Ma femme et son dépucelage anal

Ma femme se couche la première et après avoir rangé un peu, je la rejoins dans le lit. Je l’embrasse et me tourne pour m’endormir crevé. Ma femme est venue vers moi et m’a dit que la discussion l’avait excitée et qu’elle avait envie d’essayer, là, sur le champ. J’ai pris un coup de massue dont je me rappellerai toute ma vie. Elle ne savait pas par où commencer alors je l’ai installée à plat ventre avec un coussin sous les hanches. Je me suis glissé entre ses fesses et je lui ai embrassé l’anus. Il était tout contracté. Je l’ai léché longuement jusqu’à ce qu’il finisse par se détendre un peu. J’ai enfoncé ma langue dans son trou du cul et j’ai fait de petits va-et-vient entre ses fesses. Avec ma main, je caressais sa chatte qui mouillait abondamment. Je me suis dit que cela pouvait être possible finalement. Après de longues minutes à lui travailler l’anus, j’ai mis un doigt devant sa pastille et j’ai enfoncé ce doigt doucement dans son conduit anal. À ma grande surprise, il a glissé tout seul sans peine. Elle était totalement détendue. Elle m’a dit sur ton sexy de la prendre par le cul et de l’enculer. Ma femme s’est lâchée complètement et j’étais mal à l’aise du coup. J’ai appliqué une noix de gel sur son anus et j’ai pointé mon gland devant l’entrée de sa pastille. J’ai appuyé fortement jusqu’à ce que mon gland disparaisse entre ses fesses. Centimètre par centimètre, je me suis enfoncé dans son anus jusqu’à ce que mes couilles viennent buter sur son pubis. Lentement, j’ai commencé à la limer par le cul en étant à l’écoute du moindre bruit ou soupir qu’elle pouvait faire. Mais elle avait le souffle coupé et sa chatte dégoulinait de mouille sur le coussin. Au fur et à mesure, je sentais les parois de son anus se détendre et moins enserrer ma queue, ce qui m’a laissé le champ libre pour accélérer le mouvement. J’étais excité comme un fou, mais je me concentrais pour ne pas jouir. Ma femme ondulait sous mes coups de queues dans son anus et au bout de quelques minutes, elle a joui comme jamais dans un cri qui a dû s’entendre de l’autre côté de la rue. J’allais me retirer lorsqu’elle ma demandé de jouir en elle. J’ai recommencé à bouger et j’ai fini par me répandre dans ses entrailles. Elle a gardé mon sperme en elle toute la nuit.

Voilà donc l’histoire du dépucelage anal de ma femme. Et, dès le lendemain, elle a voulu remettre ça.











Relation i****tueuse avec ma mère

Depuis que papa est parti de la maison, maman est devenue très ouverte à propos de tout, absolument. Les secrets n’existent plus pour nous, et elle me raconte toujours tout à propos de toit ce que je veux savoir, tout comme je lui dis tout. Mais il y a un sujet sur lequel elle revient régulièrement, c’est le sexe. Je n’ai que quinze ans, mais elle ne m’a rien épargné. Le nombre d’amant qu’elle a eu, ses expériences avec des filles, la taille de sa poitrine ou même sa collection de sextoy, je sais tout d’elle sexuellement, et elle tiens à se qu’on se dise absolument tout là-dessus.

Du coup vous comprenez que le sexe, je baigne dedans depuis des années, je suis habitué. Pourtant, aujourd’hui à l’occasion de mon seizième anniversaire, il s’est passé quelque chose que j’aurais du voir venir depuis longtemps mais à quoi je n’ai jamais pensé.

Je suis rentré à la maison vers cinq heure. J’ai jeté mon sac à dos sur le canapé et ai enlevé mes baskets, puis je suis allé la rejoindre dans la salle à manger.

“Surprise !” s’exclama-t-elle en me prenant dans ses bras. “Le seizième anniversaire, c’est celui des premières fois !”. Je regardais sur la table, et il y avait en plus du gâteau rituel un paquet de cigarette, un briquet et une bouteille de bière. “Oh merci M’man, je vois que tu as bien retenu les cadeaux que j’ai demandé !” lui répondait-je en riant. On s’est tous les deux assis à la table et on a commencé ma petite fête d’anniversaire.

Après une heure à rire, fumer, boire et manger du gâteau, ma mère me chuchotta à l’oreille “Ce soir, c’est aussi le premier soir où tu vas apprendre à satisfaire une femme mon bébé.” Je savais ce qu’elle voulait dire, et ses petites caresses dans le cou me le confirmait. Je savaid que c’était mal, tordu et répugnant, mais je savais que ça allait arriver alors je n’ai même pas réagit, je me suis contenté de la regarder dans les yeux avec un grand sourire.

Elle glissa deux doigts sous ma ceinture et me tira doucement vers sa chambre. Elle m’allongea délicatement sur le lit et me dit en se mettant à genoux sur moi et en approchant son visage du mien “Si tu n’as pas envie c’est d’accord, mais ce serait tout de même bête de se priver d’une si belle occasion, non ?”. Je ne pris même pas la peine de lui répondre et l’embrassa sauvagement. Elle ferma les yeux, et je pouvais voir ses paupières tressaillir de bonheur pendant que nos salives brûlantes se mélangeaient et que mes bras l’enlassaient pour la faire grimper sur moi. Pendant que nos langues se frottaient, je glissait doucement ma main contre sa fesse. Elle arrêta notre baiser soudainement et se leva devant le lit sans rien dire. Elle retira doucement sa robe en me regardant aussi chaudement qu’elle pouvait, pour se révéler totalement nue en-dessous.

Et là, je pouvais admirer une petite brunette toute svelte, qui faisait 20 malgré ses 35, avec sa poitrine gigantesque, sa peau blanche, douce et rasée, son petit ventre plat, ses cheveux jusqu’aux nichons, et une petite touffe de poils bruns bien entretenue sur son pubis. Je bamdais comme un a****l en rut quand elle vint se remettre sur le lit.

Elle me retira mes vêtements pour dévoiler mon érection devant laquelle elle tombait en extase, elle comparait mon sexe à son avant-bras, qui l’égalait autant en longueur qu’en largeur. Et me regarda et baigayait : “si tu y vas maintenant tu bas me transpercer, on devrait se lubrifier un peu mon chéri.” Elle se metta à genoux au dessus de mon visage, face à ma queue, et passa la main dans mes cheveux, frottant délicatement son pubis poilu sur mes lèvres humides et me demandant : “vas-y bébé, je vais t’apprendre à faire tremper une femme juste avec ta langue.”

Je me mis donc à passer la langue contre ses grandes lèvres, puis les petites ensuite. Je pinçait délicatement son clitoris entre mes lèvres avant de donner de grands coups de langue dessus tout en malaxant ses énormes seins. Elle se mit à gémir et à tremblotter en soupirant : “oh mon dieu mon bébé, je n’ai rien à t’apprendre, c’est comme si tu avais fait ça toute ta vie !”. Je glissait doucement ma langue au plus profond de sa petite chatte poilue alors que l’une de mes mains descendait depuis ses tétons jusqu’à son cul, aussi énorme que magnifique. À peine ai-je eu le temps de lui mettre une claque sur la fesse que je la senti avoir un violent spasme, avant d’entendre un petit cri de sa part pendant que sa cyprine me degoulinait absolument partout dans la bouche.

“Je pense qu’on devrait être bon pour un moment tu ne crois pas ?” me dit-elle en reprenant son souffle. Sans même prendre le temps de lui répondre, je l’agrippa par les cuisses et la plaqua sur le lit. Elle poussa un cri de surprise alors qu’elle sentait mes lèvres faire un suçon sur sa fesse. Je dirigea lentement ma langue vers son anus et l’y plongea aussi profondément que possible. J’entendit un petit gémissement; elle s’apprêtais à me dire d’arrêter, mais c’était ravisée. Après un moment à l’entendre gémir pendant que ma langue faisait de lents vas et viens humides en elle, je lui retira ma langue et posa mon sexe brulant et dur entre ses fesses. Elle prenait une grande respiration, sachant ce qui allait se passer, juste avant que je m’enfonce profondément et sans retenue au fond de son énorme cul si grâcieux et serré. Et poussa un cri, entre la douleur et le plaisir, puis se retourna pour passer ses jambes autours de mes hanches et ses bras à mon cou. En voyant son regard imbibé de larmes et son sourire tremblotant, je commençais à la bourrinner de toutes mes forces en la plaquant contre le lit. Elle se mit à hurler de douleur ou de plaisir, mais je n’en avais rien à faire et lui enfonçait ma langue dans la bouche en la tenant par les cheveux et en continuant de la massacrer aussi fort qu’elle le méritait. Elle jouais avec sa langue contre la mienne pendant qu’elle bougeait ses hanches pour m’en demander plus. Je continuais de la défaire aussi brutalement qu’elle le demandait contre sa base de lit, sentant mon sexe serré, plongé au fond de son anus.

À peine une minute après cette v******e intense, elle brisa notre baiser pour hurler de plaisir, prise par des spasmes de v******e pendant que sa cyprine giclait partout contre son matelas et contre moi. En découvrant avec bonheur que ma mère était une femme fontaine, je me retira brutalement de son cul pour planter d’un geste brutal mon pieu au fond de sa chatte. Elle continuait à bouger ses hanches et replongea sa langue dans ma bouche de plus belle, les joues plein de larmes, de douleur comme de plaisir, pendant qu’elle ne cessait de mouiller de plus en plus.

Après près d’un quart d’heure à détruire ses deux petits orifices à tour de rôle en la voyant noyer sa literie dans les larmes, je jouissait enfin, envoyant une longue traînée blanche contre sa poitrine et son visage.

Alors qu’elle se nettoyait à grand coup de langue tel un chat, je m’allongeait sur le lit avec un grand sourire. Elle vint s’allonger à côté de moi, posa ma tête entre ses seins et me murmura “après ça j’aimerais voir si tu as bien compris comment on fait, om recommence ?” Elle gloussa avec un sourire en caressant mes cheveux, avant que nous finissions tous les deux endormis..


Avec ma sœur


Waaw! Il est 9 heures je suis toujours dans mon lit comme tous les mercredis. Enfin je me décide de descendre prendre mon petit dej. Je suis là! assis à apprécier mon bol de lait en petite tenu (juste mon caleçon).

Le bruit d’une porte qui s’ouvre attire mon attention. Ne serais je pas seul? Les grincements de l’escalier me font comprendre que c’est ma sœur qui fait l’école buissonnière. je me fais tout petit, je vais la prendre en “flag” Elle, toujours la première de la classe, toujours cité en exemple.

Que vois je, deux pieds, puis deux jambes, je ne la savais pas si bien gaulé….. Mais elle est entièrement nue! Je me ratatine encore plus. C’est bien ma sœur nue! combien de fois j’ai rêvé de cela ,mon fantasme le plus récurant. J’ai honte de le dire, mais comme tous ados je crois. J’ai envie de voir des filles nues en vrais, pas sur l’ordi ou à la télé.

Dans cette fichue maison il n’y a que ma sœur et ma mère et je souhaite bien les mâter dans leurs plus simples appareils mais je n’ose pas, par peur de me faire prendre.

Elle passe devant moi sans me voir, c’est vrai elle se croit seul. Dans mon imagination je l’avais idéalisée, mais là! elle était encore plus excitante, des petits seins rond juché de deux gros tétons entourés de larges aréoles rose brun, rien qu’avec ça!…. j’avais de quoi me masturber et me remasturber.

En quelques secondes, mon regard passait de ses magnifiques seins fermes (c’est vrais qu’à seize ans ça doit être rare qu’ils tombent) à son entre jambes, je voyais à peine son petit sexe, un simple trait, je m’attendais à plus (exemple) à des petites lèvres qui dépassent comme dans les films, pas le moindre poil sur son pubis . elle doit se raser, encore un de mes fantasmes, être assis en face d’elle lors de ses séances de rasage ou d’épilation, même si petit, je le voyais son minou qui se détachait bien du reste de son corps très blanc par sa pigmentation de la même couleur que ses aréoles. “elle a la chatte d’une noire”

A mon grand regret je ne pus voir plus, elle disparaissait déjà dans l’angle du couloir qui mène à la salle de bain. Mon cerveau travaillait à cent à l’heure. Que dois je faire? me cacher sous la table, disparaître dans ma chambre? non! Je décide de rester à ma place et attendre son retour.

Comme elle se croit seul elle sortira nue et avec un peu de chance elle ne me verra pas pareillement à son premier passage.

Déjà une demi heure que j’attend et encore une demi heure, enfin j’entends s’ouvrir cette maudite porte, je me prépare à revoir “Line” ma frangine nue, cette fois je fixerais sa chatte pour mieux voir, tout à l’heure c’était trop bref je m’étais trop attardé sur ses seins. Le plus important c’est le sexe quand même!

Elle apparaît tel une star de magazine, nue, magnifiée par le rayon de soleil qui entre par la baie vitrée du salon, Déjà prévu à l’avance mes yeux vont directement à sa vulve. J’eus à peine le temps d’apercevoir sa fente qu’une de ses mains cacha son intimité tant convoité par “bibi” et l’autre main couvrant ses seins. Ces gestes étaient accompagnés de cris irréfléchis “tournes ton regard, tu mâtes ta sœur, vicieux, ça fait longtemps que tu es là?” Merde! j’étais découvert. Elle s’empressa d’entrer dans sa chambre et de prendre soin de fermer la porte. Ce qui m’a pas empéché de reluquer son postérieur au passage.

Alors là! c’était la honte de ma vie, je regrettais, pourquoi ne m’étais je pas plus cacher? Je restais assis tout gêné ne sachant plus quoi faire, au bout d’un long moment il fallait bien faire quelque chose. Je décidais de la prier de pardonner mon comportement. Pas du tout digne d’un frère.

j’arrive devant sa porte, hésite quelques minutes, j’en profite pour écouter, j’entends rien, pas de pleurs. Bon signe! je toc à la porte. Un “Entres” presque simultané me surpris. Elle est assise sur son lit les jambes sous ses fesses (incorrigible mes fantasmes reviennent) . Sans me laisser parler elle me demanda de l’excuser de son comportement, qu’elle n’avait pas à marcher nue dans la maison, si elle ne voulait pas qu’on la voit.

Qu’elle soulagement! c’est vrais après tout, elle est plus fautive que moi.

Le plus grand gaffeur de la terre c’est moi,SUR. Voulant bien faire je lui bredouille ” oui j’aurais pas du attendre ton retour”. Quoi? me fit elle tu as attendu une heure assis sur ta chaise pour me voir nue? oui, simplement sorti de ma bouche. Tout penaud je ne savais où me mettre.

Debout devant elle comme un enfant puni je ne fantasmais plus. Elle se mit à rire, détends toi me dit elle et regaffe de ma part voulant encore m’excuser j’entendis sortir de ma bouche. “Je t’ai trouvée très belle” Voila la plus grosse gaffe. Elle me foudroya du regard, cesse de t’enfoncer. Tu me dragues là? à ce moment elle repartit dans un fou rire, Si tu te vois mon pauvre.

Assis toi près de moi, Tu sais y a pas longtemps j’étais ado comme toi. Elle avait pris sa voix de grande sœur, moi aussi j’avais ce besoin de voir comment est fait un adulte,
J’ai voulu voir mon père nue et je l’ai vu, son sexe n’est pas aussi gros que ceux des films porno, (tiens ma sœur regarde des films porno,c’est une petite salope) en voulant voir papa j’ai vu maman nue, elle a de gros seins magnifiques, si tu voyais sa chatte énorme, j’entre pas trop dans les détailles tu verras toi même. Toi aussi je t’ai déjà vue nu, comment ça! à mon tour de jouer l’offusquer.

Si! me dit elle, c’était il y a deux ans. Quoi! j’étais encore très jeune fis je, c’est vrais que tu étais jeune tu avais un zizi tout riquiqui, mais comme je vois à travers ton short ça a pris de la grosseur depuis.

J’étais sur le bord du lit avec une énorme bosse qui déformait mon short, je n’avais plus honte, pendant qu’elle me parlait elle fixait mes formes sans gène aucune.

C’était à mon tour de parler, je rebondissais donc sur mon “zizi riquiqui”, Oui lui dis je, tu sais cela fait un moment que zizi est devenu queue, à l’heure d’aujourd’hui c’est une bite.

Ah bon me fit elle. Tu l’as déjà mesuré? combien mesure t’elle? Je ne savais plus quoi répondre, faute de réponse je bougeais ma tête de droite à gauche. Parce que en dessous de quinze c’est zizi. Je lui dit aucune idée.

“Ok” je prend mon double décimètre et tu mesures ça. Je lui dis que je ne pouvais faire cela surtout devant elle. Comment ça? Tu n’étais pas gêner tout à l’heure pour me mâter, tu as un avantage sur moi, Tu as vu ma chatte, allez dégaine la chose et mesure la sinon c’est moi qui le fait, comme je n’exécutais pas assez rapidement elle me sauta dessus, me pris la tête entre ses jambes (elle fait du judo)et se mit à baisser mon short, je dois reconnaître n’avoir pas fait de gros efforts pour la défendre.

L’image que j’avais sous les yeux, les fesses de ma sœur, les formes de son sexe que je voyais au travers de son petit short tendu, me retirais toute envie de résister, je sentis sa mains qui extirpait mon pénis de mon short, elle prit sa règle, me cria c’est c’est bien une queue! elle mesure 17 cm, j’étais fière, au passage elle m’avait décalotté.

Je pris mon courage à deux mains, j’écartais son short pour voir sa chatte, elle ne broncha pas, timidement j’avançais mon nez de sa vulve, j’allais sentir pour la première sentir le sexe d’une fille, je humai son vagin, ça sentait bon.

Enlève ma culotte si ça te gène. Elle se mit sur le côté pour me faciliter la tâche, je fis de même, son petit bout de toile enlevé, la chose de tous mes fantasmes était à quelques centimètres de mes yeux, de mon nez, de ma bouche. Je lui dis toi aussi tu peux enlever mon short, elle ne se fit pas répéter deux fois, on aurait dit qu’elle était pressée. elle me l’arracha presque.

Maintenant on était tous les deux entièrement nus, on prit le temps de se regarder, ma tête s’avança vers la sienne, on colla nos bouches nos langues s’enroula l’une sur l’autre c’était mon premier baiser, je la repoussai gentiment pour pouvoir apprécier la beauté de ses seins, ils étaient durs”surement l’excitation” je me mis à les téter comme un bébé, elle semblait adorer ça, elle me caressait la tête comme une maman.

Je descendis lentement vers son sexe sans oublier d’honorer son petit nombril que je léchai goulûment, enfin je suis arrivé à destination, je pouvais admirer le sexe de ma sœur, je pris le temps qu’il fallait pour apprécier pour mémoriser toutes ces images, qui étaient à ce moment devenue réelles, encore plus bandantes que tous ce que j’avais pu imaginer.

Pendant ce temps ma sœur ne restait pas inactive, après avoir elle aussi regarder ma queue comme si elle n’avait jamais vu de pénis. Elle avait commencé à la lécher d’abord timidement, mais maintenant elle y allait franchement, une main repoussait mes testicules vers l’arrière, en même temps qu’elle avalait mes 17 cm comme une vrais pro, “elle était douée ma salope”. Une salope une vrais car ce qu’elle fit m’époustoufla, elle écarta mes jambes puis mes fesses, elle me caressait l’anus, j’adorais ce quelle faisait, puis me lécha le fion, cette sensation de chaleur et d’humidité, me rendaient fou de plaisir.

Je pense qu’elle essaya même de me mettre un doigt, je ne voulais pas q’elle me doigte non pas que je n’aime pas ça (je l’ai déjà fait) mais elle me prendra pour un PD. Elle essaya bien mais ne réussi pas.

Moi aussi j’écartais ses fesses, jamais je n’aurais pu imaginer qu’un trou de fesse puis être aussi joli, ce tout petit trou à peine plissé, de la même couleur que son sexe, m’invitait à y fourrer ma langue, c’est ce que je fis. Instantanément elle poussa des couinements. J’avais surement déclencher quelque chose, car ses fesses m’écrasèrent la tête, j’essayais de durcir ma langue pour l’enfoncer dans son fion mais impossible.

C’est à ce moment que son bassin commença à évoluer d’avant en arrière. Je déduisis qu’elle voulait que je lui lèche et le fion et le minou, c’est ce que je fis, elle se laissait aller elle n’avait plus de retenue.

Subitement, sans que je m’attend elle se retourna, s’allongea sur dos écarta ses jambes. Je compris, elle voulait que je la prenne, sa chatte était plus qu’humide, y avait un petit jus blanchâtre qui y suinté, je voulu la lécher une dernière fois mais elle me cria dessus.

Qu’est ce que tu attends grand con! met le moi ta bitte, je voulu encore une fois bien écarter sa moule pour ne pas la faire mal, mais elle me gueula dessus enfonce la cette queue, défonce moi.

Débarrassé de tout scrupule, je l’écartai au maximum, pointai mon gland à l’entré de son vagin et avec force sans aucune retenue je la pénétrai, elle cria de plus belle, surement de douleur, j’eus peur et voulu m’arrêter.

Vas y prends moi, défonces ta sœur, salaud, fais moi mal. Maintenant que mon pénis était dedans, moi aussi j’avais envie de la défoncer de la transpercer, de la faire mal.

Des insanités Sortaient de sa bouche, elle me traitait de salaud, de vicieux, de PD, son bassin allait d’avant en arrière, elle me cria maintenant, plus fort salaud, plus vite, ces paroles me stimulèrent encore plus, j’accélérai, mes testicules tapaient son cul. Hélas! cela ne dura pas.

Je n’aurais jamais imaginé que cette fragile fille d’apparence puis être aussi forte. Dans son déchaînement elle me prit les cheveux (que je porte mi long).me secoua, elle était devenu folle. Elle ne couinait plus, elle criait, elle m’insultait.

Il n’y avait pas qu’elle qui prenait son pied, je sentis un délice envahir tout mon corps, je me dressai sur mes orteils, je voulais retenir cet éjaculation, mais ne pus rien y faire c’était trop bon, C’est dans un râle bruyant que je lâchais tout, tout mon sperme dans les entrailles de Line ma sœur, je poussais plus fort, comme si je voulais lui donner encore et encore du plaisir, mais rien à faire mon corps se ramollissait, mon pénis suivait le mouvement lui aussi mollissait.

Je vis le corps de la petite garce de Line se relâcher, elle me regarda avec amour, me demanda de m’allonger près d’elle me fit promettre avec des mots crus, “Tu m’enculeras la prochaine fois” tu seras plus salaud.

La prochaine c’est dans un instant ma chérie, elle sourit, prit mon sexe encore gluant dans ses mains et comprit que je ne plaisantait pas car ma queue se réveillait déjà, elle me sourit, CHIC! Dans l’anus cette fois, vas y franco fais moi mal.


Ma cousine très salope

C’est par un bel après midi d’été que je me suis lancé un drôle de challenge.
J’ai décidé enfin de me bouger le cul pour aller m’aérer un peu les esprits et lâcher un peu cette console de jeux video qui commence à me brûler les yeux.
Le soleil est au beau fixe par chez moi et je décide donc d’aller dans un bar du coin pour siroter une petite pression sur la terrasse.

Je m’installe et commande mon verre au barman tout en reluquant les petites jupettes qui défilent sous mes yeux. Nous sommes en plein centre de Toulouse et cette ville remplie d’étudiantes plus sexy les unes que les autres est un vrai nids à salopes et surtout un paradis pour les voyeurs comme moi.
Tout à coup j’entends un rire qui me rappelle quelqu’un, venant de quelques tables derrière moi.
J’y crois pas.
Je vois alors, attablée avec un mec et face à moi ,ma cousine Léa, qui habite à plus de trois cent bornes d’ici quand même.
« elle me reconnaît direct et me fait un coucou avant de m’inviter à venir lui faire la bises »
S’ensuit alors un dialogue pas vraiment pertinent et plutôt traditionnel et protocolaire :
« -alors mon cousin adoré ! Comment ça va ? Je te présente Richard, mon petit copain depuis 2 ans. »
« -enchanté richard. Je suis Paul, le cousin de Léa »

Tous deux m’invitent alors à les rejoindre, ce que je fais sans hésiter après être retourné prendre mon demi sur ma table.
Elle n’a pas changé…Je pense souvent à elle car, même si je sais que ce n’est pas vraiment très saint, je me paluche souvent le soir avec ma petite chaussette en m’imaginant défoncer le cul de ma petite cousine. Elle représente tout ce que j’adore chez une femme.
Elle à tout juste 20 ans, un corps ferme, des seins en pomme ni trop gros..ni trop petits, et surtout des petites taches de rousseurs sur le visage qui s’accommodent parfaitement avec sa couleur de cheveux rousse et ses longs cheveux qu’elle vient aujourd’hui d’attacher derrière sa tête.

Elle me demande des news de mes parents et me fais comprendre qu’elle aimerai bien revoir du coup son oncle et sa tante vu qu’elle est dans la région.
Son chéri profite alors de l’occasion pour se lever et lui proposer d’aller faire quelques courses pendant qu’elle m’accompagne , à deux pas d’ici, chez mes parents.

Il s’éloigne et nous restons tous les deux, attendant que le garçon de café passe dans le coin pour lui régler les consommations.
Tout à coup, un gus s’approche de notre table, pose la main sur l’épaule de Léa et commence à s’approcher d’elle pour lui faire un baiser…sur la bouche.
Sans même m’avoir salué ! Ce type a un culot fou !
Elle le repousse en lui disant assez violemment :
»-Pas maintenant Rémi ! On va nous voir et mon mec n’est pas loin »

La salope !
Elle qui me faisait toujours la morale sur la fidélité et m’assurait qu’il n’y avait pas mieux que la confiance dans un couple pour vivre des instants précieux !
La voilà qui a carrément un deuxième mec sur place.
Elle me regarde un peu gênée et demande alors à son galant de bien vouloir la rappeler plus tard sur son portable.
Le mec semble coutumier à ses exigences et se casse direct sans même me dire au revoir.

Je fais mine de rien comprendre mais, je n’oublie pas ma coquine !!!…Je ne suis pas prêt d’oublier ce moment.
Le barman approche, je règle la note car Léa semble totalement confuse et paumée. Je la prend alors par la main pour l’inviter à aller rendre visite à sa petite famille.

Une fois arrivé chez moi, nous buttons dans une villa vide. Mes parents ne sont pas là.
Je pose mes clés sur la table d’entrée et invite ma cousine à s’asseoir sur le canapé dans le salon alors, qu’au même moment, j’aperçois sur le buffet un mot de mes parents qui me disent qu’ils sont partis au ciné voir un film et qu’il mangeront sur place à midi.

Je propose une bière à ma cousine et ne lui annonce pas pour le moment qu’elle n’est pas prête de les voir si elle compte pas rester jusqu’à ce soir…
Elle saisie la canette, défroisse un peu sa petite robe rose avant de s’asseoir et me dit :
« -tu sais, j’aimerai vraiment que ça reste entre nous »
Je vois alors là une opportunité grandiose pour profiter de la situation.
Après tout, ça fait quasi 3 ans que je me paluche en m’imaginant lui péter le cul…pourquoi ne profiterai-je pas de l’instant pour dealer un arrangement

« -tu sais c’est gros ! Je ne sais pas si je vais pouvoir garder un secret aussi énorme…il semble si amoureux de toi en plus ton Richard ! »
Je m’assoie à ses côté, très proche voir quasi collé à elle…
Elle ajoute alors :
« -tu veux quoi pour garder le silence ? »

Mon premier réflexe aurai été de lui dire subitement
« Je veux juste t’enculer !» mais je me suis tout de suite retenu, voyant par là un côté pas vraiment diplomate et très sensuel d’apporter la chose sur la table.

Je racle un peu ma gorge, fixe son mignon petit cul assis avec insistance de manière à ce qu’elle s’en rende compte immédiatement et hoche de la tête légèrement.
Le message est passé. Après tout, qu’avons-nous à perdre.

« je suis ta cousine Julien ! J’espère que tu ne pense pas à ce que je crois »

Je ne me démonte pas et pause ma main sur sa cuisse. Je la caresse alors légèrement et me met à bander comme un taureau.
Elle ne dit rien, reste plutôt estomaquée et repousse timidement mes avances.
J’insiste et recommence en lui soufflant légèrement dans l’oreille :
« -j’ai vraiment l’impression que tu tiens quand même à Richard. Je ne sais pas ce qu’a ce cornu de plus que moi mais je sais que tu feras tout pour rester avec lui…je me trompe ?! »

Elle pause ses mains le long de ses cuisses, me regarde fixement et ne bouge plus.
Je dirige alors directement ma main vers la chatte de ma cousine.
Je reste surpris sur le coup de me rendre compte que la petite cochonne n’a même pas de culotte.
Me voilà direct, un doigt plongé dans sa chatte qui mouille abondamment.
Je rentre directement un second doigts et commence à la sentir prendre du plaisir.
Je retire ma main, la fait se lever et se retourner, le cul bien en bombe face à mon visage.
Je soulève alors sa jupe et dirige directement ma langue dans son petit trou du cul qui sent bon la rose. De toute évidence elle prend soin de son corps avec des crèmes bien douce la chaudasse.

Me voilà en train de lui lubrifier le petit à coup de langue.
J’ouvre ma braguette et sors ma queue qui n’en peu plus du spectacle.
Je dirige alors mon gland gonflé dans son anus et commence à rentrer délicatement l’engin.
Ca ressemble pile poil à la scène que je m’imaginais souvent quand je me branlais en pensant à elle.
Je la saisi par sa queue de cheval et la bourrine en levrette, ma bite bien enfoncée au fond de son cul.
Mes mouvements de vas et viens et mes couilles qui viennent s’écraser contre son cul lui procurent un plaisir intense.
« -t’aime te faire enculer je vois ! »
« -tu diras rien hein ? Tu diras rien ? »
« t’as gueule cousine et prend ça dans ton petit cul ! »

J’essaie de l’enculer le plus longtemps possible, histoire de profiter de ce moment si rare qui, je pense sérieusement, n’aura peut-être plus vraiment l’occasion de se reproduire.

Elle se met à couiner comme une truie ! Je lui saisi ses seins par derrière, altèrne en la tiraillant par les cheveux et me met à lui cracher la purée dans le trou du cul.
Après un râle de bête , je me retire , le sperme encore dégoulinant de ma verge et coulant le long de son cul et contemple son anus qui recrache mon jus.

« -tu as gagné mon silence ma cousine »

Elle se dresse, remonte sa culotte et me regarde avec des yeux plutôt rieurs.
Elle ajoute alors
« tu sais finalement, c’était mieux que ce que je voyais dans mes fantasmes quand je me doigtais dans ma chambre en t’imaginant me prendre comme une chienne ! »

Comment dit-on déjà ? A oui..l’arroseur…arrosée


Ma petite copine

j’aimerais partager une histoire pornoqui m’est arrivée il y a quelques années maintenant, quand je n’avais que 19 ans. J’étais parti en vacances avec une copine, Juliette, et sa mère divorcée, Florence. Juju était très mignonne et naturellement, je me la tapais.
Officiellement, sa mère l’ignorait, mais elle n’était pas dupe. Elle surveillait tout de même de très près Juliette, qui était sa fille chérie. Juliette était à croquer, sa mère Florence l’était tout autant: toute petite mais assez bien proportionnée et sexy. Elle faisait beaucoup moins que ses 44 ans. Comme de son côté, Juliette faisait plus que son âge, on aurait presque pu les prendre pour deux soeurs. Elles étaient très complices, jusqu’à afficher un comportement plutôt équivoque, des mains baladeuses, de fréquents petits bisous sur les lèvres.

Quand je faisais l’amour à Juliette, je m’imaginais de façon perverse que nous le faisions tous les trois ensemble (mais hélas, la chose ne s’est jamais faite !). Déjà à deux, c’était difficile de tenir dans ma tente, aussi inconfortable que minuscule. Alors j’ai baisé Juliette partout: dans les sanitaires, dans les cabines de bain de la piscine, derrière les cuisines… Le quatrième jour, Juju m’a glissé discrètement à l’oreille : « Viens me rejoindre ce soir sous notre tente, mais fais gaffe à ne pas réveiller Maman ! » Elles occupaient une tente à deux chambres.

La nuit venue, seulement vêtu d’un slip de bain, je me suis glissé à quatre pattes dans leur tente. J’ai rampé à tâtons jusqu’à la chambre de Juliette, dans la plus totale obscurité. Ma main a rencontré un pied nu, Juliette a sursauté, je l’ai rassurée : « Chut, c’est moi, Denis ! » Son corps s’est apaisé. Mes mains ont remonté les chevilles, les jambes, les douces cuisses que j’ai embrassées. D’elles-mêmes, elles se sont ouvertes, et j’ai pu accéder à une petite chatte déjà bien humide. Je l’ai explorée, léchée, puis bue. Le jus en sortait en abondance, délicieux. Mais son goût m’a mis la puce à l’oreille. Il ne ressemblait pas à celui de Juliette dont je m’étais déjà bien abreuvé.

Un gros doute m’a envahi, amplifié lorsque j’ai tâté des seins bien fermes mais pas très gros, alors que malgré son âge, Juliette possédait de véritables obus. Et c’est alors que m’est parvenue la voix de… Florence : « Tu es quand même gonflé mon petit chéri, tu te rends compte, si Juliette nous surprenait ?« Je m’étais gouré de chambre !Je suis resté pétrifié. Continuer ? Partir ? Florence a donné la réponse à la question que je n’avais pas posée : elle m’a attiré à elle et a collé sa bouche à la mienne, recouverte de son goût. Elle a soufflé : « Baise-moi, depuis le temps que j’en ai envie ! » Incroyable.

J’ai baisé sa mère

Après la fille, j’allais me taper la mère. De suite, j’ai été dans Florence, qui ondulait lascivement sous moi. C’était tellement bon et inattendu qu’à peine une minute après l’avoir pénétrée, j’ai joui dans sa petite chatte. Penaud, je me suis excusé. « Pas grave, repose-toi, on remettra ça tout à l’heure et tu tâcheras de te montrer plus brillant, Enfin, j’espère… » Flo s’est rendormie, moi pas. Puis, c’est peu de dire que nous avons remis ça. Pendant plusieurs heures (entrecoupées de pauses, tout de même !), nous avons baisé comme des fous. Florence était aussi chaude que Juliette, mais beaucoup plus vicieuse.

Elle a fait découvrir au jeunot que j’étais de nouvelles positions. Elle m’a sucé divinement, bien mieux que sa fille, parfois un peu malhabile. Tout en baisant, elle chuchotait continuellement des obscénités, et elle insistait aussi pour que je lui en dise. Je peux vous dire que je ne m’en suis pas privé ! Un court instant, j’ai pensé à Juliette qui devait se morfondre pendant que je défonçais sa maman. Mais déjà, Florence était sur moi, à califourchon. Elle allait s’enculer « elle-même ».

Elle s’est mise au-dessus de ma bite tendue, grande première pour moi, afin de s’y visser l’anus. C’était extraordinaire. Serré et chaud, l’odeur, fascinante, comme de l’encens très fort, la sensation d’être au fond de son cul… Le temps de reprendre mes esprits, elle était à quatre pattes, et je lui éclatais son petit cul en cognant fort contre ses fesses. Je m’y suis entièrement vidé dans un gros râle. Il faisait chaud sous la tente, Florence ruisselait littéralement de transpiration, de la tête aux pieds. Cela aurait pu être désagréable, mais cette baise « mouillée » assortie d’un érotique chuintement ajoutait un plus très excitant.

J’aurais voulu finir la nuit avec elle, mais elle m’a conseillé prudemment de regagner ma tente. Le lendemain, Juliette m’a engueulé de lui avoir posé un lapin. J’ai menti, dit que je m’étais endormi. Je pensais qu’elle avait tout entendu. Mais non, rien, son sommeil de plomb avait protégé notre secret, à sa mère et moi. Les jours qui ont suivi, c’est vraiment devenu n’importe quoi. Florence m’a tacitement donné l’autorisation de baiser sa fille dans la journée, si c’était elle que je venais baiser la nuit ! Juliette a toujours ignoré nos rapports à Florence et à moi, du moins je le suppose.

Les choses ont évolué. Je baisais Juliette, maisje faisais de plus en plus l’amour à Florence. D’un peu bestiaux dans les actes et très crus dans le langage, nos ébats se sont faits de plus en plus tendres et amoureux. J’embrassais Florence interminablement, jusqu’à en perdre haleine. J’étais devenu complètement dingue d’elle, à tel point qu’elle a dû me rappeler notre différence d’âge… Vingt-six ans, hélas ! À la rentrée, comme on habitait dans le même quartier,j’ai refait l’amour des dizaines de fois à Florence, mais plus jamais à Juliette, qui s’était trouvé un nouveau copain, sûrement plus assidu.

Florence me rejoignait parfois dans ma chambre d’étudiant, aussi. Je ne saurais dénombrer les nuits blanches et fauves, passées à baiser comme des brutes ! Et, à défaut de pouvoir réunir Juliette et Florence, j’avais organisé une mémorable partie à trois avec une copine étudiante, Sylvie. Florence n’avait pas rechigné à se gouiner avec elle. Mais le meilleur, c’était quand même nos interminables joutes amoureuses, rien qu’à deux. Au bout de deux années comme ça, Florence m’a brisé le coeur. Elle avait rencontré un homme de son âge, elle voulait lui être fidèle… Mais ce fut quand même une bien belle aventure, surtout quand on pense qu’elle a démarré sur une grosse méprise !


Ma toute première sodomie

Ce matin, j’ai encore mal au cul. Moins qu’en me couchant hier soir, mais tout de même, suffisamment pour avoir un peu de difficultés à marcher sans douleurs. Il faut dire que je me suis fait enculer pour la toute première fois, c’était ma toute première sodomie. Je crois que je m’en souviendrai longtemps. Cela dit, n’allez pas croire que j’en garderai un mauvais souvenir. Le bonheur que j’ai pris à me faire déboîter le cul compense largement les légers désagréments que je ressens aujourd’hui. Simplement, je vais mettre quelques jours à m’en remettre. Ce sera sans doute moins grave la prochaine fois. Je pense que je vais faire mon possible pour m’assouplir la rondelle en attendant, avec ce qui passera à portée de main, mais en renonçant pour l’instant à y enfiler de trop grosses bites. Peut-être vais-je me contenter d’un petit plug anal en attendant d’être prête et en augmentant peu à peu le volume.

Hier soir, j’ai eu les yeux plus gros que le cul et j’ai dû un peu surestimer mon potentiel d’absorption. Pourtant, quand Eric m’a prise, je me suis sentie très bien. Ce n’est qu’après, de retour chez moi, que j’ai commencé à souffrir un peu. Je me suis bien endormie mais c’est vrai que, ce matin, j’ai du mal à me déplacer. Même assise, je souffre de l’anus. Ce n’est pas très grave, je vais en profiter pour vous raconter comment mon amant m’a défloré la pastille. En même temps, ça me permettra de revivre ce grand moment de ma vie sexuelle.Quand je suis arrivée chez Eric, nous ne nous connaissions pas beaucoup. Il savait cependant pourquoi je venais le voir. C’était en effet sur les conseils d’une de mes amies que je lui rendais visite. J’avais parlé à celle-ci de mon envie toujours grandissante de sodomie et en même temps de la crainte que j’éprouvais que mon dépucelage anal se passe mal. Elle m’avait conseillé de sauter le pas avec Eric, son ancien amant, qui lui avait toujours donné satisfaction en ce domaine. Comme je suis assez libérée, je n’ai eu aucun mal à le contacter, ni à lui expliquer la raison de mon appel téléphonique. Il m’avait donné rendez-vous le surlendemain. Inutile de vous dire combien j’étais surexcitée en attendant le jour fatidique. J’ai d’abord pensé à me masturber et à me dilater le trou du cul pendant les deux jours de délai qui me séparaient de ma défloration, mais j’ai au bout du compte préféré ne pas m’abîmer la corolle inutilement. Je suis arrivée chez l’Italien avec l’anneau encore bien serré.

Nous avons commencé par faire l’amour classiquement. Eric est un solide gaillard d’une trentaine d’années tout à fait charmant. Il s’est montré prévenant et doux avec moi. Comme je l’ai trouvé sexy et attentif, j’ai pu me donner à lui sans peine. Cela a grandement facilité la suite des opérations. Il m’a prise une première fois, en toute simplicité, pour, m’a-t-il dit, ” se vidanger les couilles ” et faire baisser la tension qui l’habitait depuis qu’il attendait ma venue. J’ai eu un orgasme assez rapide et fort tandis qu’il se déchargeait les burnes dans mon ventre. C’est seulement ensuite que les choses sérieuses ont commencé.

Eric m’a laissée souffler peu de temps. Il est vite revenu à la charge. J’étais couchée sur le ventre, sur son lit. Il s’est mis derrière moi et a commencé à me pétrir les fesses en douceur. Instinctivement, j’ai écarté les cuisses, comme pour lui demander d’aller me caresser la chatte par derrière. Il ne s’en est pas privé, malgré le fait que son sperme s’écoulait encore de mon trou, mêlé à ma mouille surabondante. Il a appuyé sur le matelas qui s’est abaissé et il a pu ainsi venir me fourrer deux ou trois doigts, je ne sais plus très bien, directement dans la moule. J’étais déjà en train de m’exciter à nouveau. Mon bas-ventre se soulevait, de même que ma croupe, pour lui faciliter le passage. Mon amant se chargea de recadrer la situation.

Il entra et sortit à plusieurs reprises sa main d’entre mes cuisses. À chaque fois, il prenait un peu de lubrifiant naturel pour aller en déposer dans la raie de mon cul. Avec le tranchant de sa main, il écartait les globes de mes fesses et me badigeonnait la fente de derrière, toujours plus au fond. Je le sentais qui passait sur mon œillet affolé. A la fin, il faisait même un peu tourner sa main comme s’il voulait évaser mon trou. La tête enfouie dans l’oreiller, je poussais déjà de petits gémissements. Ensuite, Eric s’est reculé et m’a prise par les jambes. Il a tiré dessus, jusqu’à ce qu’elles pendent du lit. J’avais presque les genoux au sol. Mon sexe était sur le bord du matelas. Il tira encore un peu. Dans cette position, ma croupe ressortait parfaitement. Il vint s’agenouiller derrière moi et je sentis son souffle sur mes fesses. Puis, son nez se glissa dans ma raie, suivi de près par sa langue.

Eric me lécha le cul un bon moment. Il était très doux et prévenant. Au début, sa langue tournait autour de mon anus puis, peu à peu, il força dessus pour commencer à l’ouvrir. J’étais excitée comme une puce. Pendant ce temps-là, il me fourrait la chatte avec deux doigts, pour maintenir intact mon désir d’être enfilée. À un moment donné, il se pencha vers moi et me demanda à l’oreille de pousser comme si je voulais chier quand il remettrait la langue sur ma pastille violacée. Rien que de l’entendre me parler comme ça, ça m’excitait encore plus. J’étais heureuse de lui obéir et je m’exécutai dès que je sentis son organe à nouveau posé sur mon petit anneau. Il en profita pour le faire entrer d’un bon centimètre dans mon fondement et commencer à me ramoner le rectum. Il le fit encore deux ou trois fois, toujours avec mon aide intéressée et, la quatrième, c’est son index qui remplaça sa langue. Je fus surprise de la facilité avec laquelle son doigt s’engouffra dans ma rosette. Il l’enfila jusqu’à la garde et l’agita un petit moment dans le conduit anal. Il le fit d’abord coulisser sagement puis se mit rapidement à le faire tourner dans mon derrière, pour m’assouplir le cul. Quand il jugea que ce traitement avait atteint ses limites, il enfila alors un deuxième doigt et reprit son manège. Finalement, je lui demandai moi-même d’y mettre enfin sa queue.

Il me tarauda encore l’anus un petit moment, histoire de bien s’assurer de la dilatation optimale de mon anus. Il ne pouvait guère faire plus avec sa main. Puis, il se recula une dernière fois et posa ses paumes sur mes fesses. Il les écarta tant qu’il pouvait. Je sentis sa bite s’approcher de mon trou, jusqu’à ce que le gland vienne buter tout contre. Il le fit passer tout autour du puits, comme il l’avait fait un peu plus tôt avec sa langue, puis son doigt. Enfin, il se mit à appuyer au centre, très doucement, mais fermement. Je me rappelai alors du bon conseil, qu’il m’avait donné auparavant. Je poussai fort sur mes sphincters, comme si je devais sortir un étron. J’avais heureusement pris la précaution de prendre un lavement avant de me rendre chez Eric.

Mon initiateur profita de la légère ouverture de mon orifice anal pour accentuer la pression et la tête de son braquemart rentra presque sans forcer dans mon fondement. Je le soupçonnai de s’être enduit la tige d’un corps gras quelconque avant de me pénétrer. Il devait aussi s’être branlé un peu car son manche était très gros et fort. Instantanément, je me sentis comblée comme jamais. Cette fois-ci, j’avais vraiment envie de chier et même si je savais que ce n’était qu’une impression due à la pression qui s’exerçait sur les parois des boyaux, je ne pouvais m’empêcher de ressentir une certaine appréhension.

Eric parvint pourtant à me calmer. Dès qu’il fut bien en place dans mon cul, il se mit à aller et venir très lentement. Il n’y avait pas la moindre v******e dans ses gestes. J’avais l’anus qui chauffait et le ventre qui fourmillait. Ce ne fut pas agréable tout de suite. Le plaisir vint doucement, au fur et à mesure que mon corps s’adaptait à l’intromission du membre de mon amant. Heureusement celui-ci continua de se montrer attentionné à mon égard. Il passa une main sous mes cuisses et dirigea ses doigts vers mon entrejambe. Je me frottais le clito contre le lit. Il me força à relever légèrement le bassin et se substitua au frottement des draps sur mon bouton. Il me branla pendant tout le temps qu’il passa dans mes fesses. Le pouce dans ma chatte, il me massait le clito avec son index et son majeur joints. C’était plus qu’il n’en fallait pour me satisfaire. Au fil des minutes, je devenais de plus en plus réactive. Je balançais mes hanches d’avant en arrière pour bien coulisser, tant sur son doigt que sur sa pine. Il n’avait presque plus à remuer, tellement j’étais agitée. Survoltée, je faisais tout mon possible pour me sentir encore mieux remplie. A la fin, il se mit tout de même à accélérer la cadence. Je crois qu’il voulait jouir. Il devait être très excité par le spectacle que je lui donnais, celui d’une femme ivre de sexe et assoiffée de plaisir.

Je ne saurai pas vous dire qui de nous deux à joui en premier. Ce que je sais par contre, c’est que l’orgasme que j’ai eu n’avait rien de commun avec ceux que je ressentais habituellement. Moi d’habitude plus discrète, j’ai crié, j’ai gueulé qu’il me faisait du bien. Quand il est parti, j’ai eu l’impression que sa bite me déchirait le cul, tant ses convulsions étaient intenses. Ensuite, il s’est affalé sur moi et nous sommes restés ainsi quelques minutes, jusqu’à ce que sa verge débande et finisse par sortir d’elle-même de mon anus.

Quand je suis partie, il m’a donné quelques photos numériques en gros plan de mon derrière, qu’il avait prises pendant qu’il me préparait mais aussi quand il était planté en moi. Je l’ai remercié pour cette troublante attention qui me permettra de conserver un souvenir tangible de mon dépucelage anal, ma toute première sodomie.



La déchéance de ma demi soeur

Il faut absolument que je raconte ce qu’il vient de m’arriver. Rien que d’y repenser, je bande, c’est dire. Je suis en Terminale et j’habite dans un arrondissement de Lyon, jusque-là rien de bien de palpitant. Ma famille est composé de ma mère et de son nouveau mari qui n’est pas mon père et qui a deux enfants, un fils de 25 ans et une fille de 19. Là, ça devient intéressant. Ma demi-sœur est une bombasse. Une grande brune, toujours bien sapée, bien maquillée, et tout en jambe. Elle est en fac de droit, et n’adresse même pas un regard au pauvre lycéen que je suis, mais ce n’est pas réciproque. En ce moment, je la suis de près, de très près et j’ai donc installé une petite webcam dans sa chambre. Non seulement d’être une bombasse c’est une vraie salope. Avec son mec c’est très chaud et moi je m’astique le manche pendant qu’ils baisent, c’est vraiment très hot. Je sais je sais c’est honteux de mettre de filmer en cachette sa demi sœur, mais elle est tellement bandante que ce serait une sacrée erreur de ne pas le faire.

Son mec est plutôt baraqué, et il la baise proprement, on se croirait dans un porno. Il l’a pénètre rapidement tellement elle est excitée, puis la lime en profondeur. Ça dure bien une dizaine de minutes avant qu’il ne la retourne et la fasse se mettre à 4 pattes sur le lit ou au bord du lit pour la prendre par derrière. J’ai placé la camera de façon à obtenir un angle optimal, je vois donc ses seins bouger en rythme, son visage rougir et aussi les claques qu’elle se prend sur le cul. Ce gars est une machine et elle encaisse plutôt bien. Les vidéos je les regarde en boucle dès que j’ai un moment de libre, et pendant les repas, je ne quitte pas mon petit sourire en coin. Elle a beau jouer la prétentieuse et me parler sèchement, l’imaginer complètement à poil et soumise à son copain me redonne le sourire. Si elle savait combien de fois je me suis branlé en la voyant se faire baiser comme une chienne elle ferait moins la maligne.

La semaine dernière tout à changé, et quand j’ai allumé la webcam pour visionner ce qui avait été enregistré, j’ai été étonné de voir un autre mec dans sa chambre. Une vraie salope je vous l’avais dit.

Le mec s’est mis à l’embrasser aussitôt entré dans la chambre et l’a plaqué contre la porte. Il lui a mordu l’épaule tout en la déshabillant, elle se serrait contre lui et a commencé à gémir quand il a commencé à lui caresser la chatte et à la doigter. J’avais du mal à voir sur la vidéo mais il semblait qu’il l’a ramonait d’abord avec deux doigts puis avec trois. J’étais comme un dingue, ça s’annonçait encore plus chaud que les fois précédentes. Il l’a retourné toujours contre la porte, et a baissé son froc d’une main tout en lui malaxant vigoureusement les seins de l’autre. Elle était coincée entre la porte et lui, et commençait à haleter. J’ai éjaculé quand il a commencé à frotter sa bite contre sa raie. Il a craché dans le bas de son dos, puis a étalé sa salive autour de son trou du cul. J’allais voir ma demi sœur se faire enculer salement, et j’allais pouvoir le visionner encore et encore, le pied.

Il s’est enfoncé sans plus attendre au fond de son cul, et a commencé à la limer. Elle tenait son cul bien en arrière et encaissait en criant. Le rythme était dingue, il s’enfonçait sans relâche dans son gros cul de bonnasse et leurs corps tapaient contre la porte sous la v******e des coups de boutoir. Soudain il est sorti de son cul et l’a traînée jusqu’au lit, où il l’a assise. Ma demi sœur n’avait plus l’air de savoir ce qu’elle faisait, encore sous le choc du traitement qu’elle venait de subir, mais cela ne l’a pas empêcher de prendre en bouche la bite du gars. Une grosse bite comme elle aime, en bouche. Il lui maintenait la tête et entrait dans sa bouche en maintenant la cadence. Elle s’étouffait presque avec et suçait avec application cette queue qui sortait directement de son cul.

À un moment j’ai même cru être au bord de la jouissance une deuxième fois. Le son n’était pas top, mais il l’insultait, la traitait de pute, de chienne et lui disait qu’il allait la défoncer jusqu’à ce qu’elle ne se rappelle plus de son propre nom. Il l’a alors saisit par les cheveux, l’a repoussé en arrière sur le lit de sorte à ce que ses jambes et son cul soient au bord du lit. Lui, toujours debout, lui a écarté les jambes et s’est inséré en elle comme une lettre à la poste. Il a posé les jambes de ma demi sœur sur ses épaules et a commencé à la pilonner bien au fond. De ses mains libres, il lui empoignait les seins, puis quand elle a commencé à gémir plus fortement il a récupéré son string et lui a fourré dans la bouche en lui disant de se la fermer. Ses gémissements ont été étouffé par le tissu mais apparemment pas suffisant à son goût car tout en disant qu’il allait faire taire la salope qu’elle était, il l’a retourné et s’est engouffré dans son cul sans aucun préavis. Il s’appuyait de ses pieds sur le sol et prenait des grandes impulsions, l’angle était idéal. Ma demi sœur frottait contre les draps, son cul rougissait, et quand il l’a pris par les épaules pour la pénétrer encore plus profondément, ses cris, malgré le bâillon de fortune, retentissaient dans la pièce. Le mec était résistant, et moi je m’activais sur ma queue.

Finalement il est ressorti de son cul et lui a éjaculé dans les cheveux. Ma demi sœur a protesté, et a voulu se redresser, mais l’a maintenu contre le matelas et lui a mis une bonne claque sur les fesses en lui disant de ne pas bouger. Il s’est rhabillé et est parti sans rien dire de plus. Il est définitivement mon héros.

Au repas, ma demi sœur n’a pas dit un mot, elle devait avoir mal au cul car il n’y était pas allé de main morte ce vicieux. Quant à moi, je garde cette vidéo bien précieusement pour mon usage personnel. Enfin personnel, on verra, j’ai promis à un bon pote de lui montrer quelques extraits…
Ким опубліковано: pat97487
1 рік тому
Коментарі
9
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pat97487
кому Macaense211 : sim muito em breve
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Macaense211
que lembranças maravilhosas eu desfrutei nesta leitura, haverá outras?
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ccandau
кому pat97487 : merci j'attends impatiemment
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pat97487
кому ccandau : OUI BIENTOT
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ccandau
que de merveilleux souvenirs me suis régalé dans cette lecture, il y en aura d'autres?
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pat97487
кому Naughtynev69 : it's done
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Naughtynev69
Yummy, more please
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pat97487
кому monti2003 : merci
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monti2003
Une belle compilation d'histoire excitante
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