Travail à domicile (Fin)
Pour cet ultime journée : deux rendez-vous de prévus. Je ne vais pas trop m’attarder sur celui de la matinée parce que, justement, mon client lui-même n’avait pas jugé nécessaire de « perdre son temps ». L’homme a fait l’économie d’une revue détaillée de ma tenue. Pourtant , je la trouvai plutôt sexy. Qu’est-ce que vous en pensez ? Les présentations d’usage à peine achevées, il se dirigea vers la chambre d’un pas décidé. Quand j’entrai à mon tour dans la pièce, il avait déjà ôté son pantalon et agitai devant lui deux billets de 5o euros ! Je ne suis pas habitué à rencontrer ce genre de mufle, vous le savez, mais, il fallait bien que je reste dans le rôle que je m’étais moi-même octroyé. J’avais voulu jouer les prostituées , et bien, impossible maintenant de faire volte-face. Je me dirigeai lentement vers lui et commençai à caresser son sexe par-dessus le caleçon en le fixant droit dans les yeux. Il répondit à la provocation en me fixant à son tour. Ses yeux aux pupilles légèrement dilatées en disaient long sur son désir. Il épousait parfaitement le rythme de ma caresse appuyée. Bien entendu, son sexe finit par jaillir de la fente du caleçon . Je m’agenouillai et le gobai dans ma bouche. Il posa ses mains sur ma tête et enfonça encore un peu plus sa bite dans ma bouche. Grâce à des mouvements plus ou moins réguliers d’avant en arrière, il voulut me faire déguster la belle dans sa totalité. J’avoue que j’avais un peu de mal à supporter ce régime et espérai secrètement que son excitation s’épuise assez vite. Bref, j’étais absorbé par mon travail. Je crois que j’ai ressenti à ce moment-là une petite idée de ce que doivent éprouver les vraies professionnelles. Je vous le raconte aujourd’hui avec le recul nécessaire en tentant de comprendre ses motivations mais , sur le moment, il n’était pas question de réflexion, mais de sexe. De sexe un peu brutal et forcé sans la moindre émotion. Il se mit à grogner comme un a****l en rut aussi fort que je me demandai si les voisins n’allaient pas venir frapper à la porte pour demander la raison de ce remue-ménage. Quand il se soulagea enfin dans ma gorge en tirant fortement mes cheveux, je sentis une brûlure au plus profond de ma gorge. Puis, tout en continuant de grogner il m’aspergea sans ménagement de foutre tout aussi brûlant. Toujours dans mon rôle de putain respectueuse je restai la bouche grande ouverte, soumise, me délectant de l’offrande de mon maître. Je l’avais à peine refermé qu’il était déjà dans la salle de bains.
La cérémonie du départ ne fut pas beaucoup plus longue que celle de l’arrivée. Il esquissa tout de même un léger sourire avant de me fourrer une petite carte dans la main.
La porte refermée, je découvrais son numéro de téléphone inscrit sur la carte de visite. Je la déchirai en plusieurs petits morceaux.
Magie de ce « métier » fascinant , l’après-midi fut tout à fait différent. Un vieux monsieur fort élégant se présenta à la porte et son sourire enjôleur me rassura tout de suite. J’adore les vieux messieurs. Celui-ci me raconta une grande partie de son passé, me narrant en détails les épisodes marquants d’une vie qu’il qualifiait lui-même de dissolue. Il débutait et achevait invariablement toutes ses phrases par un « chère madame » très obséquieux. Puis, enfin, tout en posant sur la table basse sa tasse de café, il me fixa en fronçant légèrement les sourcils. Je compris tout de suite que nous allions passer maintenant aux choses sérieuses.
-Pouvez-vous faire quelque chose pour moi, chère madame ?demanda-t-il d’une voix devenue caressante.
-Si je peux, j’en serai ravie, répondis-je.
Ses petits yeux se rétrécirent encore.
-Savez-vous, chère madame, ce qu’on appelait un effeuillage, il y a fort longtemps ?
-Oui, bien sûr. Mais, je ne suis pas une professionnelle de la chose.
-Justement, répondit-il , les professionnelles m’ennuient. Je suis sûr que vous vous en tirerez fort bien.
Je me levai.
-Bon, essayons alors.
-Et surtout, prenez bien votre temps, ma belle, me conseilla t-il en se calant confortablement dans son fauteuil.
Et la représentation privée commença. Je débutai le spectacle en faisant quelques pas dans la pièce, allant jusqu’à la grande fenêtre. Nimbée de la lumière déclinante de l’après-midi, je posai mes mains sur mes hanches et prenait quelques poses exagérément provocantes. Puis, je passai aux poses plus suggestives en prenant soin de lever légèrement ma jupe pour que mon unique spectateur puisse entrevoir le haut de mes bas. Je sus de suite que j’avais visé juste en le voyant ouvrir grand la bouche. Ses yeux ronds ne perdaient pas une miette du spectacle. Spectacle qui se poursuivit avec l’ouverture de ma veste de tailleur et, au moment de l’ouvrir complètement, je me retournai en une fraction de seconde. Je la laissai glisser lentement de mes épaules et de ma taille. lorsqu’elle tomba sur le parquet, il se mit à applaudir ma performance. La dentelle de mon haut l’excita tant qu’il lança un « bravo ». Après une autre volte-face, je fis quelques mouvement langoureux et me retournai de nouveau pour m’occuper de la fermeture de ma jupe. Elle glissa à son tour révélant ma culotte et mon porte-jarretelle. Plus de bravo mais, depuis ma scène improvisée j’entendis très nettement soupirer. Alors, Je décidais de me trémousser en espérant jouer la parfaite effeuilleuse. Lorsque je me retournai enfin, je me demandai s’il voyait nettement la petite bosse qui s’était formée sous ma culotte de dentelle. Pour m’en assurer, je m’approchai lentement, très lentement, de lui. Il se tenait assis sur le devant du fauteuil, les mains sur ses genoux. Les yeux fixés sur moi, la bouche toujours grande ouverte. Je n’étais plus qu’à deux pas tout au plus de mon admirateur. Je m’approchai encore et vint lui coller la petite bosse sous le nez. L’effet fut immédiat, comme s’il venait de prendre une claque, il se redressa subitement. J’en profitai pour plaquer la fameuse petite bosse (elle avait maintenant bien grossi) sur sa bouche. Je sentis son souffle brûlant me submerger. Sans lui laisser le temps de bien réfléchir, j’imprimai un mouvement de bas en haut. J’étais en train de me frotter contre sa bouche comme une chatte en chaleur. Il ne me manquait plus que le miaulement ! Le matou devint rouge pivoine. Il me donnait des petits coups de langue qui m’affolaient encore plus. Puis, la chatte se mit à quatre pattes devant lui, lui fit un clin d’oeil et s’occupa de la fermeture de son pantalon. Entre ses pattes expertes, elle finit par découvrir un petit sexe tout rabougri, mais, ne sembla pas s’en offusquer. Au contraire, elle tenta de le réveiller , mais, sans résultat probant. Alors, sa bouche prit le relais en avalant presque totalement le petit être endormi. Qu’il était chaud et doux, ce petit sexe d’homme ! Sa langue expérimentée lécha et lécha encore pour voir tout d’un coup sortir de sa cachette un joli gland d’un rouge intense. Il devint vite brillant de salive. Mon homme caressa tendrement mes joues, mes bras, mes cheveux… Un homme qui aime les petites chattes ne peut pas être foncièrement mauvais, pensa la petite chatte en poursuivant sa tâche. Lorsqu’elle se retrouva avec la bouche pleine de sperme brûlant d’homme, elle se lança dans un grand concert de miaulements. Elle profita comme il se doit du beau cadeau de l’homme assis. Elle lécha et lécha encore, ne voulant pas perdre la plus petite goutte. Les chattes sont ainsi faites, elles savent toutes que ces moments sont rares et qu’il faut absolument savoir en profiter jusqu’au bout. Lorsqu’elle se releva enfin, elle déposa un petit baiser chaste sur la joue de l’homme allongé dans le fauteuil. Il respirait doucement et lui fit même un petit sourire complice.
-J’ai réussi mon audition ?demanda la petite chatte.
-Oui, soupira l’homme. C’était magnifique.
Décidément , les matous sont bien tous différents, pensa la petite chatte. Il y a les chats de gouttières et les autres, ceux qui méritent nos câlins.
Celui-là lui fit un baise-main, la complimenta une nouvelle fois pour sa prestation et se glissa dans la nuit tombée.
La cérémonie du départ ne fut pas beaucoup plus longue que celle de l’arrivée. Il esquissa tout de même un léger sourire avant de me fourrer une petite carte dans la main.
La porte refermée, je découvrais son numéro de téléphone inscrit sur la carte de visite. Je la déchirai en plusieurs petits morceaux.
Magie de ce « métier » fascinant , l’après-midi fut tout à fait différent. Un vieux monsieur fort élégant se présenta à la porte et son sourire enjôleur me rassura tout de suite. J’adore les vieux messieurs. Celui-ci me raconta une grande partie de son passé, me narrant en détails les épisodes marquants d’une vie qu’il qualifiait lui-même de dissolue. Il débutait et achevait invariablement toutes ses phrases par un « chère madame » très obséquieux. Puis, enfin, tout en posant sur la table basse sa tasse de café, il me fixa en fronçant légèrement les sourcils. Je compris tout de suite que nous allions passer maintenant aux choses sérieuses.
-Pouvez-vous faire quelque chose pour moi, chère madame ?demanda-t-il d’une voix devenue caressante.
-Si je peux, j’en serai ravie, répondis-je.
Ses petits yeux se rétrécirent encore.
-Savez-vous, chère madame, ce qu’on appelait un effeuillage, il y a fort longtemps ?
-Oui, bien sûr. Mais, je ne suis pas une professionnelle de la chose.
-Justement, répondit-il , les professionnelles m’ennuient. Je suis sûr que vous vous en tirerez fort bien.
Je me levai.
-Bon, essayons alors.
-Et surtout, prenez bien votre temps, ma belle, me conseilla t-il en se calant confortablement dans son fauteuil.
Et la représentation privée commença. Je débutai le spectacle en faisant quelques pas dans la pièce, allant jusqu’à la grande fenêtre. Nimbée de la lumière déclinante de l’après-midi, je posai mes mains sur mes hanches et prenait quelques poses exagérément provocantes. Puis, je passai aux poses plus suggestives en prenant soin de lever légèrement ma jupe pour que mon unique spectateur puisse entrevoir le haut de mes bas. Je sus de suite que j’avais visé juste en le voyant ouvrir grand la bouche. Ses yeux ronds ne perdaient pas une miette du spectacle. Spectacle qui se poursuivit avec l’ouverture de ma veste de tailleur et, au moment de l’ouvrir complètement, je me retournai en une fraction de seconde. Je la laissai glisser lentement de mes épaules et de ma taille. lorsqu’elle tomba sur le parquet, il se mit à applaudir ma performance. La dentelle de mon haut l’excita tant qu’il lança un « bravo ». Après une autre volte-face, je fis quelques mouvement langoureux et me retournai de nouveau pour m’occuper de la fermeture de ma jupe. Elle glissa à son tour révélant ma culotte et mon porte-jarretelle. Plus de bravo mais, depuis ma scène improvisée j’entendis très nettement soupirer. Alors, Je décidais de me trémousser en espérant jouer la parfaite effeuilleuse. Lorsque je me retournai enfin, je me demandai s’il voyait nettement la petite bosse qui s’était formée sous ma culotte de dentelle. Pour m’en assurer, je m’approchai lentement, très lentement, de lui. Il se tenait assis sur le devant du fauteuil, les mains sur ses genoux. Les yeux fixés sur moi, la bouche toujours grande ouverte. Je n’étais plus qu’à deux pas tout au plus de mon admirateur. Je m’approchai encore et vint lui coller la petite bosse sous le nez. L’effet fut immédiat, comme s’il venait de prendre une claque, il se redressa subitement. J’en profitai pour plaquer la fameuse petite bosse (elle avait maintenant bien grossi) sur sa bouche. Je sentis son souffle brûlant me submerger. Sans lui laisser le temps de bien réfléchir, j’imprimai un mouvement de bas en haut. J’étais en train de me frotter contre sa bouche comme une chatte en chaleur. Il ne me manquait plus que le miaulement ! Le matou devint rouge pivoine. Il me donnait des petits coups de langue qui m’affolaient encore plus. Puis, la chatte se mit à quatre pattes devant lui, lui fit un clin d’oeil et s’occupa de la fermeture de son pantalon. Entre ses pattes expertes, elle finit par découvrir un petit sexe tout rabougri, mais, ne sembla pas s’en offusquer. Au contraire, elle tenta de le réveiller , mais, sans résultat probant. Alors, sa bouche prit le relais en avalant presque totalement le petit être endormi. Qu’il était chaud et doux, ce petit sexe d’homme ! Sa langue expérimentée lécha et lécha encore pour voir tout d’un coup sortir de sa cachette un joli gland d’un rouge intense. Il devint vite brillant de salive. Mon homme caressa tendrement mes joues, mes bras, mes cheveux… Un homme qui aime les petites chattes ne peut pas être foncièrement mauvais, pensa la petite chatte en poursuivant sa tâche. Lorsqu’elle se retrouva avec la bouche pleine de sperme brûlant d’homme, elle se lança dans un grand concert de miaulements. Elle profita comme il se doit du beau cadeau de l’homme assis. Elle lécha et lécha encore, ne voulant pas perdre la plus petite goutte. Les chattes sont ainsi faites, elles savent toutes que ces moments sont rares et qu’il faut absolument savoir en profiter jusqu’au bout. Lorsqu’elle se releva enfin, elle déposa un petit baiser chaste sur la joue de l’homme allongé dans le fauteuil. Il respirait doucement et lui fit même un petit sourire complice.
-J’ai réussi mon audition ?demanda la petite chatte.
-Oui, soupira l’homme. C’était magnifique.
Décidément , les matous sont bien tous différents, pensa la petite chatte. Il y a les chats de gouttières et les autres, ceux qui méritent nos câlins.
Celui-là lui fit un baise-main, la complimenta une nouvelle fois pour sa prestation et se glissa dans la nuit tombée.
4 years ago