Mon voisin Nicolas
Cela faisait quelques mois que je me travestissais lorsque par un "mâle heureux" concours de circonstances je fus exposée au regard de mon voisin de palier.
En effet ce jour là, seule à la maison, j'avais opté pour une guêpière et des bas noirs ainsi qu'une jupe courte grise et noire et un haut blanc. Je marchais sur des talons blancs de 12 cms de hauts à travers les pièces de mon appartement du 1er étage.
Après plus d'une heure de plaisir la sonnerie de la porte d'entrée retenti. Je me figeais sur place un long moment, ne faisant aucun bruit pour ne pas signaler ma présence.
Après quelques minutes silencieuses je décidais d'avancer jusqu'à la porte d'entrée pour jeter un œil par le mouchard. Je ne constatais aucune présence dans le hall et j'entrebâillais doucement la porte d'entrée pour tomber nez à nez avec mon voisin du dessous qui renouait ses lacets.
La surprise fut grande pour lui comme pour moi. Je savais que ça risquait d'arriver un jour mais je ne m'attendais pas à être découverte en mode "fille" ce jour là. Tout aussi surpris que moi, profitant de ma faiblesse passagère, il s'introduisit chez moi et referma la porte aussitôt derrière lui.
Planté devant moi il me détailla de la tête aux pieds avant d'att****r ma tête et me forcer à m'agenouiller.
"Petite Salope, ça fait trois plombe que tu m'emmerdes avec tes talons qui claquent au dessus de ma tête, va falloir compenser la gêne occasionnée"
Pardon ! tentais-je de dire lorsque d'une main habile il défit sa braguette et sorti un engin déjà bien volumineux.
Je me doutais qu'il avait un clairon de cérémonie car j'entendais souvent sa femme gémir lorsqu'ils faisaient l'amour mais je n'imaginais pas qu'il était chef de la fanfare. Sa bite demie molle faisait déjà 10 bons centimètres sur 4 lorsqu'il me la fourra en bouche sans que je ne puisse refuser.
A genoux devant lui, mon clito éveillé pendait entre mes jambes pendant que je suçais cette queue moelleuse et chaude. Elle avait l'onctuosité d'un chamallow de mon enfance. Celui-ci, au lieu de fondre, durcissait à vue d'œil, gonflait généreusement , se rigidifiait au contact de mes lèvres tandis que le gland reluisait de mon abondante salive.
Je relevais la tête en cherchant du regard mon invité qui semblait prendre du plaisir à se faire sucer. Ses yeux voilés clignaient au rythme de mes vas et vient alors que ses plaintes ressemblaient à celles maintes fois entendues lorsqu'il honorait son épouse. Étais je à la hauteur ?
Ma bouche chaude comme du verre en fusion irradiait ses nerfs sexuels et dans la glace de l'entrée je voyais ses fesses se contracter à chaque remontée. La gorge profonde que je venais de lui administrer pendant 10 bonnes secondes lui avait tiré des râles jusqu'à ce jour jamais entendus. Je croquais délicatement dans son sexe et le fixait du regard pour qu'il sente bien qui menait le bal.
Je lâchais prise, me relevait, me plaquait contre lui comme une chatte en chaleur et cherchait ses lèvres ourlées pour l'embrasser langoureusement comme deux amants qui se retrouvent dans un hall d'immeuble.
J'attrapais sa main et l'emmenais dans ma chambre à coucher, tapotais 2 fois sur le bord du lit pour l'inviter à s'asseoir. Je m'agenouillais à nouveau devant lui. Je retirais son jeans qui l'empêchait d'écarter bien les jambes, ses chaussettes pour plus d'intimité et poussais son buste en arrière . J'approchais mon visage de ses couilles ainsi exposées et léchais ces dernières avec énormément d'application. Ma langue lapait comme un essui tout dans les mains d'une fée du logisses boules lisses . Je n'oubliais aucun centimètre, aspirant l'une pour la faire rouler dans ma bouche, aspirant l'autre pour freiner toute jalousie. Je prenais un plaisir sincère à les cajoler, mon clitoris qui gonflait en était la preuve vivante.
Tout en les gobant délicatement avec ma langue, je sentais des vibrations de sa lave en fusion, l'usine à sperme était en pleine activité. L'intérieur grondait comme du magma en mouvement et la chaleur qui inondait mes papilles atteignait des degrés inédits. Je poursuivais les caresses doucement tout en massant son pubis d'une main et son anus de l'autre. Je lâchais les boules quelques instant afin d'humecter mes deux doigts chargés de l'inquisition.
Frôlant l'anus du bout des ongles vernis je sentais ce dernier se contracter comme le diaphragme d'un appareil photo au moment de la prise de vue. Comme s'il attendait une fouille en règle qui ne venait pas il poussa un peu son bassin en arrière et vint s'empaler doucement sur mes premières phalanges. Je naviguais à vue dans une abysse inconnue. Les parois internes réagissaient à mon exploration en forçant l'anus à se contacter sur mes doigts curieux.
Quelques va et vient lents détendirent le propriétaire des lieux qui n'hésitait plus à larmoyer de plaisir. Il était désormais totalement détendu et quelques doigts supplémentaires n'auraient croisé aucune résistance. les yeux voilés de désir il me supplia de le prendre. Plutôt passive je lui proposais néanmoins de s'asseoir sur ma queue qui avait développé un argument imparable.
Il capuchonna mon clitoris d'un préservatif bien lubrifié avant de présenter sa croupe sur le siège accueillant. Assise dans son dos il s'empala lentement sur mon sexe tandis que son corps se lovait entre mes bras, son cou cherchait les caresses buccales, ses mains relevèrent les miennes pour venir les poser sur ses tétons qu'il voulait se faire travailler.
Mes mains douces parcouraient son corps, s'arrêtaient sur ses tétons sensibles et repartaient vers le pubis et sa queue en érection totale. Il prenait manifestement un plaisir intense à se faire sodomiser. Mes doigts furtifs glissaient sur sa hampe qui réagissait illico et, contractant son bassin sous la caresse manuelle, son cul s enfonçait un peu plus encore sur mon sexe en visite de courtoisie. J'en profitais pour l'électriser différemment en survolant de mes lèvres son cou offert. Le frôlement sur sa peau l’arc-boutait en arrière décuplant sa sodomie. Il haletait comme un sportif qui se donne à l effort et j'en profitais pour le branler sagement mais fermement.
En état de transe il décollait littéralement quand un jet puissant déchargea toute l'énergie liquide qu'il avait accumulé durant notre étreinte. Plusieurs salves d'un mètre au moins s'écrasèrent sur le sol et éclaboussèrent les alentours tandis qu'un cri de délivrance accompagnait le feu d'artifice. Il resta en suspend quelques secondes avant de s'affaisser sur moi qui n'en pouvait plus de le retenir.
Un long silence s'installa, les battements de nos coeurs entamaient de concert une récupération bienvenue. Quand les esprits reprirent corps et têtes il se retira de mon siège accueillant et jeta le condom inutile avec tous les petits enfants qui ne naitraient pas.
En effet ce jour là, seule à la maison, j'avais opté pour une guêpière et des bas noirs ainsi qu'une jupe courte grise et noire et un haut blanc. Je marchais sur des talons blancs de 12 cms de hauts à travers les pièces de mon appartement du 1er étage.
Après plus d'une heure de plaisir la sonnerie de la porte d'entrée retenti. Je me figeais sur place un long moment, ne faisant aucun bruit pour ne pas signaler ma présence.
Après quelques minutes silencieuses je décidais d'avancer jusqu'à la porte d'entrée pour jeter un œil par le mouchard. Je ne constatais aucune présence dans le hall et j'entrebâillais doucement la porte d'entrée pour tomber nez à nez avec mon voisin du dessous qui renouait ses lacets.
La surprise fut grande pour lui comme pour moi. Je savais que ça risquait d'arriver un jour mais je ne m'attendais pas à être découverte en mode "fille" ce jour là. Tout aussi surpris que moi, profitant de ma faiblesse passagère, il s'introduisit chez moi et referma la porte aussitôt derrière lui.
Planté devant moi il me détailla de la tête aux pieds avant d'att****r ma tête et me forcer à m'agenouiller.
"Petite Salope, ça fait trois plombe que tu m'emmerdes avec tes talons qui claquent au dessus de ma tête, va falloir compenser la gêne occasionnée"
Pardon ! tentais-je de dire lorsque d'une main habile il défit sa braguette et sorti un engin déjà bien volumineux.
Je me doutais qu'il avait un clairon de cérémonie car j'entendais souvent sa femme gémir lorsqu'ils faisaient l'amour mais je n'imaginais pas qu'il était chef de la fanfare. Sa bite demie molle faisait déjà 10 bons centimètres sur 4 lorsqu'il me la fourra en bouche sans que je ne puisse refuser.
A genoux devant lui, mon clito éveillé pendait entre mes jambes pendant que je suçais cette queue moelleuse et chaude. Elle avait l'onctuosité d'un chamallow de mon enfance. Celui-ci, au lieu de fondre, durcissait à vue d'œil, gonflait généreusement , se rigidifiait au contact de mes lèvres tandis que le gland reluisait de mon abondante salive.
Je relevais la tête en cherchant du regard mon invité qui semblait prendre du plaisir à se faire sucer. Ses yeux voilés clignaient au rythme de mes vas et vient alors que ses plaintes ressemblaient à celles maintes fois entendues lorsqu'il honorait son épouse. Étais je à la hauteur ?
Ma bouche chaude comme du verre en fusion irradiait ses nerfs sexuels et dans la glace de l'entrée je voyais ses fesses se contracter à chaque remontée. La gorge profonde que je venais de lui administrer pendant 10 bonnes secondes lui avait tiré des râles jusqu'à ce jour jamais entendus. Je croquais délicatement dans son sexe et le fixait du regard pour qu'il sente bien qui menait le bal.
Je lâchais prise, me relevait, me plaquait contre lui comme une chatte en chaleur et cherchait ses lèvres ourlées pour l'embrasser langoureusement comme deux amants qui se retrouvent dans un hall d'immeuble.
J'attrapais sa main et l'emmenais dans ma chambre à coucher, tapotais 2 fois sur le bord du lit pour l'inviter à s'asseoir. Je m'agenouillais à nouveau devant lui. Je retirais son jeans qui l'empêchait d'écarter bien les jambes, ses chaussettes pour plus d'intimité et poussais son buste en arrière . J'approchais mon visage de ses couilles ainsi exposées et léchais ces dernières avec énormément d'application. Ma langue lapait comme un essui tout dans les mains d'une fée du logisses boules lisses . Je n'oubliais aucun centimètre, aspirant l'une pour la faire rouler dans ma bouche, aspirant l'autre pour freiner toute jalousie. Je prenais un plaisir sincère à les cajoler, mon clitoris qui gonflait en était la preuve vivante.
Tout en les gobant délicatement avec ma langue, je sentais des vibrations de sa lave en fusion, l'usine à sperme était en pleine activité. L'intérieur grondait comme du magma en mouvement et la chaleur qui inondait mes papilles atteignait des degrés inédits. Je poursuivais les caresses doucement tout en massant son pubis d'une main et son anus de l'autre. Je lâchais les boules quelques instant afin d'humecter mes deux doigts chargés de l'inquisition.
Frôlant l'anus du bout des ongles vernis je sentais ce dernier se contracter comme le diaphragme d'un appareil photo au moment de la prise de vue. Comme s'il attendait une fouille en règle qui ne venait pas il poussa un peu son bassin en arrière et vint s'empaler doucement sur mes premières phalanges. Je naviguais à vue dans une abysse inconnue. Les parois internes réagissaient à mon exploration en forçant l'anus à se contacter sur mes doigts curieux.
Quelques va et vient lents détendirent le propriétaire des lieux qui n'hésitait plus à larmoyer de plaisir. Il était désormais totalement détendu et quelques doigts supplémentaires n'auraient croisé aucune résistance. les yeux voilés de désir il me supplia de le prendre. Plutôt passive je lui proposais néanmoins de s'asseoir sur ma queue qui avait développé un argument imparable.
Il capuchonna mon clitoris d'un préservatif bien lubrifié avant de présenter sa croupe sur le siège accueillant. Assise dans son dos il s'empala lentement sur mon sexe tandis que son corps se lovait entre mes bras, son cou cherchait les caresses buccales, ses mains relevèrent les miennes pour venir les poser sur ses tétons qu'il voulait se faire travailler.
Mes mains douces parcouraient son corps, s'arrêtaient sur ses tétons sensibles et repartaient vers le pubis et sa queue en érection totale. Il prenait manifestement un plaisir intense à se faire sodomiser. Mes doigts furtifs glissaient sur sa hampe qui réagissait illico et, contractant son bassin sous la caresse manuelle, son cul s enfonçait un peu plus encore sur mon sexe en visite de courtoisie. J'en profitais pour l'électriser différemment en survolant de mes lèvres son cou offert. Le frôlement sur sa peau l’arc-boutait en arrière décuplant sa sodomie. Il haletait comme un sportif qui se donne à l effort et j'en profitais pour le branler sagement mais fermement.
En état de transe il décollait littéralement quand un jet puissant déchargea toute l'énergie liquide qu'il avait accumulé durant notre étreinte. Plusieurs salves d'un mètre au moins s'écrasèrent sur le sol et éclaboussèrent les alentours tandis qu'un cri de délivrance accompagnait le feu d'artifice. Il resta en suspend quelques secondes avant de s'affaisser sur moi qui n'en pouvait plus de le retenir.
Un long silence s'installa, les battements de nos coeurs entamaient de concert une récupération bienvenue. Quand les esprits reprirent corps et têtes il se retira de mon siège accueillant et jeta le condom inutile avec tous les petits enfants qui ne naitraient pas.
4 years ago