L'exposition - 2
- Ou allons-nous ?
- Au point de départ ! déclare t’elle, mystérieuse.
Je me demande où elle veut en venir, d’autant que l’expo va bientôt fermer.
A ma grande surprise, elle me fait passer par une étroite ouverture située entre un corps de bâtiment et le cloitre.
Le passage est obscur et fraichement agréable. A tâtons, nous trouvons un endroit ou nous assoir. Enfin, disons qu’elle s’assoit sur une pierre plate et m’invite à m’assoir sur ses genoux.
Elle m’attire à elle. Nos lèvres se joignent et nos langues se caressent. Sa main passe sous mon chemisier et s’attarde sur ma poitrine. Elle agace mon téton tout en reprenant ma bouche pour un long baiser.
- Tu es une fille facile ! murmure-elle, moqueuse, à mon oreille.
- Oui, dis-je après réflexion.
- Comment as-tu pu accepter de poser pour ces photos obscènes ?
- Parce que j’aime ça…
- Je vois. Tu es une petite putain, c’est ça ?
- On peut le dire, bien que je ne me fasse pas toujours payer…
Elle rit. Ses mains s’insinuent partout, tentant de se glisser sous ma ceinture.
- Ca te plairait d’être ma petite putain ? demande t’elle. Je te préviens, je n’ai pas de quoi te payer !
Nous rions, tout en essayant de ne pas trop faire de bruit car nos voix résonnent dans cet étroit boyau.
- J’accepte ! dis-je. Mais à condition que tu fasses preuve d’imagination !
- J’ai plus d’imagination que d’argent, ça devrait aller !
Je glisse ma main entre nos deux corps et je tente de déboutonner le haut de sa robe, mais elle repousse ma main.
- Non. A partir de maintenant, je dirige et tu obéis !
- Bien madame ! Au fait, c’est quoi ton prénom.
- Prune. Et toi ?
- Chan
- Eh bien, Chan, aimes-tu être soumise au bon plaisir d’une femme imaginative ?
- Je n’aime que ça…
- Alors, nous allons bien nous entendre…
Elle caresse ma chatte à travers la toile de mon pantalon. J’écarte les cuisses assez pour qu’elle puisse me donner des frissons mais tout en comprimant sa main pour qu’elle ne la retire pas.
- Tu aurais dû mettre une jupe… fait-elle.
- Oui, c’est un mauvais choix, je le reconnais…
- Tu devras être punie pour ça, n’est-ce pas ?
- Oui.
Elle continue à me caresser tout en me mordillant le cou. Je soupire. Le tissu de mon pantalon n’est pas idéal mais elle appuie ses caresses de façon à ce que je sente bien ses doigts pétrir mon sexe.
Elle a déboutonné entièrement mon chemisier et, tout en malaxant ma chatte, elle caresse ma poitrine et pince mes tétons.
- Tu as une culotte ? demande t’elle.
- Oui .
- Elle va être bonne à jeter…
- J’ai l’habitude…
- Tu aimes que je te pince comme ça ?
Elle a fortement pincé mon téton entre ses ongles, m’arrachant un cri. Elle rit et me fait ‘’chut !’’ d’un ton moqueur.
- Tu es une bonne fille ! murmure t’elle.
Je pense que je dois avoir quelques années de plus qu’elle, mais j’accepte le compliment.
- Merci !
Sa langue lèche ma poitrine. Elle goûte ma sueur et vient ensuite m’embrasser, déposant un baiser salé sur mes lèvres.
Je sens que que vais m’envoler, sous sa main qui malaxe mon sexe. Mais, juste au moment où je me sens partir vers le paradis, elle stoppe tout et m’oblige à me lever.
- Oh, non ! dis-je, déçue
- Je dirige et tu obéis ! Tu te souviens ?
Je serre les lèvres. La frustration monte en moi, provoquant, par un phénomène que je n’ai jamais vraiment saisi, une montée de désir.
A ce moment précis, elle peut tout me demander, je suis tellement excitée que je suis capable de tout.
- L’abbaye vient de fermer ! me dit-elle et elle m’entraine au dehors.
Au dernier moment, elle fait glisser mon chemisier sur mes épaules et me le confisque.
- Tu es bien plus belle topless ! dit-elle, moqueuse et elle me pousse vers la sortie.
La chaleur est intenable. Durant les quelques minutes pendant lesquelles nous rasons les murs du cloitre, je sens la transpiration couler dans le creux de mes reins.
Au lieu d’aller jusqu’à la porte de l’exposition, elle passe par une autre porte. Elle s’assure qu’il n’y a personne, puis elle me fait passer par une salle rectangulaire ou le mobilier attire mon attention.
- C’est la salle capitulaire ! me dit-elle.
Je parcours la salle, examinant les différentes stalles, sorte de sièges sertis dans des compartiments. C’est sur ces sièges que prenaient place les moines du chapitre, lorsqu’ils réglaient les affaires courantes de l’abbaye.
- Tu es surement la première fille nue qui traverse cette salle depuis la construction de l’abbaye !
- Possible, en effet…
Nous ne nous attardons néanmoins pas longtemps. Prune passe derrière une sorte de paravent richement décoré et me fait passer par une porte.
Derrière la porte, il y a une cloison amovible noire que je reconnais. Passant derrière, nous débouchons au cœur de l’exposition de photos.
- Nous allons parcourir chaque station de ce chemin de croix, fait-elle. Je pense que j’y puiserai de l’inspiration….
Nous passons devant la photo ou, à genoux, bâillonnée et les mains liées dans le dos, j’attends que Liah abatte sur mes fesses la grosse corde de chanvre.
- Déshabille-toi ! ordonne t’elle.
Je fais glisser mon pantalon sur mes cuisses et l’enlève. Ma culotte suit.
- Donne là moi ! Et enlève aussi tes sandales ! J’aime les filles pieds nus, dit-elle en s’asseyant sur la chaise sans doute prévu pour le gardien de l’expo.
Elle met ma culotte en boule, de façon à ce que l’intérieur de l’entrejambe soit mis en valeur. Evidemment, il est souillé par mes secrétions vaginales.
Elle lèche ma culotte, tout en me regardant. Puis, elle se lève et déboutonne sa robe.
Elle est entièrement nue dessous. Elle a de jolis seins en forme de poire et un joli minou blond-roux soigneusement entretenu.
Elle se rassoit et écarte ses jambes.
- Viens me lécher ! A genoux !
Je me mets à genoux et j’avance vers elle.
- Bien ! Voila une bien obéissante petite chienne !
Elle attrape doucement mes cheveux et dirige ma bouche vers sa chatte. Ses poils pubiens sont mouillés du produit de son excitation.
Je la lèche doucement, lapant sa liqueur comme une chatte le ferait avec du lait. Elle caresse mes cheveux et, les yeux mi-clos, savoure le contact de ma langue sur son clitoris.
La climatisation a été coupée et je commence à ressentir la chaleur que renvoient les vielles pierres.
La sueur coule dans mon cou, mes reins et entre mes fesses.
Je lèche et je lèche encore, avec application. Elle ne veut pas que j’utilise mes doigts.
- Juste ta bouche… précise t’elle, la voix un peu embrumée.
Sa liqueur sourd en un petit filet de liquide odorant. Je m’en délecte.
Elle soupire, respire fort, tandis que ses reins se creusent et je la sens partir doucement vers le nirvana. Elle jouit, en une longue mélopée presque silencieuse.
Il est vrai qu’une abbaye est un lieu de recueillement.
Elle m’attire à elle et embrasse mes lèvres encore pleines de son odeur intime. Puis elle se lève et défait la ceinture de tissu de sa robe.
- Reste à genoux, dit-elle.
Derrière mon dos, elle saisit mes bras et les tire en arrière. Je sens qu’elle attache mes poignets avec sa ceinture.
- Je n’ai pas de corde, hélas… dit-elle. Hmmm…. Je vois que, toi aussi, tu as une jolie ceinture !
Elle attrape mon pantalon et enlève la fine ceinture de cuir tressé. Elle la plie en deux et la fait siffler dans l’air moite de la pièce.
Elle retire la chaise, me tourne autour. Puis elle ramasse ma culotte souillée et, tirant mes cheveux en arrière, elle me la fourre dans la bouche.
- Ainsi, nous ne dérangerons pas les fantômes des moines !
Je me dis que les fantômes en question doivent déjà se repaitre du spectacle que nous leur offrons.
La ceinture s’abat sur mes reins. Je crie, surprise. Elle me fouette méthodiquement. Les fesses, les reins, le dos, les seins. Mon bâillon étouffe mes cris.
- Tu aimes ?
Je réponds en hochant la tête de haut en bas. Elle rit et recommence.
- J’aime infliger de la douleur, mais aussi du plaisir ! fait-elle.
Elle me pousse et me renverse sur le sol poussiéreux de la salle, et me positionne sur le dos, mes bras toujours entravés dans le dos. La position est inconfortable mais j’attends, les cuisses ouvertes, le plaisir promis par ma tortionnaire.
Elle commence par me lécher. Il y a de quoi faire, je suis trempée. Je gémis silencieusement, empêchée par le bâillon de pouvoir faire résonner ma voix sous la voute de la salle.
Puis sa main droite me caresse, triturant mes nymphes. Enfin, elle enfonce deux doigts, le majeur et l’index, dans mon vagin et entame un mouvement bien agréable de va-et-vient.
Je suis tellement ouverte qu’elle ajoute un troisième doigt.
Son pouce malaxe mon clitoris. Je gémis et je me tords. J’ai l’impression que mon corps est une chaudière qui ne demande qu’à exploser.
Le petit doigt rejoint bientôt ses frères et je comprends qu’elle va bientôt y ajouter le pouce.
- Tu as déjà été fistée ? me demande t’elle.
Je fais oui de la tête tandis que son pouce continue de torturer mon clitoris.
- Je m’en doutais un peu… fait-elle. Tu es d’accord pour que je te fiste ?
Je refais oui de la tête.
- Tant mieux ! De toute façon, je l’aurais fait quand même, j’ai trop envie de te posséder entièrement !
Elle pousse ses doigts en moi et, insensiblement ajoute le pouce. Le reste de la main passe facilement. Elle bouge un peu, pas trop mais suffisamment pour que j’y prenne du plaisir.
- Bonne fille… dit-elle, comme elle dirait ‘’bonne chienne’’.
Je sens soudain comme une vague qui me submerge. Empalée sur sa main, je me mets à hoqueter, à trembler et le plaisir s’empare de tous mes sens.
J’arrive à peine à respirer et je sens mon cœur battre à tout rompre. Mon corps roule sur la pierre du sol et ma tête se cogne sans que je puisse arrêter ce mouvement.
Attendant que je me calme, elle ressort sa main, petit à petit, de mon vagin. Je la regarde lécher ses doigts. Son sourire est rieur, satisfait.
Elle m’enlève la culotte qui obture ma bouche et rit quand je fais quelques mouvements avec ma mâchoire ankylosée.
- Ca va ? me demande t’elle.
- Oui. J’ai soif !
- Il n’y a rien, ici… quoique… il se trouve que j’ai envie de faire pipi !
Elle se lève et me force à me remettre à genoux.
- Quand il fait chaud, il ne faut jamais boire trop froid. L’idéal est de boire tiède…
Elle écarte ses cuisses juste au dessus de ma tête. Je me penche en arrière et ouvre ma bouche au maximum, malgré la douleur persistante à la mâchoire.
Un premier jet, fort mais bref gicle dans ma bouche et éclabousse un peu mon visage. Elle contrôle son méat et c’est un flot continu et très odorant qui remplit ma bouche. J’avale son urine au fur et à mesure et je sens le liquide tiède glisser dans ma gorge et descendre dans mon estomac.
Après avoir copieusement uriné dans ma bouche, elle frotte sa chatte sur mon visage, me souillant des restes de son urine.
- Bonne fille ! dit-elle à nouveau.
(à suivre)
- Au point de départ ! déclare t’elle, mystérieuse.
Je me demande où elle veut en venir, d’autant que l’expo va bientôt fermer.
A ma grande surprise, elle me fait passer par une étroite ouverture située entre un corps de bâtiment et le cloitre.
Le passage est obscur et fraichement agréable. A tâtons, nous trouvons un endroit ou nous assoir. Enfin, disons qu’elle s’assoit sur une pierre plate et m’invite à m’assoir sur ses genoux.
Elle m’attire à elle. Nos lèvres se joignent et nos langues se caressent. Sa main passe sous mon chemisier et s’attarde sur ma poitrine. Elle agace mon téton tout en reprenant ma bouche pour un long baiser.
- Tu es une fille facile ! murmure-elle, moqueuse, à mon oreille.
- Oui, dis-je après réflexion.
- Comment as-tu pu accepter de poser pour ces photos obscènes ?
- Parce que j’aime ça…
- Je vois. Tu es une petite putain, c’est ça ?
- On peut le dire, bien que je ne me fasse pas toujours payer…
Elle rit. Ses mains s’insinuent partout, tentant de se glisser sous ma ceinture.
- Ca te plairait d’être ma petite putain ? demande t’elle. Je te préviens, je n’ai pas de quoi te payer !
Nous rions, tout en essayant de ne pas trop faire de bruit car nos voix résonnent dans cet étroit boyau.
- J’accepte ! dis-je. Mais à condition que tu fasses preuve d’imagination !
- J’ai plus d’imagination que d’argent, ça devrait aller !
Je glisse ma main entre nos deux corps et je tente de déboutonner le haut de sa robe, mais elle repousse ma main.
- Non. A partir de maintenant, je dirige et tu obéis !
- Bien madame ! Au fait, c’est quoi ton prénom.
- Prune. Et toi ?
- Chan
- Eh bien, Chan, aimes-tu être soumise au bon plaisir d’une femme imaginative ?
- Je n’aime que ça…
- Alors, nous allons bien nous entendre…
Elle caresse ma chatte à travers la toile de mon pantalon. J’écarte les cuisses assez pour qu’elle puisse me donner des frissons mais tout en comprimant sa main pour qu’elle ne la retire pas.
- Tu aurais dû mettre une jupe… fait-elle.
- Oui, c’est un mauvais choix, je le reconnais…
- Tu devras être punie pour ça, n’est-ce pas ?
- Oui.
Elle continue à me caresser tout en me mordillant le cou. Je soupire. Le tissu de mon pantalon n’est pas idéal mais elle appuie ses caresses de façon à ce que je sente bien ses doigts pétrir mon sexe.
Elle a déboutonné entièrement mon chemisier et, tout en malaxant ma chatte, elle caresse ma poitrine et pince mes tétons.
- Tu as une culotte ? demande t’elle.
- Oui .
- Elle va être bonne à jeter…
- J’ai l’habitude…
- Tu aimes que je te pince comme ça ?
Elle a fortement pincé mon téton entre ses ongles, m’arrachant un cri. Elle rit et me fait ‘’chut !’’ d’un ton moqueur.
- Tu es une bonne fille ! murmure t’elle.
Je pense que je dois avoir quelques années de plus qu’elle, mais j’accepte le compliment.
- Merci !
Sa langue lèche ma poitrine. Elle goûte ma sueur et vient ensuite m’embrasser, déposant un baiser salé sur mes lèvres.
Je sens que que vais m’envoler, sous sa main qui malaxe mon sexe. Mais, juste au moment où je me sens partir vers le paradis, elle stoppe tout et m’oblige à me lever.
- Oh, non ! dis-je, déçue
- Je dirige et tu obéis ! Tu te souviens ?
Je serre les lèvres. La frustration monte en moi, provoquant, par un phénomène que je n’ai jamais vraiment saisi, une montée de désir.
A ce moment précis, elle peut tout me demander, je suis tellement excitée que je suis capable de tout.
- L’abbaye vient de fermer ! me dit-elle et elle m’entraine au dehors.
Au dernier moment, elle fait glisser mon chemisier sur mes épaules et me le confisque.
- Tu es bien plus belle topless ! dit-elle, moqueuse et elle me pousse vers la sortie.
La chaleur est intenable. Durant les quelques minutes pendant lesquelles nous rasons les murs du cloitre, je sens la transpiration couler dans le creux de mes reins.
Au lieu d’aller jusqu’à la porte de l’exposition, elle passe par une autre porte. Elle s’assure qu’il n’y a personne, puis elle me fait passer par une salle rectangulaire ou le mobilier attire mon attention.
- C’est la salle capitulaire ! me dit-elle.
Je parcours la salle, examinant les différentes stalles, sorte de sièges sertis dans des compartiments. C’est sur ces sièges que prenaient place les moines du chapitre, lorsqu’ils réglaient les affaires courantes de l’abbaye.
- Tu es surement la première fille nue qui traverse cette salle depuis la construction de l’abbaye !
- Possible, en effet…
Nous ne nous attardons néanmoins pas longtemps. Prune passe derrière une sorte de paravent richement décoré et me fait passer par une porte.
Derrière la porte, il y a une cloison amovible noire que je reconnais. Passant derrière, nous débouchons au cœur de l’exposition de photos.
- Nous allons parcourir chaque station de ce chemin de croix, fait-elle. Je pense que j’y puiserai de l’inspiration….
Nous passons devant la photo ou, à genoux, bâillonnée et les mains liées dans le dos, j’attends que Liah abatte sur mes fesses la grosse corde de chanvre.
- Déshabille-toi ! ordonne t’elle.
Je fais glisser mon pantalon sur mes cuisses et l’enlève. Ma culotte suit.
- Donne là moi ! Et enlève aussi tes sandales ! J’aime les filles pieds nus, dit-elle en s’asseyant sur la chaise sans doute prévu pour le gardien de l’expo.
Elle met ma culotte en boule, de façon à ce que l’intérieur de l’entrejambe soit mis en valeur. Evidemment, il est souillé par mes secrétions vaginales.
Elle lèche ma culotte, tout en me regardant. Puis, elle se lève et déboutonne sa robe.
Elle est entièrement nue dessous. Elle a de jolis seins en forme de poire et un joli minou blond-roux soigneusement entretenu.
Elle se rassoit et écarte ses jambes.
- Viens me lécher ! A genoux !
Je me mets à genoux et j’avance vers elle.
- Bien ! Voila une bien obéissante petite chienne !
Elle attrape doucement mes cheveux et dirige ma bouche vers sa chatte. Ses poils pubiens sont mouillés du produit de son excitation.
Je la lèche doucement, lapant sa liqueur comme une chatte le ferait avec du lait. Elle caresse mes cheveux et, les yeux mi-clos, savoure le contact de ma langue sur son clitoris.
La climatisation a été coupée et je commence à ressentir la chaleur que renvoient les vielles pierres.
La sueur coule dans mon cou, mes reins et entre mes fesses.
Je lèche et je lèche encore, avec application. Elle ne veut pas que j’utilise mes doigts.
- Juste ta bouche… précise t’elle, la voix un peu embrumée.
Sa liqueur sourd en un petit filet de liquide odorant. Je m’en délecte.
Elle soupire, respire fort, tandis que ses reins se creusent et je la sens partir doucement vers le nirvana. Elle jouit, en une longue mélopée presque silencieuse.
Il est vrai qu’une abbaye est un lieu de recueillement.
Elle m’attire à elle et embrasse mes lèvres encore pleines de son odeur intime. Puis elle se lève et défait la ceinture de tissu de sa robe.
- Reste à genoux, dit-elle.
Derrière mon dos, elle saisit mes bras et les tire en arrière. Je sens qu’elle attache mes poignets avec sa ceinture.
- Je n’ai pas de corde, hélas… dit-elle. Hmmm…. Je vois que, toi aussi, tu as une jolie ceinture !
Elle attrape mon pantalon et enlève la fine ceinture de cuir tressé. Elle la plie en deux et la fait siffler dans l’air moite de la pièce.
Elle retire la chaise, me tourne autour. Puis elle ramasse ma culotte souillée et, tirant mes cheveux en arrière, elle me la fourre dans la bouche.
- Ainsi, nous ne dérangerons pas les fantômes des moines !
Je me dis que les fantômes en question doivent déjà se repaitre du spectacle que nous leur offrons.
La ceinture s’abat sur mes reins. Je crie, surprise. Elle me fouette méthodiquement. Les fesses, les reins, le dos, les seins. Mon bâillon étouffe mes cris.
- Tu aimes ?
Je réponds en hochant la tête de haut en bas. Elle rit et recommence.
- J’aime infliger de la douleur, mais aussi du plaisir ! fait-elle.
Elle me pousse et me renverse sur le sol poussiéreux de la salle, et me positionne sur le dos, mes bras toujours entravés dans le dos. La position est inconfortable mais j’attends, les cuisses ouvertes, le plaisir promis par ma tortionnaire.
Elle commence par me lécher. Il y a de quoi faire, je suis trempée. Je gémis silencieusement, empêchée par le bâillon de pouvoir faire résonner ma voix sous la voute de la salle.
Puis sa main droite me caresse, triturant mes nymphes. Enfin, elle enfonce deux doigts, le majeur et l’index, dans mon vagin et entame un mouvement bien agréable de va-et-vient.
Je suis tellement ouverte qu’elle ajoute un troisième doigt.
Son pouce malaxe mon clitoris. Je gémis et je me tords. J’ai l’impression que mon corps est une chaudière qui ne demande qu’à exploser.
Le petit doigt rejoint bientôt ses frères et je comprends qu’elle va bientôt y ajouter le pouce.
- Tu as déjà été fistée ? me demande t’elle.
Je fais oui de la tête tandis que son pouce continue de torturer mon clitoris.
- Je m’en doutais un peu… fait-elle. Tu es d’accord pour que je te fiste ?
Je refais oui de la tête.
- Tant mieux ! De toute façon, je l’aurais fait quand même, j’ai trop envie de te posséder entièrement !
Elle pousse ses doigts en moi et, insensiblement ajoute le pouce. Le reste de la main passe facilement. Elle bouge un peu, pas trop mais suffisamment pour que j’y prenne du plaisir.
- Bonne fille… dit-elle, comme elle dirait ‘’bonne chienne’’.
Je sens soudain comme une vague qui me submerge. Empalée sur sa main, je me mets à hoqueter, à trembler et le plaisir s’empare de tous mes sens.
J’arrive à peine à respirer et je sens mon cœur battre à tout rompre. Mon corps roule sur la pierre du sol et ma tête se cogne sans que je puisse arrêter ce mouvement.
Attendant que je me calme, elle ressort sa main, petit à petit, de mon vagin. Je la regarde lécher ses doigts. Son sourire est rieur, satisfait.
Elle m’enlève la culotte qui obture ma bouche et rit quand je fais quelques mouvements avec ma mâchoire ankylosée.
- Ca va ? me demande t’elle.
- Oui. J’ai soif !
- Il n’y a rien, ici… quoique… il se trouve que j’ai envie de faire pipi !
Elle se lève et me force à me remettre à genoux.
- Quand il fait chaud, il ne faut jamais boire trop froid. L’idéal est de boire tiède…
Elle écarte ses cuisses juste au dessus de ma tête. Je me penche en arrière et ouvre ma bouche au maximum, malgré la douleur persistante à la mâchoire.
Un premier jet, fort mais bref gicle dans ma bouche et éclabousse un peu mon visage. Elle contrôle son méat et c’est un flot continu et très odorant qui remplit ma bouche. J’avale son urine au fur et à mesure et je sens le liquide tiède glisser dans ma gorge et descendre dans mon estomac.
Après avoir copieusement uriné dans ma bouche, elle frotte sa chatte sur mon visage, me souillant des restes de son urine.
- Bonne fille ! dit-elle à nouveau.
(à suivre)
4 місяці(-в) тому
And when Chan is thirsty, Plum provides!