviter à me nourrir comme promis.
Il me prend la main et m'invite à le suivre. Elles sont chaudes et enveloppantes et ça me plaît de déambuler dans la rue à son bras. On parle de tout et de rien tandis que des regards nous croisent et nous sourient ou s'interrogent sur notre statut. Je jette quelques yeux curieux derrière moi furtivement et je constate que certains hommes manquent parfois de trébucher en matant mes longues jambes gainées de bas et de hauts escarpins dont les talons claquent sur le macadam. Je sourie à mon tour de tant de succès. Je ne voudrais pas non plus être la cause d'accidents intempestifs.
Nous arrivons au restaurant ou mon prince à réservé une table que le serveur nous attribue. Un apéro en guise de hors d oeuvre avec quelques cacahuètes pour détendre l 'atmosphère. Je suis en face de lui et nos yeux se croisent souvent tandis que par malice je frotte mon pied déchaussés le long de son mollet. Je vois qu'il hésite, craignant une fausse coïncidence. J'allonge ma main sur la table et viens caresser la sienne posée à plat devant lui tout en recommençant la scène du pied mais en remontant légèrement plus en haut.
Personne ou presque dans le restaurant et la table qui nous a été attribuée est dans un recoin à l abri des regards indiscrets. Le serveur devait se douter de la louve qui couvait en moi
Je remonte un peu plus mon pied nylonné jusqu'entre ses cuisses et caresse le tissu qui semble se détendre et se tendre. Mon chevalier qui ne s'attendait pas à autant d'audace si rapidement s'étrangle presque en buvant son apéritif et j'interromps mon inquisition tout en souriant d'un air malicieux. Mon approche à décoincé le sujet principal. Mon hôte n'a plus de doute sur mes intentions.
Nous échangeons beaucoup au cours du repas qui n'est fait que d allusions, de récits mutuels plus ou moins érotiques qui font monter en nous des chaleurs bien utiles en période hivernale. La température est à son comble au dessert lorsque mes lèvres gardent un soupçon de chantilly sur leurs bords avant que ma langue humide ne viennent ramasser le tout langoureusement en fixant Marc droit dans les yeux. Le message est sans équivoque et mon pied qui a retrouvé la place qu'il n'aurait pas du quitter sent parfaitement que le jeu est engagé. Une raideur se blotti sur sa plante et impulse une cardiologie d'un athlète dans la réserve.J'insiste un peu plus pour faire monter le poul. Le café, mon pied ou l'addition font s'étrangler mon prince charmant.
Nous décidons de regagner une chambre que Marc a également réservé et nous sortons rue piétonne pour rejoindre l'auto garée un peu plus loin.
Nous serrons nos mains chaudes un peu plus fort et le charme a opéré. Nous sommes tous les deux mures pour donner le meilleur de nous même.
En chemin, quasiment plus un seul quidam dans la rue hormis quelques clochards qui s apprêtent à passer la nuit sur un carton et qui divaguent dans leurs têtes avant de sombrer dans les bras de morphée.
Quelques vitrines léchées dont une pleine de dessous affriolants d'un magasin dédié aux vêtements féminin lorsque soudain j'aperçois un porche abandonné de tout squatter, propre , dans une semi pénombre vers lequel j'entraine mon amant de ce soir.
Je colle Marc contre le mur et mes mains enlacent son cou avant d aller lui voler un baiser langoureux. Mes doigts vernis grattent sa nuque nonchalamment pendant que nos langues s’entremêlent longuement accompagnées de gestes caressants de part et d autre. Je sens deux mains se plaquer sur mes fesses tandis que les miennes s'insèrent délicatement entre la ceinture et l'abdomen repus de mon partenaire.
La ceinture ne résiste pas longtemps à mes doigts de cambrioleuse. Les boutons sautent l'un après l'autre comme un mariage célébré au champagne. Je plonge le bras pour atteindre l'engin convoité et je sens que je ne l'ai pas laissé insensible. Une arme de belle facture cachée à un endroit dont on ne se douterait pas qu'il y ait tant de place pour un si beau engin.. Je sens un sexe chaud et palpitant se défendre sans recul marqué, des cris étouffés sortir de la bouche de Marc lorsque je croque son oreille en même temps. Mon souffle excité lui indique la suite sans ambiguité.
Alors que ma main frotte en descendant calmement, en palpant le membre, en soupesant les bourses qui découvre un paysage vierge de toute pilosité je suis prise d' une faiblesse passagère, mes jambes m'abandonnent et me mettent à genoux devant un sexe libre qui me regarde avec amour.
J'avale la totalité de son membre de façon à couper le chaud froid de la température extérieure.
J'ai la bouche pleine qui malgré le copieux repas apprécie plus encore ce dessert. Ma langue lèche les couilles longuement et ma bouche remonte lentement sur la totalité du sexe pour regagner le gland cramoisi qui se demande ce qui lui arrive. Je fixe Marc comme pour lui demander s'il veut que je continue. Il plisse les paupières sans savoir sur quelle planète il opère. Mes lèvres suçotent délicatement de façon à jouer avec, ma langue s insinue partout dans les replis de son sexe décalotté.
Je repars à l assaut de sa hampe, tout doucement comme un miel qui s'étale et je sens ma glotte percutée par son gland. Je remonte, je redescend....puis je remonte. J'ai les larmes aux yeux mais son gland m affole. J'ai besoin de l'aspirer longuement pour en tirer sa quintessence.
Marc au bord du gouffre qui l'emporterait dans une jouissance prématurée se ressaisi et m'entraine fermement devant la vitrine du magasin de dessous que nous venions de quitter. Imt me plaque contre la vitre. Il soulève ma jupe plissée vinyle, écarte un peu mon string et frotte son gland sur le bord de mon anus qui s'ouvre comme une fleur qui ne demande qu'à éclore. Dans mon dos il profère quelques obscénités qui décuplent mon envie de lui; "Petite salope tu m'as mis le feu au caleçon" "tu es une vraie garce !!
Ma rosette s'est épanouie et son membre glisse dedans comme une soupape dans son moteur lubrifié. Son sexe est dur et chaud, je sens l'onde de choc remonter dans mon corps comme une lave d'un volcan ascensionnel. Mes fesses se regardent en chien de fayence, chacune espérant plus que l'autre.
Il saisit mes reins fermement pour venir secouer son bassin dans le mien, mon visage plaqué sur la vitre fait face à une magnifique guêpière noire sur un mannequin blanc n'a pas le temps d'admirer plus dans les détails l'ensemble.... A l'affut des bruits ambiants.je perçois le souffle de Marc murmurant son plaisir dans mon oreille.
Mon cul est comblé alors que ton marteau piqueur laboure mon être sans frémir. Soudain un ralentissement, comme un train qui entre en gare, Marc entreprends un mouvement au ralenti, les bielles sont en suspension je sens agréablement son sexe occuper mon cul. Je cambre plus encore pour l'absorber. Comme s'il me sodomisait avec une batte de baseball enfoncée dans les reins il rugit soudain de plaisir, plaque une main sur ma croupe, appui encore et encore tout en scandant des mots interdits, des insultes softs qui me murmurent à l oreille comme une cascade nichée dans une vallée arborée. J'entends les paroles comme une séance de sophrologie, une musique d'ambiance.
J'ai la chatte en feu et j en redemande en l incitant à me baiser comme la petite salope qu'il attendait que je sois. Il ne s en prive pas, ses mains fermes serrent encore et toujours mon bassin emprisonné qui n'a pas d autre échappatoire que de le faire jouir maintenant. Dans un dernier effort je cambre et je sens un râle venir de nulle part envahir la gorge de Marc et l'entendre crier sa souffrance. Terrassé, il écrase son corps dans mon cul comme comme s'il cherchait à s'y abriter définitivement. Il est là, en transe, gémissant son plaisir quasiment inhumain entrain de m'inonder les reins de sa liqueur chaude et onctueuse qui dégouline le long de mes cuisses lorsqu'il se retire avec la ferme intention d'y revenir.
Malheureusement, un bruit suspect nous interrompt et d'un doigt agile je vais récupérer la semence qui s'enfuit et qui risque d'inonder mon string pour aller la lécher avec gourmandise. Je regarde Marc du coin de l'oeil et je remets ma jupe en place tandis qu'il se rhabille rapidement. A peine avons nous caché les restes de notre repas impromptu que nous croisons deux flics en patrouille. Ces derniers nous jettent un regard soupçonneux chargé de jalousies et d'envies. J'en connais qui aimeraient remplacer mon partenaire.Pourquoi pas les inviter la prochaine fois en provocant une infraction.
La distance, la pandémie avait mis à mal une éventuelle rencontre que je ne déclinais pas mais que j'envisageais plutôt en club pour faciliter un rapprochement mutuel.
Un soir, alors que mon épouse est en vacances loin du domicile, ce dernier m'invite à une sortie restaurant pour bien marquer sa volonté de me séduire et prouver que ses propos n'étaient pas que du vent.
Après réflexion, pesant le pour et le contre, j'accepte le rendez-vous.
Nous devons nous retrouver sur la place du capitol à Toulouse et de là, gagner un restaurant qu'il connait pour y passer une soirée romantique et assumée.
Je suis en avance au rdv par principe, détestant devoir patienter.
Marc me rejoint rapidement et nous faisons enfin connaissance réellement. Rien ne remplace le contact physique, même de longs dialogues au clavier n'ont rien à voir avec une voix qui envoute ou pas dès le premier mot.
J'ai décidé de revêtir une jupe en vinyle plissée, un corset de la même matière, des bas ambrés avec un porte jarretelles en vinyle et un soutien gorge et slip noir. Pour l'occasion j'ai sorti une perruque brune afin de donner à mes yeux plus de luminosité. Le bleu le brun, beau mariage.

Je vois que je ne laisse pas insensible du regard mon chevalier d'un soir. Il s'attache à une visite discrète mais perceptible. Je fais semblant de partir pour lui montrer de dos ce que ça donne et après quelques pas un demi tour pour venir lui plaquer une bise sur la joue, le remercier d'avoir respecté le rdv et l'inviter à me nourrir comme promis.
Il me prend la main et m'invite à le suivre. Elles sont chaudes et enveloppantes et ça me plaît de déambuler dans la rue à son bras. On parle de tout et de rien tandis que des regards nous croisent et nous sourient ou s'interrogent sur notre statut. Je jette quelques yeux curieux derrière moi furtivement et je constate que certains hommes manquent parfois de trébucher en matant mes longues jambes gainées de bas et de hauts escarpins dont les talons claquent sur le macadam. Je sourie à mon tour de tant de succès. Je ne voudrais pas non plus être la cause d'accidents intempestifs.
Nous arrivons au restaurant ou mon prince à réservé une table que le serveur nous attribue. Un apéro en guise de hors d oeuvre avec quelques cacahuètes pour détendre l 'atmosphère. Je suis en face de lui et nos yeux se croisent souvent tandis que par malice je frotte mon pied déchaussés le long de son mollet. Je vois qu'il hésite, craignant une fausse coïncidence. J'allonge ma main sur la table et viens caresser la sienne posée à plat devant lui tout en recommençant la scène du pied mais en remontant légèrement plus en haut.
Personne ou presque dans le restaurant et la table qui nous a été attribuée est dans un recoin à l abri des regards indiscrets. Le serveur devait se douter de la louve qui couvait en moi
Je remonte un peu plus mon pied nylonné jusqu'entre ses cuisses et caresse le tissu qui semble se détendre et se tendre. Mon chevalier qui ne s'attendait pas à autant d'audace si rapidement s'étrangle presque en buvant son apéritif et j'interromps mon inquisition tout en souriant d'un air malicieux. Mon approche à décoincé le sujet principal. Mon hôte n'a plus de doute sur mes intentions.
Nous échangeons beaucoup au cours du repas qui n'est fait que d allusions, de récits mutuels plus ou moins érotiques qui font monter en nous des chaleurs bien utiles en période hivernale. La température est à son comble au dessert lorsque mes lèvres gardent un soupçon de chantilly sur leurs bords avant que ma langue humide ne viennent ramasser le tout langoureusement en fixant Marc droit dans les yeux. Le message est sans équivoque et mon pied qui a retrouvé la place qu'il n'aurait pas du quitter sent parfaitement que le jeu est engagé. Une raideur se blotti sur sa plante et impulse une cardiologie d'un athlète dans la réserve.J'insiste un peu plus pour faire monter le poul. Le café, mon pied ou l'addition font s'étrangler mon prince charmant.
Nous décidons de regagner une chambre que Marc a également réservé et nous sortons rue piétonne pour rejoindre l'auto garée un peu plus loin.
Nous serrons nos mains chaudes un peu plus fort et le charme a opéré. Nous sommes tous les deux mures pour donner le meilleur de nous même.
En chemin, quasiment plus un seul quidam dans la rue hormis quelques clochards qui s apprêtent à passer la nuit sur un carton et qui divaguent dans leurs têtes avant de sombrer dans les bras de morphée.
Quelques vitrines léchées dont une pleine de dessous affriolants d'un magasin dédié aux vêtements féminin lorsque soudain j'aperçois un porche abandonné de tout squatter, propre , dans une semi pénombre vers lequel j'entraine mon amant de ce soir.
Je colle Marc contre le mur et mes mains enlacent son cou avant d aller lui voler un baiser langoureux. Mes doigts vernis grattent sa nuque nonchalamment pendant que nos langues s’entremêlent longuement accompagnées de gestes caressants de part et d autre. Je sens deux mains se plaquer sur mes fesses tandis que les miennes s'insèrent délicatement entre la ceinture et l'abdomen repus de mon partenaire.
La ceinture ne résiste pas longtemps à mes doigts de cambrioleuse. Les boutons sautent l'un après l'autre comme un mariage célébré au champagne. Je plonge le bras pour atteindre l'engin convoité et je sens que je ne l'ai pas laissé insensible. Une arme de belle facture cachée à un endroit dont on ne se douterait pas qu'il y ait tant de place pour un si beau engin.. Je sens un sexe chaud et palpitant se défendre sans recul marqué, des cris étouffés sortir de la bouche de Marc lorsque je croque son oreille en même temps. Mon souffle excité lui indique la suite sans ambiguité.
Alors que ma main frotte en descendant calmement, en palpant le membre, en soupesant les bourses qui découvre un paysage vierge de toute pilosité je suis prise d' une faiblesse passagère, mes jambes m'abandonnent et me mettent à genoux devant un sexe libre qui me regarde avec amour.
J'avale la totalité de son membre de façon à couper le chaud froid de la température extérieure.
J'ai la bouche pleine qui malgré le copieux repas apprécie plus encore ce dessert. Ma langue lèche les couilles longuement et ma bouche remonte lentement sur la totalité du sexe pour regagner le gland cramoisi qui se demande ce qui lui arrive. Je fixe Marc comme pour lui demander s'il veut que je continue. Il plisse les paupières sans savoir sur quelle planète il opère. Mes lèvres suçotent délicatement de façon à jouer avec, ma langue s insinue partout dans les replis de son sexe décalotté.
Je repars à l assaut de sa hampe, tout doucement comme un miel qui s'étale et je sens ma glotte percutée par son gland. Je remonte, je redescend....puis je remonte. J'ai les larmes aux yeux mais son gland m affole. J'ai besoin de l'aspirer longuement pour en tirer sa quintessence.
Marc au bord du gouffre qui l'emporterait dans une jouissance prématurée se ressaisi et m'entraine fermement devant la vitrine du magasin de dessous que nous venions de quitter. Imt me plaque contre la vitre. Il soulève ma jupe plissée vinyle, écarte un peu mon string et frotte son gland sur le bord de mon anus qui s'ouvre comme une fleur qui ne demande qu'à éclore. Dans mon dos il profère quelques obscénités qui décuplent mon envie de lui; "Petite salope tu m'as mis le feu au caleçon" "tu es une vraie garce !!
Ma rosette s'est épanouie et son membre glisse dedans comme une soupape dans son moteur lubrifié. Son sexe est dur et chaud, je sens l'onde de choc remonter dans mon corps comme une lave d'un volcan ascensionnel. Mes fesses se regardent en chien de fayence, chacune espérant plus que l'autre.
Il saisit mes reins fermement pour venir secouer son bassin dans le mien, mon visage plaqué sur la vitre fait face à une magnifique guêpière noire sur un mannequin blanc n'a pas le temps d'admirer plus dans les détails l'ensemble.... A l'affut des bruits ambiants.je perçois le souffle de Marc murmurant son plaisir dans mon oreille.
Mon cul est comblé alors que ton marteau piqueur laboure mon être sans frémir. Soudain un ralentissement, comme un train qui entre en gare, Marc entreprends un mouvement au ralenti, les bielles sont en suspension je sens agréablement son sexe occuper mon cul. Je cambre plus encore pour l'absorber. Comme s'il me sodomisait avec une batte de baseball enfoncée dans les reins il rugit soudain de plaisir, plaque une main sur ma croupe, appui encore et encore tout en scandant des mots interdits, des insultes softs qui me murmurent à l oreille comme une cascade nichée dans une vallée arborée. J'entends les paroles comme une séance de sophrologie, une musique d'ambiance.
J'ai la chatte en feu et j en redemande en l incitant à me baiser comme la petite salope qu'il attendait que je sois. Il ne s en prive pas, ses mains fermes serrent encore et toujours mon bassin emprisonné qui n'a pas d autre échappatoire que de le faire jouir maintenant. Dans un dernier effort je cambre et je sens un râle venir de nulle part envahir la gorge de Marc et l'entendre crier sa souffrance. Terrassé, il écrase son corps dans mon cul comme comme s'il cherchait à s'y abriter définitivement. Il est là, en transe, gémissant son plaisir quasiment inhumain entrain de m'inonder les reins de sa liqueur chaude et onctueuse qui dégouline le long de mes cuisses lorsqu'il se retire avec la ferme intention d'y revenir.
Malheureusement, un bruit suspect nous interrompt et d'un doigt agile je vais récupérer la semence qui s'enfuit et qui risque d'inonder mon string pour aller la lécher avec gourmandise. Je regarde Marc du coin de l'oeil et je remets ma jupe en place tandis qu'il se rhabille rapidement. A peine avons nous caché les restes de notre repas impromptu que nous croisons deux flics en patrouille. Ces derniers nous jettent un regard soupçonneux chargé de jalousies et d'envies. J'en connais qui aimeraient remplacer mon partenaire.Pourquoi pas les inviter la prochaine fois en provocant une infraction.
4 years ago