Vous aimez le café au lit ?

Une version :

Tu es comme ce soleil matinal derrière les persiennes, tu rayonnes, tu resplendis, merveilleusement généreuse, offerte au regard. Tes seins pendent, ta touffe luit, ton cul a des reflets bleus et est tendu, tes reins cambrés. Tu t'es levée avant moi. Tu m'a apporté au lit une tasse de café tout chaud avec un biscuit. Il a un drôle de goût ce café et il est plus clair, je ne le reconnais pas. Ou je le reconnais trop bien.
Tu es en forme aujourd'hui on dirait, déjà excitée ou simplement aux petits soins ? Oui, je le reconnais. Nous le nommons « café chabrot » en souvenir de certaines de nos ballades humides (Voir Un doigt et un poing dans le cul au resto et Chabrot de pisse et morteau dans le cul). Tu as pissé dedans, salope. Il est juste bon à boire, moins chaud. J'y regoûte, je l'avale d'un trait. Encore, j'en redemande. Mais dans un bol.
Tu vas chercher la cafetière et un bol à la cuisine et tu reviens. Tu verses du café dans le bol, à moitié. Puis tu l'ammènes doucement entre tes cuisses écartées. En me fixant, le sourire satisfait, le regard tendre et amusé, tu pisses dans le bol, tu complètes avec ta pisse transparente. Tu me le tends. Je le porte à mon nez, j'y prends une gorgée. Quel arôme, quel saveur. Merci mon amour. Tu sais satisfaire mes besoins par des petits gestes comme ça. J'aime ta prévenance. Je t'aime.



Une deuxième version :

Un matin de juin.
Tu fais tes propres affaires au jardin.
Je suis sur notre lit, allongé dans la pénombre de notre chambre aux persiennes tirées. Je me masturbe doucement, les yeux fermés, fantasmant sur ton gros cul poilu. Les draps ont encore les odeurs de la nuit.
Soupçonneuse, tu reviens du jardin en silence. Heureuse de me surprendre, tu mates un moment dans l'encoignure de la porte tout en te déshabillant. Ta main aurait tendance à vouloir rejoindre ton slip. Tu lui refuses et caresses tes seins pendants.
Entrée dans la chambre, tu montes sur le lit; j'ouvre les yeux; tu es debout, nue. Je te vois à mes pieds me dominant. Tes seins blancs tombent sur ton ventre moelleux. Ta chatte poilue semble se tendre vers son but. Tes cuisses laiteuses tremblent imperceptiblement.
Un pied de chaque côté de mon corps qui frémit d’anticipation, tu avances lentement. Je sais ce que tu veux. Je bande vraiment maintenant.
Enfin, tu surplombes mon visage. Tu me domines de toute ta hauteur. Tu souris de contentement. Tu es heureuse de ce que tu vas faire.
Ton pied droit se soulève. Il s'avance vers mon visage. Tu l'y promènes. Je le lèche goulûment. Tu essayes d'ouvrir ma bouche avec les orteils. Je les suce, ils ont encore le goût du foin de tes sabots.
Et puis, tu t'accroupis, lentement pour que je puisse bien voir ta chatte s’entrouvrir en se rapprochant petit à petit. Tu suspends la descente. Ta main rejoins ton sexe luisant. Elle l'ouvre. Une goutte crémeuse tombe sur ma joue. La descente reprend.
Ton sexe glisse maintenant sur ma bouche. Tes poils sont doux. Je sens ton odeur forte de femelle malpropre, négligeant exprès sa toilette intime. Une bouffée de désir me transperce.
J’ouvre la bouche. Je sors la langue. J’ai ton goût maintenant. Je te lèche à grandes lampées. J’essaie d’introduire ma langue dans ta chatte. Je fouille tes plis et replis. J’arrive à toucher ton clito. Ta mouille coule dans ma gorge. Je salive. Ma queue danse dans ma main. Elle semble vivre sa propre vie. Ma main s'affole.
Et, soudain, sans prévenir, tu pisses. Une petite giclée. Un échantillon. « Goûte salaud » sembles-tu dire. Et puis, le flot puissant jaillit, copieux, immense et m'inonde, inonde l'oreiller, inonde le lit. Je te bois tant que je peux. J'avale. Je suffoque. Tu te vides dans ma bouche.
C'est trop de bonheur, je jouis.
Ça vaut tous les cafés au lit.
Ким опубліковано: JeLesAimeSaggy
2 роки(-ів) тому
Коментарі
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jsamael
Quelle belle situation, c'est très bien décrit !
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lapin58
Un bon départ pour la journée
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