Tu vas m'enculer ?

Aujourd'hui, tu es en forme. Les courses ce matin ont été faites en moins de deux.
Je t'observe depuis un moment. Tu vaques, fébrile, à tes occupations avec une singulière énergie. Comme si tu étais pressée. Par exemple, tu nous a composé une salade. Le temps de préparation est réduit. Tu as passé l'aspirateur mais tu n'as pas fait les tapis. Tu ne m'as pas dit que tu avais une chose importante à faire. Pourquoi te presses-tu ? À la question, tu me regardes. Allumée, c'est le mot qui convient. Tu réponds que non, que tu es normale. Non, non, non, tu ne m'auras pas comme ça. Je te connais maintenant. Qu'est-ce que tu as ? Rien. Ne mens pas, qu'est que tu attends ? Rien. Oh, toi! tu n'es pas claire. Qu'est-ce que tu as encore imaginé ? Tu m'intéresses, tu sais, tu m'excites. Je vois que tu es remuée. Alors je redemande, qu'est-ce que tu veux ? Tu me regardes bien dans les yeux, et bien qu'encore hésitante, avec un air à la fois bravache et timide, tu dis : « T'enculer. » Ça a le mérite d'être clair, et de me remuer. Tu rêves ma belle. Comment vas-tu t'y prendre ? Là, ton regard s'éclaire et tu me regardes en souriant. Tu as tout prévu ou je rêve à mon tour ? Tu me demandes : « Tu le ferais ? » Ça sera profond ? est ma question. Je le ferai tant que tu veux, quand tu veux. Tu te détends. Tu t'absentes. Je t'entends dans la chambre. Tu ouvres un tiroir de table de nuit. Tu le refermes. Et puis plus rien. Et j'entends tes pas dans le couloir. Tu réapparais. Tu es bien montée. Tu as enfilé un long gode qui balance au rythme tes pas. Et tu le portes fièrement. Ça m'allume, c'est une promesse bien réelle. Tu es fière de ta trouvaille et tu n'as pas pu t'empêcher de l'exhiber. Je regarde mieux. Oh mais, tu as bien choisi. Tu n'as pas pris un de ces godes-ceintures qui s'appuient sur le pubis. Non, tu en as repéré un bien mieux. C'est un long gode qui se termine à sa base par un petit gode perpendiculaire. C'est un gode que la femme enfile par le petit bout. Et la configuration ressemble à celle de l'homme. Le "muscle" sort d'entre les jambes et le mouvement en sera d'autant plus naturel. Le sexe de la femme est sollicité. Et de petites excroissances sont là pour titiller le clito. C'est tout bénèf. Rien ne semble prévu pour le maintenir en place sinon le petit gode dans la chatte. « Dorénavant, quand tu me verras porter ça, ça sera ta fête. » Tu sais me parler en femme de goût. Je le touche. C'est doux. Je me retourne et je le pointe sur mon cul en te regardant. Non, non, pas maintenant, je déciderai. Salope, tu te pavanes, tu m'allumes et tu me laisses tomber. Non, mais je veux le faire quand j'en ai envie, pas quand toi tu as envie. C'est moi qui déciderai, tu t'y plieras. D'ailleurs, je suis sûre que de me voir dans cette tenue pleine de promesses, ça t'excite. Alors, patiente. Tu en as de bonnes, je suis prêt moi. Et si tu ne m'encules pas, c'est moi qui t'enculerai avec ce gode. Non, non, du calme, patience. Facile à dire; et, au fait, depuis quand tu as ça, je ne l'ai jamais vu. Ce matin. Une pensée pour toi.
Ким опубліковано: JeLesAimeSaggy
2 роки(-ів) тому
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JeLesAimeSaggy
Merci.
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vient je veux t enculer avec ma gros bite
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