Margaux (raciste et homophobe) a bien changée
- Margaux, ma chérie, ce gloss te va à ravir.
J'ai rarement mis aussi longtemps à me maquiller, mais j'avoue, c'est assez jouissif de voir le résultat. Ils vont me manger dans la main tous ces petits puceaux !
…
Un quart d'heure plus tard, je suis sur le parking du Queen Mambo, la discothèque mise aux nues dans ma fac, celle la plus en vogue ces derniers temps, l'endroit où il faut aller, où il faut être vu de tous … jusqu'à ce que ça change.
Mes copines sont toutes là. Céline, Michelle, Angélique, Sophie. Il manque Gwenaëlle et Bénédicte. Certainement en train de se palucher dans un coin ces deux gouines. Elles croient encore qu'on est dupe ! Pfff, depuis le temps, c'est un secret de polichinelle, on le sait toutes qu'elles n'ont jamais eu de petit copain et qu'elles passent beaucoup de temps ensemble, trop en fait … d'autres petites choses encore, des indices, de trucs bizarres … mais là n'est pas le sujet. Deux superbes beautés qui font tourner les têtes des mecs ; s'ils savaient ! J'en ai rien à foutre qu'elles se gougnottent, du moment qu'elles me foutent la paix. Sinon à part ça, ce sont de bonnes copines, agréables et sympathique.
Ce soir, je veux m'éclater ! Julien vient de me plaquer, de toute façon ça faisait trop longtemps qu'on était ensemble. Ce petit con, j'ai chopé sur son Iphone un selfie de lui et Patricia, tous deux nus comme des vers. L'enfoiré ! Les copines me soutiennent, elles sont toutes avec moi, même Gwen et Béné. Ce soir, on va tout casser !
Quand je pense que mes parents se font des films sur moi : leur jolie petite oie blanche qui passe ses week-ends à réviser et à travailler ses cours. Ce qui compte, c'est réussir mes partiels. Les rater serait catastrophique, pour l'instant ils n'y voient que du feu et ça va durer aussi longtemps que les notes suivront. J'ai même pas dit à ma mère que je prends la pilule. Bon ok c'est récent, c'est bien plus pratique avec Julien.
Une heure plus tard.
Les décibels font rage dans l'établissement. L'ambiance est feutrée, on picole et on danse, c'est une belle soirée. Les copines ne cessent d'essayer de me caser avec les célibataires de la fac. Y'a même Magalie qui m'a proposé son coloc ! Beurk, Eric est un pervers, il n'est là que pour niquer tout ce qui se présente à lui. Je cherche un mec, pas un coup d'un soir !
Le sujet semble toutes les exciter au plus haut point. A un moment, Gwen me dit …
- Tu devrais te lâcher Margaux. Soit folle, essaye un truc que t'as jamais fait !
Le bruit est fort et je pense avoir compris à bas mots qu'elle me propose un truc avec sa Bénédicte. Je réponds sèchement, limite méchamment.
- Arrêtes tes conneries, j'suis pas gouine.
Toutes les filles ont bien entendu ce que je viens de dire ; je me rends compte de ma bévue. Elles me font toutes les gros yeux. Bénédicte arrive au secours de son amie.
- Ce que veut dire Gwen, c'est que t'es un peu trop coincée. Tu devrais goûter à l'interdit.
- C'est quoi pour toi l'interdit ?
- Je sais pas … J'imagine qu'un selfie de toi seins nus à la plage avec Julien, ta mère ne serait pas choquée ?
- Non, je ne pense pas.
- Mais la même photo de toi avec la bite d'un black dans la bouche … sur cette même plage ?
Les filles se marrent et applaudissent. Je suis abasourdie par ce que je viens d'entendre. Moi et un black ! Même pas en rêve ! Vu les visions politiques de mon père et les goûts de ma mère, c'est un coup à avoir un incident cardiaque à la maison !
- Ah ouai … effectivement, un truc comme ça, elle tombe en syncope, directe !
- Ben alors ? T'attends quoi pour le faire ? ! Défoules-toi ! Oses !
- …
- Tiens regardes là-bas, les 3 types et la gonzesse. Je suis sûre que y'en a un qui te la mettrait bien … T'as déjà fait les blacks ? Il paraît qu'ils sont vachement bien gaulés.
Toutes les copines d'acquiescer et de m'encourager.
- Allez Margaux … une branlette et une petite pipe, ça n'a jamais tué personne. Tu pourras en parler à tes petits enfants quand tu seras vieille ! Amuses-toi, faut essayer !
Les filles me chauffent à blanc, elles sont raide dingues et ne cessent d'applaudir, de … Merde, ça me dépasse. Vu les tournures que ça prend, impossible de me débiner ! En plus les blacks, franchement ça pue, c'est crade, ils sont dégueulasses. Mes parents rêvent de me voir au bras d'un grand blond aux yeux bleus, une tête bien faite et bien pleine … pas un noircicot avec une tête vide écoutant du rap. Les cassos, ça rentre pas chez nous.
Le temps passe, les cocktails s'empilent sur la table que nous squattons depuis quelque temps. Bénédicte relance la machine, elle me regarde bizarrement, elle me défit de ses beaux yeux bleus. Le reflet de ses cheveux blonds semble hypnotiser Gwen qui ce soir est scotchée à elle.
- Allez ma belle, il faut oser maintenant. Les filles, on l'encourage !
- Margaux, Margaux, Margaux !
Impossible de reculer. Je me lève, bois une dernière rasade et lève la main en l'air, comme pour faire la fière et me donner du courage. Je fonce droit sur le petit groupe : trois « bronzés » et une guenon. Je leur demande du feu, histoire d'engager la conversation. La pouffiasse me dévisage, puis me scanne des pieds à la tête. En fait, tout le petit groupe fait de même. Intérieurement je me liquéfie. Ménaël, le chef du groupe me tend son bras … musclé, couvert de tatouage et … un briquet au bout. J'allume ma clope puis reste là, histoire de voir si la mayonnaise prend.
Une heure plus tard, je suis toujours avec ce quatuor et semble tous les connaître. Ils sont de la même résidence (et pas une cité), ils sont tous en fac, mais pas la même que moi. Glawdys, la seule nana du groupe est la sœur de Ménaël, elle est coiffeuse en centre ville. Celui qu'ils appellent Ken est le plus grand, une montagne de muscle et l'autre, c'est son petit frère : David. Le même moule à vrai dire. Ils jouent au basket tous les deux alors que Ménaël est plus branché salle de sports et arts martiaux.
Parfois je regarde en direction de mes copines. Elles rigolent et picolent, parfois vont s'éclater sur la piste. Y'en a toujours une qui garde un œil sur moi ; c'est rassurant.
Ménaêl m'invite à danser, David prend Glawdys, la coiffeuse. De file en aiguille, je fais mine d'accrocher avec Ménaël. Des bras si forts, un gaillard si bien bâti, moi dans ses bras on dirait une gamine tellement je suis fluette. Mes 45 kilos et 1m55 font ridicules.
En fin de soirée, les copines sont toujours là et David roucoule avec Glawdys. En fait ils jouent la comédie. Ménaël se rapproche dangereusement de moi. Bénédicte ne me lâche pas une seconde, elle semble impatiente de me voir agir … à moins qu'elle préfère me voir me défiler, pour mieux me dézinguer après ... va savoir.
Ménaël m'entraine à part, il me fait comprendre qu'il aimerait « mieux me connaître ». A côté des toilettes, une porte de sortie de secours donne directement sur le parking. Il prend son bandana et me le met sur les yeux, il est doux, ses mains glissent sur mes bras, ils m'électrisent. Je n'aurai jamais pensé un gars aussi robuste pouvoir être aussi attentionné. Il se baisse, pose ses bras sous mes cuisses et me soulève comme un fétu de paille. Je suis cuisses écartées, il me porte juste avec ses avant-bras, ma bouche se trouve à sa hauteur, … ses lèvres se posent sur les miennes, sa langue force ma bouche, je le laisse faire. Mes mains sur sa tête, ses cheveux crépus, et je savoure sa langue. Nos salives se mélangent, je fonds dans ses bras, dos plaqué au mur de la discothèque. Des bruits sur le parking, des voitures qui passent, des gens qui rigolent et qui s'en vont. Je suis dans ma bulle, envoûtée par se baiser fougueux.
- Attend bébé, j'ai envie d'autre chose.
- Oui ?
Il me repose au sol, caresse ma bien maigre poitrine et décide d'enlever mon caraco sans même me le demander. J'ai pas de soutif et il est tard. Un petit vent vient caresser ma poitrine qui immédiatement se met à pointer, j'ai les tétons tous durs, entre excitation et petit frisson. Le grand con s'en amuse et me titille les seins. J'ai envie d'autre chose, lui aussi. Je me retrouve à genoux face à lui. Inutile de faire un dessin, je vais bientôt exécuter mon défi. Il prend ma main et la dirige vers son caleçon … je pense qu'il a déjà fait tombé le pantalon à ses chevilles.
- Putain c'est pas possible, c'est quoi ça ? !
- Ma queue bébé. C'est bien de ça que t'as envie ? Fais pas ta mijaurée, astiques-moi ma puce, si tu fais ça bien, ça va encore durcir.
Il a une poigne de fer, et me force à garder la main sur … une matraque chauffante. Un gourdin caché sous son caleçon. Mes deux mains sont maintenant agrippées à cette chose énorme et mon bandeau m'empêche de la voir, mais la sentir sous mes doigts suffit à me fait peur.
- Merde c'est quoi ça ? C'est qui Ménaêl ? ! Arrêtez vos conneries !
- Ta gueule salope ! Laisses couler bébé, t'en as envie salope.
La voix est glaçante, menaçante presque. C'est Glawdys qui vient de se coller à moi, me forçant à me rapprocher de Ménaël. Elle a ses mains sur mes seins et joue avec ma poitrine, la caressant comme pour m'exciter. Je me mets à crier, presque hystérique.
- Dis à cette gouine d'arrêter !
Pour toute réponse, je me prends une baffe. Je manque de m'étouffer mais n'ai pas le temps de réagir que deux doigts entrent dans ma bouche et font des allers-retours comme pour mimer une pénétration. Le geste est vif et rapide. Parfois ils me pénètrent plus profondément que nécessaire et me provoquent des nausées.
Des mains me prennent, me portent. Tout se passe très vite. Ils m'arrachent mes vêtements et je suis en lévitation. Le buste est droit, les jambes relevées, la chatte à l'air et je me retrouve de nouveau plaquée au mur. Une bouche se jette sur ma chatte. La langue est rêche, elle me butine, m'aspire, me malmène. Des doigts font rouler mes tétons, ils me pincent, les tire, les excitent aussi. Impossible de savoir si j'ai envie de hurler « à l'aide » ou « encore ».
Très peu de mots sont échangés, mais je comprends que le quatuor est au complet. Ils semblent tous de connivences et parfaitement habitués à la chose. Je suis pour eux une proie facile, mes quarante cinq kilos toute mouillé n'a aucune chance d'en effrayer ne serait-ce qu'un.
J'ai chaud, et la main qui me bâillonnait me libère, me permettant de lâcher quelques soupirs, des gémissements. Mon ventre est une fournaise, il se révulse tandis que mon sexe n'a jamais aussi bien été sucé, léché. J'adore cette succession de caresses buccales puis d'intromission dans mes chairs. Le type est doué, je me demande lequel des trois est entre mes jambes.
J'apprends que la scène est filmée, ça me gêne énormément, mais la jouissance qui monte est trop forte, bien plus que mon humiliation et une envie de révolte. J'ondule des reins et me lance au devant de la caresse, de cette bouche vorace qui me donne du plaisir. Même dans mes souvenirs les plus salaces, je ne me souviens pas avoir été dégusté ainsi.
Je me sens chienne entre ces trois blacks hypers musclés et moi si frêle, Glawdys éternisant la scène avec son Iphone. Bande de salops … c'est si bon. Je crois jouir sous cette bouche vorace.
- Bon messieurs, il est temps de dépuceler cette vierge.
- Je … je … j'suis pas vierge. Foutez le camp, laissez-moi avec Ména !
Je n'ai pas le choix. Ménaël les guide de ses ordres rapides. Je l'imagine allongé tandis que les bras musclés vont me déposer sur sa queue bien raide.
Ma tête se révulse en arrière, ma bouche s'ouvre et un râle long et puissant en sort. Je crois mourir ! C'est énorme, ça entre doucement en moi et semble ne jamais finir ! Jamais je n'ai été aussi écartelée.
- Tu vois ? Quand je te disais que t'étais pucelle …
Cette salope de Glawdys semble aimer avoir toujours raison. Elle se colle à moi, à califourchon sur son frère et s'empare de mes seins, les malmenant et les triturant alors que j'essaye de reprendre mon souffle, les cuisses écartelées et empalée sur ce chibre monstrueux qui pointe entre les cuisses de son frère. La salope sait y faire, elle me titille les tétons et augmente mon plaisir. Elle me soulève par moments et me laisse retomber de tout mon poids sur ce membre qui m'écartèle. Je la déteste.
Les gars semblent ravis du spectacle et me lancent des jurons racistes. J'exulte, je peine à respirer et jouis une deuxième fois. Glawdys me penche en avant sur la poitrine de son frère puis se relève.
Elle est à mes côtés, m'att**** la tignasse à pleine main et me relève la tête, puis me roule une pelle. C'est dégueulasse, mais je n'ai aucune force pour la repousser. Le goût est bizarre.
- T'aime pas ?
- Non c'est …
- Ta gueule, t'as pas à répondre.
- …
Elle me caresse le dos, puis les fesses. Je sens une main puissante dans le creux des reins me plaquer à mon bel amant. Impossible de bouger pour moi. La queue entre en mouvement, c'est divin et horrible à la fois. Se faire baiser par une bite aussi grosse … difficile à imaginer que ma chatte ait pu encaisser un tel gabarit.
- Tu vas apprendre à aimer, petite pute.
Toujours la perverse de coiffeuse. Elle me caresse tandis que son frère prend vie sous moi. Il me pistonne délicatement, tout en douceur. Glawdys promène un doigt furtif sur mon petit oeillet. Je me crispe. Quelle salope !
- C'est pas le moment, sinon tu vas déguster. Détends-toi.
- Enlèves tes sales pattes de moi. Casses-toi
- Dis-donc, tout à l'heure tu disais pas ça ?
- Quoi ? !
Sa voix est étrangement douce alors que son frère accélère gentiment, allant de plus en plus vite. Mon corps s'habitue.
Glawdys m'enlève le bandeau. Je mets quelques instants avant de m'habituer à la lumière. Ménaël en profite pour se relever et me prendre en levrette. J'ai les mains et les genoux écorchés par le gravillon du parking. Faisant mine de me dégager, David et Ken me prennent chacun un poignet et un genou, m'immobilisant au sol et veillant bien à ce que j'écarte les cuisses. Soeurette me recolle sa langue dans la bouche et me force à accepter sa langue vorace.
- Alors ? Surprenant hein ?
Je n'ose le croire, ça me dégoûte au plus haut point. Elle se colle à mon oreille et me susurre quelques explications du bout des lèvres. Je suis éberluée par ses propos.
- Bénédicte est une très bonne amie. Je vais souvent chez elle pour la coiffer. Parfois avec elle et Gwen, on ne fait pas que de la coiffure d'ailleurs. Béné m'a demandé un petit service. Alors tu vois, ils vont te baiser et tu seras leur vide-couille ce soir. Après tout ce que tu as fait pour les allumer, tu leur dois bien ça non ? Et sinon … des fois que tu ais un doute, c'est bien moi qui t'es fait jouir la première fois, j'ai encore ta mouille dans la bouche petite traînée. Maintenant que Ménaël a fait le passage, Ken et David vont pouvoir te déglinguer. Crois-moi, eux sont bien plus membrés !
Une vision d'horreur traverse mon esprit. Ménaêl est toujours à me pistonner et je peine à encaisser ses coups de boutoir. Me penchant vers les acolytes qui me tiennent, je constate qu'ils sont nus et que … les larmes me montent aux yeux. La queue de David est raide, un gland énorme, une … sa bite est plus grosse que mon poignet.
Je me crispe, je serre les dents puis je cri, sans même reconnaître les voix de mes copines. Je n'ai plus la notion du temps, aucune pudeur, je ne suis qu'un sexe réclamant la pénétration, ondulant mon corps sur ces bites qui me prennent à la chaine. Ils me sont tous déjà passé une fois dessus, jouant à la bête à deux dos. Ces enfoirés me baisent comme une putain, ne m'adressant pas la parole et faisant de moi une poupée docile entre leurs mains, leurs queues, ces monstruosités qui leur servent de sexe. Je ne compte plus les orgasmes, mon maquillage doit couler et ma tête ne plus ressembler à rien.
- La salope encaisse bien, vous avez vu comme elle aime leurs queues ?
C'est Glawdys qui fait des commentaires. Ils m'ont remis le bandana sur les yeux, je ne fais qu'imaginer mes copines qui me regardent me conduire comme une chienne, j'entrevois parfois quelques flashs. J'imagine déjà les photos obscènes de ces trois blacks défonçant une jeune femme au corps de gamine. Pourvu que ça reste sur leur portable.
- Alors Margaux ? Il paraît que t'as fait connaissance de Glawdys ?
C'est Bénédicte qui me parle à l'oreille. Cette gouine qui est à l'origine de tout cela. Elle parle à Ménaël qui à son tour donne des ordres. On me soulève, m'écarte à nouveau les cuisses et ils m'empalent sur la queue de Ken. Bien plus gros que David, et un peu plus long aussi. Je lui tourne le dos et on me penche sur sa poitrine, mon dos sur sa poitrine. Toujours cuisses écartées, ces dames vont défiler entre mes cuisses et me sucer le clito tandis que Ken me pistonne. C'est monstrueusement jouissif et mes gémissements ne font qu'exciter ces salopes.
J'apprendrais plus tard que Bénédicte, Glawdys et Gwenaëlle se sont régalées et m'ont toutes procuré un orgasme. Pour les autres noms, je n'ai jamais su, mais je pense que deux autres filles se sont laissé persuadé de tenter l'expérience.
Depuis cette soirée, j'ai perdu mes copines, ne faisant plus partie de leur cercle de confidentialité. Pas une grosse perte, ces salopes ont diffusé les photos et m'ont fait de la pub. Ce qu'elles n'imaginaient pas, c'est que j'y ai pris goût.
Chaque week-end, Ménaël et ses potes me font découvrir de nouvelles bites à sucer mais aussi à m'empaler dessus. Disons que ma petite chatte a bien grandie depuis et qu'elle y prend goût. Je fais maintenant partie de son cercle à lui. Je picole et je danse moins, par contre, c'est orgasmes à gogo tous les WE ! Le reste de la semaine, j'essaye au maximum d'avoir une vie d'ermite, de rejeter toute forme de sexe, je ne me touche même plus, je me garde pour le week-end.
Glawdys passe de temps en temps et emmène avec elle et ses copines. Il nous arrive aussi de nous faire une petite soirée pyjama. Faut pas le dire, mais à ces soirées, on n'en met pas.
J'ai rarement mis aussi longtemps à me maquiller, mais j'avoue, c'est assez jouissif de voir le résultat. Ils vont me manger dans la main tous ces petits puceaux !
…
Un quart d'heure plus tard, je suis sur le parking du Queen Mambo, la discothèque mise aux nues dans ma fac, celle la plus en vogue ces derniers temps, l'endroit où il faut aller, où il faut être vu de tous … jusqu'à ce que ça change.
Mes copines sont toutes là. Céline, Michelle, Angélique, Sophie. Il manque Gwenaëlle et Bénédicte. Certainement en train de se palucher dans un coin ces deux gouines. Elles croient encore qu'on est dupe ! Pfff, depuis le temps, c'est un secret de polichinelle, on le sait toutes qu'elles n'ont jamais eu de petit copain et qu'elles passent beaucoup de temps ensemble, trop en fait … d'autres petites choses encore, des indices, de trucs bizarres … mais là n'est pas le sujet. Deux superbes beautés qui font tourner les têtes des mecs ; s'ils savaient ! J'en ai rien à foutre qu'elles se gougnottent, du moment qu'elles me foutent la paix. Sinon à part ça, ce sont de bonnes copines, agréables et sympathique.
Ce soir, je veux m'éclater ! Julien vient de me plaquer, de toute façon ça faisait trop longtemps qu'on était ensemble. Ce petit con, j'ai chopé sur son Iphone un selfie de lui et Patricia, tous deux nus comme des vers. L'enfoiré ! Les copines me soutiennent, elles sont toutes avec moi, même Gwen et Béné. Ce soir, on va tout casser !
Quand je pense que mes parents se font des films sur moi : leur jolie petite oie blanche qui passe ses week-ends à réviser et à travailler ses cours. Ce qui compte, c'est réussir mes partiels. Les rater serait catastrophique, pour l'instant ils n'y voient que du feu et ça va durer aussi longtemps que les notes suivront. J'ai même pas dit à ma mère que je prends la pilule. Bon ok c'est récent, c'est bien plus pratique avec Julien.
Une heure plus tard.
Les décibels font rage dans l'établissement. L'ambiance est feutrée, on picole et on danse, c'est une belle soirée. Les copines ne cessent d'essayer de me caser avec les célibataires de la fac. Y'a même Magalie qui m'a proposé son coloc ! Beurk, Eric est un pervers, il n'est là que pour niquer tout ce qui se présente à lui. Je cherche un mec, pas un coup d'un soir !
Le sujet semble toutes les exciter au plus haut point. A un moment, Gwen me dit …
- Tu devrais te lâcher Margaux. Soit folle, essaye un truc que t'as jamais fait !
Le bruit est fort et je pense avoir compris à bas mots qu'elle me propose un truc avec sa Bénédicte. Je réponds sèchement, limite méchamment.
- Arrêtes tes conneries, j'suis pas gouine.
Toutes les filles ont bien entendu ce que je viens de dire ; je me rends compte de ma bévue. Elles me font toutes les gros yeux. Bénédicte arrive au secours de son amie.
- Ce que veut dire Gwen, c'est que t'es un peu trop coincée. Tu devrais goûter à l'interdit.
- C'est quoi pour toi l'interdit ?
- Je sais pas … J'imagine qu'un selfie de toi seins nus à la plage avec Julien, ta mère ne serait pas choquée ?
- Non, je ne pense pas.
- Mais la même photo de toi avec la bite d'un black dans la bouche … sur cette même plage ?
Les filles se marrent et applaudissent. Je suis abasourdie par ce que je viens d'entendre. Moi et un black ! Même pas en rêve ! Vu les visions politiques de mon père et les goûts de ma mère, c'est un coup à avoir un incident cardiaque à la maison !
- Ah ouai … effectivement, un truc comme ça, elle tombe en syncope, directe !
- Ben alors ? T'attends quoi pour le faire ? ! Défoules-toi ! Oses !
- …
- Tiens regardes là-bas, les 3 types et la gonzesse. Je suis sûre que y'en a un qui te la mettrait bien … T'as déjà fait les blacks ? Il paraît qu'ils sont vachement bien gaulés.
Toutes les copines d'acquiescer et de m'encourager.
- Allez Margaux … une branlette et une petite pipe, ça n'a jamais tué personne. Tu pourras en parler à tes petits enfants quand tu seras vieille ! Amuses-toi, faut essayer !
Les filles me chauffent à blanc, elles sont raide dingues et ne cessent d'applaudir, de … Merde, ça me dépasse. Vu les tournures que ça prend, impossible de me débiner ! En plus les blacks, franchement ça pue, c'est crade, ils sont dégueulasses. Mes parents rêvent de me voir au bras d'un grand blond aux yeux bleus, une tête bien faite et bien pleine … pas un noircicot avec une tête vide écoutant du rap. Les cassos, ça rentre pas chez nous.
Le temps passe, les cocktails s'empilent sur la table que nous squattons depuis quelque temps. Bénédicte relance la machine, elle me regarde bizarrement, elle me défit de ses beaux yeux bleus. Le reflet de ses cheveux blonds semble hypnotiser Gwen qui ce soir est scotchée à elle.
- Allez ma belle, il faut oser maintenant. Les filles, on l'encourage !
- Margaux, Margaux, Margaux !
Impossible de reculer. Je me lève, bois une dernière rasade et lève la main en l'air, comme pour faire la fière et me donner du courage. Je fonce droit sur le petit groupe : trois « bronzés » et une guenon. Je leur demande du feu, histoire d'engager la conversation. La pouffiasse me dévisage, puis me scanne des pieds à la tête. En fait, tout le petit groupe fait de même. Intérieurement je me liquéfie. Ménaël, le chef du groupe me tend son bras … musclé, couvert de tatouage et … un briquet au bout. J'allume ma clope puis reste là, histoire de voir si la mayonnaise prend.
Une heure plus tard, je suis toujours avec ce quatuor et semble tous les connaître. Ils sont de la même résidence (et pas une cité), ils sont tous en fac, mais pas la même que moi. Glawdys, la seule nana du groupe est la sœur de Ménaël, elle est coiffeuse en centre ville. Celui qu'ils appellent Ken est le plus grand, une montagne de muscle et l'autre, c'est son petit frère : David. Le même moule à vrai dire. Ils jouent au basket tous les deux alors que Ménaël est plus branché salle de sports et arts martiaux.
Parfois je regarde en direction de mes copines. Elles rigolent et picolent, parfois vont s'éclater sur la piste. Y'en a toujours une qui garde un œil sur moi ; c'est rassurant.
Ménaêl m'invite à danser, David prend Glawdys, la coiffeuse. De file en aiguille, je fais mine d'accrocher avec Ménaël. Des bras si forts, un gaillard si bien bâti, moi dans ses bras on dirait une gamine tellement je suis fluette. Mes 45 kilos et 1m55 font ridicules.
En fin de soirée, les copines sont toujours là et David roucoule avec Glawdys. En fait ils jouent la comédie. Ménaël se rapproche dangereusement de moi. Bénédicte ne me lâche pas une seconde, elle semble impatiente de me voir agir … à moins qu'elle préfère me voir me défiler, pour mieux me dézinguer après ... va savoir.
Ménaël m'entraine à part, il me fait comprendre qu'il aimerait « mieux me connaître ». A côté des toilettes, une porte de sortie de secours donne directement sur le parking. Il prend son bandana et me le met sur les yeux, il est doux, ses mains glissent sur mes bras, ils m'électrisent. Je n'aurai jamais pensé un gars aussi robuste pouvoir être aussi attentionné. Il se baisse, pose ses bras sous mes cuisses et me soulève comme un fétu de paille. Je suis cuisses écartées, il me porte juste avec ses avant-bras, ma bouche se trouve à sa hauteur, … ses lèvres se posent sur les miennes, sa langue force ma bouche, je le laisse faire. Mes mains sur sa tête, ses cheveux crépus, et je savoure sa langue. Nos salives se mélangent, je fonds dans ses bras, dos plaqué au mur de la discothèque. Des bruits sur le parking, des voitures qui passent, des gens qui rigolent et qui s'en vont. Je suis dans ma bulle, envoûtée par se baiser fougueux.
- Attend bébé, j'ai envie d'autre chose.
- Oui ?
Il me repose au sol, caresse ma bien maigre poitrine et décide d'enlever mon caraco sans même me le demander. J'ai pas de soutif et il est tard. Un petit vent vient caresser ma poitrine qui immédiatement se met à pointer, j'ai les tétons tous durs, entre excitation et petit frisson. Le grand con s'en amuse et me titille les seins. J'ai envie d'autre chose, lui aussi. Je me retrouve à genoux face à lui. Inutile de faire un dessin, je vais bientôt exécuter mon défi. Il prend ma main et la dirige vers son caleçon … je pense qu'il a déjà fait tombé le pantalon à ses chevilles.
- Putain c'est pas possible, c'est quoi ça ? !
- Ma queue bébé. C'est bien de ça que t'as envie ? Fais pas ta mijaurée, astiques-moi ma puce, si tu fais ça bien, ça va encore durcir.
Il a une poigne de fer, et me force à garder la main sur … une matraque chauffante. Un gourdin caché sous son caleçon. Mes deux mains sont maintenant agrippées à cette chose énorme et mon bandeau m'empêche de la voir, mais la sentir sous mes doigts suffit à me fait peur.
- Merde c'est quoi ça ? C'est qui Ménaêl ? ! Arrêtez vos conneries !
- Ta gueule salope ! Laisses couler bébé, t'en as envie salope.
La voix est glaçante, menaçante presque. C'est Glawdys qui vient de se coller à moi, me forçant à me rapprocher de Ménaël. Elle a ses mains sur mes seins et joue avec ma poitrine, la caressant comme pour m'exciter. Je me mets à crier, presque hystérique.
- Dis à cette gouine d'arrêter !
Pour toute réponse, je me prends une baffe. Je manque de m'étouffer mais n'ai pas le temps de réagir que deux doigts entrent dans ma bouche et font des allers-retours comme pour mimer une pénétration. Le geste est vif et rapide. Parfois ils me pénètrent plus profondément que nécessaire et me provoquent des nausées.
Des mains me prennent, me portent. Tout se passe très vite. Ils m'arrachent mes vêtements et je suis en lévitation. Le buste est droit, les jambes relevées, la chatte à l'air et je me retrouve de nouveau plaquée au mur. Une bouche se jette sur ma chatte. La langue est rêche, elle me butine, m'aspire, me malmène. Des doigts font rouler mes tétons, ils me pincent, les tire, les excitent aussi. Impossible de savoir si j'ai envie de hurler « à l'aide » ou « encore ».
Très peu de mots sont échangés, mais je comprends que le quatuor est au complet. Ils semblent tous de connivences et parfaitement habitués à la chose. Je suis pour eux une proie facile, mes quarante cinq kilos toute mouillé n'a aucune chance d'en effrayer ne serait-ce qu'un.
J'ai chaud, et la main qui me bâillonnait me libère, me permettant de lâcher quelques soupirs, des gémissements. Mon ventre est une fournaise, il se révulse tandis que mon sexe n'a jamais aussi bien été sucé, léché. J'adore cette succession de caresses buccales puis d'intromission dans mes chairs. Le type est doué, je me demande lequel des trois est entre mes jambes.
J'apprends que la scène est filmée, ça me gêne énormément, mais la jouissance qui monte est trop forte, bien plus que mon humiliation et une envie de révolte. J'ondule des reins et me lance au devant de la caresse, de cette bouche vorace qui me donne du plaisir. Même dans mes souvenirs les plus salaces, je ne me souviens pas avoir été dégusté ainsi.
Je me sens chienne entre ces trois blacks hypers musclés et moi si frêle, Glawdys éternisant la scène avec son Iphone. Bande de salops … c'est si bon. Je crois jouir sous cette bouche vorace.
- Bon messieurs, il est temps de dépuceler cette vierge.
- Je … je … j'suis pas vierge. Foutez le camp, laissez-moi avec Ména !
Je n'ai pas le choix. Ménaël les guide de ses ordres rapides. Je l'imagine allongé tandis que les bras musclés vont me déposer sur sa queue bien raide.
Ma tête se révulse en arrière, ma bouche s'ouvre et un râle long et puissant en sort. Je crois mourir ! C'est énorme, ça entre doucement en moi et semble ne jamais finir ! Jamais je n'ai été aussi écartelée.
- Tu vois ? Quand je te disais que t'étais pucelle …
Cette salope de Glawdys semble aimer avoir toujours raison. Elle se colle à moi, à califourchon sur son frère et s'empare de mes seins, les malmenant et les triturant alors que j'essaye de reprendre mon souffle, les cuisses écartelées et empalée sur ce chibre monstrueux qui pointe entre les cuisses de son frère. La salope sait y faire, elle me titille les tétons et augmente mon plaisir. Elle me soulève par moments et me laisse retomber de tout mon poids sur ce membre qui m'écartèle. Je la déteste.
Les gars semblent ravis du spectacle et me lancent des jurons racistes. J'exulte, je peine à respirer et jouis une deuxième fois. Glawdys me penche en avant sur la poitrine de son frère puis se relève.
Elle est à mes côtés, m'att**** la tignasse à pleine main et me relève la tête, puis me roule une pelle. C'est dégueulasse, mais je n'ai aucune force pour la repousser. Le goût est bizarre.
- T'aime pas ?
- Non c'est …
- Ta gueule, t'as pas à répondre.
- …
Elle me caresse le dos, puis les fesses. Je sens une main puissante dans le creux des reins me plaquer à mon bel amant. Impossible de bouger pour moi. La queue entre en mouvement, c'est divin et horrible à la fois. Se faire baiser par une bite aussi grosse … difficile à imaginer que ma chatte ait pu encaisser un tel gabarit.
- Tu vas apprendre à aimer, petite pute.
Toujours la perverse de coiffeuse. Elle me caresse tandis que son frère prend vie sous moi. Il me pistonne délicatement, tout en douceur. Glawdys promène un doigt furtif sur mon petit oeillet. Je me crispe. Quelle salope !
- C'est pas le moment, sinon tu vas déguster. Détends-toi.
- Enlèves tes sales pattes de moi. Casses-toi
- Dis-donc, tout à l'heure tu disais pas ça ?
- Quoi ? !
Sa voix est étrangement douce alors que son frère accélère gentiment, allant de plus en plus vite. Mon corps s'habitue.
Glawdys m'enlève le bandeau. Je mets quelques instants avant de m'habituer à la lumière. Ménaël en profite pour se relever et me prendre en levrette. J'ai les mains et les genoux écorchés par le gravillon du parking. Faisant mine de me dégager, David et Ken me prennent chacun un poignet et un genou, m'immobilisant au sol et veillant bien à ce que j'écarte les cuisses. Soeurette me recolle sa langue dans la bouche et me force à accepter sa langue vorace.
- Alors ? Surprenant hein ?
Je n'ose le croire, ça me dégoûte au plus haut point. Elle se colle à mon oreille et me susurre quelques explications du bout des lèvres. Je suis éberluée par ses propos.
- Bénédicte est une très bonne amie. Je vais souvent chez elle pour la coiffer. Parfois avec elle et Gwen, on ne fait pas que de la coiffure d'ailleurs. Béné m'a demandé un petit service. Alors tu vois, ils vont te baiser et tu seras leur vide-couille ce soir. Après tout ce que tu as fait pour les allumer, tu leur dois bien ça non ? Et sinon … des fois que tu ais un doute, c'est bien moi qui t'es fait jouir la première fois, j'ai encore ta mouille dans la bouche petite traînée. Maintenant que Ménaël a fait le passage, Ken et David vont pouvoir te déglinguer. Crois-moi, eux sont bien plus membrés !
Une vision d'horreur traverse mon esprit. Ménaêl est toujours à me pistonner et je peine à encaisser ses coups de boutoir. Me penchant vers les acolytes qui me tiennent, je constate qu'ils sont nus et que … les larmes me montent aux yeux. La queue de David est raide, un gland énorme, une … sa bite est plus grosse que mon poignet.
Je me crispe, je serre les dents puis je cri, sans même reconnaître les voix de mes copines. Je n'ai plus la notion du temps, aucune pudeur, je ne suis qu'un sexe réclamant la pénétration, ondulant mon corps sur ces bites qui me prennent à la chaine. Ils me sont tous déjà passé une fois dessus, jouant à la bête à deux dos. Ces enfoirés me baisent comme une putain, ne m'adressant pas la parole et faisant de moi une poupée docile entre leurs mains, leurs queues, ces monstruosités qui leur servent de sexe. Je ne compte plus les orgasmes, mon maquillage doit couler et ma tête ne plus ressembler à rien.
- La salope encaisse bien, vous avez vu comme elle aime leurs queues ?
C'est Glawdys qui fait des commentaires. Ils m'ont remis le bandana sur les yeux, je ne fais qu'imaginer mes copines qui me regardent me conduire comme une chienne, j'entrevois parfois quelques flashs. J'imagine déjà les photos obscènes de ces trois blacks défonçant une jeune femme au corps de gamine. Pourvu que ça reste sur leur portable.
- Alors Margaux ? Il paraît que t'as fait connaissance de Glawdys ?
C'est Bénédicte qui me parle à l'oreille. Cette gouine qui est à l'origine de tout cela. Elle parle à Ménaël qui à son tour donne des ordres. On me soulève, m'écarte à nouveau les cuisses et ils m'empalent sur la queue de Ken. Bien plus gros que David, et un peu plus long aussi. Je lui tourne le dos et on me penche sur sa poitrine, mon dos sur sa poitrine. Toujours cuisses écartées, ces dames vont défiler entre mes cuisses et me sucer le clito tandis que Ken me pistonne. C'est monstrueusement jouissif et mes gémissements ne font qu'exciter ces salopes.
J'apprendrais plus tard que Bénédicte, Glawdys et Gwenaëlle se sont régalées et m'ont toutes procuré un orgasme. Pour les autres noms, je n'ai jamais su, mais je pense que deux autres filles se sont laissé persuadé de tenter l'expérience.
Depuis cette soirée, j'ai perdu mes copines, ne faisant plus partie de leur cercle de confidentialité. Pas une grosse perte, ces salopes ont diffusé les photos et m'ont fait de la pub. Ce qu'elles n'imaginaient pas, c'est que j'y ai pris goût.
Chaque week-end, Ménaël et ses potes me font découvrir de nouvelles bites à sucer mais aussi à m'empaler dessus. Disons que ma petite chatte a bien grandie depuis et qu'elle y prend goût. Je fais maintenant partie de son cercle à lui. Je picole et je danse moins, par contre, c'est orgasmes à gogo tous les WE ! Le reste de la semaine, j'essaye au maximum d'avoir une vie d'ermite, de rejeter toute forme de sexe, je ne me touche même plus, je me garde pour le week-end.
Glawdys passe de temps en temps et emmène avec elle et ses copines. Il nous arrive aussi de nous faire une petite soirée pyjama. Faut pas le dire, mais à ces soirées, on n'en met pas.
4 years ago